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L'otage aux anneaux d'or – Chapitre 17

L'otage aux anneaux d'or - Chapitre 17



CHAPITRE 12 : LA GAFFE

Je métais à peine rendormie quAhmed et Hassan firent irruption dans ma chambre. Ils marrachèrent de mon lit douillet pour me plonger dans un jacuzzi parfumé.

Un céleste massage huileux exécuté par quatre mains me remit rapidement en condition. Mabreuvant de compliments sur ma plastique et de « petite Jade » répétés intentionnellement, ils remirent promptement ma libido au niveau scientifiquement souhaité.

Les deux compères avaient changé de comportement : ils semblaient clairement épris de leur jouet. Hassan, surtout, devenait de plus en plus enflammé dans ses débordements licencieux, malgré mes réticences. Ce qu’hier encore j’avais accepté des amis de Pascal me rebutait aujourd’hui. Nadia était passée par là.

Tu peux me couper la gorge avec ton coutelas, je ne te toucherai pas.

Epuisée par ma prestation gymnique de la nuit, ma délicate musculature ne pesa pas bien lourd quand Ahmed m’emprisonna les poignets dans le dos. Une fois jetée sur le lit, ils me lièrent en croix avec un coussin sous les reins, exposant ma vulve tourmentée à leurs gifles outrancières.

Les ceintures se défirent et les pantalons glissèrent ; mon cri strident leur fit exploser les tympans avant qu’un bâillon ne me réduise au silence.

Nadia et ses deux esthéticiennes, attirées par le remue-ménage, déboulèrent dans la pièce.

Elle échangea quelques gentillesses avec mes deux violeurs en puissance qui s’enfuirent sans demander leur reste en beuglant un prémonitoire : « Nous te revaudrons ça ! »

Et en plus, ils me menacent Je peux compter sur vous, les filles, pour m’épauler dans la plainte que je ferai au prince ?

Naturellement, Mademoiselle : ils ont juré, comme nous toutes, de ne pas s’écarter des termes du contrat.

Nadia me détacha d’un air détaché. Stupidement, je ne pus résister à la tentation de lui voler sa bouche devant ses collègues outrées. Elles manifestèrent leur grande réprobation et leur intention d’en référer immédiatement. Je venais, à linsu de mon plein gré, de lui donner le baiser de Judas.

Si tu ne te sens pas capable de nager deux jours de suite vers la côte, cela va mal se passer pour nous deux. Habille-toi en vitesse !

Jeus à peine le temps de passer une courte blouse échancrée quHassan et Ahmed firent exploser la porte. Attachée sans ménagement par les poignets à la tringle du rideau de douche, jassistai impuissante à lenlèvement ma bien-aimée. Ils se jetèrent sur Nadia, la giflèrent et la traînèrent par les cheveux en la rouant de coups pour la séquestrer dans une geôle à larrière du bateau.

Quelle faute avait-elle commise pour mériter pareil traitement ?

Ce fut la dernière fois que je vis Nadia de toute la croisière.

Une fois leur sale besogne achevée, ils revinrent me chercher pour memmener sans un mot à linfirmerie pour une prise de sang de routine.

Après mavoir laissée refroidir une demi-heure comme un rond de flan dans la salle dattente improvisée, les deux assistantes de Nadia vinrent me chercher pour me conduire devant le comité scientifique. Les jeunes femmes mavouèrent tout de go me désirer.

Elles me coincèrent entre deux portes et me pressèrent un citron sur le clito.

Si tu nous avais dit plus vite que tu étais lesbienne, ma petite Jade, tu n’aurais pas eu besoin de te rabattre sur Nadia.

Tes seins de velours sont non seulement superbes, mais ils se raidissent au moindre effleurement.

La redoutable perfection de leurs succions conjuguées au superlatif me faisait déjà tanguer.

Si vous avez décidé de mhonorer les seins jusquau petit matin, j’aime autant être prévenue de ce qui m’attend. Je préfère vous le dire de suite : le coup de l’hypnose est éventé, même si une partie du cerveau de votre "petite Jade" n’a pas l’air de le savoiiiir !

Mes gémissements étouffés nen fouettaient que davantage leur ardeur.

Merveilleux ; cétait vraiment merveilleux ! Mon vagin serré tressaillait, et elles ne n’avaient pas encore touché mon petit poisson qui pétillait sous la morsure citronnée.

Mon orgasme nétait quà un pas que mes deux tyrans ne me laisseraient pas franchir.

Ma voix implorait une pitié illusoire que mon inconscient refusait.

Ma résistance de façade sévaporait peu à peu pour faire place à un désir ignoble.

Pour être franche, jaurais donné la Terre entière pour sentir leurs mains entre mes jambes.

Une caméra, placée au-dessus de la porte au pied de laquelle je me vidais de mes sucs, tourna sur son support. Il me sembla entendre une conversation qui provenait de la pièce d’à côté.

Voilà ! J’ai l’image. Nous pouvons commencer. Madame Renaud… Je vous en prie. Madame Renaud ?

Elle est vraiment stupéfiante ! Cette beauté respire la force sensuelle, la pudeur contrariée, la femme-enfant désirée

Madame Renaud !

Attendez ! Regardez : elle écarte les jambes Oh ! Elle a posé sa cuisse sur lépaule de Fatia. Rachida a compris. Elle sempare de lautre, la soulève et la plaque contre la porte. OUI ! Comme ça ! Elles frottent son clitoris entre leurs mains. Elle gémit scandaleusement Que dit-elle ?

Goal !

Pardon, Richard

Elle dit : « Tuez-moi ! Dépecez-moi ! Contraignez-moi à vous obéir ! » mais ce nest pas le propos de notre réunion, Madame Renaud.

Bien sûr, bien sûr Que disais-je ? Ah oui : les résultats préliminaires de lobservation.

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