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JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. – Chapitre 6

JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. - Chapitre 6



Je vais baiser ma mère pour me venger.

Première partie.

Je mappelle Claude. Je viens dapprendre de Julie, sa meilleure amie, que ma mère lui avait demandé de me dépuceler et quelle en a même profité un jour que je portais une cagoule pour sencanailler sur ma bite à mon insu.

Je suis sidéré de ce quelle a osé faire et surtout de la voir tous les jours se comporter comme si de rien nétait à la maison. Jai décidé de me venger.

Jai eu loccasion de la provoquer une première fois lors d’un voyage ou nous partagions la même chambre d’hôtel.

Au moment de prendre ma douche, pour voir sa réaction, javais volontairement laissé la porte entrouverte. Elle en profita pour se changer et je la vis changer de sous-vêtements.

Mon état desprit et la vision de son corps un instant dénudé firent leurs effets et un début dérection soudain fit gonfler ma verge.

Elle regarda enfin dans ma direction constatant seulement la vision de moi me savonnant, la queue déjà enflée.

Je continuai à me savonner lobservant dun il discret, sous ses regards, ma bite continuant son développement.

Sans aucune gêne, elle profita du spectacle restant bien dans laxe de la porte.

Javais auparavant retiré les serviettes de bain et lui demandai de men apporter une.

Sans être plus mal à l’aise que ça de voir son fils la queue bien raide à lhorizontale, elle me tendit la serviette me complimentant sur mon organe osant même préciser:

— Tu sais, cest normal à ton âge déprouver du désir et je ne peux que te complimenter, tu as une sacrée gaule, mon fils.

Je fis semblant dêtre gêné en sortant de la douche, le tissu éponge narrivant pas à cacher mon érection.

Annabelle.

Depuis laventure que jai eue avec mon fils sans quil ne le sache, (voir épisodes précédents), je repense souvent à son corps et surtout à son sexe incroyable avec nostalgie.

Je meurs denvie de connaître à nouveau lextase en chevauchant comme une folle son rostre infatigable.

Lors dun voyage, jai enfin eu loccasion de revoir son engin pendant quil prenait sa douche. La porte, sûrement mal fermée baillait et j’ai pu admirer le corps de mon fils, son sexe en pleine érection.

Je suis restée surprise mais aussi excitée par cette vision qui me rappelle de si bons souvenirs. Jai dû lui amener une serviette et me suis trouvé nez-à nez avec cette excroissance si généreuse chez lui, ne pouvant détacher mon regard de sa queue jusquà ce quil passe la serviette autour de sa taille, elle est repoussée sur le devant par la vitalité de son organe.

Une fois habillé et prêt à partir, il me demanda soudain

— Tu as aimé me voir tout à l’heure ?

Je suis tellement surprise par sa question que je ne trouve quà répondre :

-Oui

Pour ceux qui nauraient pas lu les épisodes précédents, Claude a été bien doté par la nature, trop bien même (Julie ma dit un jour quelle avait mesuré sa verge, un bon 26 cm et dune épaisseur extra-large, de la grosseur dun poignet féminin).

Claude

La seconde fois que je lai provoqué, jétais entré dans la salle de bain dont elle verrouille rarement la porte, complètement nu la découvrant en train de se changer pour sortir, elle était en train de mettre un soutif à balconnet qui comprimait deux magnifiques obus bien ronds (dans les 95D ).

Ses formes magnifiques, ses courbes avantageuses déclenchèrent la réaction attendue.

Ma mère en revanche, fit semblant de ne pas remarquer mon érection puissante…

Bafouillant de vagues excuses, je m’empressais de quitter la salle de bain.

La 3ème fois par une belle journée dété, je décidai de rester nu dans ma chambre attendant sa venue quand elle ne me verrait pas descendre.

Quand elle est entrée, elle est restée un peu surprise sur le pas de la porte.

Je voyais ses yeux qui faisaient des allers-retours de mon engin à mon visage.

Elle mavoua enfin :

— Claude, jai beau être ta mère, je suis aussi une femme et jéprouve du plaisir à regarder un beau jeune homme, mais ne me tente pas en étant nu devant moi, ça devient une habitude.

— Oui mais jaime être nu et nen éprouve aucune honte maman.

— Je suis du même avis que toi mais tu es mon fils et ce nest pas bien de mexciter de la sorte, je ne suis pas de bois !

— Ok je vais essayer de faire attention à lavenir.

— Merci mon chéri.

Dans mon bain, je me suis masturbé lentement, limaginant en train de mencourager :

— (Branle ta queue, caresse-toi les testicules, jouis pour maman, lâche ton foutre !)

Dans un gros orgasme, je me suis vidé dans la baignoire en longs filament blanchâtres.

Le lendemain, je nai même pas eu le temps de me lever. Elle est venue dans ma chambre aux aurores me surprenant encore au lit avec la gaule matinale, la queue gonflée dune érection au maximum de sa capacité.

Elle sest approché du lit et a violemment retiré le drap en mexpliquant:

— Je ne pense plus quà toi, à ta formidable queue, tu mas trop excitée ces derniers jours, je ne peux plus résister à lenvie den découvrir le goût, la force virile qui sen dégage, pardonne-moi mon fils de ce que je vais faire mais il faut que je la touche, que je la caresse !

Je fais lingénu :

— Maman ce nest pas de ma faute si jai une érection le matin comme tous les hommes, tu nas qua pas y faire attention !

— Tu sais, une femme de mon âge na plus souvent loccasion de se trouver en galante compagnie et encore moins dêtre avec un jeune homme aussi bien équipé que toi qui bande comme un dieu !

— Tu es pourtant encore belle et attirante, je suis sûr que tu plais encore aux hommes.

— Je te remercie, tu es un amour mais ce que je vais te demander de la part dune mère est horrible, tu veux bien te branler pour moi?

-Mais oui maman, je ne veux pas te priver de ce petit plaisir.

Je commence donc à me branler, détaillant son corps caché sous son peignoir, observant ses splendides mamelles bien rebondies et le haut de ses cuisses. Je fais durer le plaisir, saisissant ma hampe à deux mains qui montent et descendent avec lenteur.

Elle a posé une jambe sur le bord du lit et son peignoir a baillé me laissant apercevoir sa chatte entourée de poils pubiens comme une île au milieu de locéan.

Elle sest encore rapprochée de moi voyant aux crispations de mon visage que je nen ai plus pour longtemps.

Elle se penche même quand elle voit poindre mon pré-sperme et ne pouvant plus me retenir, jarrose littéralement son visage et sa robe de chambre de ma semence.

Elle me regarde dun regard suppliant puis se penche et prend ma pine en bouche, la nettoyant amoureusement dune dernière pulsion de sperme qui sécoule le long de la hampe avant de me dire :

— La prochaine fois, je veux goûter à ta liqueur.

Je viens de jouir mais ma verge ne veux pas baisser la tête car sa bouche a pris la relève de mes mains et plonge le plus loin possible sur mon gourdin. Maman a beau insister mais ne peut en absorber que la moitié.

Elle se redresse essayant de reprendre tant bien que mal son souffle, son peignoir baille de plus en plus, ne cachant plus grand-chose, je vois ses seins aux bouts durs et dressés.

Je veux voir comment elle va réagir avant que lon aille encore plus loin dans linceste, je vais lui mentir et elle le saura tout de suite puisque ce nest pas la première fois quelle va se faire prendre par moi bien que la première fois je nen étais pas conscient.

— Je suis puceau tu sais, je n’ai jamais fais l’amour avec une femme. Tu veux être mon initiatrice?

Annabelle.

Je suis abasourdie devant sa hardiesse et sa roublardise, mais cette fois j’ai passé le point de non-retour. Ma tête mordonne de cesser mais mon ventre est le plus fort.

Claude me ment mais ne sait pas que je suis au courant de ses frasques dont je suis linstigatrice, avec ma meilleure amie, (si vous voulez en savoir plus, il va falloir lire les épisodes précédents) et encore moins que je me suis déjà enfilé son gourdin par tous les trous possibles.

Il continue ses tentatives dapproche:

— A ce que je peux constater, tu as encore de jolis seins bien fermes, et jentraperçois une belle grosse chatte juteuse.

Je suis soufflée de la façon crue et directe de ses propos.

Il vient de poser son bras sur mon épaule et sa main descend dans léchancrure de la robe de chambre pendant que son autre main en dénoue la ceinture. Il caresse mes seins, jouant avec mes tétons que je sens durcir et sallonger encore.

Je ne bouge plus, vivant pleinement linstant, mon fils est en train de me caresser avec amour la poitrine, une main sur chaque sein, cette situation que jimaginais dans mes fantasmes depuis que jai fauté avec lui la première fois est enfin devenue réelle.

Mon subconscient me dit que cest mal mais les instincts millénaires de femelle en chaleur devant un mâle en rut me forcent à faire cette chose inavouable mais tellement excitante.

Je reste passive, lui laissant prendre la décision pour moi.

Sa main droite glisse de mon sein et descend de plus en plus bas dans une caresse de velours pour finir entre mes cuisses. Ses doigts frottent sur ma vulve, lun dentre eux ségare entre mes grandes lèvres.

— Mais tes toute mouillée, cest normal maman ?

-Cest toi qui me fait cet effet, les femmes mouillent avant lacte sinon ce serait trop douloureux, surtout quand lamant a une grosse verge.

Il membrasse, sa langue lèche mes lèvres, je réponds à son baiser, nos langues sunissent puis reprenant mes esprits, je le repousse en limplorant:

— Arrête maintenant, ce quon fait est mal!

Il me toise, sa main toujours sur ma chatte. Je memporte sachant que je suis sur le point de mabandonner :

— Ne vas-pas plus loin, je ten supplie, jai trop honte !

Il me rétorque :

— Je vois bien que tu en as envie autant que moi, tes seins, ta chatte te trahissent.

Lenvie de sexe que je ressens brise mes derniers remords de mère, je nai plus la volonté de revenir en arrière et me laisse guider par les attentes de mon fils.

Je prends sa bite entre mes doigts et la masturbe lentement. Il bande si dur quils nen font pas le tour, quel gourdin !

Mes deux mains branlent son manche en mouvements circulaires mais elles ne suffisent pas, il y a encore de la place pour ma bouche.

Je lui avoue :

— Depuis que je tai vu nu, je ne rêve que davoir ta grosse queue entre mes mains.

— Elle bande pour toi, fais-en bonne usage !

— Tu aimes ce que maman te fais?

— Oh oui Continue Lèche-moi le gland Suce-moi maman !

Je gobe sa queue pour une longue et douce fellation pendant que mes mains masturbent sa formidable hampe, lui caressant les couilles en même temps.

Claude.

Elle maintient ma verge entre ses doigts serrés et se met à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum, elle suce le bout de ma verge, serrant ses lèvres uniquement sous la couronne du gland, quelle intense ivresse érotique.

Je retrouve les sensations que javais déjà ressenties avec cette inconnue (qui sest révélé être elle), sa façon très reconnaissable de triturer ma queue de ses 2 mains en travaillant de la bouche et des dents sur mon gland me rappelle de si bons souvenirs, je lui caresse les fesses et essaie de lallonger pour la prendre.

Mais elle refuse tout net en me précisant :

— Non Claude ! Je veux bien que tu me caresses et que tu jouisses dans ma bouche mais je nirai pas plus loin avec toi, il me reste un soupçon de dignité quand même !

Et elle fait leffarouchée en plus, la sainte-nitouche ! Je me délecte de ses mensonges sachant bien quelle nattend que ça !

— Ah tu veux mon jus dans ta bouche? Quà cela ne tienne, tu vas être servie! Mets-toi à genoux et viens me sucer !

Je replace ma pine dans sa bouche et la laisse à luvre quelques minutes en linvectivant :

— Tu aimes ça salope hein ?! Elle est bonne la bite à ton bébé ? Bouffe ma queue putain, avale plus loin !

Elle ne peut plus répondre car je la lime jusquà létouffement mais je suis sûr quelle prend son pied. Son massage terriblement voluptueux devient très vite insupportable, mon bas-ventre se contracte annonciateur de la délivrance proche. De temps à autre, elle frappe de sa langue l’extrémité de mon gland accentuant l’exacerbation de mon bourgeon de chair.

Quand je sens venir pour la deuxième fois mon plaisir, je donne encore quelques coups de reins et bloque sa tête pour quelle ne renâcle pas au fond de sa gorge et ouvre lécluse, ma lave brûlante lui inonde la gorge allant directement dans son estomac, elle arrive quand-même à repousser sa tête pour recevoir le reste dans sa bouche, elle est fière ensuite de me montrer le liquide chaud et visqueux qui remplit sa bouche avant de déglutir, elle se délecte on dirait.

Fin de la première partie.

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