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Ma femme me fait cocu avec un copain – Chapitre 1

Ma femme me fait cocu avec un copain - Chapitre 1



MA FEMME ME FAIT COCU AVEC UN COPAIN

Marié à Bernadette, petite blondinette assez jolie dune trentaine dannées, qui ne laisse pas indifférent les hommes, lors de nos ébats, et pour pimenter nos joutes sexuelles, nous discutons, surtout moi de léventualité dintroduire un autre homme dans notre couple. Cest surtout moi qui aimerais voir ma petite femme se faire caresser et recevoir un autre sexe que le mien dans sa minette. Mon épouse qui na connu quun seul homme, « du moins je le pense », me dit être satisfaite et ne se dit pas attiré par ce genre de propositions quelle qualifie de malsaines mais qui mexcitent et me stimulent lors de nos parties de jambes en lair. A force de lui parler de ce désir jai réussi, petit à petit, à lui faire imaginer que lorsque je la caresse ou la pénètre cest un autre mâle quelle a dans le lit et qui soccupe delle pour lui donner du plaisir Dernièrement, lors dune soirée assez bien arrosée avec des amis, de retour chez nous, jai même réussi à la faire mouiller et même à la faire jouir en pensant quelle se faisait caresser et prendre par un de nos copains présent ce soir-là, et qui vient quelques fois à la maison ; elle ma avoué quil ne la laissait pas indifférente mais a très vite rajouté que ce nétait quun rêve impossible car le jeune homme est marié à une de ses meilleures amies et il nest nullement question quelle couche avec lui

Quelques mois passent ; à force de jouer à ce petit jeu, je sens que Bernadette est prête à passer réellement à lacte. Nous avons récemment passé, ainsi que plusieurs couples amis, une excellente soirée chez des copains, cétait un genre de repas dansant. Mon épouse qui aime bien danser y avait pris bien du plaisir ; javais remarqué, lors de cette soirée, quelle avait particulièrement apprécié les bras dun certain Franck, qui est un de mes copains, beau jeune homme blond assez sportif qui, selon ce que javais pu observer, ne lavait pas laissé indifférente. Etroitement enlacés en train de danser, jai même remarqué que, par moment, les mains de son cavalier étaient descendues assez bas et ségaraient sur les fesses de mon épouse qui lavait bien laissé faire. La façon quelle avait de se blottir au creux de son épaule laissait présager que le garçon ne la laissait pas de marbre ; en lobservant attentivement, je pense même quelle a apprécié les attouchements assez précis de ce jeune homme sportif

Sur le chemin du retour, Bernadette, qui a un peu abusé du champagne avec son cavalier, est un peu euphorique et parle beaucoup ; je profite de loccasion pour lui parler de Franck en faisant allusion au fait quelle ne le laissait pas indifférent. Je suis persuadé que, si je navais pas été présent ce soir, tu aurais été très certainement plus loin avec lui, dis-je pour tester mon épouse qui ne répondit pas à cette allusion. Et là, j’enchaîne en lui disant que jaimerais et que jaccepterais volontiers quelle connaisse dautres bras, et quelle pratique dautres plaisirs avec un autre partenaire. Elle ne me répond pas ; ses joues qui sont toutes rouges la trahissent et elle fuit mon regard, le ton de sa voix avait aussi changé, elle transpirait abondamment.

Je la sentais mûre à présent pour lui proposer de passer à lacte ; jétais sûr que quelque chose ce soir avait changé, et quelle nétait sûrement plus opposée à cette idée de se faire prendre par un autre homme. Bon, me dit-elle sans me regarder, et fuyant mon regard, je veux bien essayer, dit-elle, à condition que ce soit moi qui choisisse mon partenaire. Jétais très surpris et je dus lui faire répéter pour être sûr et certain de sa décision, en lui demandant quel serait lheureux élu. En baissant la tête, elle me répondit que Franck lui plaisait bien. Elle me révéla un peu honteuse quen dansant, étroitement liés, ils sétaient caressés et embrassés ; il lui avait même proposé de le rejoindre sur le parking dans sa voiture. Ayant refusé de peur que je remarque son absence, il lui avait demandé sils pouvaient se voir dans la semaine car son épouse était absente pour une dizaine de jours et quil aimerait et adorerait découvrir son corps et la connaître un peu mieux. Le salaud, pensais-je, il veut sauter la femme dun copain ; en souriant je lui dis que jétais très heureux de sa décision et quil lui fallait profiter de loccasion qui se présentait. Elle releva alors la tête et me regarda avec un petit sourire ; je lui répondis par un clin dil. Bien entendu, javais déjà ma petite idée derrière la tête. Je savais, pour avoir dansé avec Sylvie, la femme de Franck, quelle devait partir chez sa mère qui était malade et ce, pendant une semaine ; il ne me serait pas bien difficile dinviter mon copain à dîner un prochain soir.

Cest décidé. Assez facilement, Franck a accepté linvitation ; quand je lui ai fait part de linvite, jai vu une étincelle dans ses yeux. Ce sera demain soir ; Bernadette, assez anxieuse et nerveuse, sest mise en beauté : petite jupe jaune assez courte et légère, assez transparente qui laisse bien voir que mon épouse a mis un petit string noir en dentelle ajourée. Un petit haut léger et aussi transparent et particulièrement échancré qui laisse voir la petite poitrine bien ferme de la belle ; ses tétons pointent dexcitation sous le fin tissu. Ses longs cheveux blonds retombent en cascade sur ses épaules ; ainsi vêtue, je trouve ma chérie particulièrement désirable et attirante.

Notre ami arrive à lheure prévue avec une bouteille de champagne ; nous prenons lapéritif en discutant longuement de choses et dautres.

Je sens notre ami assez nerveux et anxieux ; il semble se poser des questions sur la vraie raison de cette invitation.

A un moment, notre ami sabsente car il ne se rappelle plus sil a verrouillé sa voiture ; jen profite pour demander à Bernadette de défaire deux boutons de son chemisier, mais avant cela de se rendre dans sa chambre pour ôter son soutien-gorge et ne revenir quun bon quart dheure après notre hôte pour que jaie le temps de discuter avec lui.

Franck revenu, nous prenons une nouvelle coupe, il me demande où est Bernadette, je lui réponds quelle est dans sa chambre pour se refaire une beauté ; il me dit quil la trouve très jolie et très excitante, que jai de la chance davoir une aussi belle femme. Je lui réponds quelle aussi nest pas indifférente à son charme et quelle avait bien apprécié avoir dansé avec lui lautre soir.

Franck me regarde en rougissant ; son il est brillant, il semble intéressé. Il me regarde tout de même dun air étonné, et je lui explique clairement la situation, en lui expliquant que ma chérie et moi, nous étions un couple libéré et que nous sommes à la recherche dun partenaire autre que moi qui lui plaise et qui sache faire plaisir à une femme en lui faisant lamour. Je vois que son visage séclaire et sest légèrement empourpré, et quil était épaté par mes paroles, mais je pense que cela lavait aussi particulièrement excité, au vu de la bosse qui sétait formée dans son pantalon. Tu es certain de ce que tu me proposes, tu acceptes que je baise Bernadette, il ne faut surtout pas que ma femme le sache, me dit-il, car elle me tuerait, tu connais sa jalousie.

Quelques minutes plus tard, ma femme vient nous rejoindre. Je vois tout de suite que, comme convenu, elle a bel et bien défait les deux boutons du haut de son chemisier. Je suis surpris de constater que la minijupe quelle porte me semble également plus courte. Elle prend une pose légèrement penchée en avant, afin que notre ami puisse avoir une vue sur lun de ses seins à travers louverture qui se formait à laide de son chemisier ouvert, les jambes légèrement écartées ; la jupette remontée laisse voir le haut de ses cuisses. Positionné comme il est, Franck doit avoir une vue imprenable sur lentrecuisse de ma chérie dont le mini slip ne cache pas grand-chose de sa petite minette épilée.

Notre ami a le regard fixé sur les trésors partiellement dévoilés de la mignonne, il transpire et nen croit pas ses yeux ; la femme quil convoitait lui était offerte, de plus, par son mari. Vous êtes sûr de ce que vous me proposez, dit Franck en nous regardant alternativement. Le regardant dans les yeux et sur un ton un peu plus élevé, je lui demande si Bernadette ne lui plait pas. Tout rouge, et en évitant de regarder mon épouse, il répond : oui, oui, elle est très jolie, mais il ne faudrait pas que Sylvie le sache.

Nous dînons. Ma femme est positionnée à côté de notre hôte et moi, en face. Cest moi qui fais le service pour laisser toute liberté à ma chérie ; pendant mon absence, en jetant un il discret, je maperçois que les deux tourtereaux se caressent et sembrassent. Le repas terminé, nous regagnons le salon pour prendre le café. Je pars donc à la cuisine et, lorsque je reviens avec les trois tasses et la cafetière posées sur un plateau, je suis très surpris de voir ma femme qui est assise sur les genoux de notre copain. Etroitement enlacés, leurs deux bouches sont collées lune à lautre, tandis quils échangent un baiser torride et enflammé pendant que leurs mains explorent leurs corps transpirants. Je ne sais pas qui des deux a fait le premier pas, mais je peux vous dire que ma femme met du cur à louvrage. Mon arrivée dans la pièce les ayant interrompus, ma femme se relève brusquement, tire notre ami par la main entraînant celui-ci en direction de notre chambre à coucher, en me lançant un « tu viens, mon chéri ? »

Bien sûr que je vais venir, je ne vais pas rester là, seul au salon, non, je veux me délecter du spectacle que ma femme allait moffrir en faisant lamour sous mes yeux. Debout devant notre lit conjugal, les deux amants ont repris les échanges de baisers passionnés, mais cette fois en se déshabillant mutuellement. Une fois entièrement nue, ma femme pousse Franck sur le lit. Il a une bite énorme et surtout assez longue. Ma femme sagenouille à même le plancher, et elle est à présent juste à la bonne hauteur pour engloutir cette énorme queue dans sa bouche. Elle le suce du mieux quelle peut, mais elle a, je pense, beaucoup de mal à la faire entrer entièrement dans sa petite bouche.

Dès quil eut commencé à pousser des soupirs, Bernadette sinterrompit alors de le pomper ; elle se mit sur lui à califourchon. Elle sempala avec difficulté sur cette queue aussi large. Elle descendit tout doucement pour faire entrer cette bite aussi imposante dans son vagin assez étroit qui na pas lhabitude dun tel visiteur. Elle me regarda en semblant me dire, tu vois mon chéri, tu me vois en train de baiser avec notre ami. Pour la voir, ça oui je la mate avec attention, et je peux dire que ma queue, que jai extraite, bande bien. Ma femme est enfin parvenue à faire entrer non sans mal, la totalité de la bite de son amant à lintérieur de sa petite chatte. Elle commence à présent à faire monter et descendre son bassin sur cette belle tige, et je peux entendre ses petits cris qui sont des cris de douleur à chaque va-et-vient où le piston de son amant percute un peu violemment le fond sensible de son intimité.

Cet homme, planté dans le ventre de ma femme, lui saisit ses seins, et les pelote sans aucun ménagement. Les cris de douleur furent bien vite remplacés par des soupirs ; puis des cris de jouissance, et ma femme allait bon train à présent, montant et descendant de plus en plus rapidement sur cette bite tendue, prête à lui envoyer quelques bons jets de sperme au fond de son ventre.

Après quelques instants, elle se releva, puis se mit à quatre pattes sur le lit, présentant ainsi sa croupe à son amant. Il ne se gêna pas pour se positionner contre le cul de Bernadette, et pour lui pénétrer la fente en levrette. Il faisait aller et venir sa queue pour le plus grand bonheur de mon épouse. Incapable de prononcer un mot, elle me fit signe de mapprocher delle. Chose que je fis tout en continuant de regarder cet homme faire lamour à ma belle. Elle saisit mon sexe, non sans mal car les coups de queue violents quelle se prenait dans la chatte la déséquilibraient sans cesse. Une fois arrivée à ses fins, Bernadette fit pénétrer ma bite tendue dans sa bouche, et elle commença alors à me sucer.

Elle sinterrompit cependant pour dire à son amant quelle avait envie quil lui mette dans le cul, mais dy aller doucement car elle était assez étroite de ce côté-là. Je nen revenais pas, elle, la femme qui refusait de coucher avec un autre type depuis si longtemps, sétait littéralement transformée en lespace dune seule soirée. Franck ne se le fit pas dire deux fois, et je vis quil écartait bien les fesses de mon épouse afin de la pénétrer par son petit trou. Il inséra un doigt dans son étroit conduit quil fit coulisser lentement au début pour quelle shabitue.

Quand il la sentie prête, il positionna son gland à lentrée de cet étroit canal, puis la pénétra lentement, faisant aller et venir le bout de sa queue dans son petit trou. Je lui tendis du gel ; il me remercia, et il en mit sur lanus de mon épouse.

Une fois son trou bien lubrifié, il recommença à aller et venir dans le cul si serré de mon amour. Haletante, la bouche grande ouverte, elle me demanda de revenir dans sa bouche pour quelle me fasse une pipe. Je mempressai daller remettre ma bite dans son orifice buccal si accueillant. Ce fut lui qui éjacula en premier. Je le vis sagripper solidement aux hanches de ma femme et pousser à fond sur ses reins pour faire entrer la totalité de son sexe dans son cul. De le savoir en train déjaculer dans Bernadette, je jutai également tout mon foutre dans la bouche de ma coquine qui se mit à avaler ma semence. Chose quelle navait encore jamais fait jusqualors.

Franck sortit délicatement du cul de mon épouse, il prit une douche, se rhabilla, fit un baiser à mon épouse et nous quitta assez rapidement. Il était très heureux de sa soirée mais, le connaissant bien, il y avait un peu de regret vis-à-vis de son épouse quil adorait et qui, si elle apprenait ce faux pas, le lui ferait payer assez cher !

Nous nous sommes bien sûr retrouvés, rien que nos deux couples, et avons amené Sylvie, pour mon plus grand plaisir, sur notre terrain de jeux.

Mais cela est une autre histoire, si vous avez aimé.

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