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"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II – Chapitre 4

"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II - Chapitre 4



La mère de Cécile, donc ma chère belle-mère, était une très belle femme de 49 ans qui en paraissait à peine 40.

Elle soignait beaucoup son corps, par une activité physique intensive et un régime alimentaire draconien.

Elle était toujours tirée à quatre épingles, style BCBG, très sévère, aucune fantaisie vestimentaire avec elle.

Toujours vêtue de tailleurs foncés ou de robes moulantes sombres, elle se chaussait toujours avec des escarpins, un chignon ou une coiffure stricte, des lunettes d’écailles

Son regard était toujours intense, avec des yeux bleus gris très dures.

Elle avait toujours un air dédaigneux, sérieux, autoritaire.

Jolie femme blonde très élancée avec des courbes splendides et une paire de seins magnifiques, elle dissuadait pourtant toute tentative de la draguer.

Et pourtant sous le vernis je sentais une animalité puissante et sexuelle ; je l’aurais bien imaginée en cuissardes, bustier en cuir, porte-jarretelles avec un homme en laisse à ses genoux qu’elle fouetterait avec sévérité.

Peut être était-ce le fruit de mes fantasmes, mais j’avais l’impression de «  sentir quelque chose ! »

En tout cas, toutes ses qualités n’avaient pas empêché son mari de la plaquer avec une femme beaucoup plus jeune

Elle se retrouvait seule à 42 ans, avec une fille de 18 ans qui ne l’intéressait guère.

Elle avait la haine des hommes, des jeunes femmes et du sexe en général

Pourtant quand Cécile me présenta à celle qui allait devenir ma future belle-mère, j’eus une impression bizarre devant son sourire énigmatique, son regard brillant et ses manières très courtoises voire familières à mon égard : des fois j’avais l’impression qu’elle voulait faire de moi son nouveau sex-toy !

Aussi ma femme paya pour tout cela, ma belle mère lui fit vivre un enfer d’abord psychologique, puis physique, après cette fameuse nuit ou elle découvrit sa fille nue, se godant avec force jouissance, devant un film pas très catholique !

Devant la nudité de Cécile, elle ne dit rien, mais resta là à contempler sa fille nue, qui avait cessé "toute activité".

Cécile vit sa mère se débarrasser de sa veste, ouvrir son chemisier et se caresser ses gros seins , par-dessus le sous tif .

« Espèce de petite pute libidineuse, ton père m’a quitté pour une salope de ton genre, mais j’avoue que de te voir là, nue, offerte, m’excite énormément…je vais te dominer…tu verras tu vas adorer cela.

Si cela ne te plait pas, tu prononceras le mot "rouge", mais alors tu t’en vas et plus rien n’arrivera entre nous deux..as- tu compris ?

Allonge-toi sur le tapis, dos contre le fauteuil et les bras en arrière

Obéis salope ! »

Cécile, sidérée par les paroles de sa mère, interloquée et ne pouvant prononcer aucune parole, ni faire aucun geste, s’exécuta.

Un trouble manifeste venait occuper son esprit. malgré la lourdeur et la situation glauque dans laquelle elle se trouvait.

Une excitation folle, malsaine s’emparait de son être; elle sentait bien qu’elle ne pourrait résister à aucune injonction de sa mère, mais qu’en plus elle prendrait beaucoup de plaisir à obéir à chacun de ses ordres, fussent ils complétement fous !

Sa mère revint avec un rouleau de cordelette en chanvre.

Elle attacha les bras de Cécile au dossier du fauteuil .

Comme Cécile gardait les cuisses fermées, elle sortit un martinet qu’elle avait dissimulé et en appliqua un coup sur les cuisses et le mont de venus ; Cécile commença à écarter les cuisses mais pas assez vite selon les vux de sa mère.

Alors du bout de son escarpin pointu, elle les lui écarta de force et commença à en appliquer la pointe contre le sexe de sa fille, qu’elle fit rentrer sans ménagement

Cécile commença à crier, mais celle-ci continuait un sourire sadique sur les lèvres.

«  Maman, tu rentres ta chaussure dans ma chaaatttte !( Cécile gémissait, ahanait , elle ne savait plus si elle souffrait ou si elle y prenait du plaisir, les deux en même temps sans doute )

— Huumm petite pute, tu aimes les films avec des viols alors tu vas adorer ce que je vais te faire !

As-tu vraiment envie que j’interrompe cela…si c’est le cas tu te rhabilles et tu files dans ta chambre !»

Devant le mutisme de sa fille et son acceptation tacite,Martine continua de pousser l’escarpin dans la chatte de sa fille, visiblement elle y prenait plaisir

Cécile n’en revenait pas, elle commença à s’exciter en regardant sa mère se peloter les seins, et elle prenait un plaisir malsain sous l’intromission de sa chaussure.

Martine baisait carrément sa fille avec son pied, dont le sexe coulait de cyprine .Cécile ahanait, elle commençait à jouir.

Martine se retira, enleva son sous tif, fit glisser sa jupe de tailleur et sa culotte.

Cécile n’en revenait pas de voir sa mère, superbe femme de 42 ans, nue en porte-jarretelles devant elle.

Sa maman, saisit son regard et comprit son intérêt pour son corps.

« Alors salope, tu fantasmes sur ma chatte, mes seins et mon cul, tu vas pouvoir les bouffer dans deux minutes pendant que je te fouetterai ! »

Alors elle se baissa devant sa fille, lui saisit les 2 pieds, replia les jambes vers sa poitrine et les attacha aux pieds du fauteuil.

Cécile était livrée complètement nue à son intérêt lubrique, le sexe complètement ouvert par l’écartement maximal des cuisses.

Sa mère se pencha vers son visage, lui saisit le cou et de l’autre main lui ouvrit la bouche de force pour y laisser couler un long filet de salive, puis embrassa sa fille fougueusement lui violant la bouche de sa langue.

Cécile, sidérée par ce baiser, se laissa faire et cela lui procura une vague de plaisir qui lui envahit le ventre

Elle pensait que sa mère était complètement folle, qu’elle aussi l’était de prendre du plaisir à ce viol consenti, à cette séance de torture qui commençaitelle jouissait de se laisser dominer par sa mère, sans défenses, d’accepter tous les supplices que cette dernière allait lui infliger.

Et surtout elle espérait que celle-ci allait la prendre dans son lit et qu’elles allaient baiser sauvagement.

Elle pensait :

«  Mon Dieu, je suis atroce, je ne suis pas normale, ma vie sexuelle est complètement déviante, quel homme voudra d’une femme monstrueuse comme moi ? »

Sa mère avait placé une camera GOPRO sur un meuble pour filmer la déchéance de sa fille, et saisissant le martinet et se retournant pour faire un clin d’il à la caméra, elle fouetta Cécile sur ses seins et son sexe ouvert.

Cécile sentait les morsures des lanières de cuir sur ses muqueuses, ses lèvres, son clitoris. Elle criait de douleur et de jouissance mêlées.

Chaque coup de martinet lui cuisait littéralement le sexe ouvert, les lanières venaient envahir son intimité avec violence, lui faisaient arracher des râles de plaisir démentiels.

Elle attendait chaque coup avec crainte et impatience mêlées

Martine choisissait ses effets, elle levait haut le bras armé du martinet et d’un mouvement lent et ample elle s’arrêtait parfois à quelques centimètres du sexe de Cécile

Celle-ci alors regardait sa mère, la suppliant de continuer son calvaire.

Alors la laissant dans un état de tension sexuelle indescriptible, elle reprenait la séance frappant rapidement et vigoureusement, allant du sexe, au ventre, aux seins ; les tétons étaient dardés de plaisir sous les coups des lanières de cuir.

Jamais Cécile n’avait eu ses seins aussi tendus, ses pointes aussi dures et turgescentes. La poitrine était rougie par les coups

Mais Cécile ne s’appartenait plus, elle jouissait comme jamais auparavant, elle ne reconnaissait même plus le son de sa propre voix, ses gémissements graves et longs, ses paroles abjectes qu’elle pensait ne jamais un jour prononcer :

«  Maman fouette moi plus fort, fais moi payer pour papa, pour toutes les petites putes comme moi qui baisent avec des hommes mariés ahhhh, ouiii plus fort..mmh aieee maman je suiiss ttooooon escclaaave . Tu es ma salope de meeeeeerre arghhh , aaaaahhhhPutain ça fait trrop maaaalll .mmhuuummm t’aaarrreeeeettte paass !  »

Martine ne s’arrêta que quand la peau fut convenablement rougie.

Elle déplaça la camera dans sa chambre à coucher et Cécile comprit que sa mère allait la baiser, son ventre se serra encore plus dans l’attente du plaisir et elle mouillait à n’en plus pouvoir.

Les coups de martinet pourtant mordant de sa mère lui avait procuré un plaisir malsain au delà de la douleur et maintenant elle s’imaginait dans une pornographie lesbienne avec sa mère, elle croyait déjà sentir ses doigts et sa langue lui envahir le sexe

Martine revint, détacha Cécile et sans ménagement la poussa sur son lit, lui ouvrit les cuisses et commença un cunnilingus expert et sauvage.

Cécile n’en pouvait plus de crier, gémir, demander pitié sous les coups de langue ravageurs de sa mère et les va et vient violents de ses doigts dans sa chatte !

Cécile mouillait tellement qu’elle était devenue une véritable fontaine.

Puis sa mère vint placer sa chatte sur la bouche de sa fille et l’obligea à la lécher, ce que fit Cécile avec une grande inexpérience.

Vexée et frustrée devant le peu d’ardeur que sa fille mettait à la gamahucher, elle commença à pincer les pointes de ses mamelons et elle lui giflait les seins sans ménagements.

L’effet fut immédiat sur Cécile qui s’appliqua du mieux qu’elle pouvait à faire jouir sa mère. Alors satisfaite de sa fille, elle reprit elle-même son cuni sur sa chatte et la séance de baise se termina par un très beau 69 qui apporta beaucoup de jouissance aux deux femmes

Une fois repue, Martine renvoya sa fille dans sa chambre et la vie de la mère et de la fille reprenait son cours, avec quelques séances de baise et de SM quand Martine voulait vider ses frustrations.

Quelques jours plus tard, elle ordonna à sa fille de l’accompagner faire des courses, lui précisant qu’elle devrait mettre les vêtements qu’elle lui avait préparés sur son lit.

Quand Cécile arriva dans sa chambre elle découvrit seulement une paire de bas résille et un porte-jarretelles noir, ainsi qu’un imperméable.

Docilement elle s’équipa des sous-vêtements, enfin le terme était pompeux, et revêtit l’imperméable au-dessus.

Elle subodorait que sa mère allait l’exhiber en ville de façon perverseet loin de la dégouter, cette pensée lui donnait une excitation telle, qu’elle sentait déjà son entrecuisses s’humidifier.

Et bien comble du sadisme, Martine ne demanda rien à sa fille, qui put garder l’anonymat confortable de l’imperméable. Cécile en voulut beaucoup à sa mère de ne pas l’avoir exhibéeelle ne comprenait pas que Martine dirigeait sa vie dans ses moindres faits et gestes et savait à l’avance quelles réactions aurait sa fille.

L’idéal étant toujours de contrarier ses moindres désirs et pensées troubles, pour la maintenir encore plus chaque jour dans une sujétion sexuelle de plus en plus prégnante et vicieuse !

Cécile s’en voulait beaucoup de prendre énormément de plaisir sous les coups et les rapports sexuels avec sa mère.

Alors progressivement elle s’inventa un système de défense pour accorder son système de valeurs avec cette débauche et la repoussa dans un coin de son esprit jusqu’à l’oublier.

Malheureusement tout fut enregistré dans son subconscient et elle ne retint de sa mère que les punitions physiques et morales en accord avec sa pruderie.

Aussi c’est avec une grande timidité sexuelle et une frigidité, qu’elle s’offrit à celui qui allait devenir son mari, jusqu’à cette fameuse fête foraine

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