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ma première sodomie à la piscine – Chapitre 2

ma première sodomie à la piscine - Chapitre 2



J’ai finalement décidé de raconter cet été en entier car, je le précise encore, tout est vrai et il a, de surcroît, véritablement changé ma vie. Et comme j’y ai pris beaucoup de plaisir, je souhaite le partager.

A vrai dire, je n’avais pas tout à fait fini de raconter notre anniversaire si spécial de 99.

Le soir même, Sam, Sloan et moi, sommes allés nous coucher dans nos lits respectifs, trop fatigués pour nos "frotti-frotta" habituels, Pierre et papa, dans leurs chambres bien sur. C’est plus tard dans la nuit que j’ai senti quelque chose…

Je ne sais pas (ou plus peut-être) l’heure qu’il devait être, mais tard je pense parce que la sensation soudaine m’a tiré d’un profond sommeil. Même si les "frotti-frotta" avaient été mis de coté ce soir là, mes frères et moi n’avions pas dérogé à notre tradition et dormions nus. J’ai mis quelques instants à comprendre vraiment ce qu’il se passait. J’avais froid et cela se mêlait à mes rêves. Je me voyais entièrement nue dans une rue déserte une nuit d’hiver, attendant quelque chose ou quelqu’un. Puis la réalité se fit de plus en plus nette. J’ai donc réalisé que je dormais sur le ventre, les mains coincées sous mon bas-ventre et je sentais le bout de mes doigts qui touchaient presque mon clitoris. Mes jambes étaient tendues. J’avais froid dans le dos, aux fesses et aux cuisses jusqu’aux creux de mes genoux, pour cause, j’étais les fesses à l’air dans mon lit, la couverture presque entièrement retirée. Sans ouvrir les yeux ni remonter la couverture, je restais là, immobile, l’oreille tendue me semblant entendre un bruit étrange. Au fur et à mesure le bruit se fit plus net lui aussi, un souffle, une respiration, légère, lente, je compris que quelqu’un était assis sur mon lit et devait sûrement me regarder. Sans aucuns doutes un de mes frères, mais lequel? Et pourquoi pas mon père, tout me paraissait possible ce soir là. Je priais silencieusement pour que ce soit Pierre. D’avoir été si loin avec lui dans la piscine m’avait grandement excitée et avait surtout réalisé certains de mes fantasmes, me faire prendre le cul par sa grosse queue bien dure et si belle, ou simplement la sentir grandir dans ma bouche jusqu’à prendre toute la place et devenir brûlante. D’ailleurs, de fantasmer autant sur Pierre me paraissait bizarre à l’époque. C’était normal pour nous de coucher entre triplés, mais complètement différent avec mon grand-frère.

Tout me semblait être sur-dimensionnel depuis cette après-midi. C’était la première fois que Sloan, Samuel et moi avons partagé nos jeux sexuels et cela donnait une autre dimension aux choses. Entre nous, c’était complètement différent. Pour nous, c’est un peu comme si nous nous faisions chacun l’amour à nous mêmes (je dois dire que ça m’est très difficile à expliquer).

Il s’est passé plusieurs minutes où je suis restée à attendre sans bouger, les mains sous le ventre. Je sentais l’excitation (mêlée d’une certaine appréhension, je dois dire) grandir en moi et chatouiller le bas de mon ventre, juste contre la paume de mes mains. J’avais vraiment du mal à rester en place. J’avais terriblement envie de me retourner pour voir lequel de mes hommes se rinçait l’il sur mon corps nu, mais j’attendais. Je ne pouvais m’empêcher de m’imaginer Pierre me disant là, maintenant, dans le noir, qu’il m’aimait et qu’il voulait encore me baiser, partout. Mon corps eu soudainement un léger tressaillement que je ne pus maîtriser tout à fait, une main se posa enfin doucement sur mes fesses et commença à me caresser lentement. Je sentais bien que ce n’était ni la main de Sloan, ni celle de Sam (je les reconnaîtrai entre mille), je pensais plutôt à Pierre.

Je me sentais bouillir. J’ose croire encore aujourd’hui qu’il me croyait toujours dans un profond sommeil à cet instant et avait du prendre mon spasme pour une réaction normale à un contact physique sur un corps endormi. J’ouvrais très légèrement les yeux pour entrevoir mes frères jumeaux couchés chacun dans leurs lits, j’en ai conclu qu’ils devaient toujours dormir et j’aperçus du coin de l’il la silhouette d’un homme, je n’ai pas pu le voir suffisamment bien, j’avais la tête tournée de l’autre coté où il était assis.

La main continuait de me caresser, elle resta un moment à me pétrir doucement les fesses puis parcouru tout mon dos. Je sentais les bouts des doigts glisser sur le coté de mes seins. Toujours les yeux fermés je profitais à fond de cet instant, je sentais que ma petite chatte était déjà toute mouillée. La main redescendit sur mes fesses et alla jusqu’à mes cuisses. Puis la jumelle de cette main rejoignit sa sur. Les dix doigts me parcouraient les cuisses et les fesses me donnant l’impression qu’une multitude de mains se trouvaient sur moi, mon excitation atteignait presque son paroxysme. Je dus faire des efforts monumentaux pour ne pas cambrer les reins afin d’inciter le propriétaire de ces mains si chaudes à se diriger vers mon minou et mon trou du cul.

Mais je n’ai pas eu à attendre très longtemps, la main gauche fut la plus rapide et l’index plongea directement à l’intérieur de ma chatte. Tant j’étais mouillée, le doigt est rentré sans aucune difficulté. Il fut rapidement rejoint par le majeur, ce qui me combla de plaisirs. Les doigts s’agitaient dans mon ventre à un rythme si soutenu que je ne pus retenir des gémissements. Je n’avais toujours pas ouvert les yeux mais il ne s’agissait plus de feindre le sommeil, d’avoir toujours le doute de qui était-ce de papa ou de Pierre m’excitait au plus haut point. Je me cambrais cette fois autant que je pouvais, montant le cul vers le ciel pour ouvrir mon anus le plus possible. Ce que j’espérais en faisant ça ne se fit pas attendre non plus, le corps entier se mit derrière moi, entre mes jambes bien écartées désormais, une langue plongea dans mon cul et me le bouffa de toutes ses forces. Les mains rejoignirent chacune un de mes seins et faisaient rouler mes tétons entre leurs doigts. J’enfouis ma tête dans mon oreiller afin d’étouffer mes cris, je jouissais comme rarement j’avais joui auparavant.

Après m’avoir bien bouffé la rondelle, j’ai reçu encore trois doigts dans l’anus qui m’ont fait atteindre le 7ème ciel. Je mordais le plus fort que je pouvais dans mon oreiller tellement j’aimais sentir ces doigts s’agiter furieusement à l’intérieur de moi, ça me procurait des sensations indescriptibles.

Revenant tout juste du Nirvana, les mains me libérèrent de leurs emprises. Quelques secondes ont suivies et j’ai senti un liquide chaud recouvrir avec une certaine puissance l’extérieur de mon cul et compris que le propriétaire des mains s’était branlé en silence au dessus de moi et avait giclé tout son foutre sur mon anus encore dilaté de la masturbation profonde qu’il venait de subir. Peu après, des lèvres m’embrassaient avec une tendresse étrange, que je n’avais jamais ressenti. Les lèvres sont remontées le long de mes fesses, me nettoyant un peu du sperme qui dégoulinait en suivant les creux de mes reins et la courbure de mon dos, jusque dans mon cou. C’est à ce moment là qu’une voix rauque et essoufflée me dit à l’oreille dans un chuchotement:

— Bon anniversaire ma fille. Tu m’as tellement excité cette après midi, je n’arrivais pas à dormir, je ne faisais que penser à ton putain de petit cul que j’avais si envie de bouffer. Quand je t’ai vu avec tes frères ça a été une révélation, tu adores ça, tu es ma petite salope à moi. Mais tu es ma fille, je ne veux pas faire n’importe quoi. Tu dois perdre ta virginité avec un homme qui n’est ni un de tes frères, ni moi. Tu dois la perdre par toi même, après on verra. Maintenant je suis pressé que ce soit fait, je n’attends que de te prendre dignement.

Il m’embrassa et sortit de notre chambre.

Je restais là, nue, à réaliser ce qu’il venait de se passer. Je ne savais pas quoi en penser, me disant que ce n’était pas normal, que c’était mon père, nous n’avions pas le droit de faire ça… mais me disant aussi que je n’avais pas plus le droit ni avec Sloan et Sam, ni avec Pierre, et je ne mettais jamais posé de questions.

Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit là. La plupart de mes fantasmes sont à propos de mon grand-frère, beaucoup à propos de Sam et Sloan mais très peu à propos de papa. Et cette nuit là, je ne pouvais m’empêcher de revoir inlassablement mon papa se masturbant sa grosse bite au dessus de moi, des doigts, sa langue ramonant tous mes orifices et ne pouvait attendre qu’une seule chose, le gros membre de mon papa dans ma petite chatte et dans mon anus. J’ai décidé cette nuit là de perdre ma virginité au plus vite…

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