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Les inconnus – Chapitre 2

Les inconnus - Chapitre 2



La main voyage dans la chatte gourmande de la vieille femme, elle pousse des grognements lorsque mon oncle lui aspire un mamelon et le tète comme un assoiffé.

Je suis impressionnée de voir la main enfoncée dedans jusqu’au poignet, et la queue de mon oncle qui se dresse fièrement.

Son partenaire la pilonne sauvagement, elle se cabre et pousse un grand râle rauque en jouissant.

L’homme retire sa main, le trou reste béant; il sourit et dit:

Elle aime ça, de se faire éclater, c’est une nymphomane, il lui en faut encore et encore des orgasmes, elle accepte n’importe quoi, tout est bon pour elle, pourvu qu’elle jouisse !

La femme pose sa main sur sa chatte et s’acharne sur son clito; le frottement est rapide; elle grince les dents.

Le bouton est énorme, il dépasse fièrement les grandes lèvres.

Sa main habile le fait gonfler davantage, elle rugit à chaque passage de ses doigts sur son bouton.

Ma tante a les yeux brillants, elle passe sa langue plusieurs fois sur ses lèvres charnues, et pose sa main sur ma cuisse.

Je sursaute surprise, elle me regarde avec envie.

Sa main monte le long de ma cuisse et arrive à l’aine; je ravale ma salive.

Je pose ma main sur la sienne, je n’ai pas le courage de l’arrêter, je soupire lorsqu’elle effleure ma jeune vulve.

Ma main suit les mouvements de la sienne, elle monte et descend sur ma fente qui commence à libérer une substance légèrement visqueuse.

Je presse sur sa main, cela l’encourage, elle accentue le mouvement, ma chatte suinte de plus en plus.

Mon oncle a cessé de téter la femme; il pousse un sifflement en regardant sa femme et moi, il se redresse et caresse son manche tendu.

La femme l’attrape au passage, et enfourne l’engin dans sa bouche, elle doit bien sucer, car mon oncle geint de bonheur.

L’homme qui s’était absenté un court instant réapparaît.

Il a en main un énorme gode à picots, il le pose sur la chatte encore ouverte de la suceuse et l’enfonce sans ménagement.

Elle grogne sans lâcher la queue de mon oncle.

Il commence à faire un va-et-vient de plus en plus profond, la vieille agite son bassin et grogne tout en suçant la queue de tonton.

Il la saisit par les cheveux et lui baise la bouche si fort que j’ai l’impression qu’il veut y entrer les couilles aussi.

Il se raidit et envoie plusieurs giclées au fond de la gorge de la femme, elle manque d’étouffer et le repousse.

Elle savoure la crème épaisse de mon oncle, en l’avalant lentement.

Pendant ce temps, son mari la défonce énergiquement avec le monstre de silicone, il le tourne dans la chatte, les picots font beaucoup d’effets, car elle s’arc-boute à chaque rotation de l’engin.

Ma tante s’agenouille à côté de moi, je dois lâcher sa main.

Elle pose ses lèvres sur un de mes tétons et l’aspire; d’une main, elle roule l’autre entre son pouce et son index.

Rapidement, les bouts se dressent et deviennent durs, ma tante aspire plus fortement et tète comme pour en extraire du lait.

Je me raidis, la succion est terrible, je serre les dents et geins comme une bête en rut.

Mon oncle s’approche de nous, sa queue est gluante, il la branle doucement.

La vieille le supplie de la prendre, elle se met à quatre pattes.

Son mari retire le gode de l’antre en ébullition, se place à côté de sa femme et lui écarte les fesses.

Pour mon oncle, c’est une invitation.

Il pose sa queue luisante contre la rosette et donne un léger coup de reins, il s’enfonce aisément dans le cul de la femme qui hurle:

Oui oui oui ! Salaud, casse-moi le cul !

La bite vigoureuse coulisse dans le fondement, sûrement habitué à de nombreuses pénétrations.

Ma tante délaisse mes seins, elle pose ses lèvres sur les miennes, sa langue cherche la mienne.

Elles se nouent; et là, commence un long baiser, avec un échange de salive.

Sa main descend sur ma chatte, et taquine longuement mon clito; le gredin enfle rapidement et devient très sensible.

Mes râles sont étouffés par le baiser langoureux que nous échangeons.

Un doigt s’enfonce dans ma grotte humide et tourne de nombreuses fois en elle.

Le baiser cesse, ma tante me sourit, et enfonce un second doigt le plus loin qu’elle peut.

Les deux intrus me fouillent longuement, j’agite doucement mon bassin en couinant.

L’homme a offert à sa femme son mandrin bandé, la gourmande l’avale sans rechigner et le suce en faisant un bruit de succion très sonore.

Mon oncle accélère le rythme, il la pilonne comme un diable par de violents coups de reins.

Il se raidit, se bloque et envoie dans le cul de la vieille sa semence épaisse.

La femme recrache la bite de son homme et crie:

Encore encore ! Ca viiennnnt ouiiiiiiii !

Elle gicle comme une fontaine, se frotte la chatte à grande vitesse, elle gicle par saccades, puis c’est un jet continu qui sort de sa chatte insatiable.

Mon oncle se retire du cul très accueillant, sa bite est vite remplacée par celle de son mari qui s’évertue à la démonter avec de grands coups de boutoir.

Rapidement, il lui remplit le cul de sperme, il ressort son glaive noueux de l’antre brûlant et le remplace par le gode à picots.

Oui oui, bourre-moi le cul à fond, mon chéri, fais gueuler ta chienne !

J’ai maintenant trois doigts en moi; le doigté est sévère, je couine comme un animal.

Ma tante est experte avec ses doigts agiles, elle me fouille comme je ne l’ai jamais été.

Mon oncle me caresse les seins, il les agresse par de petites pressions successives sur les bouts, je me pâme de bonheur.

Ma tante prend place entre mes cuisses et pose sa bouche vorace surdétrempée qui suinte comme un fruit trop mûr.

Elle avale le liquide abondant qui s’échappe de ma vulve, j’entends ses:

Humm hummm !

Sa langue s’enfonce, me fouille profondément puis ressort de mon antre en feu.

Sa bouche aspire ma cyprine en faisant un bruit de succion terrible.

Enfin, elle gobe mon bouton, le tète comme une forcenée, la tension monte dans mon corps.

Je me cambre et me mords la main pour étouffer mon cri de jouissance.

Tu es à point Cloé, je vais m’occuper de toi maintenant !

Mon oncle écarte sa femme et m’enfonce sa queue jusqu’à la garde; ses couilles frappent ma chatte à chaque coup de reins.

Putain ! Ce que tu es bonne, depuis le temps que je voulais te défoncer ma petite salope !

Il accélère la cadence; le rythme est soutenu par les coups de reins qui sont de plus en plus violents.

Je m’accroche à lui, je ne veux pas qu’il se retire en moi, je veux mourir de plaisir dans ses bras puissants (moi aussi j’avais envie de lui).

J’agite mon bassin et grogne de plaisir, je me cambre et explose de jouissance.

Ma tante enfonce deux doigts dans le cul de mon oncle, et le ramone énergiquement.

Il se cambre à son tour, et me remplit de sa semence brûlante, ma tante le ramone encore, elle accélère même, cela a pour effet de faire jouir mon oncle davantage.

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