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Sandra et les plaisirs des voyages – Chapitre 5

Sandra et les plaisirs des voyages - Chapitre 5



Entre plaisirs sexuels et farniente, Sandra, jeune mère de famille de 33 ans, profite de ses vacances au soleil bien méritées. Son jeune enfant confié à ses parents, elle partage des moments de bonheur retrouvé avec son mari.

Son goût récent pour l’exhibition se confirme et s’affirme jour après jour. Leur voisin de chambre et de tablée, veuf nouvellement retraité, n’est toujours pas parvenu à ses fins et meurt d’envie de baiser celle qui l’allume effrontément depuis quelques jours. Il a bien cru atteindre l’objectif dans un ascenseur, mais la belle s’est dérobée au dernier moment.

Il est vrai que Sandra, belle brune de taille moyenne présentant un teint désormais hâlé, est une femme attirante. Les hommes sont d’abord attirés par sa silhouette élancée, son dynamisme et sa grâce naturelle. Ils sont ensuite conquis par ses beaux yeux bleus, un visage harmonieux. Souriante et sachant jouer d’une apparente timidité, la jeune femme ne peut qu’attirer admiration et désir.

Elle, qui est longtemps restée trop sage, laisse aujourd’hui ses pulsions s’exprimer. Et celles-ci la ramènent vers les deux jeunes marchands tunisiens qui l’ont abordée sur la plage. Elle a résisté à la tentation, mais aimerait voir jusqu’où elle pourrait aller avec eux.

En cette chaude fin d’après-midi, elle propose ainsi à Stéphane, son mari, de l’accompagner dans la boutique dont elle a conservé l’adresse. Peu enthousiaste, il cède malgré tout aux caprices de son épouse. Il est d’ailleurs temps de réunir quelques souvenirs pour leurs proches.

Ils trouvent facilement le commerce, situé à quelques centaines de mètres de leur hôtel. Sandra, s’attendant à un petit magasin familial, a la surprise de découvrir une vaste boutique comportant plusieurs salles, l’une consacrée à l’habillement, une autre rassemblant des objets décoratifs, une autre encore, centrée sur la vaisselle et les équipements ménagers, etc.

Sandra et Stéphane déambulent d’un espace à un autre, évaluant, soupesant divers objets. Un Monsieur d’une cinquantaine d’années les rejoint.

Bonjour, Madame, bonjour, Monsieur, c’est un plaisir de vous accueillir. Je suis Hassan, propriétaire du magasin. En quoi puis-je vous être utile ?

Bonjour, Monsieur. Sur la plage, deux personnes m’ont présenté de jolis paréos et m’ont invitée à venir ici pour découvrir d’autres vêtements qui pourraient me convenir.

Ah, vous avez vu mon fils Khaled et son cousin Farid. Ils s’occupent de l’habillement en l’absence de ma femme qui est partie à la capitale pour sélectionner la prochaine collection. Prenez place sur les canapés, je vais les appeler et ils vont s’occuper de vous.

Sandra et Stéphane s’installent donc confortablement dans la pièce réservée à l’habillement. Chaude et accueillante, elle est remplie de robes, chemisiers, foulards de toutes couleurs, le tout baignant dans une odeur de cuir.

Sandra est vêtue d’une robe de coton bleu-marine, fermée par des boutons sur le devant, s’arrêtant à mi-cuisse. Des sandales de la même couleur complètent sa tenue qu’elle a voulue simple et pas trop provocante.

Son mari porte un jean bleu et un polo blanc, mettant en valeur ses épaules larges d’ancien rugbyman. Il a chaussé ses éternelles chaussures bateaux qu’ils portent en toutes saisons.

Ils forment un joli couple. Durant l’attente, ils échangent quelques douces caresses, lui fait glisser sa main sur le dos de son épouse, elle laisse ses doigts courir sur la cuisse de son mari.

Ils sont vite interrompus par l’arrivée des deux jeunes marchands. Tout contents, ils n’ont d’yeux que pour la belle femme de la plage aussi belle habillée qu’en maillot de bain.

C’est un plaisir de vous accueillir, jolie Madame.

Je suis venue avec mon mari, mais il préférerait voir les souvenirs et les objets décoratifs.

Stéphane a nettement l’impression de se faire jeter et se demande comment sa femme a pu nouer des liens aussi rapidement avec deux jeunes Tunisiens. Mais une séance d’essayage ne l’intéressant pas vraiment, il est plutôt content d’y échapper.

Oui, j’ai vu des choses intéressantes dans l’autre salle. Je vais voir et vous laisse avec ma femme. Prenez soin d’elle.

Il a bien conscience de l’ambiguïté de ses derniers mots et appuie même la démonstration en posant un baiser appuyé et humide sur la bouche de Sandra avant de l’abandonner aux bons soins des deux garçons.

Ceux-ci n’osent croire à leur bonne étoile. Leurs yeux chargés de désir passent de la femme souriante au dos du mari s’éloignant gentiment.

Alors, qu’est-ce que vous me proposez, Messieurs ?

Les deux jeunes hommes admirent la plastique de la femme, leurs yeux appréciant la finesse de la taille, la rondeur du fessier. Khaled se demande également si elle porte un soutien-gorge. Les contours des seins se devinent facilement et malgré leur fermeté, ils semblent bouger assez librement.

Sandra les sort de leur rêverie :

J’aimerais essayer quelques robes dans les tons orange ou rouge pour commencer. Quels modèles me proposez-vous ? leur lance-t-elle, dardant ses magnifiques yeux bleus-gris.

Farid va vous montrer la cabine d’essayage et je vous apporte tout de suite quelques modèles, se reprend Khaled.

Veuillez me suivre, Madame.

Sandra passe devant le jeune homme, le frôlant en accentuant légèrement son déhanché. Elle rejoint en fait un angle de la pièce, habilement transformé en cabine grâce à de hautes tentures permettant d’isoler un espace assez vaste, composé d’une chaise, d’un miroir sur pieds, et d’un portemanteau.

Je vous laisse retirer votre robe et nous vous passerons les robes pour l’essayage.

Amusée, Sandra ressent déjà quelques picotements. Elle profite de cette intimité pour apprécier sa silhouette. Elle se place face au miroir, écartant légèrement les jambes, bombant le torse. Elle commence par se déboutonner lentement, de haut en bas. Sa robe flotte maintenant autour de son corps. Elle en écarte les pans, se dévoilant à elle-même une adorable brassière en dentelle blanche, cadeau qu’elle s’est accordé dernièrement. Ses petits seins sont légèrement maintenus et mis en valeur par la lingerie. Plus bas, elle a opté pour un tanga blanc/bleu en dentelle. Elle se trouve tout à fait potable malgré sa grossesse récente.

La voix de Khaled la fait tressaillir :

Tenez, voici trois jolies robes qui devraient vous convenir.

Sandra passe rapidement une première tunique, moulant son corps à la perfection, laissant à découvert son ventre plat, ses épaules et ses bras. Elle admire le résultat dans le miroir.

Khaled vient à nouveau couper ses pensées :

Alors, est-ce qu’elle vous va ? Voulez-vous quelques conseils ?

Plutôt que répondre, Sandra entrouvre les tentures, prenant les deux Tunisiens par surprise. Leurs yeux s’écarquillent. Bien qu’en grande partie couverte, la jeune femme se révèle encore plus désirable qu’en maillot de bain sur la plage.

Vous êtes très belle.

Puis se corrigeant « Cette robe vous va merveilleusement bien ».

Oui, elle est très jolie, admet Sandra. Mais je crois qu’elle est conçue pour des poitrines plus fortes, le tissu n’est pas bien posé ici.

Ses doigts font bâiller le décolleté en appui de sa remarque.

En effet, il faudrait peut-être faire des retouches à ce niveau, confirme Khaled. Vous permettez ?

Sans attendre de réponse, il s’approche de la belle brune, pinçant le tissu au niveau du torse pour le tendre. Les petits seins fermes sont alors moulés. Khaled et Farid peuvent aisément deviner la dentelle du sous-vêtement. Sandra sent l’excitation monter chez ses admirateurs, elle-même commence à ressentir quelques picotements dans le bas-ventre.

Elle accroît la pression :

Je ne vois pas si le tissu tombe bien derrière. Pouvez-vous me le dire ? demande-t-elle, faisant un quart de tour pour exposer son dos et surtout son postérieur aux regards concupiscents. Naturellement cambrée, elle présente une paire de fesses bien ronde. Là encore, la dentelle du sous-vêtement se devine.

C’est parfait, parvient à répondre Khaled en déglutissant. On aperçoit votre culotte en dessous. Il faudrait peut-être porter un string avec cette robe et éviter de mettre un soutien-gorge.

Vous croyez ? Voyons cela.

Elle lève une jambe, prenant appui sur l’épaule de Khaled, puis la deuxième pour retirer complètement sa culotte, qu’elle tend ensuite à Farid. Ebahi, celui-ci la saisit presque religieusement.

Sandra se tourne à nouveau tendant effrontément son postérieur

Est-ce mieux comme cela ?

Khaled ne peut plus se retenir. Ses mains se portent sur le tissu, caressant délicatement les fesses de la jeune femme. La sensation est aussi excitante pour lui que pour elle. Elle devrait le repousser…mais elle l’a bien cherché et elle se connaît suffisamment pour savoir qu’elle a atteint un point de non-retour.

Devant cette acceptation tacite, Khaled accentue sa palpation et colle son bas-ventre à celui de la jeune femme. Ses mains parcourent les hanches fines, passent sur le ventre découvert, reviennent vers les globes fessiers, si doux et fermes à la fois.

Farid ne sait quelle attitude adopter. Doit-il s’effacer et laisser son cousin seul avec la dame ? Mais celle-ci rompt rapidement ses réflexions. Se tourant vers lui, elle lui saisit une main pour la porter sur son sein. Timidement, le jeune homme enveloppe, puis caresse le mamelon. Son autre main vient saisir le deuxième sein, mais en s’insérant directement sous le tissu. Le toucher de la dentelle accroît son désir.

Sandra goûte à nouveau au plaisir de s’abandonner à des palpations multiples autour de son corps. Elle tend son fessier à la rencontre de la protubérance qui transperce le pantalon de Khaled. Elle tend sa poitrine aux mains fureteuses de Farid.

Une étape supplémentaire est franchie, d’abord par Khaled qui soulève le bas de la robe pour découvrir les fesses de la belle Française. Il se baisse immédiatement pour les couvrir de baisers. C’est ensuite Farid qui écarte résolument les pans du décolleté pour dévoiler la brassière en dentelle. Ses doigts griffent les tétons, sa bouche vient couvrir le haut des seins.

Plus bas, c’est la langue de Khaled qui s’insinue dans le sillon interfessier. Dans le même temps, son majeur se fraie un chemin pour venir pénétrer le sexe ouvert et palpitant.

Conquise par la frénésie de ses amants, Sandra pousse un profond soupir de satisfaction. Elle écarte les cuisses et abaisse son bassin pour venir à la rencontre de ce doigt agile. Celui-ci est d’ailleurs rejoint par un deuxième pour entamer un va-et-vient impudiquement accompagné de bruits humides.

Farid, de son côté, dégage les seins pour venir en mordiller et sucer les pointes. Ses mains s’activent autour de sa ceinture pour descendre son short et sortir son sexe tendu. Attentionnée, Sandra tend une main ferme pour le saisir et entamer une masturbation facilitée par l’humidité qui s’échappe déjà de la fine tige.

Khaled accompagne, interrompt son doigté pour titiller le clitoris de la jeune femme. D’abord frustrée, celle-ci valide la démarche d’un grognement. Elle écarte encore un peu les cuisses pour faciliter la manuvre, laissant le plaisir monter. Sa main s’active autour du vit de Farid. Les mains de ce dernier ne restent pas inactives. Elles couvrent le dos, les épaules, les seins de la belle brune. Sa bouche dévora le cou de la belle brune, déposant de multiples baisers mouillés.

Après quelques minutes de ce traitement expert, la jouissance gagne la jeune femme. Elle tend ses lèvres pour rejoindre celles de Farid. Leurs langues virevoltent. Les jambes de Sandra flageolent puis se tendent au moment où l’orgasme la gagne. Toute à son plaisir, elle arrêta sa branlette, mais son poignet enserre toujours le sexe de Farid. Après quelques coups de reins, utilisant la main comme fourreau, celui-ci parvient rapidement à la jouissance, propulsant sa semence sur la robe désormais chiffonnée et les cuisses de la belle Française.

Alors que les deux amants reprennent leur souffre, Khaled, lui, n’a pas joui. Il extirpe rapidement un sexe court et épais de son pantalon, repositionne d’autorité les fesses de Sandra dans le bon axe, l’invitant à se courber un peu plus pour ouvrir son sexe. Khaled plie les genoux et se présente à l’entrée de la grotte humide. La jeune femme raffermit sa position, ses mains saisissant les épaules de Farid pour prendre appui. La pénétration est aisée et le large membre emplit la chatte accueillante. Khaled entame immédiatement des allers-retours puissants. Le corps de la jeune femme encaisse les assauts, les fesses sont maltraitées, les seins tressautent. Elle accompagne les mouvements de gémissements. Sa main gauche lâche l’épaule de Farid pour se porter sur son clitoris. Elle se branle sans retenue, abandonnant toute douceur. La saillie dure, Khaled se révélant très endurant.

Les yeux de Farid sont écarquillés, goûtant la scène hautement excitante de la belle brune qui lui fait face, bouche ouverte, subissant les coups de reins de son pote.

Le sexe de Farid reprend immédiatement de la vigueur.

Atteignant une nouvelle fois l’orgasme, Sandra pousse un feulement rauque, manquant de s’effondrer. Pliée en deux, elle reçoit passivement les coups de boutoir de son amant. Son sexe en feu commençant à devenir douloureux, elle s’agenouille, extrayant alors le vit de Khaled. Frustré, celui-ci entame une masturbation collant sa bite contre l’anus de la jeune femme. De son côté, Farid profite de la position de la belle brune pour enfourner son sexe dans la bouche grande ouverte. Il saisit alors la tête de la jeune femme, la maintenant en place pour entamer de nouveau va-et-vient.

Sandra ne peut se dégager et subit ce nouvel assaut. Son corps est mis totalement au service de la bestialité des deux jeunes hommes. Elle sent maintenant le bout du sexe de Khaled forcer son petit trou. Heureusement, le jeune homme jouit enfin. D’un dernier coup de reins, son sexe s’introduit dans l’anus ouvert lâchant une semence épaisse et abondante. Sandra ne peut retenir d’exprimer sa surprise et sa douleur, sa bouche étant toujours fermée autour du membre de Farid.

Beaucoup moins endurant que son compère, Farid jouit pour la deuxième. Sandra avale d’abord puis se dégage pour recracher le sperme, manquant de s’étouffer. Elle peut enfin se laisser glisser au sol; haletante.

Un mouvement attire pourtant son regard. Les rideaux de la cabine étant restés partiellement ouverts, elle aperçoit alors son cher mari. Celui-ci l’observe. Puis, d’un clin d’il malicieux et d’un doigt porté sur ses lèvres, Stéphane la rassure en marquant sa complicité. Puis il s’éclipse à nouveau.

Les deux jeunes hommes, eux, sont repus et vidés. Ils reprennent progressivement leurs esprits. Ils aident la jeune femme à se relever. Farid se reboutonne hâtivement et court chercher des linges humides pour qu’elle s’essuie. Khaled fait un peu de ménage dans la cabine.

Après s’être rapidement essuyée et débarbouillée des débordements de ses amants, Sandra se retrouve sa petite robe et se rhabille prestement. Elle rajuste sa brassière en dentelle sur ses petits seins encore tendus et humides. Par contre, elle ne retrouve pas sa culotte.

Une gêne certaine se fait maintenant ressentir et elle a hâte de retrouver son mari.

Au moment de quitter les lieux, omettant de saluer Farid et Khaled, elle est rattrapée par ce dernier qui lui remet un sac rempli d’étoffes.

Sans même en regarder le contenu, la jeune femme gagne la sortie, repérant Stéphane qui l’attend patiemment à la terrasse d’un café tout proche.

Marchant avec quelque difficulté, Sandra se dandine et prend place à côté de son mari.

Tu es fâché ? demande-t-elle, inquiète.

Sois tranquille. J’ai tout vu et j’ai adoré. J’ai bien vu qu’il allait se passer quelque chose et je suis vite revenu pour mater.

Je n’ai pas pu résister. J’ai tout le temps envie de faire l’amour en ce moment.

Viens, on retourne à l’hôtel…parce que c’est moi qui suis sacrément excité maintenant.

Sandra, la belle brunette aux yeux bleus, parcourt avec difficulté le chemin qui les sépare de l’hôtel. Elle s’est fait littéralement démontrer par les fougueux jeunes Tunisiens.

Elle n’a qu’une hâte : se glisser sous la douche et s’accorder une sieste réparatrice. Mais Stéphane, son petit mari n’a, lui, qu’une envie : soulager sa terrible excitation et prouver son amour. Aussi, la porte de leur chambre d’hôtel à peine ouverte, il plaque sa femme contre la porte, l’embrassant fougueusement, ses mains parcourant le corps meurtri.

Sentant le sexe masculin tendu, Sandra comprend qu’elle n’y coupera pas.

Tu ne préfères pas que je prenne une douche d’abord ? suggère-t-elle entre deux baisers.

Je veux sentir l’odeur qu’ils ont laissée sur ta peau, et plonger ma bite dans ta chatte encore baveuse de leur sperme.

Euh, techniquement, c’est ma bouche et mon cul qui ont tout pris mon chéri.

Ses paroles ne font qu’augmenter l’impatience de Stéphane. Sa langue vient goûter la bouche de sa femme, détectant effectivement des relents âcres de semence masculine. Ses mains entament un déboutonnage express de sa petite robe bleue. Il en écarte les pans pour venir malaxer les petits seins aux tétons encore érigés, toujours mis en valeur par l’affriolante brassière en dentelle.

Les lèvres de son mari descendent mordiller et sucer les pointes. Entre douleur et plaisir, la jeune femme se laisse faire. Elle a bien conscience d’une sorte de besoin de vengeance que doit ressentir son mari trompé et voyeur.

Sans autres préliminaires, celui-ci baisse son pantalon, libérant un sexe pointant fièrement. Stéphane lève la jambe droite de la belle brune pour ouvrir l’antre resté humide, constatant par la même occasion que la coquine ne porte plus sa culotte. Un reste de semence séchée de ses amants tunisiens traîne encore le long des cuisses. D’un coup de reins sec, il prend possession des lieux.

Sandra est à nouveau possédée, mais par son amant légitime cette fois-ci. Elle facilite la pénétration, écartant les jambes et s’accrochant aux épaules de son mari, son dos plaqué contre la porte de la chambre sur laquelle ils sont toujours appuyés. Stéphane la besogne ardemment, accompagnant chaque assaut de « han » de bûcheron. Les petits seins rougis de la jeune femme tressautent, ses doigts griffent le dos de son mari.

Mais la position est malaisée et difficile à tenir. Frustré, mais motivé, Stéphane se retire. Saisissant les mains de Sandra, il l’invite à s’agenouiller sur la moquette épaisse de la chambre. Toujours docile, la belle brune prend position, mains sur le sol, dos cambré, jambes écartées. Elle porte toujours sa robe ouverte sur le devant. Stéphane se glisse à genoux derrière et soulève le bas de la robe, dévoilant le formidable cul de sa femme.

Les fesses sont rouges, des traces de sperme se distinguent autour de l’anus. S’agrippant aux hanches de la belle jeune femme, verge en main, Stéphane prend, investit à nouveau la chatte ouverte. Sans attendre, il entame un nouveau va-et-vient énergique.

Sandra reçoit la pénétration avec bonheur. Elle a toujours eu un faible pour la levrette. Elle aimerait titiller son clitoris ou au moins se caresser les seins pour accroître le plaisir, mais la vigueur de son mari la contraint à maintenir ses mains au sol. Elle halète, sa poitrine s’agite à nouveau sous la brassière.

Le corps de son mari se tend une dernière fois, pénétrant profondément le sexe féminin en éjaculant. L’orgasme de Stéphane est intense, résultant d’un mélange de frustration et d’excitation.

Sandra reçoit à nouveau la semence masculine avec délectation même si elle n’a pas joui. Aussi, le sexe de son mari désormais expulsé, elle se tourne sur le dos pour porter les doigts de sa main droite sur son petit bouton et la main gauche sur les seins. Elle se masturbe lentement, presque paresseusement, marquant la rupture avec les assauts frénétiques de la gent masculine. L’orgasme qui l’atteint une nouvelle fois la laisse, le souffle court, étendue sur la moquette.

Son mari gît à ses côtés, la couvant d’un regard admiratif.

Laborieusement, Sandra se lève et se dirige vers la salle de bains. Ce n’est pas une douche, mais un bon grand bain bien chaud qu’elle va s’accorder.

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