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Mathilde, ma belle-mère – Chapitre 3

Mathilde, ma belle-mère - Chapitre 3



Chapitre 3

Résumé des chapitres 1 et 2 :

L’histoire commence par un dernier voyage d’un être cher que l’auteur accompagne à sa dernière demeure et à ce moment-là, lui revient tout le déroulement de son amour avec sa belle mère. Après lui avoir fait sentir son intérêt lors d’une danse slow, comment ils en sont arrivés à coucher ensemble alors que la fiancée n’accordait que le minimum syndical. À la reprise des cours universitaires, l’auteur se trouve avec un dilemme du manque jusqu’à un téléphone de sa fiancée lui demandant d’héberger sa mère, laquelle devant passer chez un médecin aux premières heures du jour. La nuit qu’ils y passèrent ensemble fut à ce point torride qu’elle a nécessité tout un chapitre.

On s’organise

C’était difficile et peu vraisemblable de pouvoir renouveler ces rendez-vous si matinaux chez un médecin et après une grosse semaine, je téléphonais à Mathilde qu’elle me manquait horriblement. C’est à ce moment-là qu’elle m’a proposé une solution. Elle avait une amie vieille fille qui pourrait abriter nos amours. C’était dans un gros village un peu au Sud d’où nous habitions sa famille et moi.

Le dimanche, nous nous étions vu avec Lucette, elle m’entraînait souvent à de longues promenades dans les forêts et elle me permettait de plus en plus de liberté. Comme dans la chanson, couchés sur l’herbette, j’ai bien commencé à lui chatouiller le menton et elle me demandais souvent de m’intéresser à ses seins qui étaient très mignons et réactifs. Il ne fallait pas que je ne m’attarde que sur un sans honorer l’autre et je sentais de ses cuisses monter un parfum tout aussi capiteux que sa mère.

Lentement, je lui caressais ses cuisses qu’elle avait de plus en plus de peine à tenir refermée pour m’empêcher d’atteindre son trésor. Parfois, elle me laissait passer ma main sur sa petite culotte et j’imprégnais mes doigts du doux jus qui sourdait de son sexe. Ces séances excitantes qui parfois se terminaient par son orgasme me laissaient évidemment sur ma faim. Elle ne voulait pas toucher mes parties intimes et refusait de me soulager. C’est dire dans quel état j’arrivais chez cette amie,

Après avoir sonné à la porte, une dame que je ne connaissais pas vint m’ouvrir, c’était une femme bien conservée dans la tranche d’âge de Mathilde, à l’air assez sévère, mais avec malgré tout un petit sourire fripon :

— Bonjour, Victor ? entrez, Mathilde vous attend dans le salon.

— Bonjour, Merci dis-je en enlevant mon pardessus et en me déchaussant.

Je me dirigeais vers le salon ou Mathilde m’attendait, rayonnante, je la serrais tendrement contre moi en prenant ses lèvres dans un doux baiser.

— Je te présente Greta, me dit-elle, mettant fin à notre prise de bec, c’est une amie très intime. Elle met à notre disposition son appartement.

— Enchanté répondais-je en tendant la main.

Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille, elle me prit la main et m’attira vers elle en me collant deux gros baisers sur les joues, je sentais bien ses seins collés contre ma poitrine, alors à mon tour je lui rendis son hommage.

— C’est quand même bon d’avoir par-ci par-là le baiser d’un jeune homme. Bon, je vous fais un thé et je vous laisse, il faut que je fasse des courses, je vais revenir dans une heure et demie, j’espère que vous aurez le temps de traiter votre affaire confidentielle, ajouta-t-elle d’un air entendu. Je viens de changer la literie.

— Merci, il ne fallait pas, répond Mathilde.

— De toutes façons il fallait le faire,

Nous bûmes ce thé tranquillement et sitôt Greta disparue, nous nous jetâmes l’un sur l’autre, comme des loups affamés, pantalon, jupe, caleçon, culotte, soutien-gorge tous nos vêtements giclèrent dans la pièce et nous nous retrouvâmes vite nu comme Adam et Eve sur le lit dans une chambre surchauffée.

— Il fait bon, elle a pensé à tout notre brave Greta, me dit Mathilde, comment la trouves-tu ?

— Elle a l’air sévère, mais je pense que cela doit être une bonne coquine. Pourquoi vit-elle seule ?

— Je crois qu’elle a eu une déception amoureuse dans sa jeunesse et du coup elle a pris l’habitude de vivre en solitaire, mais elle est très gentille.

Très rapidement, on s’est retrouvé en 69, vu l’impatience marquée par l’abstinence. Mais avant de plonger ma tête vers ma fente adorée, je ne pouvais détacher mes yeux de son beau gazon, bien entretenu et luisant de bonheur. Elle n’a pas attendu si longtemps et s’est jetée goulûment sur ma saucisse surchauffée par ce week-end qui m’avait laissé frustré. Je sentais qu’elle aussi en voulait, une cyprine abondante suintait de son sexe, une vrai crème de jouvence que je lapais à la manière d’un chiot lapon.

— Viens en moi mon chéri, je ne peux plus attendre que tu visites profondément ma grotte, elle n’en peut plus d’attendre.

— Moi aussi mon amour, nos promenades avec Lucette me laissent toujours sur ma faim.

— J’espère bien, mais je me sens un peu triste en pensant à ton mariage prochain qui marquera la fin de nos galipettes.

— Mais…

— Il n’y a pas de mais, je ne ferais pas cocue ma fille. Coucher avec son fiancé, c’est déjà limite, mais avec son mari, ce serait trop déloyal.

— Mais c’est pas possible, je t’aime trop, j’ai besoin de ton corps et de ton amour le plus longtemps imaginable.

— Non c’est comme cela. Mais ne perdons pas de temps et baisons pendant que c’est possible. Pour la dernière fois, je te ferais un cadeau que tu attends depuis longtemps.

Sur ce, je ne peux me retenir et par dans une longue série d’éjaculation qui lui remplisse le con.

— Déjà ? Me dit-elle

— Excuse-moi, mais cette attente longue a fait déborder le vase. Mais on a encore du temps, je vais m’occuper de ta poitrine que je n’ai pas trop câliné.

— Tu as intérêt à reprendre des forces, moi, je n’ai pas eu ma ration de pain quotidien, j’ai encore faim de toi, je ne suis pas rassasiée, mais avec tout ce que tu m’as mis, je vais faire une petite toilette pour ne pas trop salir le lit, ça coule à grosses gouttes.

Comme elle se lève, me présentant son derrière pratiquement sous le nez, je ne peux m’empêcher de la prendre par les hanches et de lui coller ma bouche sur son cul pour lui lécher sa petite rondelle.

— Humm elle est délicieuse ta petite rondelle, avec encore le parfum de la journée.

— Cochon, c’est trop bon, mais je vais quand même me rafraîchir.

— Je t’accompagne.

— Ah je trouverais bien le chemin toute seule, dit-elle en riant

— J’insiste, je ne veux pas perdre une minute de ta présence.

C’est ainsi qu’elle se retrouve sur le bidet en s’aspergeant la moule éliminant les traces que j’avais laissées dans son vagin. Je vois mes enfants virtuels partir avec l’eau du bidet.

— C’est un peu triste de voir sa progéniture théorique partir de cette façon.

— C’est pas pire que de venir la manger sur ma tirelire.

— C’est vrai, mais également ton parfum et goût sont maintenant très dilués.

— J’ai envie de faire un petit pipi, je ne vais pas m’essuyer si tu veux. Me dit-elle mutine.

— Oui, mais j’aimerais que tu me pisses sur la main.

. Tu ne veux pas plutôt sur la langue, ce serait plus direct. Allez viens me lécher la moule qui est fort impatiente de tes soins et je te ferai ce petit plaisir supplémentaire très cochon.

C’est ainsi que je retrouve à genoux devant mon idole, assise sur le rebord du bidet et me présentant sa balafre avec son urètre frémissante. Je tends ma langue en sa direction et lui dit :

— Vas-y, je suis prêt pour te boire.

Et là, je sens sourdre les premières gouttes de son urine qui viennent frapper ma langue, envahir mon palais, j’aime cette odeur et goût très épicés, la force du jet est de plus en plus violent me forçant à avaler cette pluie dorée. Du coup, cette situation inhabituelle m’excite au plus au point et je me retrouve avec à nouveau la queue bandée comme un âne en rut.

— Je vois que notre petit intermède t’a redonné des forces. Viens, on retourne au lit, mais cette fois, c’est moi qui vais aller sur toi, en position de Cassandre.

Je me couche sur le dos, bien docile et elle m’enjambe pour se placer à la verticale de mon pal qui finalement s’enfonce dans son con. Là, on sent qu’elle en veut, c’est un vrai rodéo, avec moi dans le rôle du cheval sauvage et elle dans celui du cow-boy dompteur. Elle ne se laisse pas désarçonner, elle part bientôt dans une sarabande endiablée, ses seins sont comme des hochets au fil des enfilades. Montant et descendant sans arrêt. Comme j’ai déjà vidé une fois ma ration de gonade, je reste stoïque devant les éléments qui se déchaîne et laisse passer l’orage. D’un dernier coup de rein, elle explose dans une gerbe de jouissance et s’affale sur ma poitrine épuisée par sa chevauchée sauvage.

— Ah Dieu que cela fait du bien, j’en avais vraiment besoin. Laisse-moi à mon tour un peu de temps pour récupérer.

— Mais quand je serai marié, tu vas faire comment quand tu en auras besoin ?

— Ne me parle pas de malheur maintenant, mais tu sais, les bonnes résolutions, c’est souvent celles qu’on oublie le plus rapidement.

— Tu me rassures.

— N’y compte cependant pas trop.

— Dring, Dring fait la sonnette d’entrée

— Zut déjà de retour ? Dis-je en enfilant mon slip Je vais voir.

Je glisse mon il inquiet dans le vasistas et vois que ce n’est pas notre hôte mais une charmante jeune fille

qui sautille dans l’escalier. Discrètement je me retire sans bruit et retourne dans la chambre.

— Fausse alerte, je ne sais pas qui c’est, c’est une jeune fille très jolie.

— C’est probablement sa nièce. On va faire silence radio et continuer nos galipettes, me dit-elle en collant ses lèvres sur les miennes encore enduites de son parfum et de son urine.

— Hum ta bouche n’a pas le goût habituel, on sent que je t’ai inondé la luette. Viens sur moi, j’ai encore envie d’un deuxième round.

C’est ainsi qu’on a passé le reste du temps imparti en passant de la cuillère, à la fourchette sans oublier le couteau, position non répertoriée

 dans la bible du bon baiseur le Karma-sutra. On a regonflé à mort nos chats krakra pour la semaine. Quant au bout de deux heures, Greta revient, les bras chargés de ses commissions, faisant un minimum de bruit et elle vient dans la chambre et nous trouve endormis dans les bras l’un de l’autre.

— Oh le charmant tableau. Fait-elle d’un air coquin, admirant nos nudités en voyeuses avertie.

— On ne t’a pas entendu rentrer.

— Normal, vous étiez endormi, dit-elle en respirant fortement, ma chambre est remplie d’un parfum qui va m’obliger à ne pas aérer un moment. J’en suis toute remuée, des tas de souvenirs resurgissent dans ma tête. Je pense cependant, qu’il ne faut pas vous mettre trop en retard.

— Au fait tu as eu de la visite cette après midi, une charmante jeune fille, mais on a joué au mort.

— Vous avez bien fait, ma nièce n’a pas à savoir que j’abrite des amours coupables.

Après une nouvelle tasse de thé et des effusions déchirantes de séparation, je quitte les deux commères, ne voulant pas partir simultanément.

Le dimanche, je vais faire ma cour habituelle à ma fiancée et rebelote, on va se promener dans les bois, mais cette fois-ci, à force de caresser sa culotte, elle me permet de passer dessous pour avoir un contact plus direct. En léchant mes doigts imprégnés de sa liqueur intime, je remarque qu’elle a presque la même odeur que sa mère, en moins concentré, ce qui augure une bonne suite au mariage, mais comme d’habitude, je m’en retourne à mes études, la queue entre les jambes, comme un renard qu’une poule aurait pris, enfin, dans ce cas-là, une jeune fille m’aurait pris, moi le renard.

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