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Ma mère et mes soeurs, quelles salopes! – Chapitre 1

Ma mère et mes soeurs, quelles salopes! - Chapitre 1



Notre famille n’a plus de père depuis de nombreuses années, nous sommes donc au nombre de 4 : maman Cloé 40 ans, ma grande sur Pamela (Pam) 22 ans et ma petite sur Silvia (Sili) 18 ans, et moi 20 ans, qui est bien le seul homme de la famille. Cette histoire, quoiquen partie vraie, se passe il y a 30 ans. Nous sommes en juillet 1989 au bord de la plage en méditerranée où nous possédons un mobile home depuis très longtemps, dans le trou du cul du monde, à 2 heures de route de toute civilisation, dans un endroit désert et difficile d’accès ; nous sommes donc seuls en nudistes pour passer une grande partie de notre vie, nous sommes rentiers. En matinée, déjà sous un soleil de plomb et malgré l’ombre de la pergola, la chaleur insupportable nous oblige à passer une grande partie de la journée dans l’eau.

Ma mère, un jour, me demande de lui passer de l’écran solaire, un boulot normalement fait par Pam ; mais pour cette fois, et c’est là que notre vie va changer, commençant par les épaules ; mes mains enduites de crème vont et viennent le long de ses bras, sur son cou et sa nuque ; elles descendent sur son dos, caressant la chute magnifique de ses reins, remontant sur son ventre, puis plus haut sur les seins, là, sa main m’arrête,

— Chéri, je peux le faire seule ici, tu sais !

— Oui, je sais, mais ne fais pas ta sainte-nitouche, tu sais que tes seins sont parfaits, laisse-moi en profiter un peu !

— Mais tu es mon fils, pas mon amant !!!

— Et cela change quoi ? Fils, amant, frère, neveu, tes miches n’en sont pas moins désirables, et ne me sort pas le terme inceste qui n’est qu’un mot, inventé par les hommes pour faire chier les hommes ; regarde les animaux, eux ne sembarrassent pas de liens de parenté ; et jusqu’aux preuves du contraire, nous sommes aussi des animaux – Monde zoologique-

Ma mère interloquée, sidérée par mon audace, ne fit rien pour m’empêcher de me faire plaisir et laissa mes mains aller et venir sur ses superbes globes ni petits ni énormes, juste bien proportionnés pour une femme de 185 centimètres.

Je ne pus retenir un soupir et sentis mon membre durcir et gonfler considérablement, ma mère avait fermé les yeux, et savourait en secret les sensations que lui procuraient mes caresses douces et tendres, ressentant la chaleur de mes mains enduites de crème autobronzante. Un gémissement à peine audible sortit de sa bouche, je ne pus réprimer un baiser à la commissure de ses lèvres charnues et sucrées. Sa poitrine était devenue dure, et les tétons pointaient fièrement vers le ciel, gorgés de sang, demandant à corps et à cris, une langue pour les sucer. Je me suis approché, au premier coup de langue, Cloé me repoussa violemment et ses yeux me lancèrent des éclairs pleins de fureur et d’indignation. Elle remarqua ma pine bandante, et me gifla fort, et pour ne pas lui en retourner une, je me suis éloigné, dépité et frustré. Mes surs n’ont rien remarqué, et s’occupaient à batifoler dans l’eau, jouant avec les vagues.

Le soir même, maman rentra dans ma chambre, s’assit sur le lit et me demanda calmement pourquoi et comment j’ai pu en arriver là ?

— C’est arrivé, c’est tout, il n’y a pas de raison, cest biologique, je t’aime maman !

— Moi aussi, mon fils, mais comme un fils ; tu ne peux être mon amant, tu comprends ?

— Même pas une fois seulement ?

Je savais qu’elle allait dire non ; je n’avais plus qu’une solution : me jeter sur elle, la maîtriser et l’embrasser ; si elle résiste trop, la violer directement ; mais je ne voulais pas en arriver là, je voulais simplement lui faire l’amour de son plein gré. Cloé, surprise, ne résista pas longtemps ; sous mes 199 centimètres pour un poids de 110 kilos, elle capitula et accepta un baiser, puis en redemanda, conquise par ma dextérité buccale. Bien vite, sous mes caresses, elle devient plus audacieuse, cherchant ma bouche, pendue à mon cou, mon corps enserré entre ses jambes, ses mains sur ma poitrine, elle me donne ses seins à lécher et sucer.

Pour moi, ce fut que du bonheur ; je ne voulais rien d’autre, je lui mange entièrement les seins, les pétrissant comme fait un boulanger, je suce à en perdre haleine, ses nichons de déesse plantureuse, titillant sauvagement, mais avec passion ses tétines, tétant comme un bébé, aspirant ses pointes roses. Sa poitrine devient bien vite le terrain de jeu de ma langue lécheuse, de mes baisers et de mes caresses, deux monts de mes désirs les plus fous. Sa respiration se fait plus bruyante et plus rapide, elle commence à gémir doucement, puis plus fort, ensuite son corps se contracte, maintenant elle est à moi, et elle en a vraiment envie, je savais en cet instant que ma mère pouvait être une vraie salope. Alors que je lui pelote les fesses, elle pose sa main sur mon ventre, et descend jusqu’à mon sexe tendu, aux veines saillantes et palpitantes.

Ma main aussi glissa entre ses cuisses, caressa délicatement sa vulve imberbe, qui déjà, se mit à gonfler et à durcir ; la moite chaleur de sa peau m’excita encore davantage, et mon phallus se tendit encore plus, comme une pine vengeresse dressée vers le ciel. Sans un mot, dans une osmose parfaite, nos corps se sont imbriqués en position de 69 ; elle est en dessus, moi en soumission, la femelle dominante alpha, avalant le sexe mâle avec impérialisme, je ne pus que dévorer le fruit mûr et juteux de la dominatrice de mon corps.

Mais mon instinct belliqueux de mâle reprenant le dessus, je lui montrai qui était le maître, un coup de reins magistral inversa la situation, léchant et mangeant son con trempé comme jamais ; j’entrepris de lui baiser la bouche ; immobilisée, elle fut contrainte de subir les assauts de ma trompe raide, lui laissant juste le temps de reprendre sa respiration, je plonge à nouveau au fond de sa gorge où mon gland s’écrase à chaque coup de reins entrant, puis, incapable de me retenir plus, je jouis comme un porc, lui remplissant de sperme le gosier, inondant sa bouche, l’obligeant à tout avaler. Elle leva ses magnifiques yeux vers moi, regard plein de gratitude et de reconnaissance.

Ma langue eut raison de son con, quelques minutes après, son clito, dévasté, jouit fort ; une giclée d’une rare violence aspergea mon visage ; et elle m’intima de manger tout ce jus, qu’elle recueillit, me donnant ses doigts à lécher jusqu’à la dernière trace, un idyllique sourire en coin, se délectant de ce spectacle, un homme mangeant de la cyprine coulant sur son visage, les doigts de sa mère en guise de cuillère n’est pas vraiment courant. Mon saucisson ne bandait pas, mes couilles furent grosses comme des mandarines, le scrotum dur et tendu ne demandait qu’une chose : jouir encore, et encore, à en mourir…

Je me branle sur ses seins de rêve ; je gicle une bonne quantité de liqueur de gland, et jétale et masse les globes mammaires avec pur délice pour tous les deux. Désormais, nous étions allés trop loin pour ne pas finaliser l’acte sexuel, donc elle s’offrit à moi, à tous mes fantasmes sans condition avec son corps et son âme d’une vraie salope dans toute sa splendeur. Tout ce que la morale réprouve devient désuet et obsolète, nous sommes pleinement conscients que nous sommes mère et fils, mais là, il n’y a plus qu’un jeune homme qui couche avec une femme mature, bien quencore jeune. Les barrières tombent, une à une, plus de limites ni de tabous, rien que du sexe et de l’amour réel et concret.

Après avoir encore bouffé son con et l’avoir fait couiner un orgasme certain, je lui ai mis la bite en face, et suis rentré en elle d’une seule traite, doucement, mais en une seule fois, marre des chattes trop serrées qui demande du temps et de la patience, une chatte qui a déjà enfantée est bien meilleure, plus large où on peut facilement entrer, mes va-et-vient commencent rapidement pour durer une éternité, c’est dans des corps enlacés aux bouches soudées, la peau brillante et baignée de sueur que les orgasmes montent et éclatent en cascades, la tenant par les cheveux, la tête rejetée en arrière, elle hurle son intense plaisir, ravagée par une jouissance électrique du point G, doublée d’un frôlement de glande para-urétrale, qui vont faire de nous des esclaves sexuels épuisés et endormis, les sexes encore collés, et ce, pour toute une nuit.

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