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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 7

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. - Chapitre 7



Dans leurs différents tête-à-tête, il avait réussi à lui faire pratiquement tout, il ne lui restait plus que la sodomie, mais il prenait son temps pour cette dernière demande et n’avait donc pas encore tenté quoi que ce soit de ce côté-là.

Leur premier weekend fut agréable et elle se libéra bien plus qu’il ne l’imaginait à l’époque.

En arrivant au relais château, Chantal fut surprise, mais elle ne laissa rien apparaitre. Sa surprise n’était pas le charme des lieux, mais le lieu lui-même, c’était le même hôtel que sa première escapade avec Franck.

Elle se souvenait très bien de l’endroit et fût troublée de se retrouver là avec Marc. Elle ne fit rien voir et se décida à ne pas dire à Marc qu’elle était déjà venue ici avec Franck.

Marc s’amusait de la situation. Il savait déjà, bien entendu, qu’elle était déjà venue avec son époux. Il le savait, non pas parce que Franck lui avait dit, mais parce que c’était lui, Marc, qui avait trouvé et réservé l’hôtel pour les 2 tourtereaux.

 Chantal ne l’avait jamais su.

Franck avait tout raconté à Marc en rentrant, il lui avait même montré quelques photos de Chantal, des photos prises à l’insu de son épouse. Aucune en « action » mais quelques-unes d’elle en nuisette et une en sous-vêtement.

Marc avait poussé le vice jusqu’à réserver la même chambre.

Chantal, reconnu aussi la chambre, elle n’avait pas changée. Elle se garda encore une fois de dire quoi que ce soit à Marc.

Il s’amusait d’elle. Il lui avait demandé de prendre sa plus belle nuisette, elle regretta presque en voyant où elle se retrouvait d’avoir prise la nuisette qu’elle avait mise à l’époque pour cette escapade avec Franck.

Elle ne l’avait pas choisie parce que c’était la seule véritable nuisette « coquine », les autres étaient quelquefois sexy, mais jamais « coquines » et elle savait que Marc en disant « sa plus belle » voulait dire sa plus « coquine ».

Elle avait hésité, car c’est Franck qui lui avait offert, mais finalement c’était dit que Marc ne saurait jamais.

Elle ne la portait qu’en de rares occasions et jamais depuis la mort de son mari.

Ce qu’elle ignorait, c’est que cette nuisette, c’est Marc qui l’avait choisi.

A peine furent-ils dans la chambre que Marc attira Chantal vers le lit. Il la caressa la déshabilla et s’écarta d’elle.

–    Ne bouge pas, j’arrive.

Elle ne bougea pas, il se dirigea vers sa valise, l’ouvrit et en sorti un Reflex.

–    Que fais-tu ?

–    Rien ma belle

Il commença à la photographier. Elle se protégea tant bien que mal derrière ses bras, mais il continuait à la mitrailler.

En même temps qu’il la photographiait, il s’approcha d’elle.

–    Pose plutôt que de faire l’idiote là.

Elle le regarda vexée.

–    Je ne fais pas l’idiote et arrête de me prendre en photo.

–    T’aime pas les photos ?

–    De moi, nue, non !

–    Ok,

Il  recula en prenant en prenant encore quelques clichés, puis se baissa vers la valise de Chantal et y sortit sa nuisette.

–    Met-ça alors.

Il lui jeta la nuisette et recommença à la mitrailler.

–    Mais il est à peine 16h00 ?

–    C’est pour que tu ne sois plus nue et que je puisse te prendre en photo.

Elle protesta encore un peu, puis céda. Il continuait à la photographier pendant qu’elle s’habillait de sa nuisette.

Il la dirigea ensuite vers le fauteuil de la chambre, celui-ci se trouvait à l’extrémité de la pièce, bien loin du lit.

On frappa à la porte.

–    Entrez

Cria Marc.

Chantal voulait protester et se diriger vers la salle de bain pour s’y cacher, mais Marc était sur son passage et d’un seul regard lui  fit comprendre de rester là où elle était.

Un employé de l’hôtel entra avec un petit chariot qui contenait une bouteille de champagne dans un seau à champagne, un plateau de quelques petites viennoiseries et de 2 coupes.

Marc demanda au serveur de déboucher le champagne.

Puis se tournant vers Chantal, il lui demanda de lui donner le portefeuille qui était dans sa veste.

Celle-ci était posée sur le dossier d’une chaise à quelques pas du fauteuil. Chantal hésita. Devait-elle se lever et se diriger vers la chaise ?

La nuisette était transparente.

Elle connaissait Marc, il était tout à fait capable d’attendre aussi longtemps qui faudra le serveur ne savait trop ou regardait et il était plus gênait qu’amusait. Il cherchait à regarder ailleurs que vers Chantal, mais il ne pouvait s’empêcher de jeter de petits regards curieux vers elle.

Elle se leva, prit le portefeuille et le donna à Marc.

Le serveur parti, Chantal fit une scène à Marc, celui-ci l’écouta sans rien dire puis pris une coupe lui donna, prit la seconde et la leva.

–    A nous et à ce weekend !

Elle hésita, leva son verre vers lui, mais sans rien dire.

Après avoir bu leur coupe, Marc se mit nu et s’allongea sur le lit.

–    Vient

Elle s’approcha de lui sans rien dire. Il tapota sur le matelas. Chantal vint le rejoindre dans le lit, il s’approcha d’elle et commença à la caresser.

Elle était allongée sur le dos, passive et silencieuse. Marc glissa sa main entre ses cuisses.

–    écarte-les !

Chantal, toujours muette et passive écarta ses jambes comme il le demandait. Il se glissa entre ses cuisses et commença à la lécher.

Rapidement Chantal céda, elle ne pouvait plus résister et rester insensible. Il avait le don d’éveiller ses sens, même contre sa volonté.

Après l’épisode de cette exhibition forcée, elle avait décidé de se montrer « froide ». Mais sa résolution venait de fondre, il n’avait fallu pour cela que quelques coups de langues bien placés.

Elle n’avait pas encore joui, mais elle en était proche. Il s’écarta d’elle, approcha ses lèvres de la bouche de Chantal et l’embrassa. Elle s’attendait à qu’il s’allonge sur elle et qu’il la pénètre, mais il n’en fit rien.

Il s’écarta une nouvelle fois d’elle et d’un geste un peu brusque la fit basculer. Elle était maintenant sur le ventre. Elle voulut se retourner.

–    Non, je vais te faire un petit massage.

Lui dit-il en commença à malaxer doucement ses épaules. Il alternait les caresses et les bisous sur le dos de Chantal, il descendait vers le creux de ses reins, remonta la nuisette le plus haut possible sans pour autant l’ôter complétement.

Ses mains caressèrent son cul sans chercher à jouer avec son anus. Elles se limitaient à la partie « charnue » de son derrière.

Il posa ensuite des bisous sur chacune des cuisses en remontant vers son popotin. Ses mains agrippèrent et écartèrent ses fesses et il vint poser un bisou sur son anus.

–    Mais que fais-tu ?

Dit-elle en cherchant à se dégager.

–    Laisse-toi faire, tu verras ce sera agréable.

Elle résista encore un peu, puis abandonna.

La langue de Marc commença à se faire taquine, elle titilla l’anus de Chantal et l’humidifia au maximum.

 Chantal était dégoutée par ce que Marc lui faisait, dégoutée, mais si le geste la répugnait, la sensation qu’elle ressentait n’avait rien de désagréable.

Marc continuait doucement son anulingus et Chantal y prenait de plus en plus gout.

Son bassin commença à involontairement onduler, Marc entre 2 petits coups de langue caressa son anus d’un doigt mouillé.

A chaque caresse, il faisait un peu plus de pression. Puis, il laissa sa bouche à proximité de son anus, mais s’occupa du petit trou interdit qu’avec son doigt. Il pressa doucement d’une caresse circulaire, son autre main glissa sous le ventre de Chantal et caressa son petit bouton magique.

Chantal avait honte de ce que lui faisait Marc, mais elle avait aussi honte d’aimer cela.

Il s’écarta d’elle et lui demanda de se mettre à 4 pattes, sa tête dans ses bras. Elle était perdue, non, elle ne voulait pas qu’il continue, non c’était. HUMILIANT, mais trop bon aussi.

Finalement, elle fit ce qu’il demanda, ainsi positionnée, elle offrait sa croupe à Marc. Il posa un baiser sur chacune de ses fesses, puis lécha son anus. Elle eut un mouvement de recul, mais l’une des mains de Marc commença à taquiner son petit abricot.

Elle abandonna, une nouvelle fois, toute résistance.

Marc taquinait toujours son clitoris, l’index de l’autre main se dirigea vers la bouche de Chantal pour qu’elle le suce.

Elle le fit sans rechigner.

Ensuite, cet index humide pressa à nouveau sur l’anus de Chantal et força doucement le passage. Il était à peine entré, l’ongle n’était pas encore complétement enfouit dans cet étroit tunnel, mais il arrêta sa progression, l’autre main, s’activait sur ce petit bouton qui avait sous cette caresse un peu grossi.

Deux autres pressions de son index et le doigt était maintenant à moitié entré.

Marc bougea à un peu à l’intérieur, mima ensuite un petit coït du doigt en effectuant de léger va-et-vient.

Chantal avait laissé un petit cri de surprise quand le doigt avait complétement pénétré son anus, puis elle s’était crispée pour finalement se détendre.

Elle aurait voulu rester immobile, pourtant son bassin accompagnait le mouvement du doigt. Cela était léger, à peine perceptible, mais Marc comme elle pouvait le sentir, son corps trahissait son esprit, elle aimait cela et elle ne pouvait le nier.

L’érection de Marc était à son maximum, presque douloureuse tellement il bandait.

Il  s’écarta de Chantal, celle-ci, ne profita pas de cette opportunité pour changer de position, elle restait sans bouger la croupe en évidence, la tête dans ses bras.

Marc se positionna derrière elle, dirigea son sexe vers l’anus de Chantal.

–    Non, pas ça.

Supplia-t-elle sans pour autant le fuir.

Marc, silencieux, tenait son fier étendard et caressait les fesses et l’anus de Chantal avec.

Puis, comme il l’avait fait avec son index, il posa sa bite contre l’anus de Chantal et exerça une légère pression. Celle-ci se crispa.

–    Ne t’inquiète pas,  je vais être doux.

Il guida ensuite son sexe vers le vagin de Chantal et la pénétra doucement pour l’humidifier de sa cyprine.

Chantal sentant le sexe de Marc en elle, fut soulagée, il allait simplement lui faire une levrette.

Mais celui-ci sortit ensuite et se replaça a niveau de l’anus. Il fit une nouvelle pression, un peu plus forte que la précédente le gland entra de moitié.

Chantal poussa un cri. Marc s’arrêta sans se retirer.

Il attendit un peu puis, doucement fit une nouvelle pression le gland glissa de plus en plus à l’intérieur.  Quand celui-ci fut totalement gobé par l’anus, Marc s’arrêta à nouveau. Il laissait le temps à l’étroit passage de s’habituer à cet intrus.

Il commença ensuite une lente progression jusqu’à la pénétrer jusqu’à la garde.

Chantal avait mal et ne pouvait s’empêcher de laisser échapper des cris de douleurs, mais elle ne cherchait pas pour autant à se défaire de cette emprise.

Marc avançait avec détermination, mais en essayant d’être le moins brutal possible. Il marquait des pauses puis reprenait sa percée.

Quand il fut complétement en elle, il commença à faire des petits va-et-vient, Chantal avait de moins en moins mal, elle s’habituait à cet importun et commençait même à apprécier sa présence.

Il était en elle, il la sodomisait, elle trouvait cela répugnant, mais ne pouvais pourtant se retenir de laisser échapper quelques petits gémissements qui ne laissaient guère de doute sur l’origine de ses sons.

Son bassin accompagnait de plus en plus les mouvements de Marc, il les amplifiait presque Marc accéléra le rythme, Chantal voulait se retenir, mais les sensations étaient trop fortes et quand Marc se vida en elle, elle ne put retenir elle aussi son orgasme.

Ils s’écroulèrent ensuite tous les 2. Elle était honteuse.

Pourtant

Jamais elle n’avait tant joui.

 

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