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L'Internat du sexe – Chapitre 2

L'Internat du sexe - Chapitre 2



Leurs visages se rapprochèrent, leurs lèvres se touchèrent puis s’ouvrirent, leurs langues se rencontrent, tournoyèrent dans leurs bouches. Peau contre peau, leur baiser dura de longues minutes. L’eau s’écoulait sur leurs deux corps unis, dans une vaine tentative de refroidir leurs ardeurs.

Marc se mit à frotter délicatement son sexe contre le pubis de Manon. En même temps, il fit descendre ses baisers dans son cou. Il avait décidé de prendre les choses en main, encouragée par les faibles gémissements de son amante tellement irrésistible. Ses mains se baladaient dans son dos, sur ses fesses, délicatement. Le jeune homme se régalait de cette poitrine si harmonieuse, si sensuelle.

Le gland de Marc titillait avec de plus en plus d’insistance les lèvres du sexe de Manon. Quittant ses tétons délicieux, à regret, le jeune homme planta son regard dans les yeux de son amante. A travers ce regard bleu profond, il chercha l’accord pour accomplir l’acte ultime. Il comprit.

Doucement, délicatement, il souleva Manon de ses bras musclés tandis qu’elle aidait son sexe dur à entrer en elle. Tous les deux, ils lâchèrent des gémissements. Dans cette position, les parois du vagin de la fille se contractaient autour de la verge du jeune homme. Marc commença ses va-et-vient, profitant de chacune des sensations. Il n’y avait aucun coup, comme si leurs corps étaient faits l’un pour l’autre. Des petits cris sortirent de la bouche de Manon.

Marc souhaita changer de position. Il fit se retourner son amante qu’il plaqua avec fougue contre les parois froides de la douche. Il s’arrêta un moment, admirant ce dos si beau, mais qui n’était rien à côté de ses fesses. Elles étaient parfaitement galbées, et rondes, surtout. Mais pas trop. En un mot, elles étaient idéales.

Marc hésita donc de se saisir de ce fessier angélique.

N’y tenant plus, il enfonça son sexe. Il se mit à accélérer ses va-et-vient. Les cris devenaient de plus en plus fréquents. L’adolescent pensa au voisin de cabine, mais ils s’en fichaient. Ils profitaient. C’était tellement bon. Il admirait à chaque coup de son bassin sur les fesses de son amante, les petites ondes courir. Ses seins, écrasés sur la paroi, semblaient encore plus gros. Il les attrapa.

Le plaisir était de plus en plus intense. Soudain, il sentit le vagin de son amante se contracter violemment. En même temps, elle hurla. Pendant de longues secondes, elle atteint le 7e ciel. N’en pouvant plus et sentant la jouissance arriver, Marc se retira de l’antre de Manon.

Celle-ci, remise de ses émotions, saisit sa verge et se mit à la malaxer. Un grand sourire aux lèvres, elle admira l’épais liquide blanc s’échapper avec intensité. Il en atterrit sur son ventre, ses cuisses, ses seins, sur les abdos de Marc et ses pectoraux. L’adolescent avait également lâché un gémissement plus puissant que les autres sous le coup de l’orgasme.

Une dernière fois, les deux amants s’embrassèrent.

Tu sais que je t’adore, toi, soupira Manon en embrassant sensuellement Marc.

Il se délecta du goût sucré des lèvres de sa partenaire avant d’éloigner sa bouche pour reprendre une bouchée d’air frais.

Je t’aime, tout simplement, assura-t-il en rougissant.

Ces mots sont tellement plus forts, moi aussi, je crois bien que je t’aime, gémit-elle en repartant à l’assaut des lèvres de son amant.

Pendant de longues minutes, leurs langues restèrent emmêlées. Marc sentait grandir en lui sa passion pour Manon. Jamais auparavant il n’avait éprouvé de tels sentiments pour son amie. Mais ce moment, tous les deux sous la douche, leurs corps s’unissant, l’avait profondément bouleversé.

L’occupant de la cabine d’à côté était parti rejoindre sa chambre. Marc en profita pour sortir et aller chercher sa serviette. Quand il revint, il déposa le tissu sur le corps encore ardent de plaisir de Manon, qui avait éteint la douche. Encore une fois, Marc ne put s’empêcher de venir replacer une mèche qui cachait une partir de son front. Cette mimique affectueuse témoignait de son grand amour pour Manon qui sourit timidement.

Elle souhaita lui rendre sa serviette, mais il refusa :

Sèche-toi d’abord, il faudrait pas que tu tombes malade. Je vais me débrouiller, t’en fais pas.

La jeune femme acquiesça, contemplant d’un regard amoureux son amant. Marc se sentit un peu gêné quand celui-ci s’attarda sur son torse, puis quand il descendit vers son bassin.

Mon judoka est vraiment bien foutu, lâcha-t-elle.

L’adolescent la remercia timidement. Toujours attentif, il ramassa les vêtements gorgés d’eau de son amie, qui étaient tombés durant l’acte. Il jeta un coup d’il vers Manon.

Ne t’inquiète pas pour ça, passe-moi ton kimono, il est assez grand pour me couvrir, fit-elle amusée.

Obtempérant, il sortit sa veste blanche du sac. Manon s’était approchée de lui, et délicatement, lâcha sa serviette. Son corps nu apparut aux yeux de Marc. Ce corps si parfait, ces courbes si harmonieuses, ce ventre si délicat, ces épaules si élégantes, ces seins si ronds, si fermes. Devant un tel spectacle, Marc ne put que détourner le regard.

Manon enfila la veste qui lui arrivait jusqu’au bassin. Cependant, celui-ci restait ouvert, ne cachant pas toute sa poitrine. Marc prit sa ceinture qu’il noue avec soin autour du corps de son amante, doucement, comme pour ne pas abîmer cette si belle créature.

Merci infiniment, murmura-t-elle.

Puis, elle prit la direction de la sortie. Marc admira ses fesses de dandiner sous le kimono un bref instant avant que Manon ne se retourne. Elle lui adressa un dernier baiser volant suivi par un clin d’il enchanteur.

Perdu, le jeune homme resta ainsi, nu, en plein milieu des vestiaires. Il était éperdument amoureux de cette jeune femme, qui semblait donner un sens à sa vie.

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