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Queue d'âne – Chapitre 1

Queue d'âne - Chapitre 1



A l’époque, je possédais un lopin de terre que je louais à une connaissance qui y mettait son âne. Il m’arrivait d’y aller seul pour voir si tout allait bien. Cet âne se nommait Farceur (le nom réel a été changé). Il n’était pas très grand et entièrement blanc. Farceur était un mâle entier. Il avait une crinière assez courte, coiffée à l’iroquoise. S’il pouvait être doux et câlin, il pouvait également être mordeur par moments, sans doute à cause de sa libido. Il lui arrivait d’avoir des érections impressionnantes, mais au début je n’y prêtais pas attention.

Un jour que j’étais au pré, j’étais nez à nez avec Farceur qui me reniflait, et je déposai un baiser sur son museau par pure affection, en le regardant dans les yeux. Quelle ne fut pas ma surprise, car au même moment mon ami l’âne se mit à bander très raide, juste à l’instant où il me reniflait. Quelle verge ! Au lieu d’être indifférent ou gêné, je ressentis de l’excitation. Je laissai Farceur et je rentrai chez moi. L’image de l’âne qui me renifle et sort sa verge au même moment me trottait tout le temps dans la tête, mais j’essayais de ne pas y penser. Je n’avais jamais eu de fantasmes homosexuels jusqu’à présent, mais la bite de Farceur ne me laissait pas indifférent.

C’est à partir de ce moment que je remarquai qu’il bandait souvent, parfois lorsqu’il me reniflait. Il ne saillissait jamais, le pauvre. Chaque fois qu’il bandait, j’admirais sa verge. Elle était très longue, assez épaisse, mais finalement assez fine par rapport à sa longueur. Elle était noire en majorité, avec du rose çà et là. Le gland était légèrement renflé, mais il lui arrivait de gonfler largement lorsque Farceur faisait claquer sa verge contre son ventre, sous une poussée d’excitation. Elle paraissait lisse et douce.

Je pensais à cette verge d’âne de plus en plus souvent. Je me demandais ce qu’il m’arrive. Cela m’obsédait. Je m’imaginais en train de la caresser, de la sucer. Dans mes fantasmes les plus fous, je m’imaginais empalé sur ce mandrin, à quatre pattes sous l’âne. Je ne me serais jamais imaginé dans la même situation avec un homme. Devenais-je fou ? Cette bite d’âne était devenue mon plus gros fantasme sexuel. C’est pourquoi, n’y tenant plus, je décidai d’aller la sucer, car j’avais très envie de la goûter. Je connaissais bien Farceur, je l’aimais beaucoup, une petite expérience sexuelle avec lui me tentait bien, et j’étais sûr qu’il ne refuserait pas. Et j’étais très content d’effectuer ma première fellation sur lui.

J’allais le voir un soir à la tombée de la nuit pour voir si tout allait bien. Mon ami Farceur vint me voir, tout à fait jovial. Une fois n’est pas coutume, Farceur ne tarda pas à bander. Je l’embrassai sur le museau et lui dit : "Je vais te tailler une pipe, mon ami. J’en rêve depuis longtemps." Il ne me comprit pas, bien sûr, mais j’avais envie de lui dire. Je m’agenouillai à côté de lui et je mis ma main sur sa verge. C’était doux et chaud. Il ne broncha pas. Alors je me suis couché sur le dos, la tête un peu relevée, perpendiculairement à lui et sous lui. Je voyais son gros sexe juste sous mon nez, malgré la pénombre et je bandais moi-même très fort ! Qu’allais-je faire ? Réaliser mon plus gros fantasme du moment.

Je pensais d’abord passer ma langue dessus, pour voir, et si cela me plut je l’aurais prise en bouche ensuite. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai saisi sa bite d’âne avec ma main droite, j’ai ouvert la bouche en grand, fermé les yeux et j’ai rentré son sexe dans ma bouche, un peu plus loin que le gland. C’était doux et chaud, et je n’ai pas trouvé le goût désagréable du tout ! Ca goûtait le bite d’âne Je rouvris les yeux. Je distinguais sa longue tige dont le bout disparaissait dans ma bouche. Belle image ! Je collais ma langue bien contre le gland, pour bien m’imprégner de son goût. Je savais à présent que je serai toujours accro à la bite de Farceur

Toujours en tenant sa verge dans la main droite, je commençai à faire des va-et-vient avec ma bouche sur le sexe de Farceur. Il me laissait faire et bandait raide. Je lui suçais la bite et j’aimais ça ! Lui n’avait pas l’air de se plaindre non plus. Bien sûr, je ne pouvais prendre qu’une petite partie de sa bite dans la bouche. C’est pourquoi je la sortis de ma bouche, puis je commençai à lécher le gland, ensuite je glissai ma langue le long de sa hampe jusqu’aux testicules. Puis je repassai ma langue dans l’autre sens, des testicules jusqu’au gland. Sa verge me paraissait d’une longueur infinie. J’ai dû faire trois ou quatre allers-retours avec ma langue sur sa queue. J’en avais mal à la langue, c’était assez fatigant.

Puis je repris sa bite en bouche, sans la tenir. Ma bouche était vraiment ouverte au maximum. Je continuai les va-et-vient avec ma bouche, la caressant avec ma langue. Cela m’excitait beaucoup, je trouvais cela vraiment bon. Je la suçais avec frénésie. Farceur restait immobile, mais je sentais sa verge se raidir à fond, il essayait de la faire claquer contre son ventre, mais il ne pouvait pas, car elle était prisonnière de ma bouche. C’était un signe qu’il était très excité, lui aussi. Je sentais son gland grossir un peu. Quelques gouttes de liquide préséminal ont perlé de celui-ci. C’était salé, je les ai avalées. Je continuais à le sucer, je sentais mon ami l’âne très excité, mais je sentais aussi que je n’arriverais pas à le faire éjaculer de cette manière. Il lui en fallait plus. Je l’ai sucé encore un bon moment, sa bite très raide dans ma bouche. J’arrêtai au bout d’un certain temps, la mâchoire douloureuse d’avoir été aussi longtemps ouverte au large sur un gros calibre d’âne. J’étais content de ma prestation.

Je serrai Farceur dans mes bras et l’embrassai sur le museau. Il bandait toujours, reniflait mes cuisses, mes fesses. J’aurais adoré me faire sodomiser par Farceur, mais je ne m’en sentais pas capable pour le moment. Nul doute que si je me mettais à quatre pattes, frottait la raie de mes fesses contre sa verge et essayais de la rentrer dans mon trou il ne se ferait pas prier. Et là il aurait sûrement éjaculé. Mais je supposais que Farceur était un amant brutal, et je ne me sentais pas prêt pour le moment. Un jour, peut-être

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