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Les tourments de Julie et Carine – Chapitre 2

Les tourments de Julie et Carine - Chapitre 2



Je souris

— Julie, approche. Enlève ton chemisier et ton soutien-gorge

Julie se lève, se met torse nue et vient vers moi.

Je me lève, lui prends ses tétons et m’amuse avec. Elle met d’elle-même les mains dans le dos. Je souris.

— Quand je partirai, Julie, tes tétons seront très douloureux. Je vais jouer très souvent avec.

-J’ai déjà très mal, vous savez. Je n’ai pas l’habitude

— Cela ne fait que commencer

— Faites comme vous l’entendez

Elle bouge son bassin doucement, je continue à triturer, à tourner, à tirer, à les claquer. De temps en temps, elle grimace, son bassin ondulant franchement. En continuant avec Julie je dis à Carine de se mettre nue. Elle sexécute immédiatement.

— Écarte les jambes, prends tes petites lèvres et tire dessus pour bien ouvrir ta chatte.

Je lâche les tétons de Julie au bout de trente minutes. Une tache apparaît sur son pantalon blanc au niveau de l’entre-jambe.

— Mets-toi nue et tu te mets en position comme Carine . C’est la position que vous devez prendre si je ne m’occupe pas de vous.

Je regarde Carine. Elle n’a pas bougé, tire toujours sur ses petites lèvres , elle a toujours sa culotte dans la bouche. Je m’approche d’elle, lui palpe les fesses, les claques de plus en plus fort. Elle a les larmes aux yeux mais ne bouge pas. Je continue, son cul rougit. Je claque son cul plus fort et mon grand étonnement je la vois bouger son bassin.

— Dites donc, toutes les deux, vous êtes deux belles salopes soumises et masos.

Je prends les cheveux de Carine, la force a se mettre à genoux, je sors mon sexe. Je bande depuis un bon moment. Il faut que je me soulage. J’enlève sa culotte de sa bouche. Carine a compris et ne se fait pas prier. Elle me suce.

— Tires plus sur tes petites lèvres, Julie, elles ne dépassent pas assez et approches toi de moi, tu es trop loin.

La fellation que me prodigue Carine est absolument délicieuse, une des meilleurs suceuses que je connaisse. Je tends ma main pour prendre le téton gauche de Julie. Elle pousse un petit cri

— Je te l’ai dit, Julie, tu auras très mal à tes tétons à la fin de la soirée et Carine aura du mal à sasseoir tellement elle aura été fessée. Vous allez vous souvenir de moi, je vous le promets.

Sur ces paroles, j’éjacule dans la bouche de Carine.

— N’avale pas tout, gardes en un peu dans la bouche. Julie, à genoux tête en arrière, bouche grande ouverte.Carine, fait tomber le reste de sperme dans la bouche de Julie.

Elles obéissent à mes ordres sans rien dire. Je ne m’attendais pas à trouver deux soumises aussi obéissantes. Non seulement , elles obéissent mais elles y prennent du plaisir. Je suis épaté même un peu déstabilisé. Je n’en laisse rien paraître.

— Carine, tu téléphones à une boîte à pizza pour qu’il nous livre trois pizzas royales et une bouteille de rouge. La soirée va être longue et il faut se restaurer.

Pendant que Carine téléphone, je m’occupe à nouveau des tétons de Julie. Des larmes coulent sur ses joues mais elle ne dit rien et a mis ses mains dans le dos. Je lâche les tétons, fouilles dans les tiroirs et trouve une règle plate de 50 cm, une en bois carré et des élastiques. Carine est toujours en attente au téléphone, j’en profite pour commencer à la fessée avec la règle plate. Enfin son correspondant est disponible, Carine passe sa commande alors que je continue à la fessée avec la règle sur les fesses, bien sur, mais aussi sur les hauts des cuisses. Cela laisse de belles marques, bien nettes, je tape assez fort de façon à bien la marquer. Une fois fini, elle raccroche, attend, j’arrête de la fessée.

— Ils livreront les pizzas mais ils ne savent pas à quelle heure, ils sont débordés

— Très bien

Je me tourne vers Julie. Elle est position, jambes écartées, petites lèvres tirées. Je m’approche, prend un téton, tire dessus et je mets un élastique en le tournant plusieurs fois pour qu’il sert bien le téton. Je fais de même à l’autre.

— Tournes-toi, écarte tes fesses en te penchant en avant jambes tendues.

Julie se met en position.

— Carine, vient ici et tu prends la même position que Julie.

Dans cette position, je peux voir les deux orifices, la chatte et le cul de chacune des soumises.

Je m’amuse à passer un doigt sur leur fente, à caresser leurs clitoris.

— Mais, c’est que vous mouillez toutes les deux. Je vois vos anus. Il y en a une qui s’est déjà faite enculer, n’est-ce pas?

— Oui, monsieur, c’est moi, répond Julie

— Souvent?

— Oui, assez souvent

— Et toi, Carine, pourquoi ne t’es-tu pas faite enculer?

— J’ai peur et je trouve cela sale.

— Écartez bien vos chattes que je vous baise.

Je sors ma queue et la présente devant la chatte de Julie. Je la pénètre d’un coup, le plus profond possible. Je la tiens par les hanches et la besogne longtemps. Carine ne bouge pas, tient sa chatte ouverte et entend Julie pousser de petits cris à chaque fois que ma queue la pénètre. Enfin je sors de la chatte de Julie pour rentrer dans celle de Carine. Je dis à Julie de tenir ses fesses bien écartées que je puisse l’enculer quand j’en aurais fini avec Carine. Je m’amuse plus longtemps avec Carine, ponctuant mes va-et-vient de claques sur ses fesses. Je sors de la chatte de Carine et présente ma queue devant l’anus de Julie.

Je pousse doucement, je vois l’anus s’ouvrir, mon gland passer, je ressors pour entrer de nouveau, l’anus s’ouvre complètement, ma queue rentre doucement. Je commence à bouger doucement. Julie soupire d’aise. Elle me demande si elle peut se caresser, je l’autorise. Je dis à Carine de tenir ses fesses écartées qu’elle se fera elle aussi enculer. Elle ne proteste pas et écarte ses fesses. Julie bouge de plus en plus, et elle pousse un cri. Julie jouit bruyamment. Une fois qu’elle a fini de jouir, je me retire de son cul et j’attends un peu.

Quelques minutes après, je demande à Julie de lécher le cul de Carine, de bien baver dessus et dedans. Julie sexécute, elle lèche, rentre la langue dans l’anus, bave. Je lui dis de s’arrêter. Je présente ma queue devant l’anus tout luisant de Carine, donne un claque sur ses fesses en lui disant de se détendre, je force doucement, lentement, en appuyant, me retirant. Je recommence plusieurs fois comme cela jusqu’à ce que le sphincter s’ouvre de lui-même, enfin mon gland passe. Je rentre doucement sans forcer. Ma queue glisse facilement. Voilà, je suis entièrement en elle. Carine ne dit rien, ne bouge pas, supporte cette sodomie. Je commence à bouger de plus en plus vite et je me vide dans le cul de Carine. Je me retire bandant encore. Quand Carine se remet droite et se tourne vers moi, elle a les larmes aux yeux. Elle se met immédiatement en position d’attente sans rien dire.

Je les regarde toutes les deux. Elles sont bien marquées. On sonne

— Carine, passe ta robe et va ouvrir. Cela doit être les pizzas.

Carine sort du bureau et va ouvrir au livreur. Sa robe arrive à mi-cuisse et cache à peine les marques qu’à laisser la règle. Elle revient avec la facture. Avant que je ne dise quoi que ce soit, Julie a fait signe à Carine de prendre l’argent dans son sac.

— Carine, en guise de pourboire, tu le suceras mais tu n’avales pas, tu gardes dans la bouche. Tu laisses la porte du bureau entrouverte.

Je m’approche de Julie.

— Je vais te retirer les élastiques, il faut que le sang circule.

On entend une conversation dans la pièce à côté et puis plus de bruit. J’enlève les élastiques, Julie grimace. Je prends les tétons entre les doigts et les triture très légèrement pour faire circuler le sang.

Julie gémis. On entend la porte se fermer. Carine revient avec les pizzas, la bouteille de vin. Elle ferme la bouche. Je la regarde tout en mamusant avec les tétons de Julie.

— Ouvre la bouche.

Carine ouvre grand la bouche. Elle est pleine de sperme.

— Joli pourboire. Avale tout.

Carine avale.

— Mais dis donc, cela fait longtemps que tu n’as pas joui?

— Oui, monsieur, mais ce n’est pas grave. Vous m’avez déjà fait jouir et je suis très heureuse ainsi. Monsieur, il faut que j’aille aux toilettes.

— Vas-y. Tes intestins vont s’en remettre.

Je ris.

— Et toi, Julie, nettoie ma queue, vos culs n’étaient pas très propres.

Julie s’approche, regarde ma queue qui a quelques traces brunâtres. Elle ouvre la bouche, tire la langue et commence à les nettoyer. Elle fait le tour de ma queue, passe la langue partout, la nettoie entièrement. Elle relève la tête, me regarde.

— Voilà, votre verge est propre, monsieur.

— Alors rentre là dans mon pantalon.

Carine revient des toilettes toujours avec sa robe. Elle l’enlève et se met en position d’attente.

— Allez, mangeons

Nous nous installons, Carine et Julie sont assises en face de moi, nue. En les regardant, je m’aperçois qu’elles n’ont presque aucune marque sur les seins, le ventre. Nous mangeons sans parler. J’ouvre le vin, heureusement que j’ai toujours un couteau avec tire-bouchon sur moi.

Je m’approche de Julie, elle tend son verre. Je lui sers du vin tout en tordant un téton. Elle crie. Je vais servir Carine et m’amuse à pincer un téton avec les ongles. Elle ne dit rien. Je regarde l’heure, il se fait très tard et demain, il faut que je me lève très tôt. Nous finissons de manger.

— Bien, je vais devoir partir, mettez-vous en position d’attente.

Elles se mettent en position. Je mapproche d’elles. Je prends les tétons de Julie, les pince très fort, les tourne dans tous les sens, les frappes en chiquenaude, elle gémit, des larmes coulent et elle finit par vraiment pleurer.

Je m’approche de Carine, lui dit de se tourner. Je prends la règle et commence à frapper ses fesses, ses cuisses sur toute la longueur. Ses fesses et ses cuisses deviennent très rouges. Quand j’entends des sanglots, j’arrête.

Je les regarde

— Voilà, la séance est terminée. Vous allez pouvoir retourner à la vie normale.

Julie et Carine ont repris la position d’attente tout en sanglotant doucement

Je continue

— Je vous l’avais promis. Je suis sur que vous vous souviendrez de moi quelque temps.

— Oui, monsieur, répondent en chur Julie et Carine

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