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Lucie, mon élève – Chapitre 1

Lucie, mon élève - Chapitre 1



Chapitre 1 – Les retrouvailles

J’avais 25 ans. Je navais pas vu Lucie depuis près de deux ans. A lépoque, cétait une gamine plutôt mignonne mais sans grand intérêt, du fait de son jeune âge et du peu de conversation que peuvent avoir les ados.

Elle avait bien grandi ; ses traits sétaient affinés et ses formes étaient maintenant parfaitement à mon goût. Ses vêtements dessinaient une silhouette de jeune femme magnifique. Elle avait désormais 17 ans, était au lycée, ses parents mavaient demandé de laider un peu en maths le mercredi après-midi.

Ce mercredi, Lucie sonna à ma porte. Je descendis lui ouvrir et je découvris sur le palier une divine demoiselle pleine de charme. Elle portait un débardeur et un jean moulant, dailleurs tellement moulant quon devinait largement ses lèvres, ce qui fit travailler immédiatement mon imagination. Mais la belle nétait pas là pour ça et je décidai de me ressaisir. Je la fis passer devant moi dans lescalier qui menait à mon bureau et jen profitai pour jeter un il à son petit derrière magnifiquement bombé et ses hanches parfaitement taillées.

Nous entrâmes dans mon bureau et nous nous installâmes côte à côte afin de plancher sur ses maths si problématiques. Je ne pouvais mempêcher de mater la petite poitrine de mon élève ; elle ne portait pas de soutien-gorge et ses mamelons pointaient à travers le fin tissus de son débardeur.

Au bout dune bonne heure de travail, Lucie souhaita se reposer un peu et se rafraîchir. Je trouvai que cette pause était bien méritée et lui indiquai donc la direction de la cuisine. Je lui servis un jus de fruit avant de linviter à sinstaller sur la terrasse. Elle sassied sur un transat au bord de la piscine et s’étira de tout son long. Son jean taille basse laissa apparaître une forme de V en bas de son ventre. Elle me regardait avec un large sourire et me dit avec un air de petite fille : « Tu sais, ça me fait bizarre que ce soit toi qui maide en maths, et maintenant je peux tavouer quelques chose, ça date »

Cette phrase éveilla ma curiosité. Je lui répondis :

— Je técoute

— Quand javais 14 ans, jétais folle amoureuse de toi Toutes mes copines aussi dailleurs. Tu étais un peu notre modèle, lexemple à suivre

Jéclatai de rire car il est vrai quà cette époque, du fait de mes résultats en compétition, toutes les gamines me badaient, mais je ny avais jamais vraiment prêté attention. Elle rit aussi, se leva et vint déposer un tendre baiser sur ma joue droite, à quelques millimètres de mes lèvres. Je fus étonné par cette marque daffection et je lui dis :

« Merci Ca me touche, désolé davoir ri. Mais cest loin tout ça, et jolie comme tu es, les garçons doivent se bousculer ! »

Cest à ce moment là que je compris quelle ne mesurait absolument pas leffet quelle pouvait faire à un homme. Alors quelle retournait sasseoir elle se retourna et me dit très naïvement « En effet, beaucoup de mecs me tournent autour mais je pense que la seule chose quils veulent cest me prendre ma virginité »

Jamais je naurais imaginé quune si belle créature puisse être encore vierge. Javalai de travers et manquai de métouffer. Elle me demanda si ça allait. Je lui répondis quil fallait quon se remette au travail, parce que lheure avançait.

Cette deuxième heure de travail passa à une allure folle. Je ne pouvais mempêcher dimaginer ma belle face à moi, me dévoilant son intimité. Mais il fallait que je me raisonne, je ne pouvais pas la toucher.

Une fois le cours terminé, je la raccompagnai jusquà lentrée. Nous nous regardâmes fixement pendant plusieurs secondes, sans dire un mot. Puis elle sapprocha lentement de moi, prenant mes mains dans les siennes et me dit : « Jaime ta façon de me regarder, je me sens à la fois désirée et respectée. Aucun autre garçon ne ma déjà regardé comme tu le fais. Merci »

Elle approcha ses lèvres de ma joue pou y déposer un nouveau baiser. Ne tenant plus, je tournai la tête pour poser mes lèvres contre les siennes. Nous fûmes dès lors pris dans une espèce de tourbillon.

Tous nos sens étaient en éveil. Nos langues se mélangeaient tandis que mes mains caressaient sa poitrine par-dessus son débardeur. Je sentais ses seins durcir et sa respiration saccélérer. Elle se serrait contre moi et ondulait son corps. Je passai derrière elle tout en continuant mes caresses. Mes mains étaient désormais libres de parcourir sa poitrine, son ventre, le haut de ses cuisses. Sa petite taille me permettait de continuer à lembrasser sur les lèvres et dans le cou pendant que mes mains excitaient son corps. Je déboutonnai son pantalon et glissai ma main droite à lintérieur. Elle portait une petite culotte en satin. Je caressai sa vulve à travers ce doux tissus et sentis que ma belle mouillait abondamment.

Alors que je glissais le bout de mes doigts sous sa culotte, elle eut soudain un sursaut. Elle sécarta de moi et me dit « Je suis désolée Je ne suis pas prête »

Elle reboutonna son jean et se dirigea vers lextérieur. Sans me regarder elle sortit et séloigna. Quelques secondes plus tard, je reçus un sms de ma Lucie me disant « Je suis vraiment désolée, ce nest pas le bon jour. Tu ny es pour rien. »

Je me disais alors que les cours avec ma belle nauraient plus lieu, et je men voulais davoir été aussi stupide. Cest la règle n°1 ! Jamais avec une élève ! Je jurai quon ne my prendrait plus.

Quelques heures plus tard, mon téléphone se mit à sonner ; cétait la maman de Lucie. Mon cur saccéléra tant que je crus en mourir. Jétais foutu, Lucie, choquée aura tout raconté à sa mère et elle voudrait des explications. Mais jétais dans lobligation de décrocher, au moins pour donner ma version de lhistoire.

— Allô ?

— Oui bonsoir, ici la maman de Lucie

— Oui bonsoir ?

— Je me permets de te déranger car Lucie ma raconté votre après-midi et

A ce moment là jaurais voulu disparaître à jamais, des gouttes de sueur coulaient de mon front, mais elle continua :

— Et je suis ravie que vous ayez pu vous entendre aussi bien et travailler dans de bonnes conditions. Nous en avons discuté avec elle et nous aimerions quen plus du mercredi tu puisses lui donner des cours un soir dans la semaine, le vendredi par exemple.

Je ne savais plus quoi répondre, et après un blanc qui me parut interminable, je répondis quil ny avait aucun problème. Elle me donna alors rendez-vous le surlendemain.

Ces deux jours furent extrêmement chargés pour moi, mais quand vint le vendredi soir, je me sentis comme un gamin la veille de Noël. Jattendais mon élève favorite avec impatience. Vers 18h, la sonnette retentit. Avec calme, jallai ouvrir. Je fus étonné de voir Lucie accompagnée de sa maman. Cette dernière me dit :

— Je suis désolée davoir à te demander ça, mais avec le père de Lucie nous devons nous absenter pour le week-end et nous souhaitons te la confier.

— Je ny vois pas dinconvénient, si ça convient à Lucie, ça me convient.

— Alors très bien, faisons comme ça. Lucie, nous reviendrons te chercher Dimanche soir.

A peine la porte refermée, Lucie se jeta à mon cou, membrassa et me dit « Je suis sincèrement désolée pour mercredi Jespère que tu ne men veux pas »

Je lui fis un non de la tête et lui proposai de remettre notre séance de travail au lendemain.

Nous mangeâmes dans le calme, je narrêtais pas de ladmirer. Elle était si belle ! Elle portait un Jean et un petit haut rose, et ses manières me faisaient craquer.

Après le dessert, je lui proposai de regarder un film. Elle acquiesça et me demanda si ça ne me dérangeait pas si elle se mettait à laise.

Je neus pas le temps de répondre quoi que ce soit que ma belle fila vers la salle de bain en susurrant : « je file à la douche, attends moi »

Si vous souhaitez connaître la suite de cette histoire, vous savez ce que vous avez à faire ;)

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