Histoires de sexe Histoires érotiques au travail

une mamie bien cochonne – Chapitre 1

une mamie bien cochonne - Chapitre 1



— Tu nes pas venu avec ton ami mon chéri ?

— Il avait encore une course à faire, il va monter

Julien embrassa sa grand mère sur les deux joues et ne put sempêcher de regarder le large décolleté de la vieille dame ; la robe à fleurs de celle-ci était échancrée par cette belle journée printanière, et ses gros seins mous débordaient de son soutien-gorge blanc. Julien était gay même sil sen cachait auprès des membres de sa famille, mais il ne pouvait sempêcher dêtre troublé en pensant quen dautres temps sa grand-mère avait du savoir manier les bites comme lui-même aimait le faire aujourdhui.

— tu sais à ton âge tu devrais avoir une petite copine, déclara-t-elle une fois assis tous les deux dans le salon.

Julien se mit à rougir mais avant quil ne pu répondre son copain Franck sonna à la porte.

Julien ouvrit et fut mort de honte en apercevant le sac dune boutique de lingerie que Franck tenait à la main. Ils aimaient tous les deux la lingerie féminine et Franck adorait arracher le collant de Julien avant de lenculer. En plus, Franck se mit à lembrasser sur les deux joues pour lui bonjour. Cela sembla troubler un peu sa grand-mère car celle-ci se mit à rougir en embrassant Franck.

— tu es plus grand que Julien et plus fort aussi, mais asseyez vous donc tous les deux, je vais chercher des fruits à la cuisine.

Sa grand-mère sétant éclipsée, Julien sermonna Franck sur son achat de lingerie.

— Ten fais pas, le collant que jai acheté je lai sur moi, dans le sac cest juste des strings pour homme.

Marguerite était troublée par Franck, qui lui rappelait laura animale que dégageait son défunt mari quand il était jeune homme. La corbeille à fruits narrangeait rien : bananes, mais aussi concombres et aubergines lui rappelaient trop les phallus quelle avait connus pour quelle sempêche de glisser sa main sous sa robe, puis de frotter son index sur sa culotte en dentelle cherchant à faire jaillir son clito hors de son petit capuchon. Elle poussa un soupir car la caresse la fit mouiller.

Pendant ce temps, Franck avait saisi la main de Julien et lavais posée sur son entrejambe. Le contact du collant noir quil portait le faisait bander comme un âne et il navait quune hâte, partir de chez la grand mère de Julien pour rejoindre un coin tranquille et senfoncer dans la bouche puis dans le cul de son copain.

— arrête Franck, ma grand mere va revenir !

— de toute façon faudra bien quelle apprenne un jour que tes quun petit pd !

— oui, eh bien ce jour nest pas arrivé !

— et pourquoi pas ? elle a pas lair coincée ta mamie, avec ses gros seins

— cest vrai quelle a des gros seins mais arrête de dire des bêtises

La mamie en question sapprêtait à sortir de la cuisine lorsquelle entendit la réponse de son petit-fils. Elle se mit à rougir violemment et recula dun pas dans la cuisine ; ainsi ces deux petits salauds la mataient en cachette ! Mais les deux garçons parlaient ils vraiment delle ? À 70 ans, pouvait elle encore intéresser des ados à peine pubère ? Comment son petit fils pouvait il fantasmer sur elle malgré le tabou de linceste ? Avait-elle commis une imprudence en dévoilant un décolleté trop avantageux ?

Elle jeta à un coup dil à ses seins et les soupesa dans ses mains : elle en éprouva la grosseur à travers la robe et le soutien-gorge. Malgré son âge, ils étaient loin dêtre mous et les larges tétons roses se dressaient à la moindre caresse. Elle soupira en repensant à la bite de son mari qui avait éjaculé des litres de sperme en baisant entre ses deux gros nichons. Presque inconsciemment, elle décida de jouer le jeu, ne serait-ce que pour retrouver la sensation dêtre émoustillée comme plus tôt dans la cuisine

— Tenez, je vous ai apportés des bananes, et tout en posant la corbeille à fruits sur la table, elle se pencha exagérément, dévoilant ainsi généreusement ses seins aux deux garçons ébahis, puis elle sassit comme si de rien nétait.

— Oh, tu sais Franck, je connais bien cette boutique de lingerie, ils sont très bien, jy vais de temps en temps.

— Et il y a beaucoup de commerces dans le quartier ? reprit aussitôt Julien essayant de changer de conversation.

— En fait, jai acheté des slips pour moi et Julien, interrompit Franck.

— Vraiment répondit Marguerite. Cest très gentil de ta part. Mais vous nêtes pas de la même taille pourtant.

— Je connais très bien la taille de slip de Julien, je dois vous dire Madame.

— Ecoute grand-mère, est-ce quon ne pourrait pas changer de conversation ? plaida Julien , de plus en plus mal à laise.

Quant à la grand-mère, elle commençait à soupçonner que les deux garçons étaient bien plus que des amis lun pour lautre : au contraire de la choquer, cela lexcitait, elle navait jamais vu dhomosexuels faire lamour. Et ce nest pas elle qui allait être choquée par lhomosexualité, elle qui se gouinait une fois par semaine avec son amie Brigitte Elle décida donc den savoir plus sur la relation des garçons car cela lexcitait

— Si tu veux mon chéri, cest vrai quil y a des commerces, pour répondre à ta question. Par exemple, il y a un sex shop qui vient douvrir tout près dici.

— Vous êtes bien au courant Madame, dit Franck avec un air malicieux.

— Eh bien, vous ne le répéterez pas, mais jy suis déjà allé avec mon ami Brigitte il y a vraiment toutes les spécialités, je dois dire, cest un peu choquant

— Mamie, tu as déjà été au sex shop, et avec une amie en plus, sétrangla Julien pendant que Franck souriait. Celui-ci était à présent très excité et ne résista pas à avancer son pied sous la table dans la direction de celui de Marguerite. Celle-ci mouilla instantanément et ne retira pas son pied.

— Bien sur, quest-ce que tu crois, que je nai pas été jeune et belle moi aussi, et que je nai pas envie de retrouver ces sensations ?

Pendant quelle disait cela, Franck se débarrassa de sa chaussure avec laide de son autre pied et immisça son pied nu entre les cuisses de la vieille ; il frissonna au contact des bas de Marguerite, car sil était gay il était surtout fétichiste des bas et collants et il avait déjà eu loccasion dexplorer les anus de jeunes lycéennes ou de femmes de lâge de leur maman. La grand-mère serra les cuisses sur le pied de Franck, puis les rouvrit pour lui faire comprendre de pousser son avantage vers sa chatte déjà dégoulinante de mouille.

Avec une voix moins assurée, la mamie reprit :

— Tu sais, mon petit Julien, je dois avouer quavec Brigitte on se contente pas de regarder lautre jour, de retour du sex shop, nous avons fait lamour ici dans cette pièce, dans le canapé, acheva Marguerite dans un soupir. Eh oui, jaime aussi les femmes

Julien avait le regard perdu, nen croyant pas ses oreilles. Il chercha des yeux Franck, et il saperçut que celui-ci était avachi sur sa chaise et fixait intensément sa grand-mère. Il regarda à son tour celle-ci ; elle avait le visage en feu et sa poitrine se soulevait rapidement.

— Ça va grand-mère, quest ce qui se passe, tu nas pas lair bien ?

— Oh, mon chéri, ça va très bien, cest juste que ton ami à son pied juste entre mes cuisses

— Je lui branle carrément la chatte, à cette salope, oui ! cria Franck, en déboutonnant rageusement sa braguette.

Il se leva brusquement, et pendant que Marguerite restait pantelante et Julien interloqué, il fit tomber son pantalon, apparaissant nu sous son collant noir, et avec une érection monstrueuse ! Il se dirigea vers la vieille à qui il arracha un cri lorsquil lui déchira sa robe par le devant et baissa son sous-tif pour faire jaillir ses mamelles. La grand-mère sagrippa au collant de Franck quelle baissa pour dégager la grosse queue de Franck ; elle le prit immédiatement dans sa bouche en grognant de bonheur et lavala en entier avec de grands bruits de succion lorsque sa langue roula sur le gland gonflé puis sur toute la longueur de la tige. Franck lui appuya sur la tête pour quelle continue à le sucer à fond.

— Tu suces comme une salope ma parole ! Julien, sors ta bite et viens lécher les seins de ta mamie !

Julien ne se fit pas dire deux fois : il était soudainement entré en rut, sans savoir si cétait la vue de la grosse queue de Franck prisonnière de la dentelle noire, ou si cétait lattitude de sa grand-mère qui levait le tabou de linceste en acceptant doffrir ses trous à son petit-fils et à son copain de baise. Julien savança la bite à lair, en totale érection, et se mettant accroupi, il souleva un sein et le mis à sa bouche, aspirant la large pointe rose toute dressée ; pendant ce temps, le vieille suçait Franck de plus belle : elle caressait ses fesses prisonnières du collant et avec ses ongles bien faits elle le déchira autour de la raie des fesses cherchant à atteindre lanus du garçon !

— Ah, la salope elle me met un doigt dans le cul !

Marguerite avait en effet passé déjà à moitié son index dans le trou tout serré de Franck, et tout en bavant sa salive sur sa bite à grands coups de langue, elle faisait à présent tourner son doigt dans lanus du jeune homme.

En entendant ça, Julien eu lidée de rendre la pareille à sa grand-mère : il fouilla par-dessous sa robe, trouva les bas et le porte-jarretelles, arriva à la culotte en dentelle quil écarta brutalement, et saisissant à pleine main la chatte trempée de sa mamie, il commença à la fister en lui introduisant trois puis quatre doigts, le pouce écrasant le clito gonflé de la vieille. Celle-ci cria de plaisir malgré la bite de Franck qui lui heurtait à toute vitesse les joues et la gorge et cela encouragea Julien.

— Eh Franck, putain, je suis en train de la fister ! elle en veut !

— Très bien alors, tu vas la baiser pendant que je tencule ! et toi la salope, tu passes ma bite à Julien pour quil me suce dabord !

Obéissante la mamie laissa la queue de Franck séchapper de sa bouche et retira son doigt de lanus du garçon. Franck se tourna et trouva aussitôt la bouche de Julien toujours agenouillé. Sa grand-mère se releva alors, pour profiter pleinement du spectacle des deux gays : son petit-fils quelle connaissait depuis toujours avec une queue dans la bouche et qui visiblement aimait ça ! Marguerite ne croyait pas en son bonheur : cétait sa meilleure baise depuis des lustres, même le gros gode et le fouet de Brigitte ne lexcitaient pas autant ! Par contre, se faire baiser et enculer espérait-elle par son petit-fils, cela exauçait ses fantasmes de soumission les plus pervers ! Dommage quelle ne puisse pas raconter ça à sa fille, elle serait verte de jalousie Elle admirait la technique de fellation de Julien qui prenait la bite de Franck pour se caresser le visage avec tout en le masturbant violemment, avant de la reprendre profondément en bouche ; la bite de Julien était moins imposante que celle de Franck, mais plus longue et sa grand-mère dégoulinait davance de la pénétration quil allait lui offrir. Pour ne pas perdre de temps, elle retira sa robe et son soutien gorge, mais conservant ses bas, son porte-jarretelles et sa culotte pour être plus sexe ainsi perchée sur ses talons. Elle se prépara à être pénétrée en sasseyant sur la table en chêne et en se couchant sur le dos : elle écarta largement sa culotte de dentelle blanche de façon à offrir le choix entre sa chatte et son anus totalement rasés elle se redressa sur les coudes pour ne pas perdre une miette de la fellation homosexuelle des deux garçons.

— ça y est ta pute est prête, va la sauter ! ordonna Franck à Julien. Celui-ci se débarrassa de ses derniers vêtements et sapprocha de la chatte trempée de sa grand-mère aux anges

— Oui, viens baiser ta mamie, mon chéri, mets la moi bien profond ! et surtout encule moi aussi, jadore par là, ton grand père le faisait tout le temps !

— Ah mamie, tes trop bonne, ten fais pas, je vais te défoncer !

— Fais de moi ce que tu veux, fouette moi si tu veux, griffe moi les seins je jouis aussi comme ça ! tu peux même menfoncer des objets, Brigitte elle se gêne pas !

Julien mit son gland contre les lèvres de sa mamie et il senfonça brutalement en elle, arrachant une longue plainte à la vieille ! il saffaissa sur elle, empoignant ses mamelles quil écrasa sous ses doigts faisant crier sa mamie de douleur ! aussitôt Franck se positionna contre ses fesses et il sentit le gros gland pousser contre son anus rasé : cette fois ce fut Julien qui cria quand Franck déchira la rondelle de son copain sintroduisant dans son anus de toute la longueur de son sexe !

A suivre si le sexe vous en dit 

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire