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Les six week-ends marquants d'Emilie – Chapitre 6

Les six week-ends marquants d'Emilie - Chapitre 6



Contexte : Notre second enfant, Alicia, est née en août 2010. La grossesse avait été compliquée et nous avions dû cesser rapidement nos rapports. Avec un nourrisson et un enfant en bas âge, notre couple était passé en mode "porté disparu". J’en souffrais, Emilie le savait, mais pourtant, il me semblait qu’elle "gâchait" volontairement les rares possibilités qui s’offraient à nous pour passer du temps ensemble. Ainsi, elle ne voulait pas laisser les enfants à garder, ne serait-ce que pour aller manger au restaurant. Son comportement envers moi avait changé. Elle était désormais distante et froide et je ne parvenais pas à la faire parler. Elle fuyait. Aussi, j’avais ainsi organisé un week-end avec un couple d’amis pour la Saint-Valentin. Emilie s’en réjouissait beaucoup et cela contrastait avec son comportement depuis la naissance d’Alicia.

Week-end : Tania et Kevin devaient passer nous chercher vers 14h. Ainsi, nous avions fait manger les enfants et mes parents étaient venus les chercher à 13h. Ils allaient les garder pour la nuit pour la première fois. Le temps qu’Emilie leur fasse toutes les recommandations, ils étaient partis à 13h20.

A leur départ, Emilie va se changer car Alicia a craché sur sa robe. Je le regrette, car j’étais ravi qu’Emilie porte cette petite robe mauve. Cependant, elle revient dans une robe chemise rouge que je lui ai offert deux ans auparavant. Elle l’avait mis pour aller travailler. Elle vient au salon où, assis sur une chaise, je regarde la télévision d’un il distrait :

— Ça va ?

— Oui, j’adore cette robe, tu es magnifique.

Elle sourit. Je tente une audace sans vraiment y croire :

— Et dessous ? Tu l’ouvres ?

Emilie me regarde, visiblement un peu surprise, puis elle déboutonne petit à petit la robe. Dessous noirs, soutien-gorge, tanga et bas. Je lui fais signe d’approcher. J’embrasse son ventre, caresse ses flancs avant de l’attirer à moi. Emilie passe les jambes de part de d’autres des miennes pour s’installer à califourchon sur mes cuisses. Baiser.

— J’ai envie de toi, ma puce. Maintenant

— Tania et Kevin doivent arriver d’un moment à l’autre.

— On devra se dépêcher.

Son sourire me réchauffe le cur. Emilie ne dit pas non. Mieux, elle se lève et dit :

— Alors viens vite !

Nous allons dans la chambre, elle retire son tanga et s’allonge sur le dos. Je la lèche un instant avant de venir en elle. Notre premier ébat depuis plusieurs mois. Je suis attentif à d’éventuelles douleurs, mais Emilie me dit que ça va bien. Après avant été entre ses jambes, je me retire afin qu’Emilie se mette à quatre pattes. Excité par ce rapport attendu depuis si longtemps, je ne résiste que quelques instants à la levrette.

Trois minutes plus tard, alors qu’Emilie finit de se nettoyer, Tania et Kevin sonnent à la porte. Nous partons après avoir pris un café.

Nos amis sont en pleine forme, heureux de s’évader avec nous durant ce week-end de Saint-Valentin. Nous rions beaucoup durant l’heure de voyage. A l’hôtel, le check-in prend un peu de temps, car il y a du monde. Il est déjà 16h lorsque nous arrivons à nos chambres. Kevin dit :

— Bon, le temps de se mettre en maillot et on se retrouve ici. Disons dans un quart d’heure ?

— Ok, ça marche.

Nous posons nos affaires et Emilie sort nos maillots de bains de la valise. Nous nous déshabillons rapidement et alors que je m’apprête à passer mon short de bains, elle dit :

— Je vais commencer par croire que tu perds vraiment la mémoire.

Je lève les yeux, elle est en train de monter sur le lit. Elle s’y allonge et tapote le matelas à côté d’elle.

J’y saute. Emilie m’embrasse avec passion et je bande quasi instantanément. Ni une ni deux, elle vient à califourchon sur moi et vient lentement sur mon sexe. Quelques instants plus tard, elle sautille allègrement sur ma queue et dit :

— Je n’en avais pas particulièrement envie, mais j’adore cette habitude !

A la voir se trémousser ainsi sur mon sexe et jouir avec tant de plaisir, difficile de la croire. Je peine aussi à la voir ainsi. Deux rapports en quelques heures alors qu’elle s’y refuse depuis des mois., Juste après mon orgasme, elle file à la salle de bains et en ressort en peignoir blanc sous lequel elle a passé son bikini. Je dois me dépêcher.

Tania et Xavier sortent en même temps que nous de leur chambre et nous descendons au spa. Difficile d’apprécier les bains et autre hammam avec tant de monde. L’hôtel a été pris d’assaut. Nous trouvons une place au sauna où nous restons un bon moment. Nous faisons ensuite un tour dans la piscine où seules Emilie et Tania peuvent profiter des bulles et jets des jacuzzis. Nous remontons dans les chambres pour 17h30 et convenons de nous retrouver à 20h devant la porte pour le souper.

Nous passons à la douche, Emilie avant moi. Quand j’en sors, elle est devant le miroir, en train de démêler ses cheveux, une serviette nouée autour de la poitrine. Je me sèche succinctement puis, en l’embrassant dans le cou, je lui demande :

— Est-ce que tu as envie maintenant ?

Elle sourit, continue de se coiffer. Je défais sa serviette qui tombe à terre et la pelote doucement tout en l’embrassant dans le cou et sur les épaules. Je descends petit à petit le long de son dos jusqu’à ses fesses que j’embrasse fébrilement. Emilie se tourne et je fais face à son sexe glabre pour l’occasion. Je l’embrasse, lèche le haut de sa fente. Emilie m’invite à me relever. Nous nous embrassons puis elle dit :

— Oui, j’ai très envie.

Nous passons sur le lit et nous faisons magnifiquement l’amour. J’en ai presque les larmes aux yeux de retrouver là notre complicité sexuelle. Emilie est sublime, séduisante et coquine, légère et grave, intense et enjouée. J’ai l’impression de la redécouvrir. Elle jouit une douzaine de fois, enivrée par le désir. C’est beau, fantastique. A l’issue de ce moment de grâce, nous nous allongeons côte à côte, à bout de souffle mais rayonnants de bonheur. Nous nous endormons peu après et nous sommes réveillés à 19h par l’alarme d’Emilie qui avait anticipé notre sieste.

Nous nous préparons. Emilie a prévu une robe rouge moulante et décolletée qu’elle avait acheté durant l’été 2009 et qu’elle n’avait jamais portée jusqu’ici. Sauf qu’en ce mois de février 2011, Emilie a quelques kilos de plus qu’au moment où elle a acheté cette robe. Elle la passe. Le soutien-gorge se voit dans le décolleté. Elle ôte la robe pour enlever le soutien-gorge. Elle remet la robe. Emilie n’est pas contente car on voit les marques de son string sur ses hanches et celles des bas au niveau des cuisses. Exit le string et les bas. Emilie met un collant. Qui marque à la taille. Je me lève, m’approche d’elle et l’embrasse. Elle est sublime. J’ouvre sa robe et la lui retire. Elle enlève son collant. Baiser.

— J’ai envie de toi.

— Il est huit heure moins cinq !

— Je m’en fiche.

Je bande. Je pose sa main sur mon entrejambe. Elle rit.

— Tu tiens une sacrée forme, toi !

— Tu m’inspires.

Emilie s’agenouille et me suce vivement avant de se relever et se tourner contre la porte d’entrée. La pénétration est aisée. Je la prends vivement et Emilie gémit doucement. Je n’ai pas encore joui quand nous entendons Tania et Kevin sortir de leur chambre. J’éjacule après qu’ils aient tapé à notre porte et essayé d’entrer. Emilie court à la salle de bains avec sa robe. Je me nettoie dans la précipitation aux toilettes. J’ouvre la porte. Tania rit :

— Emilie est à la bourre, comme toujours.

Je ris. Je ne sais pas si l’expression est volontairement choisie, mais elle ne peut être plus appropriée.

Emilie nous rejoint deux minutes plus tard. Depuis combien de temps n’a-t-elle pas été ce mélange d’élégance et de sexy ? Cette robe rouge moule son corps, lui dessine un cul fantastique et plaque la poitrine sur les côtés pour ramener ses seins vers le profond décolleté en V, tel un soutien-gorge push-up. Les yeux de Kevin parlent pour lui. Même Tania semble subjuguée par sa beauté. Pourtant, elle n’est pas en reste dans une élégante robe jaune et noire. Elle dit en riant :

— Et dire que je pensais avoir la robe idéale pour cette soirée

Nous descendons manger et prenons notre temps à table. Nous passons une merveilleuse soirée et Emilie irradie dans la salle où tous les regards semblent se tourner vers elle au moment où elle  doit la traverser pour se rendre aux toilettes. Je suis immensément fier. Nous dansons un peu au bar où un pianiste joue des classiques romantiques. Nous remontons vers 1h du matin, parmi les derniers. Nous saluons Tania et Kevin sur le pied de la porte et dans la chambre, j’embrasse Emilie. Elle est trop désirable ainsi, j’ai envie d’elle. Mais elle me dit :

— Je crois que je ne vais pas pouvoir, chéri. J’ai mal.

Là où l’Emilie de ces dernières années serait allée se coucher, cette Emilie-là poursuit.

— Mais l’excitation me donne des idées. J’ai envie de faire ma salope. Tu viens ?

Je ne comprends rien. Ai-je bien entendu ce moi ? Emilie rouvre lentement la porte d’entrée et nous redescendons. Nous traversons le hall d’entrée puis le bar par lequel nous sortons sur la terrasse. Il fait froid. Nous tournons derrière un mur et Emilie me dit :

— On va faire vite.

Elle s’agenouille devant moi et commence à me sucer. Pas de temps perdu. Elle aspire bien ma verge et ma masturbe en même temps.

— Dis moi quand tu es prêt

Il ne me faut que quelques instants :

— Je le suis.

Emilie me masturbe devant elle, ma bite dirigée vers son décolleté. J’explose. Deux gros jets éclaboussent au milieu des seins d’Emilie. Elle me masturbe vivement ensuite, faisant gicler des gouttes de sperme un peu partout sur sa robe, au niveau des seins, et sur mon buste. Elle essuie le bout de mon sexe contre les pans de son décolleté. Le sperme luit sur ses seins et coule entre eux.

— Voilà, on peut remonter.

— Tu ne vas pas remonter comme ça ?

Elle est déjà en train de partir.

— Viens, c’est moi qui ait la clé.

Nous retraversons le bar ou les rares convives ne remarquent rien. Le serveur, oui. Et son sourire à mon égard est en ce sens plutôt gênant. En passant devant la réception, nous saluons le veilleur de nuit puis montons à pied. Nous ne croisons personne d’autre. Emilie est ravie de son petit effet sur moi. J’en reste abasourdi.

Emilie se douche puis vient me rejoindre dans le lit, nous nous câlinons avant de profiter d’une bonne nuit de sommeil.

Au réveil, mon épouse me chevauche et nous jouissons de concert. Tania a écrit un message : rendez-vous à 9h30 au petit-déjeuner. Il est 9h et cela nous laisse le temps de nous préparer de même de ranger nos affaires dans la valise.

Nos amis arrivent quelques minutes après nous au buffet du petit-déjeuner. En voyant le magnifique ciel bleu, nous décidons de ne pas nous attarder afin d’aller prendre l’air au bord du lac avant de rentrer. En remontant aux chambres, Tania dit :

— On se retrouve à la réception dans dix minutes, ça va ?

Emilie acquiesce.

En entrant dans la chambre, elle me dit  :

— On a bien fait de faire la valise avant alors.

Elle m’embrasse avec passion tout en me caressant l’entrejambe. Quand je bande, elle défait mon pantalon, sort mon sexe et commence à me sucer. Puis, lentement, elle se lève, se dirige vers le lit devant lequel elle enlève son string puis elle se met à quatre pattes sur lit et remonte sa jupe en jean. Petit coup d’oeil coquin par dessus son épaule.

— Je crois que nous n’avons pas beaucoup de temps

Je saute sur le lit et l’embroche. Elle gémit. Je la prends avec vigueur et force. Mes puissants coups de rein heurtent son cul auquel je suis fermement agrippé. Ça claque bruyamment. Emilie halète et en redemande. Je jouis profondément empalé. Je me retire. Nous allons à la salle de bains.

Rafraichi, nous sortons et descendons à la réception où Tania et Kevin sont en train de régler leur séjour. Nous partons peu après. Une demi-heure de voiture et nous voilà au bord du lac. Certes, il fait frais, mais le soleil fait un bien fou en ce mois de février. Nous marchons main dans la main.

J’étais certain que cet excellent week-end et cette douce journée allait rappeler à Emilie le plaisir à faire l’amour et à entretenir le couple, notamment par des sorties à deux. Que ces deux jours allait agir comme un électrochoc et nous faire repartir sur de bonnes bases. J’allais lourdement me tromper.

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