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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 30

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 30



En effet, malgré la proposition de Mélanie, Anita avait décidé de rester, comme convenu auparavant. Malgré son appréhension, elle voulait montrer à son père qu’elle était solide et digne de son amour en faisant jusqu’au bout le sacrifice de son corps. Son amie la prit à part avant de quitter les lieux et lui glissa en aparté :

Si tu as des soucis, tu appelles Don. C’est un vrai ami, tu peux lui faire confiance. Sinon, je lui arrache les couilles. Et demain, nous devons discuter avant l’arrivée de Thomas et de son copain.

D’accord. Merci, Mél.

De rien, surette. La famille, c’est fait pour s’entraider. Allez, ciao ciao !

Une fois Lenoir parti avec ses deux blondes, Anita se retrouva dans le pool-house près de la piscine avec les dix hommes restants, nus eux aussi. Ils bandaient tous encore, mais l’ambiance de stupre s’était envolée. Freddy se décida à prendre la parole :

Ma, vous avez tous des têtes d’enterrement ; même vos bites semblent tristes. Raides, mais tristes. Allez, jé distriboue des bières ?

Hé, le Rital, laisse tomber ton accent de macaroni et sors-les, tes bières. Après, je vais me zoner, répondit un des hardeurs.

Moi aussi. Et si la petite dame veut bien, je partage mon lit avec elle.

Merci, mais Anita vient dormir avec moi, répondit Don. Si elle est d’accord, bien sûr.

Soulagée, Anita opina vigoureusement. Elle tenta de sourire, mais Don comprit à la brillance de ses yeux et à la fatigue de ses traits que la jeune fille était épuisée, au bord des larmes. Il s’approcha d’elle et lui tendit la main qu’elle saisit gauchement.

Allez, Anita ; accompagne-moi à la cuisine, je vais faire des tisanes. C’est bon pour les vieux comme moi.

Vous n’êtes pas si vieux que ça, protesta Anita en se laissant entraîner à sa suite.

Regarde, tu me vouvoies : c’est signe que je suis vieux. En plus tu me vexes, là !

Pardon, je ne voulais pas… bafouilla-t-elle, confuse.

Non, mais le mal est fait. Si tu ne me tutoies pas, tu auras droit à une fessée !

Anita rougit, s’imaginant sur les genoux du colosse black recevant une solide fessée de ses larges et puissantes mains. Son ventre se fit lourd à cette perspective qui ne lui semblait pas si désagréable que ça. En habitué des lieux, à l’aise malgré sa nudité, Don mit de l’eau à chauffer et fit choisir une infusion à la petite brune. Puis ils s’accoudèrent côte à côte en attendant le temps prescrit pour pouvoir boire.

Ce n’est jamais que de l’eau chaude, mais ça aide à dormir. Alors, Anita, comment tu nous juges ?

J’étais terrifiée en arrivant. Heureusement qu’il y avait Sandrine et Mél, sinon j’aurais éclaté en sanglots.

Mél est une fille géniale. Elle arrive à supporter Arnaud, son fils, et à suivre ses études ; c’est dire. En plus, elle m’aime bien. Je sais pas ce qu’elle me trouve, bougonna Don.

De l’humanité, de la tendresse, suggéra Anita. De l’amour à revendre sous une carapace épaisse d’haltérophile bodybuildé, par exemple.

Hé, c’est que du naturel : je ne m’amuse pas à piocher dans tout ce qui circule dans les salles de muscu !

Anita sourit, amusée par la véhémence du Black. Malgré ses muscles intimes douloureux, elle se détendait : Don lui inspirait confiance ; instinctivement, elle savait qu’elle ne risquait rien avec lui. Les tisanes prêtes, ils regagnèrent la chambre de Don, percevant le brouhaha confus des conversations et des rires provenant du pool-house.

Ils y sont jusqu’au petit matin, je parie, ironisa Don. Tu te sens mieux ?

J’ai mal partout, oui. Surtout à des endroits intimes. J’ai l’impression d’être passée dans une essoreuse puis sous un rouleau-compresseur.

Rien que ça ! Tu as pris une douche, mais il te faut surtout un bain relaxant suivi d’un massage sympa.

Là, je suis preneuse ! Mais je vous préviens : je risque de m’endormir soit dans le bain, soit pendant le massage. Je suis crevée.

De fait, Anita s’endormit alors que Don lui massait le dos. Il comprit tout de suite en entendant la respiration apaisée de la jeune fille et sourit dans sa barbe. Il la recouvrit jusqu’au cou avec la couette puis s’installa à côté d’elle dans le grand lit pour sombrer à son tour dans le sommeil.

Il se réveilla d’un rêve érotique brûlant qui se convertit en sensations torrides. Sa bite était plongée dans un fourreau chaud et humide alors que ses couilles étaient l’objet de caresses appliquées. Il écarta la couette et découvrit Anita dont les yeux rieurs pétillaient ; sa bouche était déformée par l’épaisse colonne de chair sur laquelle elle s’activait. Don plongea les doigts dans la longue chevelure emmêlée et guida un instant les mouvements de la petite brune, la forçant à prendre sa queue presque jusqu’à la base, mais elle lui adressa un regard plein de reproches et il lâcha sa tignasse en réussissant à prendre un air coupable.

Il était ravi de l’initiative de la jeune fille. En effet, il craignait que la nuit ait eu raison de sa détermination à accepter de se soumettre aux ordres de son père, qu’elle soit traumatisée par la soirée passée chez Freddy. Il faut dire que les gars, s’ils n’étaient pas méchants, étaient quand même de sacrés bourrins, pas très fins avec les femmes qu’ils considéraient souvent comme des morceaux de viande. Malgré le métier qu’il exerçait ou à cause de lui Don avait une vision bien différente.

Le corps des femmes l’émouvait, mais ce qu’il aimait et recherchait chez elles, c’était leur essence même plus que leur plastique. Mélanie l’avait conquis par sa combativité, sa résistance, sa résilience. Le tout associé à un physique irréprochable, il n’allait pas se mentir. Et maintenant cette toute jeune fille, si menue, si gracile, lui faisait l’honneur de le sucer avec entrain à défaut d’une technique sans faille… Il révisa son jugement quand elle avala entièrement sa hampe pourtant érigée à son maximum ; elle était douée, cette petite jeune !

Si tu continues, tu vas me vider les couilles et je ne vais pas pouvoir… Trop tard ! Petite goulue, tu m’aspires si fort que je n’ai pu te résister plus longtemps.

Après avoir dégluti plusieurs fois pour avaler toute la semence généreusement offerte, Anita se redressa en léchant ses lèvres gonflées. À genoux près de Don, elle susurra d’une voix timide :

Tu pourrais me lécher ? J’en meurs d’envie…

Comment résister ?

Ils descendirent prendre leur petit-déjeuner une bonne heure plus tard. Anita offrait un visage apaisé mais ses yeux brillaient encore de toute la jouissance des instants passés. Son petit corps avait dansé sur le bout de la langue de grand Black qui lapait le jus abondant de son plaisir ; elle avait ensuite offert son sexe trempé puis ses reins au mandrin puissant de Don. Il l’avait prise longtemps, mettant toute sa science au service de la jeune fille, la conduisant à une succession d’orgasmes qui la laissèrent pantelante et épuisée. Assise devant un mug de thé, Anita caressait la main de Don qui mangeait une demi-baguette de pain complet.

Tu as l’air affamé, dis donc !

Oui, il me faut recharger les batteries : j’ai un tournage demain.

Un tournage ?

Mél te l’as dit, quand même, que je suis hardeur dans le porno ?

Euh… Peut-être, je ne me rappelle plus. Tu fais du cinéma porno, vraiment ?

Et moi qui croyais être une star ! Aussi connu que Matt Damon…

Mais tu fais ça depuis longtemps ?

Pas loin d’une dizaine d’années ; je vais arrêter bientôt et me reconvertir dans le commerce. J’ai un MBA de management ; faut quand même qu’il me serve à quelque chose.

C’est quoi, un MBA ?

Un Master of Business Administration de l’université du Mississipi.

Encore une tête, comme Mélanie ! C’est pour ça que vous vous entendez bien, tous les deux. Tu es Américain ?

Oui, d’origine franco-ivoirienne. Bon, tu veux aller te promener dans Bordeaux ? Mél nous retrouve pour manger.

Papa est au courant ?

Je lui ai téléphoné ; mais tu es une grande fille, non ?

Une heure plus tard ils déambulaient dans le centre historique de Bordeaux. Un taxi les avait déposés place Gambetta, et depuis Don jouait au guide : porte Dijeaux, rue de la Vieille Tour, place des Grands Hommes, puis direction les Quinconces avant de rejoindre les quais. Une balade entrecoupée de lèche-vitrines pour Anita et aussi de quelques achats dans des boutiques de mode. Mélanie déboula sur son scooter alors qu’ils arrivaient devant le Sweeney’s, le point de rendez-vous : un sympathique pub où elle venait parfois déjeuner. Elle avait une passagère qui resta un peu en retrait pendant que sa pilote enlevait son casque. Mélanie secoua la tête pour démêler sommairement ses cheveux et embrassa les deux touristes.

Vous avez vu ? C’est une ancienne prison pour femmes, paraît-il ; on y sert le meilleur fish and chips de Bordeaux ; et si vous aimez le rugby, c’est écran géant les grands jours. Bon, je vous présente Kathleen, ma meilleure cop’ de l’ENM !

Anita et Don se tournèrent vers la petite jeune femme qui s’approchait timidement, son casque à la main. Elle avait libéré une luxuriante et frisée chevelure rousse qui auréolait son visage tavelé de taches de rousseur. Don resta scotché devant ses immenses yeux verts pétillants de vie et faillit en oublier ses bonnes manières.

Kat, voici Anita, ma sur, belle-sur et amie ; et Don, un ami ; un vrai.

Enchantée ; appelez-moi Kat, mes amis ne m’appellent jamais Kathleen, vous savez ! Bon, on entre et on commande, le temps nous est compté : nous avons cours à 14 heures.

Pendant le repas, Mélanie parvint à entraîner Anita aux toilettes pour lui donner quelques conseils et avertissements.

Ce soir, Thomas vient avec un ami qu’il souhaite te présenter. C’est Eirik, un Norvégien qui ressemble à Thor, en plus grand et plus musclé.

Mmm, c’est un bon début, plaisanta Anita. Continue !

Ouais, il est canon dans le genre grand blond aux yeux bleus ; il est super riche aussi.

Argh… je vais craquer, c’est sûr ! Mél, je rêve depuis toujours de rencontrer un dieu scandinave qui m’emportera sur son cheval fougueux !

Tu es bête… soupira Mélanie, attendrie. Je l’ai surnommé Thor dès que je l’ai vu, avant même de découvrir son marteau. Il m’a impressionné : il est largement aussi bien pourvu par la Nature que Thomas, et…

Arrête, Mél, je t’en supplie ! Je verrai d’abord s’il me plaît avant de… Bref, je ne veux pas savoir !

Le problème, c’est qu’il est… disons brutal. Et même très brutal. Il est dans les rapports domination-soumission extrêmes.

Ah, d’accord… Je ne sais pas trop quoi dire. Tu crois que je peux essayer ? J’ai demandé à papa de me faire découvrir le monde dans lequel vous vivez, toi et Sandrine. Je ne veux pas passer pour une dégonflée.

Je comprends. Mais ce n’est pas sûr que tu aimes ça, non plus. N’hésite pas à utiliser ton mot de sécurité si ça va trop loin. Tu me le jures ?

Tu te fais du souci pour moi, Mél… Tu es adorable.

Bon, allons voir si Don n’a pas dévoré ma cop’.

Il avait l’air de la trouver à son goût, en tout cas !

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