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Virginie et son Tonton – Chapitre 3

Virginie et son Tonton - Chapitre 3



Son contrat d’apprentissage sexuel signé Virginie avait dû se déshabiller et elle avait dû donner son soutient gorge à son oncle qui lui avait précisé qu’en porter un lui été dorénavant interdit. Elle avait des petits seins aux mamelons étroits et des tétons d’une jolie couleur rosée. Son oncle lui avait posé ces anneaux de tétons qui, bien aspirés et serrés, étaient bien tendus malgré qu’ils soient courts. Maintenant bien lisse sa fente qui montait haut sur son pubis était parfaitement visible, de même que ses grandes et ses épaisses petites lèvres. Elle avait fait sa photo en position d’attente et son oncle lui avait donné sa tenue. Pour le bas elle put mettre un string et elle eu à mettre sa jupe écossaise dans les tons roses et eu à mettre un chemisier sans manches, col en V, le premier bouton se trouvant entre ces deux seins ceux-ci étaient visibles, suivant ces mouvements.

Comme il était l’heure de se restaurer, n’ayant rien préparé, il l’invita à aller manger en ville, l’après-midi se passa en shopping, mais d’un genre un peu particulier ; en effet, il l’emmena dans un sex-shop où il était connu, la présentât en disant à la gérante, Mélanie, 41 ans, voici ma nièce, Virginie, elle a pris le pseudo « jeune salope à dépuceler » et qu’il fallait des vêtements en accord avec cette terminologie. Mélanie proposa une tenue d’écolière composée de 5 pièces, un top avec décolleté ravissant, une mini-jupe écossaise, 2 nuds à attacher dans les cheveux et une paire de bas blancs, elle allait être la plus sexy des écolières, ceci pour être en accord avec le premier mot de son pseudo, jeune. Pour le second mot, salope, elle présenta un ensemble composé d’un soutien-gorge ouvert sans armatures. En voile transparent en bandes passantes sur la poitrine, le mamelon dépassant par le trou pratiqué à cet endroit, le téton pourra ainsi être muni de son anneau. Cela était complété par un string en dentelle largement ouvert à l’entrejambe. Monsieur Marc trouva cela très bien et prit le tout. Quant au dernier mot Mélanie dit à Monsieur Marc qu’il était un sacré baiseur et que le pucelage de Virginie ne serait bientôt plus qu’un souvenir.

En rentrant il prépara un barbecue dans le jardin, elle vint l’aider et ils mangèrent sur la terrasse. Durant ce repas il s’était bien rendu compte que Virginie faisait souvent en sorte de faire bâiller son chemisier afin qu’il puisse voir ses petits seins ; ce qui, bien entendu arriva, elle s’était rendu compte qu’il avait bien vu, mais ni l’un ni l’autre ne dire mot. Après le repas, afin de se débarrasser des odeurs de grillades, il alla prendre une douche, il en revint en short et tee-shirt, elle alla en prendre une, elle aussi, il lui dit de mettre ce qu’il avait acheté, en revenant elle était en tenue d’écolière, la mini-jupe écossaise s’arrêtait juste en dessous des fesses, le string largement ouvert à l’entrejambe laissait bien voir sa vulve. Virginie n’avait pas fermé le haut, le soutien-gorge était bien visible, ces tétons bien serrés par les anneaux de tétons. Elle avait attaché ses cheveux en deux couettes avec les nuds assortis à la jupe et mis la paire de bas blanc s’arrêtant en haut de ses cuisses fuselées. Arriva un grand moment, il lui dit, raconte. Interloquée elle demanda quoi, Tonton Marc ? Il lui dit, ta vie sexuelle, Virginie, elle dit alors qu’elle prenait la pilule, qu’elle aimait obéir, s’exhiber, mais qu’elle était toujours vierge. Il lui rappela qu’elle devait toujours rester bien lisse. Il lui dit qu’ils allaient regarder un film pornographique, il avait choisi « Baise entre un oncle et sa petite nièce », le film était court, à peine trente-sept minutes, néanmoins y étaient abordés les thèmes : jeune, inceste, petit cul, rasage de chatte, pipe et hardcore. Son oncle lui ordonna de se déshabiller pour regarder le film, elle le fit, dans l’ordre, bien entendu ; il ne lui restait que son collier en cuir rose. Il ferma les persiennes et ils s’installèrent au salon sur le canapé dans la pénombre. Une fois assise au bord du canapé il lui ordonna d’ouvrir ces jambes pour rendre sa vulve accessible. Le film commencé c’est naturellement qu’elle vint poser sa tête sur son épaule ; elle dit qu’elle était contente d’être éduquée par lui, il lui répondit qu’il était ravi qu’il doive en faire une cochonne. Poussés par un désir commun, ils s’embrassèrent, pour la première fois, sur la bouche. La sentir ainsi à sa merci le fit bander, ce qui déforma son short, elle ne s’en aperçut pas mais maintenant il ressentait du désir pour elle, sa nièce. Il ouvrit sa jupe et lui massa doucement la fente qui était mouillée. Après le film ils allèrent se coucher, mais Virginie connut une frustration, en effet, son oncle lui dit d’aller dormir dans sa chambre et de rester habillée. Quant à lui il s’allongea nu sur son lit et commença à se masturber. Sa verge était bien tendue, le gland brillait avec le liquide préspermatique. La foudre tomba, non loin ; Virginie eut peur et entra sans frapper dans sa chambre. Elle portait toujours sa tenue d’écolière. Elle regarda son oncle et dit, oh, Tonton Marc, vous bandez et vous vous branlez ; j’aime bien votre bite, bien droite et bien grosse, sans aucun poil, elle est belle. Il continua à se masturber doucement en la regardant, elle dit, vous êtes nu, alors, moi aussi, il n’eut rien le temps de dire que ce qu’elle portait était sur le sol ; il lui ordonna alors de venir le rejoindre. Elle se blottit contre lui, ses petits seins étaient en contact avec son bras gauche et son torse, il sentit très bien se tendre ses tétons bien qu’elle ait retiré ses anneaux. Virginie avait attrapé le membre tendu de désir, ses doigts l’entourant elle dit, votre grosse bite est glissante, Tonton Marc, il lui répondit que cela était pour faciliter la pénétration dans son vagin, et, qu’elle aussi, allait mouiller. La main de Virginie avait remplacé celle de son oncle et maintenant c’est elle qui le masturbait, il lui fit reculer le prépuce et bien sortir le gland, qui apparut humide. Il la guidait pour qu’elle le fasse bien et doucement, il posa ses lèvres sur les siennes, aussitôt leurs langues se trouvèrent et ils échangèrent un baiser passionné. Il lui caressa les seins en lui disant qu’ils étaient petits mais qu’il adorait cela, il prit un téton et le fit rouler entre ses doigts, elle lui dit, hum, je préfère quand c’est vous, quand c’est moi cela me fait moins d’effet. De son côté il n’était pas resté inactif, sa main gauche s’occupait de ses seins tandis que la droite qui lui avait caressé le ventre arrivait à sa fente. Sa vulve était bien lisse et il lui caressa le clitoris, tout doucement sa fente était mouillée. Il lui demanda si elle se caressait avant de venir dans sa chambre, elle dit, oui Tonton Marc, en pensant à vous. Il lui demanda si elle voulait qu’il lui prenne son pucelage, elle dit, rayonnante, oh, oui, Tonton Marc. Il lui dit qu’elle devrait le mériter, pour cela elle devra commencer par le masturber, avoir du sperme sur la figure et en avaler pour qu’avant tout elle en connaisse le goût, il la prévient que ses éjaculations étaient abondantes et son sperme épais. Il lui dit qu’il fera des photos d’elle lors de cette pratique ; elle dit, oh, oui, Tonton Marc, pour les photos faites comme vous voulez. Il prit un petit appareil photo numérique et posa son gland sur ses lèvres qu’elle entrouvrit, il lui dit regarde-moi et pris une photo (clic), il la guida pour qu’elle lui suce bien le gland et lui dit d’ouvrir la bouche, ses lèvres entourèrent le gland (clic), il repoussa tout doucement sa tête, bientôt sa verge sortit de sa bouche (clic), il lui fit faire quelques va-et-vient. Il éjacula puissamment, elle eut du sperme sur les joues, le front, les cheveux, la bouche et le menton (clic), il la lui fit reprendre dans sa bouche pour finir de jouir, elle sentit battre la verge qui finissait de décharger (clic), sa tête étant toujours maintenue elle n’eut d’autre choix que de déglutir en avalant la semence (clic). Ce ne fut que lorsqu’il eut fini d’éjaculer qu’il lui lâcha la tête, elle ne se retira pas tout de suite et caressa ses testicules, elle se retira doucement et il lui fit bien nettoyer son gland avec sa langue (clic). Il lui dit qu’elle était douée, et que dans la nuit il lui prendra son pucelage, en fait prenant des substances, non seulement son sperme était abondant, mais, en plus, il rebandait très vite. Virginie s’était endormie, il contempla son corps, il adorait sa fente montant haut sur son pubis qui était bien visible, il lui titilla ses petits tétons d’un joli ton rosé, les tira doucement un par un et les fit rouler sous ses doigts. Il lui caressa le ventre passa son index sur sa fente, elle était humide, prête à être ouverte. Son index massait la fente sur toute sa longueur, prenant bien garde à l’hymen. Elle se tortillait en gémissant ; elle se réveilla et lui dit qu’elle croyait rêver. Il refit quelques photos, et lui dit qu’elle avait une bien belle chatte et qu’elle était bandante. Elle dit, merci Tonton Marc. Puis il lui demanda si elle voulait toujours s’offrir à lui, elle dit oui, je le veux, il lui dit alors que tout sera, comme la veille, photographié, elle dit, oh, oui Tonton Marc, bien sûr. Il mit alors un reflex numérique sur pied à un endroit judicieusement choisi, les prises de vues se faisant de façon automatique à un intervalle de temps assez court. Il lui précisa que les gros plans se feront avec le petit appareil photo utilisé la veille. Elle dit, oui Tonton Marc, faites comme vous voulez. Il lui posa alors la paume de sa main sur son pubis, le caressa en appréciant sa douceur, puis il massa grandes et petites lèvres. De son côté elle n’était pas restée inactive, puisque la position de Marc le permettait-elle avait pris sa verge, elle l’a fait grossir et commença une fellation, la première leçon avait porté ses fruits et il dut l’arrêter pour ne pas jouir dans sa bouche. Il lui fit bien écarter les jambes, présentât son gland à l’entrée de son vagin en lui disant de bien écarter ses grandes et petites lèvres, elle obéît. Il fit une photo et frotta son gland sur la fine membrane et lui demanda, tu veux toujours ? Elle dit oui, allez-y Tonton Marc, alors il la pénétra doucement, s’arrêtant un bref instant sur l’hymen, et poussa un petit coup sec, l’hymen céda facilement, il entra bien au fond de son vagin en lui disant qu’il accueillait une verge pour la première fois, il resta immobile, bien au fond d’elle, elle dit, faites aller votre bite Tonton Marc, jutez bien dedans s’il vous plaît. N’y tenant plus il fit quelques va-et-vient et explosa bien au fond, elle sentit les giclées de sperme l’envahir tandis que son vagin se contractait sur le membre fiché en elle. Virginie jouissait, elle aussi beaucoup. Le nombre de « clics » fut incalculable. Ils s’endormirent ainsi, l’un dans l’autre, au milieu de la nuit ils s’éveillèrent, il avait débandé et sa verge était sortie du fourreau, un peu de sang mélangé au jus de leurs plaisirs tachait les draps. Ils allèrent prendre une douche, pour la première fois ils la prirent ensemble. Il lui demanda de le nettoyer et il s’occupa d’elle. Elle ne dit rien, ils allèrent finir la nuit, nus, dans son lit à lui. Le dimanche matin elle lui dit, j’aime votre bite et sentir votre jus gicler en moi Tonton Marc. Il lui dit qu’elle allait vite devenir une cochonne, et, que, peut-être, elle était une femme fontaine, ce qui restait à confirmer. Son oncle lui dit que l’étape suivant sera la réalisation de son press-book. Elle dit, bien Tonton Marc.

À suivre.

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