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Ma belle-mère et moi – Chapitre 2

Ma belle-mère et moi - Chapitre 2



plusieurs semaines s’étaient écoulées.

Ma belle-mère s’est abstenue longtemps de revenir à la maison.

Je ne l’avais donc plus revue depuis longtemps, mais ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui s’était passé. et d’avoir envie que ça recommence …

Depuis peu de temps, peut-être par crainte qu’on ne la questionne à ce sujet, elle venait à nouveau chez nous, en veillant bien de téléphoner auparavant à mon épouse, afin de s’assurer que je serais au travail ce jour là.

Quand je revenais du travail, elle avait déjà quitté la maison depuis longtemps.

Si contrairement à moi, elle comptait ne pas avoir à renouveler l’expérience que je lui avais imposée, elle n’avait rien dit à personne et continuait à vivre comme si de rien n’était.

Un soir nous avions reçu des amis à souper. Après leur départ, j’entendis mon épouse discuter au téléphone. Je l’entendis dire à quel point la maison était maintenant sens dessus dessous.

Répondant aux questions posées que je n’entendais pas, je l’entendis dire que oui, je travaillais bien le lendemain.

C’était manifestement sa mère qui s’assurait de mon absence pour venir ranger la maison.

Le lendemain, après avoir quitté la maison pour me rendre au travail, j’attendis dans ma voiture garée à une centaine de mètre de notre maison.

je vis mon épouse quitter à son tour la maison, et ne l’ayant pas prévenue que j’avais pris un jour de congé, je rentrai à nouveau chez nous.

J’estimai le temps que ma belle-mère mettrait pour se rendre chez nous, et un peu avant son arrivée estimée, me cacha dans l’armoire de notre chambre au premier étage, en prenant soin de laisser entre-ouverte la porte afin de voir à l’extérieur.

Comme je l’avais supposé, j’entendis très vite la porte d’entrée s’ouvrir.

J’entendis la voix de ma belle-mère demander "il y a quelqu’un ?".

Sans la voir, je devinais à l’ouïe son comportement. Elle resta presque deux minutes dans le hall sans bouger, afin de s’assurer que rien ne bouge dans la maison.

je restai également sans bouger dans ma cachette.

Ma belle-mère semblait particulièrement méfiante. Elle quitta le hall et fit le tour de chaque pièce. Visiblement, elle s’assurait que la maison était bel et bien vide.

Rassurée de n’avoir trouvé personne, elle retourna dans le hall, se débarrassa de son manteau et entra dans une pièce du rez-de-chaussée.

Elle commença à faire la vaisselle, car j’entendais couler l’eau du robinet et les assiettes s’entrechoquer.

J’entendis également le bruit du torchon qu’elle frottait énergiquement sur le sol.

je commençais à trouver le temps long et me demandais pourquoi j’avais choisi de me cacher dans cette armoire, sans aucun plan particulier, et me demanda ce que j’allais faire.

Pourtant, je ressentais déjà l’envie d’enlacer ma belle-mère et savait que lorsqu’elle repartirait, je ne serais plus dans ma cachette …

Après un certain temps qui me parut éternellement long, j’entendis des pas monter l’escalier.

Ma belle-mère entra dans la chambre, un sceau à la main et une raclette dans l’autre.

Elle exprima un "Oh, la, la …" lorsqu’elle vit l’état de désordre de notre chambre. Pour ma part, j’y étais tellement habitué que cela me paraissait absolument normal.

Elle commença donc par ramasser le linge qui trainait par terre.

Elle portait un pantalon blanc et un chemisier mauve, fermé par une rangée de boutons sur l’avant.

Après m’être dit qu’elle était habillée bien "classe" pour faire du ménage, je ne pu que constater qu’aujourd’hui, je serais privé de spectacle.

En effet, son chemisier était fermé jusque très haut et, même penchée vers l’avant, je ne pourrais rien apercevoir.

Je pris quand même beaucoup de plaisir à la regarder s’affairer dans la chambre.

Je voyais sa poitrine qui bougeait de gauche à droite à chacun de ses mouvements, ce qui me faisait déjà fantasmer.

Elle attrapa une paire de chaussures de mon épouse et voulu les ranger à leur place, dans l’armoire.

Elle ouvrit la porte de l’armoire …

Un petit cri étouffé sorti de sa bouche en me découvrant, assis confortablement dans l’armoire (c’est une grande armoire :-)).

C’était plus un cri de surprise que de peur, mais elle recula tout de même instinctivement et tomba en arrière, pour se retrouver assise sur le lit.

Je ne pu que sortir de ma cachette et ne sachant absolument pas ce que j’allais dire ou faire, lui adressa simplement un "bonjour !".

Je savais qu’attendre à ce moment m’aurait moi-même déstabilisé et qu’il fallait agir tout de suite.

Même si je ne savais absolument pas ce que j’allais faire, je savais bien ce qui me motivait. Je devais juste savoir comment commencer.

Je m’approchai du lit et me mis à genoux devant ma belle-mère de façon à être à la même hauteur qu’elle.

J’approchai mes mains des boutons de son chemisier et aussitôt, elle referma ses bras devant elle.

J’attrapai alors le bas de son chemisier dans le dos et le souleva vers le haut. Son dos se retrouva à nouveau dénudé devant moi.

Ma belle-mère osa parler pour la première fois et me dit "tu es fou, pourquoi fais-tu ça ?". J’étais effectivement devenu fou, mais le pourquoi me semblait évident.

Je lui répondis naïvement qu’elle me plaisait beaucoup et que c’était une pulsion que je ne pouvais contrôler, ce qui était la pure vérité.

Elle essaya de me dissuader en me disant à quel point c’était mal et qu’il ne fallait pas faire ça.

Je répondis que quoi qu’elle dise, on passerait toute la journée ensemble et que l’on ne ferait pas que du ménage.

Elle me surpris alors beaucoup: résignée, elle me proposa alors de me laisser voir sa poitrine, si après je la laissais tranquillement faire le ménage afin que mon épouse ne pose pas de question sur son occupation, si la maison n’était pas rangée à son retour.

Je trouvai cette proposition parfaitement à mon gout et lui demanda de déboutonner son chemisier.

Elle s’exécuta lentement et avec un manque flagrant de motivation et, après avoir ouvert tous les boutons de son chemisier, en écarta les pans.

J’avais son soutien de face, juste devant moi. Elle me regardait sans me laisser deviner quoi que ce soit dans son regard, mais manifestement espérait que cela se termine au plus vite.

J’approchai mon visage de sa poitrine et déposa un baiser sur celle-ci.

Mes mains se posèrent sur ses seins et je commençai à malaxer sa poitrine à travers le tissu.

Au bout de quelques secondes, mes mains tirèrent vers le bas les bonnets de son soutien-gorge et ses seins apparurent devant moi.

Ils étaient comme je les avais imaginés: larges et fermes. Au centre de deux larges aréoles foncées, se dressaient d’imposants tétons.

Un frisson me parcouru en découvrant ce spectacle, je posai ma bouche sur un téton et commença à le mordiller.

Pendant ce temps, ma main pelotait sans retenue son autre sein.

Nous restâmes comme cela pendant de longues minutes. Moi, tel un enfant accroché au sein de sa mère, elle, immobile, attendant que je sois rassasié.

Au bout de quelques minutes, ma bouche passa de ses seins à sa bouche.

Elle maintenait sa bouche fermée, mais étant donné mon insistance, fini par me laisser l’embrasser à pleine bouche.

Je ne me lassais pas, embrassant maintenant son cou, son menton, son visage, ses seins, sa bouche, …

Mes mains se posèrent alors sur ses cuisses et, comme dans un sursaut, ses mains vinrent aussitôt sur les miennes pour les repousser.

Comme si c’était un signal, je me levai, l’embrassa encore une fois et la remercia sans manquer de la complimenter sur se beauté.

Ayant compris que j’étais calmé, elle reboutonna prestement son chemisier.

Pendant toute le journée, je l’aidai à faire le ménage. C’était bien la première fois et en sa compagnie, cela me fit même plaisir.

Nous restions tous deux sans mot dire, mais je ne pouvais me contenter de l’admirer pendant qu’elle dépensait toute son énergie dans son travail.

Pour sa part, elle évitait de croiser mon regard et restait silencieuse.

Un peu avant midi, je me rendis dans la cuisine et prépara rapidement quelque chose à manger (étant très mauvais cuisinier, je ne précise pas ce que c’était).

Une fois prêt, je l’appela pour venir manger.

Comme à son habitude, elle mangea à toute vitesse, avant de tout de même déclarer "on y est presque, au plus vite on recommencera, au plus vite on aura fini". Et elle se leva.

Elle était très polie, elle aurait du dire "au plus vite je recommencerai", car bien que motivé, je n’arrivais pas à être aussi efficace qu’elle dans les taches.

je me levai également et la suivi vers le salon ou elle comptait reprendre les activités qu’elle avait abandonnées.

Je ne pouvais m’empêcher de l’admirer pendant qu’elle marchait devant moi.

Alors que je l’avais côtoyée pendant de longues années, sans aucun sentiment particulier pour elle, je la trouvais maintenant si attirante.

Tout en marchant, je me rapprocha d’elle et posa mes mains sur ses fesses.

Elle s’arrêta net, et sans même se retourner me dit simplement que l’on ne devait pas, que de toute façon, on avait pas fini le ménage, sans plus de protestation.

Sans tenir compte de ses paroles, je pressai mon corps contre le sein et commençai à caresser son cou.

J’étais toujours plaqué contre son dos et je dus lui faire tourner la tête afin de pouvoir l’embrasser.

Mes mains caressèrent à nouveaux ses fesses que je trouvais fermes et agréables à toucher, malgré qu’elle avait l’age d’être ma propre mère.

Mes mains se dirigèrent vers sa poitrine que je caressais maintenant à travers le tissu de son chemisier.

Ses mains tentaient bien de repousser les miennes, mais elles manquaient de fermeté, car je pense qu’elle savait que rien ne pourrait m’arrêter.

Au bout de quelques minutes de ce régime, je la fit se tourner face à moi, l’attrapai sous les fesses et la souleva du sol.

Tout en exprimant de la surprise, elle ne put que se résigner à me laisser la porter vers le sofa du salon.

Je la laissai tomber lourdement sur le sofa, et m’allongea à côté elle.

Je l’embrassa à nouveau, tout en défaisant un à un les boutons de son chemisier.

Elle ne tenta même plus de s’y opposer, sachant qu’elle ne ferait que perdre son temps et préférant peut-être en finir au plus vite.

Une fois son chemisier ouvert, je la fis se rassoir et le lui enleva complètement avant de dégrafer son soutien-gorge.

Doucement, je la poussa à nouveau vers l’arrière afin de la coucher, seins nus, sur le sofa.

Je repris mes baisers et mes mains baladeuses.

Après de longues minutes de ce régime, mes mains passèrent sous elle et je me mis à caresser ses fesses.

Elle me laissa faire mais tenta de m’empêcher lorsque je commença à tirer son pantalon vers le bas.

Ce fut en vain et elle se retrouva vite devant moi vêtue de sa seule petite culotte.

Je repris mes caresse et simultanément, me déshabilla aussi.

Je vis alors son regard changer et se poser sur mes pectoraux dont je suis assez fier. Elle ne présenta aucune résistance lorsque je maintins son visage contre mon torse.

Elle commença à embrasser mes pectos, puis mes abdos, avant de mordiller mes tétons. Cela mexcita terriblement et je retirai aussitôt mon slip.

Elle compris que plus rien ne m’arrêterait et tentât un retour en arrière.

C’était trop trad, j’attrapai son visage et le portai face à mon sexe qui était dressé et dur à en faire pâlir de jalousie un acteur de film porno.

Après quelques secondes de résistance, elle compris que je n’abandonnerais pas, ouvrit la bouche et laissa mon membre entrer dans celle-ci.

Pendant qu’elle me suçait, mes mains malaxaient ses seins et malmenaient dans tous les sens ses tétons.

Après de longues minutes, je me retirai de sa bouche et retira sa culotte.

Elle ne résista pas et ses mains vinrent empoigner ma taille pour m’amener contre elle. Je la pénétrai sans aucune difficulté, tellement elle était mouillée.

Des cris commencèrent doucement à s’échapper de sa bouche au même rythme que mes va-et-vient.

Je pris ses mains et les posèrent sur ses seins. Elle commença à malaxer se propres seins puis, sentant mon excitation grandir, souleva l’un de ses seins et pris son téton dans sa bouche avant de le sucer goulument.

A voir ma belle-mère se donner de la sorte, je su que ce ne serai pas notre dernière expérience.

Après plus d’une heure de caresses et pénétrations, j’éjaculais dans le même temps ou elle arrivait au sommet de son orgasme.

Sans mot dire, nous nous rhabillâmes avant de terminer enfin le ménage.

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