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l'esprit de famille – Chapitre 2

l'esprit de famille - Chapitre 2



La vieille demeure est le théâtre de scènes brûlantes et torrides. Dans le premier chapitre de L’ESPRIT DE FAMILLE, les cousins se sont livrés avec bonheur à des jeux entre garçons. Le second chapitre de L’ESPRIT DE FAMILLE, parle de la sensibilité féminine et décrit les liens unissant les deux cousines.

Jeanne et Lucie ont scellé leur rencontre amoureuse par un long baiser de leurs deux vulves. Les deux sexes parfaitement épilés, mouillés, se mélangent dans de doux et chauds effluves marins. Les bouches gourmandes des deux filles, langues enroulées, se cherchent, se découvrent, s’explorent. Il y a, dans cette première étreinte passionnée, la promesse de joies futures. Sillons et orifices intimes sont dévoilés, mis à jour. Tout participe à la fièvre : ivresse des sens, délicieux frissons et contact des peaux. C’est le vertige de deux filles qui savent qu’elles vont se faire jouir.

Jeanne est couchée sur le dos, cuisses ouvertes et jambes repliées sur celles de Lucie. Celle-ci ondule, bouge, se frotte, se colle à son corps, tentant de pénétrer le pubis de son amante. Les mains fines de Jeanne sont sur le dos de Lucie, ses cuisses, ses fesses. Elles les parcourent, les palpent, s’attardent dessus, les écartent ; rondeur et beauté d’un petit cul bien ferme Ses longs doigts effilés glissent entre les globes, s’arrêtent sur son illet. La vague les emporte, les transporte. Les deux chevelures se mêlent en une cascade blonde, ruissellement vaporeux. Soupirs et gémissements s’élèvent du lit recouvert d’un drap rose. Les deux strings noirs encore humides semblent échoués sur le grand tapis aux motifs orientaux ; un peu plus loin, ce sont les deux soutien-gorge. Jeanne murmure, chuchote des mots tendres, crus, terriblement excitants à l’oreille de Lucie, attisant le feu qui couve au creux de ses reins. C’est si bon de faire courir ses doigts sur le minou, de jouer avec le clito, de goûter la saveur des seins, den mordiller les adorables pointes durcies Faire l’amour entre filles est un délice, et encore plus entre cousines.

Lucie change de position ; elle offre son sexe et son petit cul aux baisers soyeux de Jeanne. Le 69 qui sensuit les laisse éblouies, haletantes. Elles se font chattes, miaulant amoureusement, savourant la délicatesse des liquides féminins. Elles se gorgent de plaisir, de volupté, de cette ivresse partagée.

Plongeant une main sous le lit, Jeanne attrape un sac en cuir, l’ouvre et tend à Lucie un gode-ceinture. Elle veut se faire prendre, être pénétrée.

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La nuit est maintenant tombée sur la vieille demeure familiale. Plongée dans la pénombre, la chambre est juste éclairée par quelques bougies. Des bâtonnets d’encens diffusent un lourd parfum de santal, conférant à la pièce une ambiance recueillie. On distingue à peine, suspendus aux murs, les tableaux peints par la main de Jeanne : nus féminins aux pauses lascives, corps de femmes enlacés, visages dans l’extase.

Trônant sur une estrade au fond de la chambre, le nouveau triptyque de Jeanne, intitulé « Jeux de domination » émerge de l’obscurité, pris dans le faisceau de projecteurs miniatures, dévoilant des scènes d’un érotisme puissant, débridé. Images hyperréalistes et flamboyantes de corps en quête de plaisir, en quête de jouissance.

Peints avec beaucoup de maîtrise, les deux mêmes personnages représentés sur chacun des trois volets semblent vivants, tant leur présence capte le regard, l’attention.

Sur le premier tableau de gauche, une jeune femme blonde aux longs cheveux vaporeux, hanches étroites, seins et petit cul moulés dans des sous-vêtements noirs brillants, pratique une fellation gourmande, courbée sur le pénis en érection d’un transsexuel. La tension du trans est visible, la montée du plaisir est palpable. Yeux mi-clos, bouche entrouverte sur une plainte muette, on entend presque ses gémissements, ses râles. Des pinces munies d’anneaux pendent à ses seins ; un large bracelet en métal lui enserre les testicules ; une tige se perd entre ses fesses, sans doute un crochet anal. La scène en est saisissante de réalisme.

Les deux autres parties du triptyque montrent le couple en plein jeu et acte sexuel. Le panneau central représente la blonde, totalement nue, assise et empalée sur le pénis de son partenaire couché sur le dos. Ses mains pétrissent la poitrine de son amant aux traits féminins tandis que celui-ci paraît guider celle qui le chevauche, un martinet dans une main. L’émotion se lit sur les visages des deux acteurs en pleine excitation.

Le troisième volet est une scène de flagellation. La blonde, un harnais de cuir autour des reins, s’apprête à fouetter la superbe croupe offerte de son partenaire. Celui-ci est attaché par les poignets à une poutre ; des sangles emprisonnent ses chevilles, et des poids sont suspendus à ses testicules. Au sol, devant lui, on peut distinguer la tache plus claire d’un liquide. Un cri de plaisir semble s’échapper de ses lèvres ; une grimace de jouissance déforme ses traits. Son membre en érection est tendu à se rompre…

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Le silence nocturne est entrecoupé de soupirs, de gémissements, de paroles fiévreuses. Un gode-ceinture autour de la taille, Lucie pénètre sa cousine. Vision troublante de ce sexe masculin, noir luisant, qu’elle porte au-dessus de son pubis. À chaque coup de reins, le pénis s’enfonce un peu plus entre les cuisses de Jeanne, l’écartelant, la clouant de plaisir. Les seins brûlants des filles se touchent, se frottent ; contact délicieux, danse sexuelle, petits culs qui roulent et se déhanchent. Le rythme s’accélère ; les deux filles s’agrippent, se cabrent dans une tension de plus en plus forte.

Jeanne connaît un premier orgasme ravageur et sonore. Ses ongles griffent, labourent le dos de Lucie, sa voix monte dans les aigus. Elle jouit ; de longs spasmes de plaisir la secouent. Tête rejetée en arrière, elle crie ; hululements qui se prolongent pour s’achever dans un sanglot. L’incendie de son sexe laisse échapper une écume abondante, arrosant de cyprine le bas-ventre de Lucie déjà bien trempé.

À présent, pour que la pénétration soit partagée, un double dong vient remplacer le gode-ceinture. C’est un objet superbe en métal lourd, large de 4 cm et long de 40 cm. Avec délice, Lucie s’empale dessus, la moitié du gode disparaissant dans son sexe, comme avalé, aspiré. Quel bonheur d’être ainsi prise ! La présence dans sa chatte la met au supplice ; gémissante, elle bredouille, appelle, implore.

Jeanne s’enfonce en elle l’autre moitié du gode à deux têtes. Maintenant unies, reliées, les cousines se chevauchent dans un corps-à-corps éblouissant. Le va-et-vient formidable les emporte, peau contre peau, pubis contre pubis, bouches et langues mêlées. Les souffles se font courts, saccadés. L’étreinte se prolonge, se transforme au gré du courant, vague ondulante qui peu à peu enfle et vient éclater, les cueillant sur une crête. L’orgasme qui les submerge les surprend, balaie tout dans une déferlante de jouissance. Elles ont mélangé leurs voix, leurs respirations et leurs liqueurs intimes.

Jeanne ressort la première de cette tempête, visage illuminé, une lueur sauvage dans ses yeux clairs. Elle repense au spectacle brûlant de la veille, la projetant dans un nouvel abîme de désir, de luxure. Elle se revoit, ouvrant la porte de la chambre de son frère Rémi, découvrant une scène hallucinante : les trois garçons et cousins en pleine séance de sodomie. Il y avait là les deux frères de Lucie, Paul et Cyril, les garçons entièrement nus formant un trio mouvant, emboîtés les uns dans les autres. Rémi, le frère de Jeanne, pris en sandwich, sodomisant Paul et se faisant sodomiser par Cyril ; spectacle pour le moins inattendu

Jeanne repense également à son initiation au plaisir féminin par Alice, sa tante, la plus jeune sur de sa mère.

Elle avait reçu en cadeau pour ses 25 ans un ensemble string et soutien-gorge ouverts en vinyle rouge ainsi que des bas résille et un porte-jarretelles. Le soir dans sa chambre, fébrile, elle s’était déshabillée face au miroir et avait essayé les sous-vêtements. Jeanne en avait eu le souffle coupé ; un trouble puissant s’était emparé d’elle en contemplant son reflet. L’image d’une jeune créature blonde et terriblement sexy vêtue de cette matière brillante. Cétait comme une deuxième peau, faisant ressortir ses formes, ses seins qu’elle aimait caresser, ses fesses. Son entrejambe était humide. Elle navait pu s’empêcher de glisser une main sous le string, introduire un doigt dans sa fente et se masturber jusqu’à l’orgasme tout en pensant avec fièvre à sa chère tante.

Une lettre d’Alice accompagnait le colis, lui promettant de fêter son anniversaire lors de sa venue. Elle lui montrerait certaines pratiques qu’elle affectionnait particulièrement. Cela demandait de prendre le temps et de ne pas être dérangées. Elle poursuivait sa lettre en exprimant sa joie de recevoir prochainement sa jolie nièce dans sa propriété, à l’abri des regards indiscrets.

Depuis plusieurs années, Alice avait l’habitude de rendre visite à Jeanne, passer de longs moments avec elle dans sa chambre, lui faisant de nombreuses confidences sur sa vie privée, ses conquêtes, ses amants hommes et femmes. Elle l’avait déjà caressée à plusieurs reprises, le soir, dans la chambre de l’adolescente. En déshabillé, assise sur le lit de sa nièce, elle glissait une main sous le drap et caressait les jeunes seins, le ventre et les cuisses pour le plus grand plaisir et le trouble de la jeune fille. Leurs deux bouches s’étaient naturellement trouvées, unies dans de longs baisers, lèvres entrouvertes, langues mêlées. Une nuit, Alice avait rejoint sa nièce dans son lit, ne portant qu’un string et soutien-gorge en dentelle noire.

La main de la jeune femme s’était glissée sous la petite culotte rose déjà bien humide de la jeune fille. Il s’en était alors suivi une première initiation, un apprentissage de l’amour, geste et caresses, baisers fiévreux. La bouche gourmande d’Alice goûtait aux seins de la jeune fille ; sa langue parcourait le ventre et cuisses de Jeanne, sa fente recouverte d’une courte toison blonde, écartant avec bonheur les lèvres vaginales ; contact de la langue sur son bouton de rose Puis, explorant son adorable petit cul, elle avait écarté délicieusement les deux globes pour s’attarder sur le sillon et jouer avec le petit trou.

Guidée par sa tante, Jeanne apprenait vite et montrait des dispositions pour les jeux amoureux, les étreintes brûlantes.

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S’extirpant des cuisses de Lucie, reprenant sa respiration, Jeanne se couche sur le ventre et présente son petit cul à sa cousine. Elle l’invite à la sodomiser et désire faire de même. Etourdies de volupté, les deux filles se caressent longuement le dos, les cuisses, les fesses. L’anus de Jeanne est visité par un doigt d’abord timide de Lucie qui, petit à petit, se fait plus présent, plus pénétrant. Jeanne en profite pour également investir l’illet de sa cousine qu’elle lèche avec gourmandise, en connaisseuse. Sa bouche prend possession de la croupe, du sillon et du chemin creux conduisant à l’adorable petit trou plissé. Lucie pousse des gémissements, mouillant abondamment le drap. Sa rosée coule sur les doigts et sur la langue de sa cousine. Sous la pression délicieuse de cette langue fouineuse et chaude, Lucie s’ouvre peu à peu, envieuse de sentir entre ses reins un objet plus gros.

C’est le double dong en métal encore un cadeau de sa tante que Jeanne exhibe et présente avec fébrilité à sa cousine. Une fois léché, copieusement enduit de salive, elle l’enfonce entre les reins de Lucie, provoquant de longues plaintes ; puis à son tour, elle sempale par l’anus.

Les deux cousines entament alors un long fesses-à-fesses, les bassins avançant et reculant alternativement. Elles ont chacune glissé une main entre leurs propres cuisses pour se masturber.

Les voix se font rauques, appels et râles entre torture et plaisir, entre supplice et ravissement. Une torpeur sexuelle les enveloppe, les inonde. Elles chavirent, basculent dans un océan de plaisir ; elles se noient dans une volupté prodigieuse. Le temps semble s’arrêter, comme suspendu. Les deux filles étanchent leur soif, s’abreuvant à la fontaine radieuse d’où jaillissent bientôt des orgasmes multiples. Elles jouissent dabord séparément, puis toutes deux ensemble à plusieurs reprises. Les deux cousines n’en finissent pas de gémir, de jouir ; feulements, appels et sanglots de bonheur

Les premières lueurs de l’aube les surprennent agonisantes, gorgées de plaisir, de sexe et d’extase. L’air de la chambre est saturé de l’odeur de deux femelles en chaleur.

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