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Les aventures de Thérèse – Chapitre 3

Les aventures de Thérèse - Chapitre 3



DEBUT DE LACTE 3

En fait ma journée nétait pas terminée. Alors que je me trouvai dans un semi-engourdissement, je sentis une douce succion sur mes seins martyrisés. Jouvris alors un il et je vis une frêle jeune fille, penchée sur moi, qui tétait lun de mes tétons. De ce que je pouvais voir, il me semblait quelle était entièrement nue. Je méveillai alors complètement et je découvris que lon mavait changée de pièce. Jétais maintenant dans une immense chambre allongée sur un lit rond qui se trouvait au centre de la pièce. De très gros projecteurs fixés au plafond éclairaient à giorno cet endroit.

Je me laissai aller à ce doux instant qui contrastait fortement avec ce que javais vécu auparavant. Sa bouche alternait dun sein à lautre tantôt aspirant, tantôt mordillant légèrement le bout. Puis sa bouche délaissa mes seins pour entamer une longue descente vers mon sexe ou tout du moins crus-je ce quelle allait faire

Au fur et à mesure de sa progression, ses fesses se tournèrent vers moi et je découvris alors que deux énormes plugs étaient plantés en elle : lun dans son cul, lautre dans sa chatte. Ma première réflexion fut de me demander comment de si gros engins pouvaient envahir un si petit corps sans le déchirer.

Alors que la progression de ma jouissance samplifiait, elle sarrêta brusquement dans son mouvement.

Avant que jaie pu dire un mot, elle se tourna vers moi, les yeux pleins de larmes, en me disant ceci : « Jaimerais te faire jouir et jen ai grande envie, mais il mest interdit de le faire où je serai doublement punie. Tu peux dailleurs voir que je subis un traitement particulier dû à mes nombreuses désobéissances. Mon maître ne veut plus de moi et ma confiée à un maître sud-américain pour que je participe à des spectacles particuliers réservés à des initiés à Bogota. Tout ce que je sais cest que mon anus et mon sexe doivent être capables de supporter des intromissions très importantes. En plus de ces plugs que je dois porter en permanence, je suis fistée régulièrement et je subis des doubles pénétrations anales, mais aussi vaginales. »

Mais nas-tu jamais prononcé le mot de passe pour arrêter ces supplices ?

Non ! Cela ne me viendrait jamais à lidée ! Je suis une vilaine fille et je mérite ces punitions !

Mais quel âge as-tu ?

Jai 25 ans et je suis sous la domination du seul homme que jai connu.

Cétait mon maître de conférences à la Fac avant de devenir mon Maître à part entière. Je mappelle Lydie.

Au fur et à mesure de son récit, lhorreur emplit mes yeux et je me jurai que je serai toujours obéissante pour ne pas subir un tel châtiment !

Lydie venait à peine de terminer sa narration que la porte de la chambre souvrit sur un homme que je navais jamais vu jusque là. Il était vêtu dune combinaison moulante noire dune seule pièce dont la particularité était quelle laissait apparaître un sexe au repos déjà de taille importante. Je ne pouvais voir son visage car il était recouvert dune cagoule rouge. Il fit un signe et Lydie quittât la pièce.

Il se mit alors à parler : « Lève toi chienne ! » Je mempressai de me lever.

« Les ordres de Maître Jean sont les suivants : tu vas dabord te faire un lavement pour nettoyer complètement tes intestins. Puis, une fois vidée, tu te laveras complètement des pieds à la tête sans oublier de nettoyer lintérieur de ton sexe avec une poire vaginale. Tu te maquilleras discrètement le visage et tu farderas juste la pointe de tes seins pour les mettre en évidence. Tu resteras bien évidemment entièrement nue. Avant de commencer, mets toi à genoux, et viens me sucer ! »

Jexécutai son ordre et javançai vers lui. Puis je pris son sexe encore mou dans la bouche et jentamai une longue succion de ses boules, puis de la tige et du bout de son pénis. Javais à peine commencé ma lente fellation que sa bite devint dure comme du fer.

Il me poussa, alors toujours à genoux, vers le bord du lit sur lequel il appuya ma tête en arrière. Le lit était assez haut cest pourquoi louverture de ma bouche se trouvait juste à la vertical de ma gorge. Dans linstant je compris le pourquoi de cette position. Il se courba sur le lit juste au dessus de ma tête quil prit dans ses mains et fit pénétrer son sexe inexorablement jusquau fond de ma gorge. Javais déjà pris lhabitude de faire des « gorges profondes » avec mon mari mais le sexe de cet homme était particulièrement épais. Je faillis étouffer mais après quelques secondes dadaptation je pus entièrement lavaler. Il baisa alors carrément ma bouche sans plus de précautions et, après de longs va-et-vient, il éjacula longuement dans ma gorge et se retira en laissant un mince filet de sperme sur mes lèvres.

Il me laissa alors partir vers la salle de bains dont je sortis une heure plus tard après la longue préparation qui métait imposée. Il était toujours dans la chambre mais il avait ouvert une petite mallette noire dans laquelle se trouvait un assortiment de plugs divers. Il en choisit un qui me parut bien gros et dont la particularité était quil y avait fixé sur son embase un mince tuyau terminé par une poire. Il mordonna alors de me pencher en avant sur le lit. Il écarta mes fesses et fit pénétrer le leurre dune seule poussée. Je poussai un cri plus de surprise que de douleur. Javais pris la précaution de menduire lanus dun lubrifiant hydrosoluble qui avait été mis à ma disposition dans la salle de bains.

Le plug entré, il commença à presser la poire ce qui eut pour effet de me dilater lanus jusquau moment où je ne pus plus le supporter. Je poussai alors un cri montrant ainsi que mon cul était arrivé aux limites de ses possibilités. Ne se fiant pas à mes réactions, il appuya encore plusieurs fois pour me dilater à lextrême.

Après mavoir menotté mains dans le dos en me demandant de ne pas bouger, il passa délicatement une noix de crème, dont jignorai la teneur, sur mon clitoris et à lentrée de mon vagin, il ajouta quon allait venir me chercher dici une heure. Il quitta alors la pièce.

Il était à peine sorti de la pièce que je sentis une chaleur menvahir le bas ventre, puis comme une brûlure et enfin une morsure insupportable. Les mains menottées dans le dos je ne pouvais rien faire pour atténuer cette souffrance. Je me mis alors sur le ventre et vint me frotter la chatte sur le coin du lit. Rien ny fit Je cherchai désespérément un objet sur lequel jaurai pu me satisfaire mais rien. Jessayai en vain de frotter mes cuisses lune contre lautre mais cela ne faisait quaggraver mon état. Cette pommade, puisque cest elle qui était la cause de mes tourments, avait aussi le don daccentuer la lubrification de mon vagin car je me sentais couler abondamment.

Cest alors quune musique violente, fortement rythmée, se diffusa dans la chambre. Les projecteurs se mirent à flasher, une trappe dans le sol souvrit et je vis surgir un curieux tabouret garni de cuir, avec un trou au centre de son assise dans lequel coulissait une tige métallique qui sortait du plancher et qui était surmonté dun énorme godemiché noir en latex.

Une voix mordonna alors daller mempaler sur le phallus artificiel. Je me dirigeai difficilement vers le tabouret, le plug dans mon cul ne facilitait pas mes déplacements, et arrivée au but je commençai lentement à menfoncer le leurre dans la chatte. Bien que fortement lubrifiée du fait de laction de la pommade, lintromission fut difficile. Le plug fortement dilaté dans mon anus ne laissait pas beaucoup de place. Jen avais entré à peu près les deux tiers et je comptai marrêter là quand la voix venue de nulle part mintima de continuer et de masseoir carrément sur le tabouret. Ce que jarrivai à faire quelques minutes plus tard.

La voix reprit : « Vous êtes désormais assise sur la machine à jouir. Votre sexe va être pistonné sans interruption jusquà la jouissance finale que vous natteindrez quune fois la pommade absorbée. Cest limportance de votre mouille qui accélérera sa diffusion et qui diminuera le temps de votre frustration. Mais avant de démarrer la machine il nous faut ajouter une touche finale à votre présentation ! ».

A ces mots la porte de la chambre souvrit et une jeune femme vêtue de blanc entra portant une corbeille dans laquelle je vis des petites chaînettes, des cordelettes, des poids ainsi que des pinces à dessin. Elle sapprocha de moi puis avec les cordelettes elle lia mes chevilles aux pieds du tabouret. Elle passa ensuite une autre cordelette dans les menottes quelle attacha aussi aux pieds du tabouret. Elle prit alors lune des pinces à dessin louvrit et lappliqua sur mon téton droit. Une vive douleur parcourue ma poitrine suivie dune autre plus intense encore due à la pose de la deuxième sur mon téton gauche.

Elle relia alors les deux pinces par une chaînette à laquelle elle fixa au centre plusieurs poids. Cet assemblage eut pour effet détirer mes seins vers le bas et daccentuer « mes douleurs ». La jeune femme disparut me laissant immobilisée sur le tabouret complètement arquée en arrière, incapable de bouger, percluse de douleurs diverses dans tout le corps.

Cest alors que le godemiché se mit en branle dans ma chatte et entama un mouvement alternatif qui prit rapidement le rythme rapide de la musique. Je me sentais entièrement possédée par cet engin qui, au travers de la fine paroi qui séparait mon vagin de mon rectum, venait se frotter contre le plug gonflé dans mon cul. Un homme, même endurant, lorsquil vous pénètre, fatigue au bout dun moment. Ce nétait pas le cas de cette « machine à jouir » qui me pilonnait infatigablement et dont je ne savais quand elle sarrêterait !

Mes douleurs commençaient à se transformer en un long plaisir inassouvi. Jaurai voulu atteindre lorgasme mais la pommade agissait toujours. Ballottée par lengin, les poids secoués par le rythme infernal martyrisaient toujours mes seins. Dodelinant de la tête je bavais espérant la jouissance finale qui ne venait pas. Pourtant je savais que je mouillais abondamment mais ce nétait semble-t-il pas suffisant.

La musique rythmée me prenait la tête et complétait ce travail de dressage.

Après une période interminable, je sentis des picotements près de mon clitoris qui se propagèrent à lintérieur de mon vagin, des tremblements commencèrent à magiter et une forte houle de plaisirs menvahit. La jouissance venait, forte, très forte, inespérée. Cétait bon, trop bon ! Javais je navais connu ce délire ! Mes bras, mes jambes, mes seins, mon vagin, mon cul, mon clitoris étaient comme électrisés. Je poussai un cri de bête en rut et lorgasme matteint, fulgurant, me laissant sans vie, sans ressort, la tête pendante en arrière.

FIN DE LACTE 3

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