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Ma fille Cloé – Chapitre 4

Ma fille Cloé - Chapitre 4



Ma fille reprend peu à peu ses esprits, ma femme dit :

C’est à mon tour maintenant d’en prendre !

Je m’allonge sur le lit, ma femme m’enjambe, saisis ma queue et la dirige vers sa chatte assoiffée. Elle descend lentement jusqu’à ce que l’empalement soit total. Elle ondule du bassin, son corps monte et descend sur la colonne de chair, elle commence à gémir. Cloé se penche pour mieux voir, elle pose sa tête sur mon torse et à chaque montée du corps de sa maman, elle me caresse la bite.

Tu aimes maman !

Oui ma chérie c’est trop bon !

Tu me laisseras la place après ?

Oui après après !

Ma femme s’agite fortement sur le pal qui la fore, elle grince des dents, se raidit et explose en poussant un râle rauque. Sa cyprine coule sur mes couilles, je commence à lui donner de grands coups de reins. Elle me stoppe net.

Non, ne jouis pas mon chéri, réserve ça pour notre amour !

Un peu frustré, mais je cesse de m’agiter, ma femme descend de sa monture. Rapidement, ma fille s’accapare la place, elle place mon gland contre sa fente, sa maman lui appuie fortement sur les épaules, mon manche s’enfonce de moitié en elle. Cloé pousse un petit cri, sa maman appuie plus fort sur ses épaules, l’empalement est total. Elle imite sa maman en ondulant du bassin, son corps s’évertue à coulisser sur ma bite, elle grogne, s’agite plus rapidement.

Maman maman ça vient !

Jouis ma chérie, prend ton pied, ne te retiens pas !

Elle se bloque et jouit en expulsant sa cyprine abondante avec force.

Mon Dieu maman, pourquoi je ne l’ai pas fait avant, c’est trop bon de jouir !

Papa va parachever ton éducation sexuelle, je vais y contribuer aussi ma chérie !

Oh maman, c’est quoi la suite !

La défloraison de ton petit cul !

Fais-le d’abord toi, je veux voir comment cela se passe réellement !

OK mais avant, il me faut une préparation spéciale, sinon bonjour les dégâts, viens dans la salle de bain !

Une fois dans la salle d’eau, la séance de nettoyage commence, à tour de rôle, les femmes ont droit à leur lavement. Elles réapparaissent plus légères.

Je commence ma chérie, papa sait ce que j’aime !

Ma queue est super tendue, le cèpe violacé et les veines apparentes gorgées de sang de la hampe, lui donne une apparence monstrueuse. Ma fille ne peut s’empêcher de lui donner plusieurs baisers et de la branler un peu. Pour relever sa croupe, ma femme place un épais coussin sous son ventre, ainsi elle m’offre ses orifices. Je prends ma ceinture, fais glisser le cuir sur son postérieur, elle frémit. Cloé regarde, médusée :

Papa, tu ne vas tout de même pas frapper maman ?

Ma chérie, c’est ta maman qui le veut, à chaque sodomie, elle réclame la ceinture !

Alors regarde, peut-être que tu en demanderas aussi ?

Je lève le bras, la ceinture s’abat sur le bas des reins, ma femme grimace et ferme les yeux. Un deuxième coup plus fort marque la fesse droite, ma femme se cabre puis reprend la position

Je jette la ceinture, et sors de dessous du lit une fine badine. Je vise particulièrement les orifices, à chaque fois, j’atteins mon but, ma femme a les larmes aux yeux, sa chatte est toute gonflée ainsi que son anus. On peut voir les marques rouges laissées par la badine.

Voilà, maintenant, ta maman est prête.

Je caresse longuement les marques, j’enfonce deux doigts dans sa chatte et tourne en elle, la coquine mouille, les coups la font toujours mouiller terriblement. Je ressors mes doigts visqueux, et en enduis l’anus boursouflé. Je pose mon braquemart contre la petite porte, je saisis ma femme par les hanches et donne un violent coup de reins. Elle pousse un cri lorsque la pal s’enfonce en elle, je commence à la pilonner rageusement, elle geint de plaisir, à chaque fois mes couilles frappent ses fesses. Elle adore que cela soit hard.

J’augmente la cadence, les coups deviennent de plus en plus violents.

Oui oui mon chéri défonce-moi bien à fond, vas-y plus fort !

Ma fille n’en revient pas que sa maman réclame de la douleur, elle se caresse la chatte en attendant son tour. J’accélère le plus que je peux, ma femme grogne comme un animal. Elle pousse un hurlement lors de sa jouissance. Je lui donne encore quelques bons coups de queue, je me raidis et lui remplis l’intestin de mon sperme épais. Je me retire, et lui offre ma queue à sucer, elle s’évertue à la sucer comme une pro, elle nettoie ma queue gluante de sperme avec délectation.

Pour ne pas débander, je place à la base de ma bite un anneau spécial qui empêche le sang de redescendre. Ma femme cède la place, ma fille anxieuse hésite à s’installer.

Vas-y ma chérie, c’est trop bon, j’ai pris un pied d’enfer, n’hésite pas !

Elle s’installe sur le coussin, je lui écarte les fesses avec mes mains et crache sur l’illet brun, j’étale avec deux doigts la salive sur la rondelle, j’y enfonce un doigt. Ma fille se cabre, je fouille lentement le rectum encore vierge, j’y ajoute un second doigt et le ramone doucement. Ma fille soupire, je retire les intrus et pose mon gland contre la petite porte, je m’accroche à ses hanches et pousse, l’anneau cède sous la forte poussée, il avale le manche de chair, ma fille pousse un hurlement, je cesse de la pénétrer. Ma femme ne reste pas inactive, elle passe sa main sous Cloé, et lui enfonce deux doigts dans la chatte, et la ramone doucement.

Ma fille se détend, je reprends la progression, petit à petit mon engin prend possession des lieux. Sa gaine est dilatée par le pal large et épais qui est en elle.

Ma fille souffle comme un animal, je commence à la pilonner, ma queue coulisse de plus en plus aisément dans la gaine étroite. Elle halète, sa respiration s’accélère, son souffle est court. Elle gémit à chaque coup de pilon que je lui donne, elle agite sa croupe. Elle tente avec de violents coups de cul de s’empaler davantage.

Oui oui papa, encule-moi à fond, c’est trop bon oui oui !

Elle couine sous mes assauts répétés, se cabre et gicle avec force sur l’épais coussin. Sa jouissance est terrible, elle a de nombreux orgasmes, son corps est secoué de spasmes violents, je me retire du brasier, retire l’anneau et replonge ma bite large et épaisse dans le fondement en ébullition.

Je la démonte sauvagement, mes coups de boutoir sont puissants, je grince des dents me bloque et déverse dans ses entrailles ma semence gluante.

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