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Marie et moi sur les chemins de la perversion – Chapitre 6

Marie et moi sur les chemins de la perversion - Chapitre 6



Bonjour, pour ceux qui suivent cette histoire depuis le début, voici la suite de nos aventures. Pour ceux qui ne nous connaissent pas, nous sommes Marie et moi en couple depuis plus de cinq ans, nous avons 50 ans pour moi et 48 ans pour Marie. C’est une jolie femme de 1,70 mètre, rousse, avec de beaux yeux bleus. Elle a conservé une plastique telle qu’on lui donnerait 40 ans.

Nous avions une vie normale jusqu’à ce que je découvre ses penchants pour la soumission, j’ai alors pris en main notre sexualité en y mêlant jeux DS et sexe.

Ayant découvert qu’elle fantasmait aussi sur les jeux à plusieurs, nous nous sommes inscrits sur un site érotique et après une sortie en club, nous avons décidé de passer le pas et de rencontrer un homme pour une partie à trois.

Après une première rencontre dans un bar glacier de Fréjus, nous avons fixé avec lui notre premier rendez-vous libertin au samedi suivant. Voici la suite…

Depuis qu’elle avait vu Stéphane (c’est le prénom de Priapre), Marie avait hâte de le revoir. Elle avait honte de cette envie car elle allait, elle le savait, se faire baiser par cet homme devant moi. Elle savait que je ne lui laisserais pas le choix et qu’elle se soumettrait à mes exigences perverses. Elle était devenue accro à nos jeux DS et cet homme que nous devions retrouver ce soir, avait lui aussi des airs dominateurs qui l’attiraient. Rien qu’en y pensant, elle se sentait fondre de désir et d’appréhension.

J’étais moi-même un peu angoissé par cette première rencontre, je n’avais jamais pratiqué de trio et même si j’en étais l’instigateur, j’allais vers des terres inconnues. Pour cette occasion, je demandais à Marie de mettre la seconde robe achetée au sex-shop. Elle était blanche, très courte, un peu en forme de tunique grecque et vaporeuse. Je dus l’aider à la mettre car avec les fines bretelles entrelacées qui formaient le dos, seule elle aurait eu beaucoup de mal. Elle ne portait rien dessous. Elle compléta sa tenue avec des talons hauts d’été.

Dans cette tenue, elle ressemblait à une amazone. Le décolleté croisé laissait une large vue sur ses seins et découvrait à chaque mouvement ses tétons ; elle se sentait très salope dans cette tenue et cela l’excitait malgré l’appréhension qu’elle ressentait de cette nouvelle expérience.

Nous arrivâmes chez Stéphane vers 22h. Il habitait un petit appartement. En passant dans l’entrée, je remarquais comme Marie, une chambre dans laquelle un matelas était posé sur le sol éclairé par des bougies ce qui donnait à cette pièce une ambiance feutrée.

Stéphane nous invita à boire une coupe de champagne dans son salon.

Marie et moi nous prîmes place sur le canapé et Stéphane face à nous dans un fauteuil. Sa robe remontée très haut sur ses cuisses cachait à peine sa chatte, tout en sirotant mon champagne je pouvais voir à chaque gorgée qu’elle buvait apparaître la pointe tendue de ses seins dans son décolleté et je pense que Stéphane devait lui aussi profiter du spectacle vu la bosse qui grossissait dans son pantalon. Vu les regards brillants que portait Marie sur celle-ci, je savais que nous pouvions passer au but de notre visite.

"Rapproche-toi Marie, on va faire une place à Stéphane !" dis-je.

Elle se retrouva ainsi entre nous deux. Me tournant alors vers elle je l’embrassais et ma main glissa sur sa cuisse en remontant le tissu vaporeux jusquà sa chatte. Du regard je fis comprendre à Stéphane qu’il pouvait lui aussi profiter de Marie. Il lui déposa un baiser dans le cou tandis que sa main se posait sur son autre cuisse. Cela provoqua à Marie une douce décharge dans son ventre et fit disparaître en elle toute appréhension. Ses cuisses s’écartèrent delles-mêmes pour nous donner accès à sa chatte qui maintenant dégoulinait de plaisir et ses mains se posèrent sur nos bites prisonnières de nos pantalons. Son seul désir était maintenant de les voir, les toucher, les sentir en elle.

Nous prîmes Stéphane et moi chacun une bretelle de sa tunique et la fîmes glisser de ses épaules, ses seins apparurent. Elle était maintenant presque nue devant nous et, avec impatience, elle ouvrit nos pantalons pour libérer nos sexes. Nos caresses sur ses seins provoquèrent une nouvelle décharge de cyprine dans sa chatte lorsque de concert, Stéphane et moi lui pinçâmes les pointes de ses seins. Nos mains sur son sexe s’occupaient de son clito pour Stéphane et, pour ma part, de son vagin dans lequel glissaient deux de mes doigts. Nos douces tortures lui firent perdre toute retenue.

Elle se pencha alors vers le sexe de Stéphane tant convoité et le prit en bouche malgré sa taille imposante. J’en profitai pour quitter mes vêtements et lui présentai ma bite.

"Suce-moi, salope, le temps qu’il se déshabille !" dis-je. La prenant par sa queue-de-cheval je lui faisais lâcher sa proie.

Marie se sentit frustrée de devoir lâcher cette énorme bite avant d’en avoir récolté tout son jus mais ce ne fut que de courte durée. Je lui présentai ma bite qu’elle goba avec avidité. Elle était plus petite mais elle adorait son goût et elle se mit à la pomper lentement jouant de ses lèvres et sa langue pour me procurer un maximum de plaisir.

Du coin de l’il elle regardait Stéphane se dévêtir. Sa bite était vraiment énorme. Sa chatte dégoulinait d’impatience de se faire défoncer par ce chibre. Elle se sentait comme une chienne en chaleur prête à offrir comme une salope tous ses trous à ces deux mâles et me pompait de plus en plus fort.

Stéphane étant nu, je me retirais avant d’avoir joui de ses caresses buccales et lui ordonnais de se relever.

"Va dans la chambre Marie, étends-toi sur le matelas et attends-nous en te caressant le temps qu’on finisse nos verres" dit alors Stéphane.

Marie fut surprise de cet ordre mais en même temps excitée qu’il la traite lui aussi comme une chienne. Elle se dirigea vers la chambre, s’étendit sur le matelas et s’accoudant sur le côté commença à caresser son clito doucement pour ne pas jouir avant notre arrivée.

Nos coupes finies nous la rejoignîmes. Elle nous attendait les yeux brillants d’excitation.

Stéphane s’agenouilla près de sa tête alors que je me positionnais entre ses cuisses. Il commença à lui caresser la poitrine, lui tordre et lui pincer les pointes de seins alors que j’écartais les grandes lèvres de sa chatte et déposais ma langue sur son clitoris.

Marie réagit tout de suite tant elle était excitée. Elle saisit le mandrin de Stéphane d’une main et approcha ses lèvres pour reprendre la fellation que j’avais interrompue. La douleur du traitement qu’il infligeait à ses tétons et les ondes de plaisir que lui procurait ma langue sur son clito la comblaient. Ses joues étaient déformées par cette bite monstrueuse qu’elle ne pouvait gober qu’à moitié.

"Vas-y, suce-moi plus profond salope !" dit Stéphane en appuyant sur sa nuque.

Je sentis son bassin alors onduler et j’entrais trois doigts dans sa chatte trempée tout en continuant d’exciter son clito avec ma langue.

Marie étouffait presque sous les assauts de la bite de Stéphane dans sa gorge mais confusément elle tirait un plaisir extrême de se faire traiter comme un objet sexuel. Elle sentit un quatrième doigt venir dilater sa chatte avec un peu de douleur d’abord puis rapidement avec le plaisir intense d’être remplie. Stéphane retira sa bite alors et lui explosa en longs jets de sperme sur le visage comme il aurait fait avec une pute. Elle eut alors son premier orgasme.

Je la changeai alors de position et la plaçais en levrette et la saisis par les hanches.

Ma bite entra sans mal dans sa chatte que je venais de dilater. Stéphane la tenant par sa queue-de-cheval leva sa tête.

"Tu aimes qu’on t’éjacule dessus salope ?" dit-il.

"Oui Monsieur." Répondit-elle.

"Alors suce-moi les doigts comme une pute".

Récupérant le sperme qui dégoulinait du menton de Marie sur ses doigts, il les lui fit sucer pendant que je lui défonçais sauvagement sa chatte.

Après qu’elle eût tout récupéré, à genoux devant son visage il lui tendit sa bite à nettoyer. Elle l’aspira en gémissant de plaisir tant par le fait de sentir ma bite la défoncer que par la façon humiliante dont Stéphane et moi la traitions.

Sortant ma bite de sa chatte, je positionnais aussi alors mon gland sur l’illet de son anus. Surprise, car pas préparée, elle tenta de se soustraire, ce qui l’amena à avaler plus profondément le sexe de Stéphane qu’elle goba presque en entier, mais cela fut vain mon gland forçait son chemin écartant l’étroit canal. Son cul était en feu et le chibre de Stéphane commençant à reprendre de la vigueur devenait envahissant dans sa gorge, l’obligeant à reculer pour respirer et donc à favoriser ma pénétration.

La douleur bizarrement, lui procurait du plaisir mais de manière cérébrale. Jamais elle ne s’était sentie aussi femelle. Elle sentait sa mouille dégouliner sur ses cuisses. Elle céda alors à la pénétration et poussa d’elle-même pour s’empaler sur ma bite ce qui lui permit de respirer un peu car le sexe de Stéphane ayant repris toute sa vigueur commençait à l’étouffer. Le plaisir cette fois-ci redevint physique et la douleur passée elle commença à nous imprimer elle-même son propre rythme tout en gémissant. Dans sa tête tout se bousculait, elle se sentait dégradée oui, mais le plaisir montait de plus en plus même son cul que je défonçais irradiait des ondes de plaisir dans sa chatte. Elle n’était plus qu’une machine à plaisir elle voulait nous sentir jouir.

Je fus le premier à partir dans de longs râles. Sentant le liquide chaud envahir ses intestins Marie eut un orgasme si fort qu’il lui fit lâcher la bite de Stéphane. Comme je me retirais il vint prendre ma place. Ayant mis un préservatif il pénétra la chatte de Marie. Elle fit un Ho ! De surprise car son mandrin était énorme.

Nettoie ma bite salope ! dis-je en lui mettant celle-ci devant son visage.

Marie était aux anges, elle sentait enfin la grosse bite de Stéphane envahir sa grotte. Heureusement en la fistant je l’avais préparée à cette épreuve et il pénétra sans difficulté jusqu’au fond de sa chatte trempée. Elle ne devint vite plus qu’un sexe. Tout son corps était concentré sur les sensations que lui donnait cet envahisseur. Elle sentait de nouveau les prémisses d’un nouvel orgasme. Ce plaisir, elle me le devait, elle le savait. Elle mit beaucoup de soins à nettoyer ma bite pendant que Stéphane la baisait lentement mais profondément. Quand celle-ci recommença à prendre forme, elle commença à la pomper avidement. Elle voulait jouir mais aussi sentir la jouissance.

Stéphane fut le premier à jouir suivi de près par Marie qui atteignit un niveau jamais atteint en criant sa jouissance. Cela déclencha le mien et je partis en longs jets sur son palais qu’elle avala avec plaisir.

Nous étions tous les trois en nage et nos corps repus aussi nous retournâmes au salon boire une coupe réparatrice.

Tous les trois nus nous trinquâmes à notre prochaine rencontre car il était très tard et nous voulions rentrer.

Sur la route, Marie me remercia pour tout le plaisir que je venais de lui offrir.

Jamais elle ne s’était sentie aussi comblée. Elle pensait à toutes ces années où elle était restée sage. Quelle gourde ! Elle était maintenant décidée à profiter de la vie. Elle venait de découvrir la pluralité grâce à moi son maître et était prête maintenant à suivre toutes les idées perverses que j’aurais.

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