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Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel – Chapitre 3

Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel - Chapitre 3



On s’appelle dans la semaine, on se remémore nos bons moments, dont celui devant la glace et qu’elle a apprécié autant que moi. Je lui propose alors d’acheter une grande glace dans un magasin de bricolage.

Les jours me sont interminables à l’attendre, et enfin le lundi arrive.

Je suis chez elle de bonne heure avec mes achats (miroir et poireaux). Comme les autres lundi, on a prévu une matinée chaude, coquine et raisonnable, et une après midi beaucoup plus hard.

Le matin se passe par une bonne baise comme en connaissent beaucoup de couples: fellation, cunnilingus, baise par la chatte, 69, sans oublier les caresses et les roulages de pelles. Elle me fait jouir deux fois et avale tout, je la fais jouir à répétition et m’empiffre de sa cyprine. On se fait un câlin, on déjeune, et on va pouvoir passer à la deuxième partie de notre journée, la partie débridée.

On est au salon, à poil, face à face, elle dans fauteuil, cuisses relevées sur les accoudoirs, et moi debout, un pied au sol et l’autre sur le dossier du canapé, cuisses bien ouvertes.

Elle s’amuse ave c son gode fin, et moi avec le plus petit des poireaux, de la taille de son jouet. Chacun se gode, s’exhibe, gémit de plaisir. Ces petites bites improvisées pénètrent sans aucune difficulté, et on va passer au calibre supérieur, avec les deux superbes poireaux aussi gros que ma queue. Nos petits trous ne sont pas habitués à de tels calibres, et on serre les dents, on grimace, à chaque tentative pour se l’enfoncer. On a tant attendu cet instant que l’on ne veux plus reculer. A force d’insister on parvient à faire passer la tête, plus large que le reste du blanc, comme un gros gland monté sur une hampe moins épaisse.

On s’expose, on se mâte, on veux savoir où en est l’autre pour ne pas être en retard. On gémit de plus en plus fort, et on continue notre exploration anale. On fait des vas et viens, de plus en plus profonds, jusqu’à se mettre une quinzaine de centimètres, presque autant que ma queue.

La douleur initiale a disparue, remplacée par le plaisir, et on décide de passer à la suite.

On se dirige vers la chambre avec le poireau qui pend entre nos fesses. On avait préparé le terrain en installant la grande glace couchée sur deux chaises. On s’installe côte à côte, à genoux sur le lit, la tête sur le drap, on se gode à nouveau et on peut se voir dans la glace en regardant entre nos jambes: c’est bon, c’est beau, on a les culs qui font de l’huile.

Je me redresse et Anne-laure reste en place. Je m’agenouille, sa tête entre mes jambes et je saisis son poireau tandis qu’elle prend le mien. Elle va me limer en douceur tandis que je vais la matraquer:

— Salope, regarde toi bien putain, regarde ce manche que tu as dans le cul, je vais te le mettre bien profond. Tu aimes ça salope, ne bouge pas, tu vas encore plus aimer la suite.

— Vous allez faire quoi?

— Je vais le ressortir entier, puis je vais te transpercer l’illet plusieurs fois, avec ce bel embout.

— Non, vous allez me faire mal.

— Non, ça devrait aller, mais ne t’en fais pas, on arrête quand tu veux.

— Ok, je vous fais confiance, allez-y.

Je fais comme j’ai dit, je sors son joujou, puis le remet et le retire la tête à maintes reprises. Elle pousse des petits cris au début, puis s’habitue et ne me demande pas de stopper:

— Ca te plait petite vicieuse, de te faire éclater la rondelle?

— Oui, c’est bon, je n’aurais jamais cru.

— Il est beau ton cul, c’est bon de voir ce que tu prends, tu me fais trop bander, salope.

— Enculez moi, j’ai envie de votre queue.

— Non ma chérie, pas aujourd’hui, il ne faut pas brûler les étapes. On a dit la prochaine fois, quand tu auras ton gode pour me rendre la pareille. Mais ne t’en fait pas, tu vas l’avoir ma queue, ailleurs que dans ton petit trou. Mais si tu veux je peux y mettre ma langue dans ton cul.

— Oui, faites vous plaisir, vieux cochon.

Je sors de dessus le lit et je m’installe tandis qu’elle écarte ses fesses. Je retire le poireau puis je me vautre la gueule dans sa raie, je plonge ma langue dans son anus dilaté et lèche ses parois. Je remets le poireau, le retire, le suce, lèche son trou et recommence plusieurs fois. Elle me vois faire dans la glace:

— Vous êtes un salaud, un gros porc dégueulasse. Profitez-en encore de mon beau et jeune cul, et ensuite ça va être à moi de m’occuper du votre.

On avait en effet convenu que j’allais la matraquer le premier, et que ce serait son tour.

On reprend la position, en changeant les rôles. Je suis à quatre pattes et elle est à genoux autour de ma tête. Je lui gode le cul tendrement, et elle va m’éclater le mien.

Elle me ramone avec ce beau légume, aussi fort que je l’ai ramonée, aussi profond, et joue à le ressortir et le replanter rapidement, jusqu’au vert. J’ai tout le blanc en moi, comme elle auparavant, près de vingt centimètres. Je gémis, je grogne, je l’encourage:

— Hummm, c’est bon salope, vas-y, casse moi le cul.

— Oui, je vais vous le démolir votre gros cul de pédé. Quel enculé vous êtes! Dommage que je ne sois pas un homme avec une grosse queue, je vous l’éclaterez votre putain de trou.

— Tu pourras bientôt, quand tu auras ton gode.

— Oui, vous ne perdez rien pour attendre, je vous monterez comme un chien. En attendant dégustez bien ce beau poireau, cochon, vicieux………………………………….

On continue encore un peu la séance, puis on stoppe. Je lui ai limé le cul en même temps qu’elle, mais avec tendresse. On a tous les deux la rondelle bien ouverte, légèrement endolorie, et on se fait un 69 anal, on se lèche l’illet pour de douces sensations réparatrices.

On se lève et on va sur internet pour choisir le gode que je commanderai chez moi. Je m’installe sur la chaise, je trique comme un âne, et elle vient sur moi, de dos, et je sens son huître brulante et dégoulinante coulisser sur mon gland, mon manche, jusqu’aux couilles. Elle monte et descend lentement tout en pianotant sur son clavier.

On a mesuré la taille des poireaux et on cherche un gode ceinture équivalant. Il y en a beaucoup, et qui la mettent en appétit. Finalement on en trouve un légèrement plus gros que prévu (22×4,5), souple, amovible et qui s’adapte aussi aux hommes. C’est celui là qu’elle choisit, pour je m’en serve en cas de panne, ou pour s’en servir comme d’un simple gode. Elle relève le site et les références.

Elle continue à faire du yoyo sur ma colonne, et je sens sa chatte de plus en plus ruisselante. Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps et elle veut repartir sur le lit pour me sucer devant la glace. On s’installe de façon qu’aucun des deux ne manque le spectacle. Ma queue est bien dressée, toute huilée de sa mouille ainsi que mes couilles, et elle me pompe, me bouffe le paquet, sans perdre de temps. Je me lance dans mes paroles grasses qui lui plaisent autant qu’à moi:

— Oh Anne-laure, ma putain, tu es trop bonne. Quelle chance j’ai eu de te rencontrer, je n’y crois pas. Si belle, si jeune et si salope! et encore on n’a pas tout essayé! Tu es géniale, petite cochonne.

— Merci, mais je de la chance moi aussi. Il y a plein de vieux vicieux, de gros pervers, des porcs, mais il faut y tomber dessus. Et moi je suis tombée sur le pire de tous: un vieux gros porc vicieux et pervers qui me veut comme sa pute, mais aussi qui veut être ma pute, qui m’offre son cul de salope.

— Oh oui, j’aime quand tu me parles comme ça, tu es aussi chienne que moi. Suce moi salope, pompe, pompe putain, vide moi les couilles.

Elle ne parle plus et s’active sur ma bite. Je balance une première giclée, suivie d’autres.

— Humm, c’est bon ça madame, c’est de la bonne petite gourmande qui aime le jus de couilles. Avale, avale tout salope, il est bon mon sperme, bouffe tout……………………..

La séance est finie et on se fait un câlin avant que je ne rentre chez moi.

Je commande le gode le soir même et je le reçois à temps pour le lundi suivant.

Toujours le même scénario pour le matin: je suis chez elle de bonne heure et on s’offre une longue baise classique. On ne touche pas à nos petits trous, on les réserve pour l’après midi.

On a fini de manger, bu le café, et on part à la chambre. Je n’ai pas encore déballé notre joujou, et on tombe en admiration devant ce phallus de rêve. Elle est presque jalouse de voir ce qu’elle va me mettre, alors qu’elle devra se "contenter" de ma queue plus petite quoique de dimension appréciable.

On se fait un 69, elle sur moi, elle me met la bite en condition et je prépare son fion avec mes doigts et ma bouche. On est prêt, et je vais pouvoir enfin la prendre par derrière, pour la première fois.

Son cul est étroit et je dois forcer le passage. Elle pousse des petits cris, des cris d’encouragements, salope. Je suis tout en elle et savoure cet instant magique:

— Oh Anne-laure, ma petite salope, ma coiffeuse préférée, il est trop bon ton cul. Dès le premier que je t’ai vu c’est ton cul que j’ai remarqué, ton cul et tes yeux magnifiques. Tu ne peux pas imaginer les heures que je passais à m’astiquer le manche après chacune de tes coupes , le nombre de queues que je me suis tapées pour toi, les quantités de foutre que j’ai éjaculé. Et enfin je réalise mon rêve, je t’encule petite pute, je t’encule, je t’encule…

Je m’active entre ses miches et je ne cesse de l’insulter, de répéter que je l’encule comme pour être sûr de ne pas rêver. Elle gémis, couine, miaule, m’encourage avec des mots grossiers elle aussi, des insultes.

Je commence à fatiguer, je vais bientôt jouir, et je lui propose de la sodomiser avec le gode, après avoir fini dans sa bouche, si son putain de trou a encore faim. Elle trouve que c’est une excellente idée. Je me saisis du gode, je salive dessus pour le lubrifier, je me retire et lui plante vite fait. Elle a juste le temps de pousser un petit cri qu’il est bien enfoncé en elle, et qu’elle apprécie déjà ce calibre.

Je viens dans sa bouche et je lui baise la gueule en douceur :

— Salope, on a dit qu’on ne baisait qu’à deux et je respecte. Mais je suis sûr que ça te ferait du bien un plan à trois ou quatre, une vraie queue bien juteuse dans chacun de tes putains d’orifices….

Je reste dans sa bouche et elle ne peux répondre. Je décharge enfin et elle engloutit tout, comme à chaque fois.

Je reviens derrière elle, je fixe le gode à ma taille, et je lui mets une deuxième ramonée sévère. Elle finit par demander grâce. Je me retire, enlève mon matériel, et on s’affale sur le lit, épuisés l’un et l’autre.

On se repose un moment, on récupère, puis c’est à son tour de m’enculer.

On a repris des forces, et elle s’équipe. Elle se regarde dans la glace, se trouve belle, et caresse sa queue en me disant que si elle était un mec elle se branlerait en permanence.

Elle me prépare le fion, le lèche, le fouille, puis je sens son gland se coller sur ma rondelle. Elle pousse fort, et je sens le gode s’enfouir en entier. Elle se met en mouvement et me sodomise virilement tout en me servant des obscénités et insultes. Je gémis comme un chien., grogne comme un porc, l’encourage à me casser le cul.

Elle continue à me matraquer, ça l’amuse, ça l’excite, elle n’aurait jamais cru prendre du plaisir ainsi.

Elle m’a bien baisé, se retire pour prendre son petit gode simple et me l’introduire sans aucune difficulté.

Elle est maintenant devant moi et veut que je la suce. J’obéis, et en même temps que je pompe son beau sceptre je me gode avec son petit jouet qu’elle m’a mis. Elle me regarde faire:

— Quel salaud vous êtes, dommage que je n’ai pas de sperme à vous offrir, je pense que ça vous aurait plu. Vous êtes une salope vous aussi, c’est bon une bite dans chaque trou, vieux vicieux…

Elle me baise la bouche, comme je lui ai fait, puis on met fin à la séance. On se repose et elle me pose une question:

— Vous n’avez jamais essayé avec un homme?

— Non, je n’ai jamais eu l’occasion.

— Ca vous dirait un partenaire avec une grosse queue comme notre gode?

— Je pense que oui, mais dis moi, tu penses à quoi?

— Je connais quelqu’un, mais il faut que je vois s’il est d’accord.

— Et apparemment tu connais sa queue? Je croyais que tu n’avais eu que deux relations.

— C’est un petit oubli. Mais promis je vous raconte tout la prochaine fois, et je l’aurais appelé entre temps.

— C’est un jeune?

— Je ne veux rien vous dire tant que ce n’est pas fait, patientez huit jours et vous saurez tout.

— Ok petite salope, tu m’excites.

— Je le sais vieux cochon.

On discute d’autre chose et puis je m’en vais.

A suivre…

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