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Les dépravations de Maria – Chapitre 12

Les dépravations de Maria - Chapitre 12



MA FEMME AU DESSERT (5ème épisode)

L’obscénité et la vulgarité de ces mots dans la bouche de ma femme réactive en moi la bête en rut. Et je vois que je ne suis pas le seul. On fait face à la belle femelle qui se remplit la chatte et le cul avec le long gode noir qu’elle a plié en deux.

Maria fait exploser nos sens. Elle est déchirée par ce monstre. Ses tétons ruissellent de son jus. Elle est en train de nous offrir un spectacle d’une sensualité bestiale et divine.

Jamais je ne l’ai vu dans cet état… aussi belle.

La jouissance lui recouvre la peau et prend possession d’elle comme une fleur carnivore. Une odeur indéfinissable s’exhale de tous ses pores, un mélange de sueur féminine et de sperme, l’odeur de la baise !

Nous la regardons comme elle nous l’a demandé. Devant cette débauche d’orgasmes, de cris, de halètements, et de beauté nous sommes un peu saisis par le choc des images inoubliables qu’elle nous offre.

Maria pose ses mains sur nos sexes pour les attirer à elle et les dépose sur ses seins et sur son ventre trempé.

? Ne vous touchez pas…regardez moi…je vais vous faire exploser rien qu’en vous regardant…Laissez vos belles bites sur ma peau…frottez vous à moi. ?

Nos quatre membres avides ondulent sur le corps de ma femme qui nous regarde en se léchant les babines.

Elle continue à s’enfouir aux plus profonds de ses entrailles l’énorme gode… Elle hurle de plaisir dans un flot de mots obscènes. Ses hurlements font grossir nos sexes qui martèlent sa poitrine.

Cette orgie visuelle dure de longues minutes durant lesquelles nous haletons tous les cinq comme des bêtes.

Le plus jeune jouit le premier. Ma femelle saisit alors à deux mains son long sexe pour se l’enfoncer dans la bouche et boire toute la semence qui en sort. Puis elle le branle au dessus de ses seins et le presse pour lui soutirer les dernières gouttes comme elle nous l’a promis tout à l’heure. Le gamin pleure de plaisir et de douleurs mélangés quand elle continue à le presser :

? Allez…jusqu’au bout de ta dernière goutte…je te vide…je bois tout ton putain de foutre…arrose moi bien ! ?

Les giclées de sperme ne s’arrêtent pas sous la pression des mains expertes et le chaud liquide se mélange au jus qui jaillit en abondance des tétons énormes de Maria.

La vulgarité des paroles de cette inconnue masquée émoustille l’homme âgé. Il vient d’enfourner sa bite dans la bouche de ma femme et lâche lui aussi sa semence. Les lèvres de Maria en sont inondées. Elle en recrache une gorgée et, comme elle a fait avec le premier, elle ôte la grosse queue de sa bouche et entame un lent mouvement de va et vient le long de la hampe.

Elle en presse fortement le contour. Le vieux crie son plaisir. Elle presse de plus en plus fort et les ultimes giclées se répandent sur son ventre luisant de tout le liquide qu’elle a recueilli durant la nuit.

Le jeu de l’argent a bien sur allumé ses sens au début de la soirée, mais assez rapidement, le plaisir pur a repris le dessus. Elle n’est plus qu’un objet de sexe, consentante, avide, possédée et elle en retire un plaisir inconnu. Elle est merveilleuse.

Le troisième homme est lui aussi au bord de la jouissance. Il grimpe sur la table, se met à genoux sur le ventre de Maria et lui glisse son membre entre ses deux seins humides. L’homme âgé s’approche et enferme le sexe rougit de son comparse entre les deux globes luisants Cette vision comble l’inconscient de mon épouse. Elle a toujours fantasmé sur des hommes faisant l’amour entre eux, et là, pour la première fois, elle regarde un homme quasiment en train d’en masturber un autre, et comble du ravissement, il le fait entre ses deux belles mamelles. Elle aime la perversité de cet inconnu qui lui offre cette nuit la réalisation de ses rêves les plus secrets.

Nous garderons toujours gravé dans notre mémoire le moment intense de chaleur quand elle l’a enculé et fait crier de douleur. C’est ce même homme qui lui a offert le bel objet que je suis en train de faire coulisser dans ses deux orifices en un rythme qui arrache de sa gorge et de sa peau des spasmes ininterrompus. Je suis sur que c’est ce même homme qui a écrit les lignes des messages et glissé les billets après qu’elle l’eut excité en dégrafant le haut de sa robe. ses mots et ses arguments ont fait d’elle un démon de luxure et de perversions.

Il remet son énorme tronc dans la bouche de Maria. Elle a du mal à sucer cette queue d’une grosseur inhabituelle qui vient de lui offrir toute sa semence…et qui ne débande pas !

D’avoir branlé le garçon de salle entre la poitrine luisante de ma femme ne doit pas y être pour rien…

Maria délire et en demande plus :

? Tu débandes pas …c’est fabuleux… ?

Elle lève légèrement sa tête en continuant de lécher avec saveur le membre de l’homme âgé et me regarde avec amour.

? Mon chéri, je me régale… regarde comme cette queue est appétissante – elle soupire – attache moi les poignets aux pieds de cette table…offre moi à ces hommes. ?

Encore un de ses fantasmes pervers qui prend forme. Je sais qu’elle rêve d’être enchaînée, même si elle n’a jamais osé m’en parler et voila que face à ces inconnus elle transgresse tous ses tabous et veut s’offrir ce moment de rêve.

 ? J’ai envie que vous me preniez tous les quatre, debout…attachez moi et continuez à me martyriser… Soyez sadiques avec mon corps…profitez-en…ce n’est pas tous les jours que vous rencontrez une belle salope comme moi ! ?

( à suivre)

Vous voulez la voir dans ses ébats ?

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