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Marie et le sculpteur aveugle – Chapitre 10

Marie et le sculpteur aveugle - Chapitre 10



CHAPITRE 10

LA SUR D’ALAIN

Et il ne fallut pas longtemps pour que je sois à nouveau sollicitée.

Dès le lendemain, arrivée dans son jardin uniquement revêtue du Marcel, il m’apostrophe :

« J’ai une nouvelle commande »

« Super » Je dis en jetant mon T-shirt au loin et en plongeant dans l’eau fraiche de sa piscine.  « De qui s’agit-il ? »

« Eh bien… on m’a demandé deux filles enlacées…et »

"Et ?"

« Et sais-tu qu’Alain a une sur ? »

J’écarquille les yeux de surprise. « Eh bien, il se trouve que je suis au courant, oui »

« Ah ? Moi, je l’ignorais. N’en parle pas à Alain, mais, elle m’a contactée et s’est proposée de poser avec toi »

« Ah bon ? Elle me connait ? »

« Apparemment ; mais toi aussi on dirait »

« Oui, enfin, pas officiellement… »

« Eh bien ce sera officialisé tout à l’heure »

« Elle vient aujourd’hui ? »

« Oui, elle ne devrait pas tarder »

On entend la sonnerie de sa porte.

« Tiens, ce doit être elle » Il lui crie d’entrer.

« Attendez, je dois me sécher et me rhabiller ! »

Trop tard.  Une superbe créature avance avec élégance dans le jardin.  Elle a des cheveux mi-longs et bruns comme moi.

Elle ressemble aussi à Alain.  En fait on dirait Alain en fille. Ils ne sont pas jumeaux pour rien.

C’est bien la même fille que j’avais aperçue dans la boutique de fleurs d’Alain mais de loin.

Je constate qu’on a le même gabarit et les traits de son visage son assez proches des miens.

Elle est en jean et T-shirt avec des bottines. 

« Salut » fait-t-elle dans ma direction.

« Bonjour…je m’appelle Marie » je réponds en restant dans l’eau jusqu’au cou pour cacher ma nudité.

Elle sourit… « Je sais »

« Comment tu sais ? c’est Alain ? »

« Non.  Un ami de ma mère… »

« Robert ? »

Elle sourit encore d’un air entendu.

« Moi, c’est Brigitte… j’avais hâte de te voir et d’après ce que j’aperçois qui sort de l’eau, c’est vrai que de loin, on se ressemble un peu. Ça m’a intrigué, surtout quand j’ai vu débarquer les sculptures à ton effigie au Club de Manuel »

« Oui, Robert me l’a dit aussi.  Tu connais Manuel ? »

« Ben oui, je danse dans son Club »

Je l’imagine sur scène

« Et Alain est au courant qu’on se voit aujourd’hui ? »

« Il n’a pas besoin de savoir.  Je me demandais… »

Le Prof est allé chercher un broc de citronnade bien fraiche et remplit trois verres.

« Tu te demandais ?  Quoi donc ? »

« Si le reste de ton corps est comparable au mien… » me fait-t-elle avec un petit sourire malicieux.

Je rougis et nage vers le bord pour attraper mon Marcel mais je l’ai jeté trop loin.

« Tu peux me passer mon T-shirt ? Juste là »

Elle le ramasse et je m’attends à ce qu’elle me le donne mais elle le garde en main et recule d’un pas.

« Tu fais quoi là ? »

« Viens le chercher… » me lance-t-elle comme un défi.

Je comprends instantanément qu’elle veut voir mon corps et qu’elle attend que je sorte de l’eau à poil. 

Mon cur se met à battre plus fort et l’embarras m’envahit aussi vite que ça me fait mouiller.  Les mêmes symptômes que m’expliquait le Prof.

Je reste interdite la bouche entrouverte, les mains posées sur la margelle, l’eau dégoulinant sur mon visage et les mèches plaquées sur mon front.

« Rigole pas…allez… donne-moi une serviette alors… »

Elle ne dit rien et marche lentement sur la margelle en faisant tournoyer mon Marcel avec un petit sourire dominateur.

Je comprends alors que je n’ai plus le choix.

« Alors ? Vous faites connaissance ? » demande le Prof comme si de rien n’était.

« Si on veut… » Je réponds un peu contrariée.

« Tout à fait ! » fait Brigitte goguenarde.

 « Prof, vous pourriez me passer un vêtement s’il vous plait ? »

« A parce-que t’en portes maintenant ? » répond-t-il du tac au tac et en repartant chercher des biscuits.

C’est pas vrai. Il me casse complètement devant cette extravertie.

Je me dis alors que je pourrais peut-être lui saisir les jambes par surprise et la foutre à l’eau !  Ça lui ferait une bonne leçon.

Au moment où elle repasse une énième fois devant moi en me narguant, je saisis ma chance et saute pour lui attraper les pieds, mais elle a de bons réflexes et s’écarte d’un pas en rigolant.

« Bon Marie, tu peux sortir de l’eau ?  On a du travail » s’exclame Lucien un brin impatient.

« Elle arrive ! » ajoute l’impertinente sans me relâcher des yeux.

Cette fois, je n’ai plus le choix.

Alors, je prends sur moi et me hisse sur la margelle d’un mouvement souple et me retrouve debout face à elle.  « Rends-moi mon T-shirt maintenant » je fais avec aplomb.

« Très joli… » fait-t-elle en me reluquant des pieds à la tête et en cachant mon Marcel derrière elle.  

J’essaye de le saisir à droite, puis à gauche. Ça m’énerve et je finis par passer mes mains de chaque côté.  Elle me repousse en rigolant mais je m’accroche et on tombe dans l’herbe.

Elle lâche alors le vêtement pour me saisir les mains et bientôt nous sommes en train de lutter au sol.

Je la chevauche et essaye de la maitriser quand Robert fait irruption.  

Il tombe toujours au bon moment celui-là. Il doit avoir un sixième sens !

« Oh mais qu’est-ce que je vois là ?  Un Catfight ?  Chouette ! »

« Mais qu’est-ce qu’elles fabriquent ? » demande Lucien.

« Elles font connaissance, t’inquiète »

« Tu vas me le rendre, oui !? »

« Bonjour tonton Robert » lance la petite garce en direction de Robert.

« Pourquoi elle t’appelle tonton ?  Tu la connais aussi ? » demande Lucien surpris.

« Oui, je connais bien sa mère, enfin leur mère, à Brigitte et Alain. Depuis des années en fait ; alors comme elle m’a vu régulièrement avec sa mère, elle m’appelle tonton ; c’est mignon, non ? »

Pendant que les deux frères discutent, Brigitte et moi roulons dans l’herbe, moi passablement énervée, elle semblant y prendre un véritable plaisir car elle fait exprès de rechercher le contact rapproché.

« Hum mais Marie, ma parole, tu es en tenue d’Eve… dommage que ce soit à sens unique… » fait-t-il en admirant mon corps qui se démène pour dominer Brigitte.

Le pire, c’est que ce contact rapproché de mon corps nu sur celui de Brigitte et la présence de Robert qui regarde le spectacle avec des yeux lubriques, m’excitent progressivement.

Le Prof commente de sa chaise « J’aimerais bien voir ça mais, de toute façon, Brigitte va devoir enlever ses vêtements aussi pour prendre la pose de cette nouvelle sculpture »

« Eh bien, aide la Marie, hé hé hé » fait le vieux pervers de Robert.

L’envie de la foutre à poil et d’être à égalité ne me déplairait pas.   Mais c’est plus facile à dire qu’à faire.  Elle est aussi forte que moi et passer un T-shirt par-dessus les épaules de quelqu’un qui résiste n’est pas chose aisée.

Je transpire comme une folle et me mets dans des poses invraisemblables qui exposent outrageusement mes parties intimes pour le plus grand plaisir de Robert qui ne peut résister à faire quelques clichés et à commenter.  Je sens que je mouille !

« Personne ne m’a encore déshabillé de force ; si je me désape, c’est uniquement moi qui le décide » fait Brigitte d’un air goguenard en résistant à tous mes assauts.

« Ou pour quelques billets aussi, non ? » fait Robert qui semble en savoir pas mal sur les activités nocturnes de la sur d’Alain.

« Oui, et t’aimes bien mater, hein tonton quand tu viens me voir sur scène ?» répond-t-elle effrontément.

Je n’en crois pas mes oreilles.  Robert se sent un peu gêné quand même et on ne l’entend plus pendant les quelques roulades suivantes durant lesquelles mes jambes font le grand écart malgré moi, offrant une vue imprenable sur ma chatte glabre.

« Woah ! Tu t’es rasée la chatte petite coquine ?? Mmmm pas un poil qui dépasse… décidément… » ajoute Brigitte qui me mortifie de honte et n’hésite pas à m’attraper par les fesses et prétendre me repousser pour mieux palper mes seins aussi !

Elle semble prendre un évident plaisir à m’étreindre contre elle et à m’exposer aux regards de son « tonton ».

 Je tire sur son T-shirt mais il ne se déchire pas et je m’épuise. Et soudain, alors que je me retrouve coincée sous elle et qu’elle me tient les bras écartés, elle m’embrasse goulument !

« Lâche moi ! »

Je tourne la tête de gauche à droite et me débats comme une dingue en protestant devant cette agression mais ça ne fait que l’exciter davantage.  Puis, joignant mes deux mains au-dessus de ma tête, elle me tient les poignets d’une seule main et, de l’autre, arborant un grand sourire moqueur, l’insère entre nous deux jusqu’à atteindre mon intimité qu’elle touche sans autorisation pour découvrir mon sexe tout humide.

« J’en étais sûret’es une gouine mais tu le sais pas encore ma belle »

C’en est trop, au prix d’un ultime effort, je libère mes mains et la repousse violemment pour me dégager. 

Je récupère mon T-shirt et m’essuie la bouche pour lui signifier ma désapprobation de ce baiser volé et de ses conclusions hâtives.

Elle reste assise et me contemple en riant malicieusement.

« Bon, quand ces mesdemoiselles auront fini de faire connaissance, est-ce qu’elles pourraient avoir mon attention » lance le Prof un peu agacé.

Je me rapproche du Prof et avale un verre de citronnade pour épancher ma soif dû à l’effort de ce combat improvisé.

Brigitte n’arrête pas de me reluquer d’un sourire narquois.

« C’était très bien les filles, très émoustillant je dois dire… vous devriez penser à faire ça dans un des Clubs que Brigitte connait… mais, nues et huilées toutes les deux évidemment… »

« Évidemment… » répond Brigitte qui semble être très excitée à cette idée.

« Voilà la photo qu’on m’a donnée et qui vous donne une idée de ce que j’attends de vous » reprend Lucien, indifférent à notre querelle.

« On doit pouvoir faire beaucoup mieux en jouant sur l’éclairage » fait Robert « Mais j’adore l’enchevêtrement de ces deux corps… »

« C’est juste une photo technique pour montrer la pose ; tu pourras en faire à ta convenance si tu veux »

« Je vais chercher de la pellicule » dit-il en s’éloignant.

Brigitte et moi regardons la photo à notre tour. La pose est très suggestive.  Deux filles sont allongées sur le dos l’une sur l’autre.

Si la fille du dessous reste partiellement cachée par le corps de la fille du dessus, cette dernière est complètement exposée.

La fille du dessous à son bras gauche qui enserre le cou de la fille du dessus – comme pour l’empêcher de se relever – et son autre main descend jusqu’à son sexe qu’elle semble masturber…En plus, celle du dessous passe ses jambes à l’intérieur de la fille du dessus ce qui l’oblige à écarter ses cuisses en grand pour faciliter l’accès à sa chatte.

La pose est vraiment provocante.  Je me dis que je ne voudrais pas être au-dessus lorsque le Prof sort : « Bon, Brigitte tu te mettras en-dessous car tu n’as aucune expérience de modèle »

« Mais… » Je fais mécontente. « Ça te pose un problème Marie ? » demande le Prof compatissant.

« Eh bien… on pourrait en discuter non ? »

« On peut le jouer à pile ou face si tu veux » lance Brigitte qui semble prête aux deux positions.

« Vous pourriez le jouer dans un catfight ? » fait Robert jovial qui revient avec tout son attirail de photographie.

Voyant le peu d’enthousiasme de ma part, il sort une pièce la lance et …je perds !

« A toi de décider Brigitte » dit Lucien.

Voyant que je préférerais être en-dessous, Brigitte répond sans la moindre hésitation « Je vais me mettre en-dessous… » et me lance un sourire espiègle ponctué d’un clin d’il de vraie garce.

Je ronge mon frein et attends la suite.

« Bien, suivez-moi, Brigitte, tu as enlevé tes vêtements ? »

La sur d’Alain n’a décidément pas froid aux yeux.  Elle prend un malin plaisir à se déshabiller avec une grâce digne d’une strip-teaseuse, le tout en me fixant effrontément dans les yeux et en se dandinant devant Robert.

Son corps est resplendissant ; une beauté.

Je fais mine de l’ignorer mais ses seins sont parfaits, son ventre plat et ses hanches à tomber par terre et m’attirent l’il. 

Robert, lui se délecte.

Son sexe est surmonté d’une fine toison brune soyeuse du meilleur effet. On a envie de la peigner du bout des ongles.

 Puis, le Prof l’ausculte rapidement pour s’assurer qu’elle a bien les bonnes proportions.  Je n’ai aucun doute là-dessus…

Après quelques palpations auxquelles Brigitte semble prendre un grand plaisir en ouvrant ses jambes plus que nécessaire, le Prof est tellement surpris qu’il demande si ce n’est pas moi qu’il est en train de palper.

« Parfait ! Nous avons deux beautés aujourd’hui.  Robert, tu ne m’avais jamais parlé d’elle ? »

« J’avais peur que tu me la pique !  Hé hé; en fait je ne l’ai pas vu grandir et je l’ai rencontrée de nouveau que récemment »

« Elle pose pour toi ? »

 « Hum… c’est arrivé mais ses récentes activités nocturnes semblent l’accaparer d’avantage…il faut dire que ça paye bien… »

« Allonge-toi là Brigitte »

Le Prof lui désigne la plateforme ronde en bois fixé sur un axe qui permet au Prof d’orienter son modèle comme il veut.

Brigitte s’exécute et Lucien me demande si je suis là car je suis très silencieuse.

« Marie ? Tu peux t’allonger sur Brigitte maintenant ?»

Je me positionne et m’allonge comme demandé. Sur le dos en équilibre sur le corps magnifique de cette fille franchement dévergondée.

Je sens ses seins s’écraser dans mon dos sous mon poids.

« Bien, prenez la pose comme sur la photo" qu’il nous montre encore une fois.

Je tends mes bras en arrière au-dessus de ma tête.

Brigitte referme alors son bras gauche sur mon cou en emprisonnant du même coup mon bras gauche qui est entravé et forçant ma tête à basculer un peu en arrière, ma joue droite contre son menton gauche.

Puis, elle passe ses jambes à l’intérieur des miennes et les pousse de chaque côté jusqu’à obtenir un beau V que Robert nous encourage à ouvrir encore un peu plus…

Enfin, elle passe son autre bras sur mon côté droit par-dessus mon bras qui se retrouve également prisonnier et sa main atteint mon bas-ventre, les doigts glissant sur mon pubis imberbe et effleurant mon clitoris.

« Magnifique » fait-t-elle  en me caressant le pubis.

« Remonte un peu en arrière Marie » fait Robert qui veut s’assurer que la  main de Brigitte puisse descendre encore plus bas entre mes cuisses !

De fait, ma tête remonte un peu, collant involontairement ma joue contre la sienne…

Je me sens extrêmement exposée et totalement à la merci de cette fille ; et le regard lubrique de Robert posé sur ma chatte entrouverte m’excite énormément.

« Heu…normalement, vous devriez vous embrasser, non ? D’après ce que je vois sur la photo… »

« Ça peut attendre » fait Lucien qui a fort à faire avec nos deux corps.

Robert, déçu, commence à nous mitrailler alors que Lucien dégrossit son bloc de glaise.

Puis, il commence à nous palper un peu partout pour prendre la mesure de la sculpture.  

« Je n’ai jamais sculpté deux personnes à la fois ; ça va prendre du temps ; plusieurs séances qu’on limitera à une heure ; il faudra bien mémoriser votre pose »

« Mais t’as déjà fait des sculptures avec plusieurs personnages ? Comme celle ou Marie est entourée de plusieurs hommes » fait Robert.

« Oui, mais je les ai sculptés l’un après l’autre »

« Alors pourquoi tu ne fais pas pareil ? »

« Parce-que celle où Marie est avec plusieurs hommes, les personnages ne sont pas enchevêtrés les uns dans les autres ; seuls les sexes masculins sont en contact tu vois »

« Je vois bien… » fait Brigitte goguenarde.  « Ça t’as plu ma belle ? »

« C’était génial » Je réplique avec un d’aplomb mal assuré.

Le Prof nous tâte un peu partout, aux extrémités surtout, pour délimiter la sculpture.

« On peut parler ? » Je demande

« Bien sûr, si votre conversation ne me déconcentre pas… » répond Lucien.

« Pourquoi tu n’as jamais posé pour Lucien avant ? » Je demande à Brigitte.

« Alain ne m’en a parlé que récemment »

« Et pourquoi maintenant alors ? »

« Je te l’ai dit ; je voulais te rencontrer »

« Et tu fais quoi comme activité "nocturne" ? Tu danses tu disais ?… »

« T’en poses des questions… j’ai trouvé un Club qui avait besoin d’une danseuse »

« Qu’est-ce que vous faites dans ce Club ? »

«  C’est un Club pour messieurs. Manuel ne t’en a pas parlé ? »

« Pas trop »

« MaisQuel genre de danse ? »

« A ton avis ? »

« Tu…tu fais du strip-tease ?? »

« On m’a dit que j’avais un beau corps ; alors pourquoi ne pas donner du plaisir à ces messieurs et récupérer un peu d’argent de poche en même temps ? »

« Mais…ça te gêne pas de te déshabiller devant tout le monde ? »

« Quand je vois les têtes qu’ils font et le plaisir qu’ils ont… ça m’encourage même ! »

« T’as aucune pudeur… »

« Non, et toi non plus »

« Moi ?? Tu rigoles, je ne pourrai pas faire ça ! »

« Que tu crois.  Qu’est-ce que tu fais en ce moment à poil devant ces Messieurs ? »

«  C’est pas pareil…Je connais déjà Robert et ça rend service au Prof et ça paye bien aussi »

« Et bien moi je rends service au Club et ça paye encore mieux »

La sonnette retentit.

« Qui est-ce ? » Je demande.

« Ah ça doit être Manuel qui vient chercher les sculptures pour ses tables ; Entre ! » crie Lucien.

« On fait une pause mesdemoiselles »

« Allez piquez une tête dans l’eau les filles » ajoute Robert.

Je me lève en vitesse avant que Manuel ait le temps de nous voir dans cette pose si impudique et je plonge dans la piscine pour me rafraichir tant il fait chaud et qu’on transpire.

Manuel entre et nous découvre l’espace d’un clin d’il en train de filer dans l’eau, entièrement nues. Ses yeux s’écarquillent.

« Brigitte ?  Qu’est-ce que tu fais ici ? »

« Comme vous M’ssieur Manuelje voulais rencontrer Marie »

Manuel esquisse un sourire gêné du style du gamin pris la main dans le pot de confiture.

« Oui, et heu, vous travaillez sur quoi ? » demande-t-il avec un intérêt soudain « Le bal des sirènes ? ».

Brigitte me suit et plonge derrière moi.

« On fait une sculpture qui implique deux modèles féminin » répond le Prof qui enlève une couverture des deux sculptures dont les poses sont toujours aussi obscènes.

Les dessus en Plexi ont été fermement fixés mais ce qui attire mon attention, ce sont les couleurs des sculptures.  Elles ont été peintes couleur chair ce qui les rend très réalistes.

« Qu’est-ce que vous en penser ? » demande le Prof.

« Magnifique ! » s’exclame Manuel.

« C’est mon frère qui les a peintes.  Comme je ne me rends pas compte, j’espère que le rendu est réussi ? »

« C’est tellement réaliste ; ça va en exciter plus d’un ! »

Je regarde la sculpture d’Alain et ne voit pas son sexe qui devrait dépasser à la verticale de la table.

« C’est toi qui a posé ? » demande Brigitte.

« Oui…et l’autre, c’est ton frère »

« T’es canon tu sais…etquelle pose ! J’aurais voulu voir ça ! » fait-t-elle en se rapprochant de moi.  « Tu pourrais la refaire ?  Juste pour moi, là sur la margelle ? »

Je fronce les sourcils en signe de désaccord et fais quelques brasses pour m’éloigner. Elle me suit encore.

« Tu savais que ton frère posait nu pour le Prof ? »

« Pas exactement ; il m’a juste parlé qu’il avait posé pour ce Lucien mais pas nu… Par contre, je savais que ce serait le cas pour moi »

« C’est la première fois que tu vois ton frère nu alors ? »

Elle sourit mais ne répond pas et me rajuste mes mèches mouillées sur mon front.

« T’es craquante, tu sais ? » me susurre-t-elle en essayant de me plaquer contre la paroi du bassin.

Depuis la piscine, on les entend discuter.

« Pour le phallus d’Alain, je vais attacher un vrai gode électrique couleur chair pour parfaire l’ensemble. Si une fille veut s’en servir, ce sera un spectacle à lui tout seul !  T’imagine ?  Une fille monte sur la table et prend son plaisir accroupie dessus devant tout le monde assis autour en train de boire un verre » fait Manuel enthousiaste.

« T’as couché avec mon frère ? » me demande Brigitte directement et en me coinçant carrément dans un coin de la piscine

« Et toi ? ?!» Je demande d’un air de défi et parce-que le doute me taraude.

Elle est tellement près que ses seins effleurent les miens…

« T’as qu’à lui demander » me répond-elle avec insolence en me caressant la joue.

Je veux m’esquiver mais elle met ses bras de chaque côté pour m’en empêcher.

« Laisse-moi passer, j’suis pas lesbienne ! »

« Mais moi non plus… »

« Ah non ?  Qu’est-ce que tu fais depuis tout à l’heure ? »

«  Je suis bi…ce n’est pas pareil… J’aime le meilleur des deux mondes et toi, ma belle, avec le corps que t’as et le joli minou agrémenté de ces superbes lèvres pulpeuses… tu représentes indiscutablement le meilleur de la gente féminine… »

« Oui mais j’suis ni bi ni gouine, désolée ! » je réplique en me soustrayant.

« Que tu crois…on est toutes des lesbiennes qui s’ignorent ma belle… »

« Parle pour toi ! »

MA PREMIÈRE EXPÉRIENCE LESBIENNE

« Bon, les filles, on peut reprendre ?  Vous sortez de l’eau ? » lance le Prof depuis l’atelier.

« On arrive… »

Manuel est toujours là : «  Ça vous dérange si je reste un peu ? » fait-t-il d’un ton mielleux.

« Le client est Roi » répond Lucien sarcastiquement.

Brigitte attend que je sorte la première. Je sais qu’elle veut bien mater mon cul quand je grimpe à l’échelle.  Elle est irrécupérable.

On se sèche vite fait, pas trop, pour conserver un peu de la fraicheur de l’eau sur nous, puis on reprend la pose.

Je constate que Manuel s’incruste.

« Bonjour Marie ! » fait-t-il le sourire radieux en ma direction.

Je lui réponds poliment alors que j’interroge Robert du regard.

« heu… ah oui, Manuel souhaitait voir sur quelle pose on travaillait ; on lui a dit que plus on est de fous et… »

Manuel embarrassé veut s’excuser « J’espère que je ne dérange pas ; quel plaisir de vous voir ensembleonon diraitque vous êtes faites l’une pour l’autre. »

Brigitte sourit d’un air entendu et avance en se pavanant comme une garce devant tout le monde et effleure même « Tonton » Robert avec provocation. Mais moi, je commence à trouver qu’il y a beaucoup de public à nous mater dans l’atelier

Une fois la pose reprise, Manuel qui découvre à quel point elle est osée, est aux anges et ne peut s’empêcher de faire quelques commentaires admiratifs, surtout sur moi qui, dans cette position si exposée, offre aux regards ma nudité complète et plus encore…

Le Prof s’approche et reprend ses attouchements.  Il a déjà dégrossi les jambes et les formes des têtes.

Maintenant, il va continuer par le milieu et le haut de la sculpture, c’est à dire, par moi.

Comme les fois précédentes, les mains de Lucien qui englobent ma taille, mon ventre et mes seins font des ravages et ma libido est soumise à rude épreuve.  Ses mains glissent sur mes cuisses, repartent sur mon buste, mes seins, mon visage, pendant plusieurs dizaines de minutes. Il alterne rapidement entre la glaise et mon corps qu’il souille de glaise.

Je sens ma mouille suinter et ma respiration s’accélérer au fur et à mesure que ses mains passent et repassent inlassablement sur tout mon corps et lorsqu’elles touchent mes parties les plus sensibles, je ne peux retenir de petits gloussements que tout le monde entend parfaitement, Brigitte la première.  Je rougis de honte de savoir qu’elle SAIT…

J’essaye de détourner l’attention en relançant la conversation « Quand tu fais tes strip-teases, y’a beaucoup de gens dans le Club ? »

« Eh bien, on peut dire que ça a l’air de t’intéresser… » sourit-elle. « Ça dépend des soirs… entre 3 ou 4 et une douzaine… »

Malgré ma tentative de détourner l’attention, je sens que je n’arrive pas à contrôler le plaisir qui monte doucement en moiinexorablement.  Les mains de Lucien passent partout et s’attardent sur les reliefsmes hanches, mes côtes mes seins.

Manuel et Robert sont enflammés par le spectacle.

Robert fait des photos cochonnes comme d’habitude et je surprends Brigitte à lui faire des clins d’il entendus !

Manuel arbore une grosse bosse dans son froc alors que le Prof s’attaque à mes jambes en remontant jusqu’au V

Soudain, je m’aperçois que Robert s’est désapé ! Il est torse-nu en train de défaire la ceinture de son pantalon, et mine de rien, l’enlève.  J’aperçois la forme énorme de sa saucisse sous le tissu tendu et humide de son caleçon.

« Excusez-moi, mais quelle chaleur »

Le Prof passe ses mains sur l’intérieur de mes cuisses alors que Brigitte joue négligemment avec ses doigts sur ma motte exposée.  Je gémis doucement en essayant de me retenir.

Robert termine d’enlever discrètement, sans bruit, son caleçon d’où sort une bite monstrueuse et dégoulinante qu’il prend en main en s’approchant de nous jusqu’à nous effleurer avec !

Tout en prétendant prendre des photos, il la fait glisser sur nos jambes en reluquant, les yeux exorbités, nos deux moules superposées qui s’ouvrent impudiquement devant les deux mecs.

Sa queue suintante laisse une longue trainée de mouille sur nos cuisses.

Brigitte s’aperçoit que mes questions ne sont pas innocentes et poursuit sans que j’en demande plus.

« Le plus excitant, c’est quand je joue à cache-cache avec mon soutif et mes seins.  Ils se tordent le cou et s’avancent au plus près du petit podium central…et un peu plus tard, rebelote avec mon string et ma chatte… Là, c’est du délire… Je sens leurs yeux me pénétrer comme de multiples sexes et ça m’excite énormément… »

Elle en profite pour bouger ses doigts en même temps que ceux du prof à chaque fois qu’il passe dans mon entrejambe ; ça me rend dingue mais je crois que ce sont les doigts du Prof qui glissent et re-glissent dans ma fente qui ont raison de moi. 

L’excitation monte d’un cran à chaque passage et je commence à perdre le contrôle.

Elle continue sa description en me parlant doucement à voix basse pour que les autres n’entendent pas…

« J’ouvre et referme mes cuisses en face de chaque gars en tournant lentement sur le petit podium »

Elle me rend folle. Je m’imagine à sa place.

Je respire fortement, ferme les yeux et ne me rends même plus compte si ce sont les doigts du prof ou ceux de Brigitte qui me touchent et s’enfoncent entre mes grosses lèvres boursoufflées qui s’écartent sous la pression.  

C’est lorsque je vois repartir le Prof à sa glaise et que des doigts s’activent doucement sur mon bouton que je réalise que ce sont ceux de Brigitte qui me branlent !

Je veux me lever et protester mais elle resserre son bras sur mon cou.  Je suis complètement entravée et à sa merci.

Elle continue… « Quand ils sont une douzaine et qu’ils se bousculent, il arrive que des mecs me touchent alors que je m’allonge face à eux les cuisses ouvertesTu vois le tableau ? »

Une image obscène et furtive passe devant mes yeux mi-clos. Je halète comme une dératée et ne peux plus retenir un petit cri.

Elle rigole et poursuit « Là, certains sortent leur queue car ils n’en peuvent plus et moi, ça m’excite tellement qu’il m’arrive de réellement me masturber jusqu’à l’orgasme sous leurs yeux et en même temps qu’eux ! »

 J’imagine la scène en même temps que je profite de ces sensations qui sont tellement divines que je ne me débats plus. J’abandonne. 

Elle sourit de sa victoire !

C’est là que je vois maintenant Manuel avec son chibre à l’air aussi !  Les deux pervers sont en train de se masturber discrètement alors que Robert n’hésite pas à se frotter sur nous de plus bel avec son gland décalotté et tout mouillé…

« Il a l’air d’aimer ce qu’il voit le tonton… » me souffle Brigitte à l’oreille.

Je suis tellement excitée et proche de l’orgasme que j’arrive à peine à bafouiller un truc.

« Et ton patron aaah aussi on dirait »  Manuel est hypnotisé par l’imminence de mon orgasme.

Ma poitrine gonflée et surmontée de mes tétons en pleine érection suit les mouvements profonds de ma respiration.

Le pic de jouissance monte en moi inexorablement comme une vague monstrueuse qui va me submerger, me faire perdre tous mes moyens et m’humilier jusqu’à la moelle !

« Des fois, y’en a qui me pelote un peu partout »

J’attends la suite, des détails et la supplie presque du regard.

« Un peu partout ouiet mêmePARTOUT ! »

Un gros soupir m’échappe à l’écoute du dernier mot et de mon imaginaire qui fait le reste. C’est divin.

Ses doigts jouent avec mon bouton. Je me mords les lèvres en gémissant malgré moi…

La salope sait y faire et me branle doucement le bouton avec une dextérité vicieuse qui m’envoie des frissons de plaisir indescriptible.

Je serre les dents en espérant tenir et rester discrète mais mon corps commence à s’agiter de soubresauts involontaires, précurseurs de l’explosion de jouissance.

Robert et Manuel n’en loupent pas une miette et au vu de leurs visages congestionnés, je sais qu’ils sont proches de l’éjaculation…

Je me débats encore un peu pour sauver l’honneur mais je sais que je vais succomber !

Mon corps gesticule et se tord dans tous les sens.

Brigitte qui continue de forcer mes jambes à faire le grand écart n’est pas dupe et me susurre dans l’oreille

« Des fois, leurs mains sont tellement aventureuses etpénétrantes que je n’ai même pas besoin de me masturber moi-même… »

 « Aaaaaahhh » Je lâche malgré moi en signe avant-coureur de la jouissance.

« C’est ça, voilà, vas-y ma belle, oublie-moi et laisse-toi aller, laisse parler ton corps, prend le plaisir où il est et donnes-en aux autres qui ne demandent que ça…C’est aussi simple que ça… » Sa voix suave m’envoute littéralement, un mélange d’érotisme, d’une extrême douceur, de vice et d’une certaine logique qui me font fondre littéralement.

C’est précisément à ce moment que les mains du Prof s’attaquent alors à me seins qu’il englobe et triture malgré luiou non !

Mes tétons n’ont jamais été aussi protubérants et durs…Ma poitrine se gonfle impudemment de plaisir au rythme de ma respiration lourde et saccadée.

Je sens les yeux des autres me pénétrer

Brigitte en remet une dernière couche en continuant : « Autrement, les types me caressent les seins et me triturent les tétons pendant que je rampe sur les coudes pour bien bomber le cul et leur montrer mon minou luisant tout ouvert…dans lequel je plonge mes doigts…. Comme ça !!! » fait-t-elle soudainement en joignant le geste à la parole !

Je hurle et EXPLOSE !! au moment précis où ses doigts s’enfoncent profondément dans ma fente qu’elle force à s’ouvrir au maximum en poussant sur mes jambes encore plus, offrant la vision de mon con violé et en train de jouir aux regards lubriques des deux voyeurs

Je gémis de bonheur et contracte mon vagin trempé sur ses doigts.

Ma tête part en arrière.  Brigitte la saisit de sa main gauche et me force à la tourner vers elle. Nos bouches se collent.  Elle m’embrasse passionnément et force mes lèvres à s’écarter avec sa langue qui me pénètre loin dans la bouche. Je me sens prise de tous côtés !  C’est l’extase !!!

Devant le spectacle improbable, Robert est le premier à gicler ! 

Sa semence vole en plusieurs salves qui s’écrasent sur mes cuisses alors que prise d’un spasme violent, je me cambre en m’arcboutant, décolle mon corps de celui de Brigitte.

Manuel, les yeux exorbités et la bite dirigée droite sur moi, ne peut retenir un grognement de bête et éjacule à son tour.

 Son sperme gicle fort et zèbre mon ventre et le bras de Brigitte en plusieurs endroits.

Je pousse un long et méchant râle qui emplit tout l’atelier et retombe sur Brigitte alors qu’elle continue de me branler doucement sans s’arrêter, prolongeant l’orgasme à son maximum.  

Je suis au septième ciel.  Mes yeux se révulsent et mon corps se fige.  Je jouis sur ses doigts sur lesquels ma chatte se crispe, tandis que le Prof , indifférent (?) ne cesse de me malaxer les seins avec un zèle inconnu jusqu’alors.

Manuel, crispé sur ses deux jambes, le sexe tendu vers nous, s’astique toujours et n’en finit pas de se vider.

Robert, la bite encore dure et dégoulinante, fait des clichés sous tous les angles et des gros plans de ma fente béante avec les doigts gluants de Brigitte qui poussent dedans…

« Bien; vous voulez peut-être faire une pause les filles ? » demande le Prof qui comprend bien ce qui se passe.

« On continuera demain; on a bien avancé déjà »

Je n’ose pas regarder les autres dans les yeux tellement j’ai honte; honte d’avoir jouis entre les mains d’une autre fille !

Je ne suis pas lesbienne quand même !

Je me relève difficilement.  Brigitte et Robert encore à poil, la queue toujours gonflée qui se balance entre ses jambes, m’aident.  Manuel essaye difficilement de rentrer son engin dégoulinant de foutre et encore dur dans son froc.

Je reste à quatre patte un instant.  Brigitte s’assoit à côté de moi et m’enlace tendrement.

« Ose dire que ce n’était pas bon… » fait-t-elle avec un sourire transformé.  Ce n’est plus de la moquerie mais de la tendresse. 

Je la fixe dans les yeux et lui réponds par un sourire timide.

Elle me fixe à son tour avec ses grands yeux de biche. Elle a perdu son sourire.  Sa bouche pulpeuse entrouverte s’approche de la mienne.

Je m’apprête à la laisser faire quand le Prof nous propose d’aller nous doucher et qu’il va nous apporter des citronnades.

Je me recule au dernier moment, à la grande déception de Brigitte, mais aussi de Manuel et Robert qui se sont figés au moment où nos lèvres allaient se toucher.

Je vais donc me doucher pour refroidir mes ardeurs et reprendre mes esprits.

Elle me rejoint mais reste à distance, comme pour ne pas me brusquer.  On se regarde. 

Nos corps sont magnifiques et une envie de nous enlacer semble germer en même temps dans nos têtes.

Elle le sent… et s’approche de moi doucement en me passant le savon dans le dos.  Je me laisse faire.

Robert, rhabillé, et Manuel s’installent confortablement dans les chaises sous l’olivier alors que le Prof arrive avec un plateau de rafraichissants.

On se douche juste à côté d’eux.  A peine deux mètres. 

Les deux voyeurs nous matent avec une telle insistance qu’on peut sentir leurs yeux glisser sur nos corps.

Brigitte me savonne les épaules et descend dans mon dos… Je me laisse faire et ferme les yeux.

"On dirait que la glace est brisée" fait Robert.

"C’est vrai ?" répond Lucien qui ne peut pas trop juger. "Elles s’entendent bien ?"

Cette salope a le chic pour me stimuler tous les sens !  Elle m’enserre de ses bras en me frottant le ventre avec le savon, ses mains à la limite de mes seins, puis de ma chatte.  Ses seins s’écrasent dans mon dos alors qu’elle pousse une jambe entre les miennes…

Je sens sa cuisse forcer l’ouverture des miennes et frotter sur mon entrejambe…Puis, elle me lèche le cou…

 Je chavire ! J’en oublie les deux voyeurs et le Prof aveugle.

Mes jambes flageolent et n’y tenant plus, je me retourne brusquement et lui fait face.  Je lui prends la tête et l’embrasse avec fougue et passion.

"Oui je crois qu’on peut dire ça…" répond finalement Robert avec un ton jovial.

Cette fille magnifique dévergondée et sans pudeur m’électrise!

Mais au prix d’efforts surhumains, j’éloigne petit à petit mon corps d’elle et d’un mouvement brusque, je mets fin au baiser dévorant et me recule en reprenant mon souffle  Elle est surprise, puis me fixe en souriant tendrement.

"Je ne suis pas prête… désolée"  fais-je en finissant de me rincer.

"oooh ben alors ? Ça avait bien commencé; je venais juste de mettre une nouvelle pellicule dans l’appareil en plus…" se désole le "tonton" Robert.

"Pas de problème… tu es déjà allée très loin…" me susurre-t-elle.

Je me sèche, enfile mon Marcel qui ne cache pratiquement rien, mais me donne une certaine contenance, tandis que Brigitte remet son T-shirt et sa culotte.

Puis, on reste à discuter tous ensembles jusqu’à la nuit tombée en s’échangeant des regards pleins de sous-entendus.

LE PROJET DE MANUEL

Inévitablement, le fil rouge reste très sexuel et c’est Manuel qui relance le Prof sur son idée qu’il veut encore améliorer.

"Allez Mr Lucien, dites oui !"

Le Prof reste impassible et sirote son verre.

"En plus de faire une Speed sculpture de Marie, Brigitte pourrait danser sur un podium à côté et quand Marie émergera de la glaise comme une sculpture, avec une musique appropriée, elle prendra vie, un peu comme la belle au bois dormant, vous voyez ?

Et ensuite, elle pourrait nous faire un petit show avec Brigitte pour dégriser le public, vous voyez ?"

"Je pourrais faire quelques clichés aussi ?" demande Robert.

"Évidemment !  Et les meilleurs seront affichés dans le Livre d’Or et au-dessus du bar.

Le Prof ne dit toujours rien.

"Qu’est-ce que vous en pensez les filles ?" demande Manuel grisé d’enthousiasme.

"Heu… je ne sais pas… ça dépend de Lucien" je réponds avec milles précautions.

"Moi, du moment qu’on me paye…. Et qu’il y a de l’ambiance…"

"De l’ambiance ?? Mais vous allez mettre le feu au Club avec un show pareil !"

« Vous pouvez nous expliquer encore comment je devrais sculpter ? » fait le Prof sur un ton peu enjoué.

"C’est simple ! Comme il ne faut pas que ça dure trop longtemps, vous ne pourrez évidemment pas réaliser une vraie sculpture. Donc, Marie s’installera avant l’ouverture du Club sur un podium dans la pose que vous aurez choisie et on la recouvrira d’une épaisse couche de glaise, avec deux aérations discrètes au niveau des narines.  

Le bloc sera difforme et ne ressemblera à rien. Personne ne doit se douter qu’il y a quelqu’un dans cette masse de glaise.

Lorsque la foule arrivera, je vous annoncerai et Brigitte fera son show habituel sur le podium juste à côté.  Une fois entièrement nue, vous lui demanderez d’être votre modèle et elle se mettra très exactement dans la même pose que Marie qui sera toujours invisible sous la glaise.

Puis, vous ferez semblant de sculpter le bloc de glaise en enlevant le plus gros d’abord, puis en faisant des aller-retour comme d’habitude entre votre modèle et la sculpture, au fur et à mesure que vous raclerez la glaise du corps de Marie, celle-ci apparaitra à la vue de tous comme s’il s’agissait d’une vraie statue….Génial, non ?"

"Oui, mais, les gens vont tout de suite voir que c’est une vraie fille faite de chair et de sang, rien qu’à la couleur de sa peau" fait le Prof.

"Oui, mais, on va la peindre avant, couleur glaise justement…"

"De la peinture ? Comment je l’enlève

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