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L'île du levant – Chapitre 1

L'île du levant - Chapitre 1



Je suis en vacances avec Anne, ma deuxième femme, pour quinze jours à l’île de levant, un endroit naturiste. Après nous être installés dans le camping, nous allons à la plage, enfin sur les rochers qui servent de plage. Nous trouvons une place où nous pouvons mettre nos serviettes. Je suis sur le dos quand une femme se penche vers moi.

— Excusez moi monsieur, pouvez vous déplacer légèrement votre serviette, nous n’avons pas assez de place pour nous deux.

Je regarde la femme, elle a dans les trente ans et est accompagnée d’une jeune fille de tout juste seize ou dix sept ans. Elles sont toutes les deux très belles, jolies poitrines, belles fesses, belles jambes et assez jolies toutes les deux. Je remarque qu’elles sont complètement épilées, leurs sexes sont glabres, c’est assez rare dans ces années, début des années quatre-vingts. La fille est la copie conforme de la femme en plus jeune. C’est étonnant, mais on dirait la mère et la fille, pourtant la différence d’âge est minime, j’en conclus que c’est une femme et sa petite sur.

Je me déplace de quelques centimètres, laissant à peine plus de place mais sinon c’est moi qui ne peux plus mettre ma serviette.

— Merci monsieur. Lola, pose ta serviette devant monsieur, je me mets à côté.

Sa fille pose sa serviette au-dessus de ma tête et sa mère à côté de moi. Nous ne nous touchons pas, mais c’est vraiment limite. Anne est de l’autre côté de moi et regarde la fille avec un certain intérêt. Il faut dire qu’Anne aime beaucoup les filles. Je me mets sur le ventre et j’ai les pieds de la fille juste devant mon nez. Elle est sur le dos et se passe de la crème sur le corps. Se faisant elle écarte les jambes pour s’enduire de crème l’entrecuisse, en insistant plus que de raison sur son sexe. Elle pose la crème et se remet sur le dos mais elle "oublie" de refermer ses jambes. J’ai une vue imprenable sur son sexe, je peux détailler ses lèvres et voir son clitoris caché dans son fourreau. Elle pose une main sur son ventre, juste à la limite de sa vulve. Son petit doigt bouge légèrement à la lisière de ses lèvres et je vois son clitoris qui sort de sa cachette. Anne ne perd rien de la scène, elle s’est aussi mise sur le ventre, le menton sur ses mains et fixe ostensiblement le sexe de Lola. Une de ses mains quitte son menton pour glisser sous son ventre. Elle se masturbe discrètement. Elle se colle contre moi pour que je puisse sentir quand elle jouit. Lola continue de se caresser discrètement, son sexe est de plus en plus humide, je vois sa cyprine couler le long de ses lèvres. Petit à petit le corps d’Anne se tend et soudain elle se raidit, tremble légèrement, elle jouit en silence. Lola se redresse, nous regarde en souriant, se lève et se dirige vers la mer. Anne la suit. Je les suis du regard mais je reste en place, l’eau à 21° n’est pas assez chaude pour moi, il me faut au moins 25°.

— Votre femme est superbe.

C’est la femme qui s’adresse à moi.

— Oui, je ne le sais que trop bien.

— A bon, pourquoi?

— J’ai l’impression de constamment devoir me garder de tous les hommes et les femmes qui gravitent autour. Elle a du succès.

— Ce n’est pas étonnant, elle est belle, jolie, a une démarche de reine et un sourire extraordinaire, même les femmes se retournent sur elle, je l’ai remarqué tout à l’heure dans le camping.

— Vous êtes très belle aussi, votre mari doit se faire du souci.

— Il n’y a pas de mari, j’ai fait ma fille à seize ans, toute seule, parce que je voulais avoir le minimum de différence avec mon enfant pour pouvoir le comprendre plus tard. J’étais en pleine crise dadolescence, mais je ne regrette absolument pas mon geste au contraire. J’avais choisi un beau garçon en été sur une plage, il ne sait même pas qu’il est père. Cela fait seize ans que je vis un grand bonheur avec ma fille, nous sommes très proches, fusionnelles.

— C’est donc votre fille, au fait, je suis Jean, je suis accompagné d’Anne ma femme.

— Clémentine, je sais ça fait très après guerre, mais je n’y peux rien.

Je vais lui répondre une banalité quand apparaissent Anne et Lola qui se tiennent par la main. Je comprends tout de suite ce qui s’est passé.

— Chéri, Lola aimerait bien boire quelque chose, tu nous offre à boire?

— Bien sûr, tout le monde sur le pont.

Nous nous dirigeons vers la place en haut du village. Il faut mettre les "minimums", car, à l’époque, le nu intégral est interdit dans le village. Clémentine est devant moi et je peux admirer ses splendides fesses très fermes et sans trace de cellulite. Anne et Lola sont derrière, je me retourne et je vois bien qu’elles se tiennent par la taille.

— Je vois qu’Anne et Lola ont vite fait connaissance.

— Je le vois aussi et j’avoue que je suis un peu jalouse.

— A bon, pourquoi?

— Lola aime beaucoup les femmes, je pense qu’elle est homosexuelle, mais elle ne s’en rend pas bien compte encore, elle est si jeune.

— Cela vous dérange qu’elle soit homosexuelle?

— Pas du tout, pourvu qu’elle soit heureuse. Seulement, je ne vais pas pouvoir l’avoir autant avec moi.

— Je me dois de vous dire qu’Anne est bisexuelle, elle aime surtout les femmes et un peu les hommes. Je crois qu’elles se sont reconnues, et qu’elles ont envies d’approfondir leur relation.

— Si ça peut la rendre heureuse, mais vous que devenez vous dans tout ça?

— Je sais que notre relation va se terminer, j’y suis préparé, ça ne pouvait finir que comme ça. Nous le savons, mais nous avons vécu une belle aventure. Clémentine s’arrête brusquement, me regarde droit dans les yeux.

— Il n’y a donc aucune objection à ce que je t’embrasse, là, maintenant?

— Aucune.

Clémentine m’attire vers elle, m’immobilise et m’embrasse goulûment, ses mains caressent mon corps de même que les miennes sur son corps.

— Les filles, vous allez boire un coup sans nous. dit Clémentine.

Je tends le petit porte-monnaie à Anne et suit Clémentine vers sa tente. Je remarque qu’Anne et Lola ne vont pas boire un coup mais se dirigent vers notre tente.

La tente de Clémentine est une grande tente avec plusieurs chambres. Elle me fait entrer dans la plus grande et me pousse sur le matelas pneumatique. Elle me tombe dessus et m’embrasse avec fougue, sa langue voltige dans ma bouche. Nos mains explorent nos corps. Ma bouche descend vers sa taille, s’arrête sur ses seins, les lèche, les suce, les titille et les mordille. Clémentine se cambre, sa respiration est de plus en plus saccadée. Ma bouche descend encore et arrive sur sa vulve. Elle plaque ma tête contre son sexe, je passe ma langue sur ses lèvres, les écarte, avance vers son puits d’amour et j’enfonce ma langue dans son vagin. Ses mains appuient plus fort sur ma tête, j’active le plus possible ma langue dans son sexe quand tout à coup, elle joui.

— HHHHHHHHHHHHHUUUUUUUUUUUUUUUMMMMMMMMMMMMM

Juste un son sourd, venu du plus profond d’elle même, son bas-ventre se soulève vers ma bouche, ses jambes sont ouvertes au maximum. Elle se donne complètement à moi. Elle se détend petit à petit, ses mains tirent sur ma tête pour la faire remonter vers sa bouche. Elle m’embrasse, pose ses mains sur mes fesses et appuie pour que mon sexe entre dans le sien.

— Viens, maintenant, viens en moi, j’ai tellement envie de sentir un sexe dans mon sexe, ça fait si longtemps que j’attends ce moment. Viens en moi, viens.

Je présente mon vit sur sa vulve et j’entre doucement, très doucement pour qu’elle apprécie le plus possible ce moment de la pénétration.

— Oui, doucement, oui, je te sens entrer en moi, oui, viens, viens doucement.

Une fois au fond de son sexe, elle donne des coups de rein en m’immobilisant les fesses. Elle veut maîtriser le rythme de notre rapport. D’un seul coup, elle me retourne et se trouve sur moi. Elle se redresse, met ses main sur mon torse et se fait l’amour avec mon sexe. Elle ferme les yeux, respire par saccades, se concentre au maximum sur son plaisir. Je résiste le plus possible en pensant à tout autre chose. Je sens ses jambes me serrer plus fort, elle se crispe, se raidit, renverse la tête en arrière et part dans un orgasme dévastateur.

— OOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH

Elle dit dans un souffle à peine audible.

— Je, je, je jouis, oh oui, je jouis, que c’est bon, tu m’as fait jouir, merci.

Je n’en peux plus et je me vide dans son sexe.

— OOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHH oui, oui, viens en moi, encore, viens en moi.

Elle s’écroule sur moi, toujours empalée, m’embrasse le cou, les épaules et finit sur ma bouche. Je débande et mon sexe sort du sien.

— Oh que c’était bon, tu restes combien de temps ici?

— Quinze jours, j’arrive juste aujourd’hui et je ne regrette pas d’avoir mis ma serviette à cet endroit.

— Moi aussi je suis là encore quinze jours, si tu le veux bien, j’aimerais qu’on les passe ensemble.

— Pas de problème pour moi, et je pense que ma femme et ta fille seront elles aussi d’accord.

Elle m’embrasse en me caressant sur tout le corps. Nous nous enlaçons et nous nous endormons comme des masses.

— Coucou, c’est nous.

C’est Lola qui entre dans la chambre de la tente.

— Je vois que vous avez fait connaissance. Tout va bien maman chérie?

— Oui mon amour, tout va bien.

Elle se retourne vers moi et m’embrasse encore plus suavement que d’habitude.

— Il faut faire des courses maman.

— Pas la peine, nous avons tout ce qu’il faut dans notre tente, dis-je.

Nous sortons de la tente et je constate que la place à côté est libre. Je vais à l’accueil où l’on me confirme que je peux m’installer à cette place. Le déménagement dure une demi-heure, et nous voilà côte à côte. Je prépare un petit repas, la soirée se passe très bien, Clémentine est aux petits soins avec moi et Anne avec Lola. Les deux filles n’arrêtent pas de se caresser, de s’embrasser dans le fond de la tente. Clémentine en fait autant avec moi, mais devant la tente. Clémentine ferme le panneau de devant et nous nous retrouvons tous les quatre dans le grand espace qui sert de salon. Nous sommes allongés sur trois grands matelas pneumatiques assemblés recouverts de couvertures. Anne prend l’initiative et embrasse passionnément Lola en la couchant sur le dos. Celle-ci lui rend son baiser en la caressant. Clémentine me couche aussi sur le dos et se met sur moi pour m’embrasser. De sa main gauche elle descend vers mon sexe, s’en saisit et me masturbe doucement pendant quelques secondes. Anne me regarde, me sourit, avance sa bouche vers moi et me fait un petit baiser sur les lèvres. Clémentine lui sourit, écarte les jambes et s’empale sur mon sexe. Lola regarde sa mère avec un peu d’étonnement, ce doit être la première fois qu’elle voit sa mère faire l’amour, comme ça, devant elle sans gêne. Clémentine se donne complètement, c’est elle qui imprime le rythme, elle est couchée sur moi et ses fesses montent et descendent à un rythme lent et régulier. Elle se fait l’amour à son rythme, comme elle aime, en savourant ce moment exquis. Je sens son vagin chaud et humide monter et descendre sur mon membre. Je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir de sentir une femme se donner du plaisir avec mon corps. Clémentine me caresse partout, m’embrasse partout, n’épargne aucune partie de mon corps. N’en pouvant plus, elle resserre ses jambes, se raidit et jouit dans un silence parfait. Je n’entends même pas sa respiration, elle est en apnée. Lola la regarde avec des yeux remplis d’amour. Clémentine roule sur le côté et se retrouve à côté de Lola sur le dos. Celle ci se penche vers sa mère et l’embrasse, mais pas comme une fille embrasse sa mère, comme une amante embrassant son amour. Sa main droite parcourt le corps de sa mère. Clémentine ferme les yeux, se laisse caresser avec un plaisir évident.

— Oh maman chérie, tu es belle, ton corps est beau, doux, sensuel. Je t’aime maman chérie, je t’aime.

— Moi aussi je t’aime ma chérie, mais comme une mère aime sa fille.

Sur ces mots, Lola arrête de caresser sa mère et la regarde tristement.

— Ma chérie, je t’aime, mais je n’ai pas besoin de te caresser pour exprimer mon amour. J’ai juste besoin de ta présence. Pour les caresses, tu as Anne et peut être un homme.

— Non, pas d’homme, je sais maintenant que j’aime les femmes et seulement les femmes.

— Mais si tu veux tu peux me caresser, tes mains sont douces et j’aime qu’une main ou une bouche parcoure mon corps.

Lola se penche sur sa mère, lui embrasse les seins, le nombril, et elle pose un baiser sur le sexe.

Elle se retourne vers Anne qui s’est mise sur le dos, lui présente son sexe devant sa bouche et se précipite sur sa vulve. Elles sont tête-bêche et se donnent du plaisir avec leurs langues sur leurs sexes. Anne caresse les fesses de Lola, lui glisse un doigt entre les fesses et l’enfonce un peu dans son anus. Lola ne réagit pas, bien au contraire, elle lève un peu ses fesses pour faciliter la pénétration. Elles jouissent ensemble, se retournent pour s’embrasser et se caresser. Anne me sourit, je sens que pour nous c’est la fin mais je ne suis pas triste car c’est aussi le début d’autre chose. Je savais depuis le début de notre histoire, (voir "mes belles sur"), que nous ne resterions que quelques temps ensemble, ce que je ne savais pas c’est que ça durerait dix ans.

Les vacances furent belles et chaudes.

Mais ceci est une autre histoire.

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