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Ma famille, mes amours – Chapitre 6

Ma famille, mes amours - Chapitre 6



Chapitre VI

Le lendemain matin de bonne heure, Martine et moi vêtue d’une nuisette blanche à petites fleurs bleues pâles ultra courte et d’un string uni blanc, rangeons la cuisine et surtout la terrasse, où les reliefs du repas d’hier traînent encore. Martine ramasse nos robes noires qui sont restées sur le sol et en me regardant me dit :

« C’est vrai que nous sommes quand même des salopes, comment veux-tu qu’avec ce bout de chiffon comme seul vêtement ils aient pu résister. Même un saint homme se serait damné ».

« Oh tu sais ils adorent çà, tous ces petits détails permettent aux couples de résister à l’habitude. J’ai d’ailleurs promis à mon Pierre de tout mettre en ouvre pour qu’il soit fier de mon corps. En plus de la condition physique que je ne néglige pas, ces petites choses nous aident à les maintenir dans nos filets. D’ailleurs, prend l’habitude dès maintenant, consacre une heure ou deux chaque jour à l’entretien de ton corps, viens courir avec moi le matin et fais ensuite quelques longueur dans la piscine. Cà et une visite hebdomadaire au salon d’esthétique, te donnerons du tonus et ton corps te remerciera plus tard ».

« Ok, pas de problème personne n’est levé, le ménage est fait, si on commençait maintenant, je vais me préparer ».

Ayant passé un short, un tee-shirt, une paire de chaussettes et des baskets, nous partons faire notre footing après avoir laissé un mot sur la table. Une heure plus tard, quand nous rentrons rien n’a changé, il n’y a toujours personne de levé, nous enlevons nos vêtements trempés de sueur, passons sous les douches extérieures et puis, piquons une tête dans la piscine. Après plusieurs longueurs, nous sortons de l’eau et nous exposons aux rayons bienfaisants du soleil chacune sur une serviette de bain. C’est dans cette position que nous trouve Pierre, il est passé à la salle de bain, il sent bon, j’adore l’odeur de son eau de toilette, il est vêtu d’un simple boxer qui moule adorablement son petit cul et laisse deviner par la bosse qu’il fait sur le devant la présence de son sexe au repos. Il vient s’asseoir entre nous, m’embrasse longuement puis embrasse Martine. Il se couche, et nous venons nous blottir contre lui, il passe un bras et nous enlace toutes les deux. Nous sommes bien, ses mains caresses nos flans, le soleil réchauffe nos corps, nous ne bougeons plus et nous nous laissons emporter par ce bien être qui s’empare de nous. Un quart d’heure plus tard, c’est Michel qui fait son apparition, lui aussi s’est douché et sent bon l’eau de toilette, il vient nous embrasser, s’assied près de Martine, dépose des petits baiser dans son cou et le sur ses bras, je la vois frissonner et regarder Michel de ses grands yeux remplis d’amour.

« Alors » dit Michel, «les tourtereaux ne sont toujours pas levé ? »

« Non » répond Pierre, « et vu l’heure à laquelle les sirènes se sont tues, nous ne sommes pas près de les voir ».

« Pourquoi, la fiesta a duré longtemps, parce que moi je crois que je me suis endormi de suite ».

« Et bien je me suis levé vers cinq heures pour boire un coup et vous pouvez me croire, çà chauffait encore pas mal ».

Je me mis à rire, «mais elle va me le tuer mon petit chéri ! Il faut peut être que j’aie voir ! »

« Oui c’est çà » me dit Martine, « pour l’achever ».

Je donne une petite tape sur les fesses de Martine et nous éclatons tous de rire. C’est à ce moment qu’apparaît Simon, ou plutôt le spectre de Simon, il est là, debout, entièrement nu, l’air hébété, pas rasé, les cheveux en bataille, le sexe et les testicules qui pendouillent tristement. A sa vue, nos rires redoublent, Pierre et Michel se roulent sur le sol en se tenant le ventre, Martine s’est accrochée à moi, la tête entre mes seins elle rit tellement, qu’elle doit faire un effort pour reprendre son souffle, quand à moi les larmes coulent sur mes joues et se perdent dans les cheveux de Martine.

C’est Michel le premier qui reprend son calme, il regarde Simon,

«Dis frérot, çà fait longtemps que tu marche dans le désert, ne bouge pas je t’apporte une gourde, tu dois être déshydraté ? »

« Non » dit Pierre, « va plutôt chercher la pompe sur le vélo, il faut le regonfler ».

A ces mots, c’est à nouveau une explosion de rire.

«Quand vous aurez fini de vous foutre de ma gueule vous me le direz ! »

Pierre va prendre une chaise et fait asseoir Simon.

« Vas y frérot raconte, tu l’a maté ta petite jument sauvage ? »

A ce moment arrive Nathalie, elle est fraîche, pimpante, un grand sourire éclaire son visage, ses yeux brillent de mille feux. Elle porte un bikini blanc que lui a donné Martine et qui fait ressortir sa jolie poitrine et son léger hâle. Elle nous embrasse tour à tour et va se placer derrière Simon en posant ses mains sur ses épaules. Le contraste est stupéfiant, en les regardant, nous avons l’impression qu’elle l’a vidé de toute substance à son profit. Elle se penche à son oreille et lui demande d’aller prendre sa douche.

« Tu veux que je t’accompagne mon amour ? ».

« Non, non, laisse moi respirer, j’en sortirais seul, merci ».

Simon se lève, en traînant les pieds, il part se doucher, nous passons sur la terrasse, nous asseyons et je demande à Nathalie :

« Alors, raconte, c’était comment ? »

«Oh, c’était merveilleux, je n’ai pas arrêté de jouir toute la nuit, il m’a prit dans toutes les positions, je ne m’imaginais pas que l’on pouvait sentir autant de plaisir avec un homme, je ne pourrais plus me passer de lui, si vous saviez combien je l’aime ».

« Eh bien, pour une petite oie blanche tu te poses un peu là ».

« Oh mais c’est parce que j’ai de bons professeurs ! ».

Martine apporte le thé, le café et le jus d’orange, nous prenons enfin notre petit déjeuner, Pierre me tend un toast qu’il a beurré et recouvert d’une fine couche de confiture de fraise, celle que j’aime. Je le remercie et le regarde avec amour, c’est par ces petits gestes que je vois à quel point il m’aime, il a pour moi un tas de petites attentions qui me vont droit au cour et qui me font comprendre combien je suis heureuse.

Les vacances se passent très bien, Nathalie s’est parfaitement intégrée, pendant l’une de nos soirées, elle s’est offerte à Pierre et à Michel, le temps passe très vite, je n’avais qu’un mois de congé et j’ai repris le boulot à mi-temps. Août et septembre sont passés, les parents de Nathalie sont rentrés mais sous prétexte d’inscription à la fac, de documents à fournir, Nathalie est toujours avec nous. Un soir que nous sommes seules sur la terrasse, elle m’ouvre son cour, me dit comme elle est bien avec nous, combien elle aime notre façon de vivre, de nous aimer. Elle me dit qu’elle voudrait rester, que la vie chez ses parents n’est plus possible, qu’elle est majeure mais qu’elle a peur que ses parents lui coupent les vivres.

« Laurence, je ne sais pas que faire, aide moi ».

« Ecoute ma chérie, je sais à quel point tu aimes mon Simon, et combien tu nous aimes tous, si c’est ton souhait, je vais en parler avec tes parents, demain après-midi je les rencontrerais ».

« Oh merci, tu es un amour, je peux aussi … Non, rien excuse moi ».

« Ne craint rien, tu peux me parler franchement ».

« Oui, je sais mais plus tard, oui, plus tard ».

« Bien comme tu veux ».

Toute la matinée, j’échafaude des plans qui me permettraient d’influencer les parents de Nathalie, c’est vrai qu’elle est gentille cette petite et comme elle aime mon Simon, il faut que mon intervention réussisse.

A treize heures je rentre, je vais me rafraîchir, met une tenue moins austère que celle que je porte au bureau, appelle Nathalie et nous partons chez ses parents. Arrivées chez eux, nous sommes reçues par sa mère, c’est à peine si elle daigne embrasser sa fille, son air distant me révolte, mais je dois faire contre mauvaise fortune bon cour. Je lui tends la main, la complimente sur son intérieur (qui est comme elle, sec et sans âme), et entre directement dans le vif du sujet.

« Vous n’êtes pas sans savoir que mes trois fils sont inscrits à l’université tout comme votre fille, j’ai eu l’opportunité d’obtenir en location (et çà c’est vrai) un petit appartement proche de la fac, il est composé d’un petit living, d’une cuisine équipée et de trois belles chambres. Une des chambres possède des lits jumeaux et les deux autres un seul lit (mais çà c’est pas vrai, c’est trois lit de deux personnes), si vous êtes d’accord, deux de mes fils dormiraient dans la chambre aux lits jumeaux et ainsi il pourrait y avoir une chambre pour mon troisième fils et une chambre pour votre fille. Bien sûr, tout est payé et pour votre fille, se serait gratuit ».

Le mot gratuit a éveillé son intérêt, avec un sourire qui ne remonte qu’un coin de ses lèvres, elle me remercie et me demande à réfléchir, qu’elle va en parler avec son mari. A ces mots, je vois la panique dans les yeux de Nathalie qui croit la cause perdue. J’ai encore des atouts dans mon jeu, et je reviens à la charge.

« Je suis désolée, mais je ne peux attendre, une autre personne est intéressée et je lui ai promis ma réponse en bien ou en mal pour ce soir. Votre mari n’est pas présent, vous ne pouvez pas lui en parler maintenant ? »

« Je comprend chère Madame, je vais tenter de le distraire de son travail, un instant »

Peu de temps après, le père arrive, dès que je l’aperçois, je sais déjà qu’il n’en a rien à cirer de sa fille, ni de ses études.

« Bonjour Madame, pourquoi me dérange t’on ? »

J’explique à nouveau à son intention le but de ma visite, il me regarde avec un regard vide d’humanité, et me répond :

« Mais c’est parfait, cela résout nos problèmes, elle pourra rester l’année dans cet appartement puisque nous serons absents pendant plusieurs mois, je te verserais le nécessaire pour ton entretien et tes études, tu te débrouilleras pour ton linge et tes repas ».

« Puisque vous devez vous absenter, ne serait-il pas plus judicieux qu’elle reste chez moi, de cette façon vous n’auriez pas à vous inquiéter, elle reviendrait en voiture avec mes fils passer le week-end à la maison et ainsi pourrait entretenir son linge sans que cela ne vous coûte lavoir et blanchisserie. Et de cette façon, j’aurais toujours un oil sur elle ».

« Vous avez, Madame de très bonnes idées, je suis d’accord, et mon épouse aussi, quand viendrez-vous la chercher ? »

« Mais elle va prendre ses affaires et je l’emmène de suite, j’ai moi-même un horaire chargé et je ne peux vous promettre d’encore pouvoir me libérer dans la quinzaine qui vient. En outre avec les problèmes d’inscription, elle devra certainement se rendre au secrétariat de la fac cette semaine et peut être à plusieurs reprises ».

« Nathalie, ne fait pas attendre cette dame, tes bagages devraient déjà être fait, quelle gourde tu fais ».

Nathalie s’éclipse, son père disparaît, je reste seule avec la mère. Nathalie revient dix minutes plus tard avec un sac de sport rempli.

« C’est tout ce que tu emportes, tu as encore oublié la moitié ! »

« Non, j’ai pris le nécessaire, j’ai encore du linge à la maison . euh chez Laurence »

« Embrasse tes parents et partons, j’ai encore mille choses à faire cet après midi »

Nathalie embrasse sa mère, passe dans l’autre pièce pour embrasser son père et revient en courant. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle a rangé son sac dans le coffre et est assise dans la voiture. Sur un signe de la main, je démarre et m’éloigne de la maison.

Deux kilomètres plus loin elle me demande de m’arrêter sur le bas côté de la route, une fois la voiture stoppée, elle pose la main sur mon bras et me regarde les yeux pleins de larmes

« Hier soir, je voulais te poser une question mais je n’ai pas pu, maintenant je crois que c’est le bon moment, Laurence, comme les autres je peux t’appeler maman »

« Oh oui ma chérie, oui mon petit ange je serais ta maman de cour, ton amie, ta confidente, je t’aime mon trésor ».

Nathalie vient dans mes bras, je la serre contre moi et l’embrasse sur le front, je lui fais un gros câlin et nous reprenons la route vers notre maison.

Un quart d’heure plus tard, nous rejoignons Martine et les trois garçons qui nous attendaient assis sur la terrasse.

« Mes enfants j’ai une nouvelle petite fille, elle restera dorénavant avec nous ».

« Une bonne nouvelle çà s’arrose, Michel fait le service » dit Pierre.

Michel revient avec des coupes et deux bouteilles de champagne. Du champagne !, des images pas si lointaine me reviennent à l’esprit, je me vois dans le divan, mes fils autour de moi, leurs mains qui courent sur mon corps, leur bouche qui me couvrent de baisers, leur langue, leur sexe, mon ventre se contracte, mes seins durcissent, j’ai une envie folle de faire l’amour. Comme toujours, Martine est attentive à tout ce qui me concerne, elle parvient à lire en moi comme dans un livre ouvert. Elle passe derrière moi, pose ses mains sur mes épaules, descend doucement sur ma poitrine, défait un à un les boutons de mon chemisier et l’enlève. Je ronronne déjà de plaisir, les bretelles de mon soutien gorge glisse sur mes bras, il va rejoindre mon chemisier. Martine se penche vers moi et m’embrasse, sa langue fouille ma bouche, nos salives se mélangent, une main remonte entre mes cuisses, je m’offre complètement en écartant les jambes et ma chatte est caressée au travers de mon string, je pousse un gémissement et m’ouvre encore plus, des doigts passent sous le string, écarte mes lèvres et pénètrent mon vagin. Je sens une bouche qui embrasse mon pubis, elle descend, saisi mon clitoris, le suce, l’étire. Martine a abandonné ma bouche pour se consacrer à mes seins qu’elle pétrit et dont elle pince les bouts. J’en profite pour regarder, c’est Nathalie qui est entre mes jambes, c’est elle qui de sa langue m’emporte vers un orgasme voluptueux.

Les garçons n’ont pas bougé de leur chaise, leur sexe en main, ils se masturbent lentement.

A la vue de ses trois belles queues dressées, Martine et Nathalie commencent un effeuillage du plus bel effet, les garçons sont en extases devant ses deux jeunes beautés aux seins tendus et au sexe humide. Je ne veux pas être en reste, moi aussi mes seins sont tendus, les pointes dressées réclament des attentions, je fais glisser ma jupe sur le sol, enlève mon string et viens m’agenouiller entre les jambes de Pierre. Martine fait de même avec Michel, et Nathalie s’occupe de son chéri. Les bouches se mettent en action, les queues sont sucées, mordillées, les testicules sont gobés, malaxés, pétris, les sexes pénètrent au fond de nos gorges, les garçons gémissent, poussent leur bassin vers nous et c’est l’explosion, les bites tressautent et libèrent de longues giglées de sperme onctueux. Nous n’en perdons pas une goutte et nous nous embrassons toutes les trois en échangeant ce mélange salé.

Les garçons soufflent, j’attire Nathalie près de la piscine, nous nous couchons sur une serviette de bain et nous nous enlaçons. Je fais un petit signe de la main à Martine pour l’inviter à nous rejoindre. Je la vois courir vers la maison, elle revient peu de temps après avec la trousse qui contient nos jouets.

« Nous allons leur faire une petite démonstration, vous allez voir comme il vont vite rebander ».

Martine sort les accessoires, elle me tend un plug que j’humidifie de salive et que je viens présenter devant la petite rondelle de Nathalie. J’appuie légèrement une première fois, puis y vais carrément d’un coup sec, Nathalie pousse un petit cri et le plug est avalé et bien fixé dans son rectum. Martine a saisi l’autre plug et me l’a enfoncé entre les fesses, couchées côte à côte, nous nous masturbons mutuellement. Martine nous met un gode métal en main, nous nous l’enfonçons profondément dans la vagin et commençons des va et vient de plus en plus rapide. Martine s’est empalé le cul sur le double gode et enfonce les boules de geisha dans son vagin. Les garçons ne nous quittent pas des yeux, avec leur sexe à nouveau dur et tendu, il s’approche de nous et restent un moment à nous contempler en se masturbant lentement. J’enlève le gode, et tend les bras à mon Pierre, il s’agenouille entre mes jambes et vient me lécher, il recueille ma liqueur, la savoure, j’ai le clitoris en feu, dès qu’il le prend entre ses lèvres, je jouis, un orgasme envahi mon corps, je veux refermer les jambes mais il s’est relevé et me pénètre violemment, sa queue écarte mes chairs, frotte sur ma paroi distendue par le plug, le second orgasme est là succédant immédiatement au premier, je deviens folle, je crie, hurle, j’enfonce mes ongles dans son dos, je pousse comme pour aller à la toilette et expulse le plug, c’est alors qu’il me laboure au plus profond de mes entrailles, je sens le gland battre contre mon utérus et une chaleur m’inonde, je jouis une troisième fois avec la puissance de son éjaculation. Pierre s’écroule sur moi, je le serre très fort pour qu’il reste en moi, pendant plus de cinq minutes, nous restons ainsi, sans bouger, relié l’un à l’autre, je l’embrasse, lui donne ma langue qu’il suce lentement.

A côté de moi, Nathalie jouit plusieurs fois, Simon lui a retiré le plug du cul pour le lui enfoncer dans la chatte, il l’a fait mettre à quatre pattes, le cul en l’air, et la sodomise enfonçant d’un coup son membre au plus profond de ses entrailles. Elle aussi crie, hurle, branle son clitoris pour augmenter son plaisir, Simon pousse un cri de bûcheron et lui envoie sa semence au plus profond de son rectum. Les jambes de Nathalie tremblent, se dérobent sous elle, elle gît étendue sur le ventre, le corps parcourus par des frissons de plaisir.

Michel se fait faire une fellation, il prend le double gode en main et lui fait faire des aller retour dans le cul de Martine, avec l’autre main, il retire puis remet les boules de geisha dans son vagin. Ces deux mouvements simultanés ont vite fait de porter Martine au firmament du plaisir, se lâchant complètement, elle part dans un orgasme ravageur et elle inonde de son jus le visage de son amant. Après deux minutes, elle reprend de plus belle sa fellation, retire d’une main le double gode fiché entre ses fesses, le présente devant l’anus de Michel et l’enfonce d’une main ferme. Sous l’introduction de l’objet qui vient presser sur sa prostate, Michel gémit, pousse des grognements sourds, et se libère dans la bouche de Martine qui a refermé ses lèvres sur la hampe tendue pour ne pas en perdre une goutte.

Une demi heure plus tard, entièrement nu, nous plongeons dans la piscine où le contact de l’eau nous fait un bien fou. Nous nageons un bon moment puis après nous être séchés, nous allons prendre cette coupe de champagne. Pendant le reste de la soirée, nous discutons de tout et de rien puis nous allons nous coucher, Pierre me prend dans ses bras, m’embrasse dans le cou, descend sur mes seins et me tète comme un nouveau né. Je sens sur ma cuisse son sexe tendu, il est insatiable, c’est le privilège de la jeunesse, je le prends en main, le branle doucement.

«Viens sur moi et pénètres moi doucement, j’ai envie de douceur mon ange ».

Pierre ne répond pas, il a compris que je suis fatiguée, il me fait coucher sur le côté, vient se coller dans mon dos, écarte doucement mes fesses fait glisser son membre entre mes lèvres gonflées et me pénètre doucement. J’écarte légèrement les jambes pour faciliter l’introduction puis une fois qu’il est bien planté en moi, je les referme. Nous restons ainsi sans bouger, je sens son gland battre à l’intérieur de mon vagin, c’est une sensation merveilleuse mais qui ne peut durer longtemps tellement çà m’excite, je commence à bouger mon bassin, pousse mon cul vers lui, il reste immobile, tendu à l’extrême, çà me rend folle, je commence à pousser des petits cris, je ne tiens plus.

« Oh vas y, bourre moi salaud, qu’est ce que t’attends, fait moi jouir, je deviens dingue, je t’en prie, ouiiiiiiiiiii !!! »

D’un coup il se met à faire des aller-retour puissants qui déclenchent des ondes de plaisir dans tout mon corps, il a passé ses bras autour de moi, se cramponne à mes seins, les serrent dans ses mains puissantes. Mon corps est soudé au sien et attend la délivrance, l’extase, je veux qu’il me remplisse de sa semence.

« Ouiiiiii, plus fort, ouiiiiii, donne moi ton jus, jouis en moi, ouiiiiiiiiiiiiiii ! »

Il éjacule au plus profond de ma grotte, la chaleur de son sperme qui vient tapisser ma paroi vaginale déclenche mon orgasme, je tremble de la tête aux pieds, j’émets des mots sans aucun sens, mes yeux se révulsent puis mon corps se détend complètement et je sanglote de bonheur.

Son sexe flasque et couvert de sécrétions sort de mon corps, Pierre se couche sur le dos, je me serre contre lui, pose la main sur son pénis, embrasse son flan et m’endors doucement.

Les jours passent de plus en plus vite, Pierre, Michel, Simon et Nathalie préparent leur départ. Le dimanche, nous sommes tous un peu triste, vers seize heures, ils viennent nous faire leurs adieux, montent dans la voiture et rentrent à l’appartement où ils vont séjourner pendant cette nouvelle année scolaire. Martine et moi, restons seuls à la grille de la villa, ils ont déjà disparu au bout de la route que nous sommes encore à regarder comme s’ils allaient réapparaître.

Je referme la grille, revient à pas lents vers la villa, je m’approche de Martine, la prends dans mes bras et nous pleurons. Cette nuit la, Martine se sent seule, je suis couchée depuis dix minutes quand elle vient me rejoindre, je la serre contre moi, l’embrasse sur le bout du nez, et blottie l’une contre l’autre, nous nous endormons le vague à l’âme.

Les semaines, les mois, passent, avec lenteurs quand ils sont loin, très vite les week-ends où ils rentrent. Les fêtes de fin d’années ont été formidable, mais très courtes, il a fallu à nouveau nous séparer, puis sont arrivés les beaux jours, les vacances et de nouveau notre vie ensemble. Nous nous aimons de plus en plus, nous sommes heureuses quand ils sont là, il n’y a aucun tabou entre nous, nous avons une fois pour toute chassé le mot inceste de notre vocabulaire. S’il est vrai que nous aimons nous retrouver en couple certains soirs, il n’est pas rare que nous prenions notre plaisir les uns avec les autres tous ensemble au bord de la piscine. Martine et moi pendant nos longues heures de loisirs, avons fait les boutiques spécialisées, avons achetés de nombreux gadgets qui viennent agrémenter nos soirées gang bang. Les garçons en sont fous, nous avons aussi acheté des petites tenues qui aux dires de Nathalie, feraient bander un mort.

La vie s’écoule inexorablement, les années passent, Pierre vient de terminer brillamment ses études de médecine, et Michel a obtenu un masters en biologie. Pour l’instant, ils travaillent encore tout deux à l’hôpital universitaire. Pierre a rencontré le docteur B.. , qui lui a annoncé qu’il se retirait et qu’il cherchait quelqu’un pour reprendre sa clientèle. Après en avoir parlé ensemble, il a accepté et il a maintenant un cabinet en ville, à quinze minutes en voiture de la maison. Michel vient de recevoir une offre d’un laboratoire de recherche en biologie moléculaire qui se trouve à vingt minutes en voiture de chez nous, il a accepté, et commencera le mois prochain. Simon et Nathalie, les petits comme je les appelle, termineront l’an prochain, Simon s’est dirigé vers l’enseignement des langues et va passer son agrégation, en plus du français, il parle couramment l’anglais, l’allemand et l’espagnol, Nathalie s’est dirigée vers le journalisme. Avec son petit air effronté et son humour, elle ne peut que réussir dans ce domaine.

Je viens de fêter mes quarante-cinq ans, Pierre ne veut plus que je travaille, j’ai donc tout le temps de m’occuper de moi, la pratique du sport garde mon corps dans une forme et une beauté éclatante. Nos ébats sexuels y sont aussi pour quelque chose.

Ce matin, je prends mon petit déjeuner sur la terrasse, Martine vient vers moi, m’embrasse sur les lèvres et s’assied en face de moi.

« Maman, je sais que cela va être un choc pour toi, mais il faut que je te le dise ».

« Mon dieu ma chérie qu’y a-t-il, rien de grave au moins ? »

« Non, rien de grave, mais tu vas être grand-mère ».

Je bondis sur mes pieds, la prend dans mes bras et l’embrasse tendrement.

« Oh merci ma chérie, qu’elle est belle la vie ».

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