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Les vacances à la Bastide – Chapitre 1

Les vacances à la Bastide - Chapitre 1



Encore quelques jours, et la cloche du lycée sonnera le glas de cette année de cours. Les filles comptent bien profiter de ces deux mois de vacances avant de partir à la fac. En attendant, pour ce dernier week-end avant les vacances, elles sont réunies autour d’une table pour un après-midi «crêpes». Les filles sont Éloïse et Émilie. C’est Émilie qui invite. Les filles sont les meilleures amies depuis aussi longtemps qu’elles s’en souviennent. Elles profite de cet instant, entre crêpes, nutella et rires. Présent avec elles pour ce moment gustatif, il y a Paul, le petit frère d’Émilie. Il a deux ans de moins, et si tout se passe bien, il passera de la seconde à la terminale. Dans sa mémoire, Paul a toujours eu souvenir de voir sa sur et Éloïse ensemble. Alors que les discussions, rires, blagues s’enchaînent, la sur prend la parole.

          – Éloïse, ça te dirait de venir avec nous cet été quinze jours en vacances à la Bastide ?

          – Oh comme quand on  était petites ? Mais on sera pas trop nombreux ?

        – Non pas du tout, mes parents nous laissent seuls, avec Paul et mes deux autres frères Jules et Mathis. Je joue à la maman à mon grand déplaisir cet été, explique d’un ton mélancolique Émilie.

        – Je m’en rappelle de ces étés magnifiques là-bas avec tes frères et tes parents. Hein Paul ? Tu t’en souviens, que tu étais jeune, et que tu te lavais tout nu dehors ??? Éloïse regardait d’un air taquin le petit frère.

         – Ne te moque pas, il continue à mon grand désespoir, répondit Émilie. Comme si il avait encore l’âge de montrer sa bite à tout le monde. Bon alors tu viens ? Ne me laisses pas seule, répondit Émilie.

         – Bon ok je viens alors.

C’est comme ça que Éloïse et Émilie planifièrent leurs vacances. Bien sûr, pour cela encore fallait-il qu’elles aient leur bac, mais ce fut chose faite pour les deux.

La Bastide est la résidence secondaire de la famille de Paul et Émilie. Une vieille ferme isolée sur une colline d’Ardèche, où l’on ne croise jamais personne. Il n’y a pas même l’eau courante. Seul depuis quelques années, un panneau photovoltaïque est installé sur le toit pour fournir le minimum d’électricité afin de voir les lumières allumées et de faire fonctionner le frigo. Pour le reste, rien n’a changé. Pas de douche non plus dans cet endroit exigu. Dehors sur la terrasse, un vieux puits fonctionne avec une pompe manuelle. Il sert à s’alimenter en eau potable la Bastide et à se laver. En effet, un tuyau a été fixé dessus, et les enfants comme les parents s’y lavent ainsi. Avec l’aide bien sur d’une tierce personne pour actionner la pompe. Aux yeux de tout le monde, ou plutôt de personne, vu que cet endroit est entièrement isolé. Ce sont ces souvenirs qui sont remontés à la surface d’Éloïse pendant l’après-midi crêpes. Elle se remémorait les matins où Paul accompagné de Jules se lavaient dans le plus simple appareil pendant que les filles profitaient du soleil.Mais ils étaient bien jeunes à cette époque là. Mathis n’était pas encore né. Jules n’a que dix ans et Mathis va sur ces trois ans. Ces souvenirs remontent à six ans en arrière.

La Bastide, cette vieille ferme aux pierres nues, est le chantre des cigales. On y accède par un vieux chemin communal tout juste assez large pour l’emprunter en voiture, à la sortie d’un lieu-dit situé à deux kilomètres, lui même situé à trois kilomètres du premier village. Dans cette ferme, située au rez-de chaussé, se trouve la salle de séjour, avec dans un coin l’évier sans eau. Dans l’autre coin, la cheminée qui ne sert jamais l’été puis l’escalier qui monte à l’étage. Et à cet étage, deux petites chambres aménagés. A l’époque, les filles pour avoir leur indépendance dormaient dans le jardin dans une tente. Mais cette année, elles ont prévues de dormir dans la chambre des parents. Les trois frères dormiront ensemble. Dehors, en plus du point d’eau, des toilettes à l’ancienne sont installées dans un endroit à l’écart derrière la bâtisse, pas loin du potager. Un chemin en pierres sèches  y conduit depuis la terrasse.

Les voilà donc arrivés au bord de la vieille voiture d’occasion d’Émilie en ce soir d’été. Il était tant, la voiture commençait à montrer des signes de fatigue. Tout comme Mathis, le plus jeune de la fratrie, qui s’est endormi à l’arrière du véhicule. Jules s’occupe de sortir du véhicule son jeune frère endormi et de l’y conduire dans son lit pendant que Paul, Éloïse et Émilie déchargent les affaires. Tout le monde est content d’être enfin parvenu à la Bastide.

        – Bon le planning de ce soir est assez simple. On mange, on range puis au lit, expliqua la sur aînée Émilie.

 

        – Après une salade de tomate consommée, les garçons se retrouvèrent dans leurs chambre et les filles aussi.

Alors que Éloïse et Émilie prenaient possession de la commode pour ranger leur linge, Éloïse toute inquiète lâcha une phrase.

      – Oh flûte, j’ai oublié mon maillot de bain. Comment je vais faire pour me laver devant tout le monde ?

      – T’inquiètes pas, j’ai pris un autre maillot en plus de mon habituel, commenta d’un air rassurant Émilie.

 

C’est ainsi que les filles se couchèrent dans cette vieille ferme, même si Éloïse n’était pas pour autant rassurée. Sa poitrine faisait deux tailles de bonnet de plus que sa meilleure amie. En plein été, La Bastide était un vrai four. Et c’est légers que tous les protagonistes s’endormirent dans ce lieu de rêve.

Les cigales qui chantent, le soleil qui tape déjà à travers les volets et l’odeur des lavandes qui parfume à des lieus. Pas de doute, cette première matinée de vacances débute fort bien. Éloïse se réveille. Elle a passé une bien belle nuit. Munie de sa nuisette bleue marine, qui lui arrive au genoux, elle descend vers la terrasse prendre son café. Elle s’aperçoit que la maison est vide et tout le monde est déjà réveillé. Elle entend des rires dehors, proches de la terrasse. Elle regarde sa montre, il est près de dix heures.   

Elle sort rejoindre sa meilleure amie qui prépare le petit-déjeuner sur la table. Au menu : croissants, jus de fruit, café et cacao pour les plus jeunes.

A son grand étonnement, lorsqu’elle tourne la tête, elle remarque les garçons prendre la douche. Les deux petits sont nus -rien de plus normal- sauf que le grand frère aussi, aujourd’hui adolescent ou plutôt jeune adulte  est dans son plus simple appareil.

            – Oh Salut Éloïse! Bien dormi ? Lui-questionne-t-il.

            – Je m’attendais pas à ça de bon matin, rigole-t-elle.

 

C’est vrai que Paul a changé. Il n’est plus cet enfant nu qui jouait le plus innocemment possible. Aujourd’hui c’est un homme et un bien bel homme. Elle ne peut s’empêcher de le mater. De ses un mètre quatre-vingt-cinq, il est très mignon en tenue d’Adam. Il est châtain comme sa sur. Sans être trop musclé, il est assez sec mais taillé avec les muscles qui ressortent. Il a bien grandi tout comme son sexe qu’elle ne peut manquer. Sans être extraordinaire, il est de longueur moyenne mais plutôt large en apparence. Il est entouré de poils pubiens châtains laissés en jachère. Il tient la pompe tout en s’amusant avec ses deux frères. Ce sexe balance au rythme de ses chamailleries. Il a de très jolies fesses également, parfaitement galbées et musclées.  Il y a encore quelques jours, elle ne s’imaginait pas le revoir nu, lui devenu adulte, et qu’elle croise régulièrement au lycée.

            – Eloise, tu peux me la tenir et pomper que je puisse me laver ?

            – Heu… te la tenir et pomper quoi ? Questionne la meilleure amie de sa sur, perdue dans ses rêveries…

            – Beh la pompe. J’aimerai quand même avoir le temps de me laver avant que le petit-déjeuner soit servi !

            – Oui dépêchez-vous renchérit la grande sur Émilie. C’est bientôt prêt et après ça sera froid.

            – Ok, je viens vous aider.

C’est ainsi que Éloïse vint aider les garçons à se laver. D’où elle était, elle ne pouvait pas s’empêcher de reluquer Paul ainsi nu. C’était la deuxième fois qu’elle voyait un garçon nu. La première fois c’était avec son copain qui l’avait largué depuis quelques mois. Mais lui avait alors un sexe bien plus petit.

            – A Taaaaaaaaaaableeeeee !

            –  Attends on va s’habiller Emilie !

            – Non après Paul. Venez prendre le petit-déjeuner, sinon ça sera froid après.

C’est ainsi que les garçons prirent place dans le plus simple appareil autour de la table. Paul était assis juste à côté d’Éloïse, afin qu’Émilie puisse être entourée de ses frères pour s’en occuper le plus convenablement. Éloïse ne manqua pas de laisser son regard glisser jusqu’à ce joli sexe plus d’une fois.

Une fois les forces prises, il fut convenu que les filles monteraient à l’étage se préparer et enfiler leurs maillots pour prendre leurs douches, pendant que les garçons débarrasseraient. Ce fut chose faite.

A l’étage les filles enfilaient alors leurs maillots. Émilie avait mis le sien. Un maillot deux pièces qui mettait en exergue sa petite poitrine plutôt menue. Émilie était châtain comme son petit frère. Elle avait donc refilée son second maillot à son amie.

          – Tiens enfile ça !

          – Tu es sûre que ça m’ira ? Je veux pas faire craquer ton maillot. Quelle idiote je fais moi aussi, d’oublier le mien.

En disant ces mots, Éloïse topless, contemplait ses seins nus devant la glace. Ils étaient beaux. Éloïse a le teint mat et des yeux verts avec un visage fin. C’est une brune ravageuse avec des seins assez imposants en forme de pommes. Le bas du maillot lui allait un peu juste. Il faut dire qu’Émilie est plutôt menue. Les lèvres rasées d’Éloïse ressortaient et derrière le maillot lui rentrait dans les fesses.

Elle essaya enfin le haut du maillot. Malgré plusieurs tentatives, les seins débordaient. Éloïse fut donc prise d’un four rire nerveux.

          – Je peux pas sortir comme ça Émilie ! Mes seins dépassent du maillot. Je suis presque à poil là !

          – Je sais bien mais j’y peux rien. Fallait pas oublier ton maillot…

Les auréoles brunes et larges d’Éloïse dépassaient du maillot sur un bon centimètre. Les filles descendirent les escaliers pour aller se laver à leur tour. Elles y croisèrent Paul, nu, qui retournait dans sa chambre pour s’habiller.

          – Oh frérot, encore la quéquette à l’air libre ? Allez, dépêche toi de t’habiller, on a besoin de toi pour nous tenir la pompe.

          – J’arrive les filles.

Éloïse vit que le regard de Paul s’était posé sur sa poitrine qui débordait du maillot. Quand il se retourna, elle ne put s’empêcher de lui poser une claque sur les fesses.

          – Allez le naturiste ! Enfile tes vêtements, dit-elle.

Émilie regardait mi-choquée et mi-amusée sa meilleure amie qui venait de tapoter les fesses nues de son petit frère. Personne ne dit rien et tous s’attelèrent à leur tache.

C’est à dire que les filles attendaient en maillot devant la pompe, et rapidement Paul les rejoignit habillé pour actionner la pompe. L’eau de source était froide. Les filles s’astiquaient. Paul n’arrêtait pas de contempler Éloïse avec un sourire taquin.

Au bout d’un moment elle lui fit remarquer !

            – Pourquoi tu me fixes en rigolant ?

            – Pour rien… enfin si… Tu as les seins qui dépassent !

            – J’y peux rien, j’ai oublié mon maillot et ta sur m’a prêté le sien, mais il n’est pas à ma taille.

 

En disant ces mots, elle regardait machinalement sa poitrine. Le sein gauche avait le téton durci par la froideur de l’eau et sortait entièrement. Elle le savonna alors assez langoureusement et pinça même ce téton qui pointait orgueilleusement  devant Paul qui ne manquait rien à la fête. Puis elle sortit du bonnet le sein droit pour faire pareil. Elle était topless. Elle se retourna alors vers Émilie qui ne manquait rien des beaux seins nus de sa meilleure amie. A présent Éloïse présentait ainsi son derrière à Paul. Le maillot rentré dans les fesses, faisait alors plus penser à un string qu’à autre chose. Elle était belle et elle le savait.

Elle finit de se laver ainsi avec sa meilleure amie qui ne manquait pas de lui lancer des regards interrogateurs sur son petit jeu.

Mais Éloïse, s’en fichait. Elle était bien ainsi, à exhiber ses seins puis ses fesses à Paul. Elle comprenait que se montrer nue devant lui était un jeu plutôt excitant à leur âge, et qu’il en avait sûrement été de même pour Paul lorsqu’il avait été lui aussi nu…

Les vacances débutaient bien !

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