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Maman l'espace d'un instant – Chapitre 13

Maman l'espace d'un instant - Chapitre 13



Papa est parti une fois de plus au travail pour l’élaboration d’un grand chantier, l’espace d’un instant je me dis que c’est mal pour ma mère et moi, et j’attendais ce moment avec une grande impatience et elle aussi d’ailleurs pour se retrouver rien que tous les deux en amoureux.

J’entends une voiture et je reste quelques instants sans respirer, en regardant devant moi je reprends mon souffle et sens mes mains qui tremblent légèrement comme un robot. Je reste quelques instants debout à fixer l’extérieur, c’était elle, ma chérie, mon amour, celle qui embellit ma vie. Oui maman était déjà là et sortait de sa voiture.

Je semblais tétanisé alors que ce n’est pas nouveau cette relation, et à ce jour il n’y a jamais eu le moindre souci, car toujours fait dans la discrétion la plus totale pour ne pas éveiller les soupçons. Mais ce n’est pas si facile, les moments complices sont parfois rares mais précieux, c’est comme si c’était une nouveauté, on aurait dit un vrai gamin, je ne sais pas pourquoi je réagissais de la sorte, le manque surement, pourtant cette situation est sincère et suivi, du véritable amour, bref allez savoir.

C’est comme ça depuis que j’y ai goûté, il m’a suffi d’une fois et depuis ça revient continuellement, j’y pense tout le temps à nous deux, et j’ai tout le temps envie d’elle malgré sue ce soit interdit et politiquement incorrect, car contraire à la bonne morale.

Arrivé devant la porte entrouverte je prends à nouveau un grand souffle et regarde avec attention : Elle est là, ses longs cheveux détachés ondulent lentement au rythme du vent. Je la regarde et ma main ne peut s’empêcher de caresser sa joue, et très vite nous nous embrassons à pleine bouche.

Son visage s’éclaircit d’un grand sourire et ses grands yeux s’écarquillent en me regardant. Elle porte une chemise rose ornée de fleurs, une mini-jupe en jean bleu, ce qui me procure un frisson d’excitation qui remonte le long de mon dos. Je sens monter en moi une chaleur intense tandis que je m’installe sur le canapé face à elle, elle me lance un regard coquin. Je fais mine de n’avoir rien vu, mais je sens monter une pulsion de plus en plus intense au fil des minutes.

Alors qu’elle est face à moi, je vois succinctement le rose de son sexe alors qu’elle décroise les jambes, cen est trop, je ne peux plus tenir. Oui elle n’avait pas mis de culotte.

Je me lève et m’agenouille à côté d’elle. Elle me regarde droit dans les yeux, et elle sait ce que je veux, et ce nest pas un souci pour elle non plus. Son regard n’exprime plus rien, ses grands yeux sont juste écarquillés, comme pour me faire revenir à la raison. Je place ma main derrière sa tête et pousse légèrement dessus pour lui faire comprendre ce que je veux. De mon autre main je décalotte lentement mon gland qui suinte d’un liquide translucide et gluant. Une dernière fois son regard croise le mien, les yeux fermés elle ouvre lentement la bouche, ma main pousse alors lentement son visage, et je sens mon gland glissé lentement entre ses petites lèvres douces et roses.

Je pousse un long soupir de satisfaction tandis que ma verge glisse lentement dans sa bouche. Ses yeux sont toujours fermés, elle est immobile, et entame une fellation dont elle seule à le secret en prenant bien soin d’engloutir entièrement à chaque venue mon membre, je la fais reculer, et de mon sexe sort un long filer translucide allant de la commissure de ses lèvres jusqu’au bout de mon gland. Elle me regarde avec des yeux trempés de plaisirs et me reprend vigoureusement en bouche sans cesser ses mouvements.

D’un coup elle reste figée, et tout en appuyant sur sa crinière avec mes deux mains, j’éjacule dans son gosier cet épais nectar d’amour qu’elle s’empresse d’avaler sans en perdre une seule goutte, mais nous n’étions pas rassasiés loin de là.

Ma main descend lentement vers son entrejambe et du bout de mes doigts je caresse la petite fente et fais glisser mes doigts entre ses jambes, que je sens se resserrer un petit peu plus. Je saisis alors sa taille et tourne son corps vers moi et caresse lentement ses cuisses, j’entends un léger soupir qui émane de sa bouche, je rapproche alors mon visage de son sexe et y dépose un baiser avant de diriger ma langue dessus. Je lape chaque recoin de ce fruit et en savoure l’odeur, le goût est enivrant, la texture soyeuse et lisse, je perds pied. Je recueille dans ma bouche ce nectar féminin et lèche une dernière fois cette petite chose délicieuse.

Je la regarde inerte et dégoulinante de ma salive, et me glisse un merveilleux je t’aime en esquissant un sourire ravi.

Ses jambes sont toujours écartées et je dirige mon gland vers son entrejambe. Je frotte lentement le bout de mon sexe contre le sien, cette sensation est sublime et je laisse échapper un grognement de plaisir. Je me penche alors plus sur elle et avec de légers mouvements de bassin, c’est maintenant ma verge qui frotte contre son intimité. Je sens son sexe sous ma queue tendue et cette délicieuse sensation fait monter en moi l’imminence de la jouissance. Je stoppe alors quelques secondes et reprends mon souffle et mes esprits. J’aimerais que cela dure un peu plus mais je sens que je ne tiendrais plus longtemps. Je me redresse et la saisis par les hanches et la rapproche de moi, je resserre ses jambes et mon sexe se retrouve coincé entre ses cuisses, reposant bien dur dans sa petite fente avec des vas et viens rapide qui la font gémir.

J’accélère de plus en plus, ça vient, je me couche sur elle, je sens son petit ventre contre le mien et sa petite tête sur mon torse tandis que des spasmes font vibrer mon bas ventre et que je répands mon sperme dans son corps, ses jambes s’entourent autour de ma taille. Je jouis abondamment à l’intérieur de sa chatte.

Je reste quelques instants dans cette position, le souffle court, ma queue palpitant encore légèrement entre nos ventres. Je finis par me relever et admire le petit corps ruisselant de bonheur et rempli de mon jus, et son visage rayonnant de bonheur.

Elle ne bouge pas, elle a les yeux qui brillent. Je me couche contre elle, caresse son ventre, et lui dit que je l’aime. Elle me fixe, se relève légèrement, m’embrasse, me touche le sexe, et me fixe en me disant le plus beau et le plus doux des je t’aime.

Puis elle est partie chez elle heureuse et amoureuse, attendre que papa rentre. Et moi je suis resté chez moi pensant à nos prochaines retrouvailles et escapades amoureuses. Tout est illégitime et immoral, mais nous nous aimons fidèlement et sincèrement dans la plus grande des discrétions, et nous sommes vraiment heureux tous les deux ainsi.

Moralité, pour vivre heureux, vivons cachés.

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