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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 12

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. - Chapitre 12



J’ai un mal de chien à décharger l’énorme carton contenant ma machine. Je la dépose au garage et réfléchis où la mettre. Dans la chambre des plaisirs, hors de question, elle est désormais encombrée avec le banc de muscu. Dans ma cave, impossible de la descendre au milieu de mes grands crus. Hors de question de la mettre dans le salon ou la salle à manger. Le mieux c’est de l’installer dans la chambre de Mél, occupée pour le moment par Kathy.

Allez, c’est parti. Je monte les pieds, puis les deux moteurs, puis les deux vérins et enfin le présentoir à godes. Je suis fier de moi, j’ai à peine mis deux heures. Je branche la télécommande et la prise d’alimentation. Je peaufine les réglages des sièges et des vérins. Je sers le tout, voilà, c’est prêt. La machine est prête pour accueillir les deux filles. Une bonne bière me fera le plus grand bien.

19 h 00. Kathy arrive avec à sa suite Mélissa. Elle me dit qu’elles ont été longues, que c’était normal lors de la première séance. Mél s’étire, bombant sa lourde poitrine.

— Ça va ma puce ?

— Oui, c’est plus facile que je ne le pensais, mon cur… Hihihihi. J’ai le temps de me baigner ?

Sans attendre ma réponse, elle est déjà dans l’eau. Kathy me dit qu’elle a été très courageuse et me demande si mon après-midi n’a pas été trop longue. Je ne lui réponds pas, j’attends que Mél nous rejoigne.

Mél et Kathy sont sans voix devant la machine à baiser. Mél se précipite et s’installe sur un des sièges. J’invite Kathy à en faire de même. J’attache leurs chevilles et leurs poignets avec les sangles prévues à cet effet. Je règle les appuis-tête et prends deux godes identiques, deux godes doubles. Mél en mouille déjà. Kathy, quant à elle, elle se pince les lèvres d’envie. Je les lubrifie les avec un gel inodore et les fixe. Je prends la télécommande sans fil.

— Madame, Mademoiselle…

Je mets en route les moteurs qui sont étrangement silencieux. Les godes effleurent les deux orifices de mes deux salopes et trouvent les entrées tous seuls. J’accélère et pousse la profondeur de pénétration. Les halètements des deux filles sont de plus en plus bruyants. J’augmente encore pour que les deux godes rentrent entièrement dans leur cul et leur sexe. Ça y est, elles sont parties dans un délire de mots crus et d’insultes.

— HUMMM, saloperie de merde, que c’est bon. OUI PRENEZ-MOI A FOND… Pour Kathy.

— AH LA VACHE. JE ME SENS REMPLIE. OUI ACCÉLÈRE… PUTAIN DE MERDE… Pour Mélissa.

Je prends plusieurs clichés que j’envoie illico-presto à mon Pierrot. Il me répond aussitôt.

"Tu peux les mettre cul à cul. Ou leur détacher les mains pour qu’elles s’embrassent."

Conseil que je suis immédiatement. Les mains libres, elles se jettent l’une sur l’autre pour s’embrasser et se bouffer les seins. Re-photos.

"Bonne soirée mon grand, fais gaffe à la surchauffe."

J’installe ma caméra, allume mon ordi. J’ai la surveillance totale de ces deux garces. Je vais sur la terrasse et m’installe confortablement, une bière à la main et mon ordi sur la table. J’accélère la cadence. Leurs mains s’égarent sur leur clitoris. Mél lui mordille les tétons. À 21 h 00, j’arrête le supplice. Elles sont dégoulinantes de sueur et de jus de femme. Je détache leurs jambes.

La machine était régulièrement utilisée. Les semaines ont passé jusquà début juillet. J’ai invité Pierrot, Gégé, Li et leur nouvelle protégée Cendrine pour qu’ils voient la progression de Mél. J’ai donné sa soirée à Kathy qui devait passer au club.

19 h 00, Pierrot fait son arrivée sans sonner ni frapper, comme à son habitude.

— Salut frangin. Comment vas-tu depuis le temps ? Oh, je vois que tu as suivi mes conseils. Super.

Li entre, elle est habillée sobrement d’une minijupe en cuir noir et d’un marcel. Gégé la suit. Elle arbore sa tenue de soubrette en latex. Cendrine est vêtue de simples bandelettes, un peu du style du "5e élément".

La machine est passée de la chambre au salon où elle trône fièrement en lieu et place de la table basse. Elle est en position solo, les deux vérins sont dirigés d’un seul côté et j’ai dû démonter un siège pour que l’on puisse tourner autour.

Pierrot nous sert des Ricard digne d’un ancien légios. Li, qui connaît la maison offre du champagne aux filles. Pierrot s’en va sur la terrasse.

— Mazette, que tu es jolie Mél. Putain de sa mère. Ma-gni-fique…

Elle était sur la terrasse, voulant faire la surprise à mon ami. Elle est nue. Il est vrai que la transformation mammaire est étonnante. Ils donnent l’impression d’être plus hauts, plus droits, plus fiers et ses tétons plus volumineux.

— Et il lui reste un mois de travail.

— Hé bé, mon cochon, tu ne vas pas t’ennuyer. Mes félicitations Mél. WAOUH.

Il tourne autour de la black en lui caressant les seins. Li vient l’embrasser, Gégé n’est pas en reste et se pend au cou de sa copine, évitant d’écraser la poitrine de Mélissa.

— Je ne crains rien, je n’ai pas été opérée. Tu peux y aller franco. Lui dit Mél.

Gégé lui prend ses deux seins à pleine main et la félicite sur la fermeté de ceux-ci. On s’installe autour de la table extérieure. Cendrine trouve sa place sur les genoux de Gégé. Elle la présente à la plantureuse noire comme étant le nouveau jouet de son père. En fait Cendrine est la fille d’un colon de la légion qui ne s’en sortait plus avec sa fille. Pierrot se l’est vu confié, sa réputation de redresseur s’étant propagée au sein du célèbre régiment de para de la légion.

— J’aurais préféré sa femme… HAHAHA. Dit Pierrot, hilare.

— Que fais-tu ? Demande Mél en s’adressant à Gégé.

— Je la prépare pour ta machine. J’ai vu les photos et ça à l’air de lui plaire. Regarde comme elle mouille…

— Mais, elle n’est pas rasée ?

— Non, Mademoiselle ne veut pas.

Ni une, ni deux, Mélissa se lève et entraîne Cendrine vers la salle de bain commune.

— Si tu veux ma machine, je te rase. Hors de question que tu laisses tes poils sur Mes Godes.

On est tous hilares en voyant la grosse traîner son allumette sous le bras. Gégé s’en va l’aider.

— Sacré caractère… Me dit Li qui s’est assise entre Pierrot et moi.

— Elle sait où est sa place.

— Hé, bégueule, tu l’aimes et j’en suis heureux.

— Peut-être…

— AHAHAHA. Tu t’es vu, on dirait un ado. Il va falloir oublier ton passé et vivre pour toi, sinon c’est la déprime assurée.

Li nous caresse l’intérieur de nos cuisses. Elle me regarde avec complaisance.

Mélissa revient accompagnée de Gégé et de Cendrine, rasée de frais. Pierrot est étonné que Mél ait réussi. Je lui dis qu’elle a un pouvoir de persuasion indescriptible. Je la prends dans mes bras, par-derrière et lui dis :

— Bravo ma chérie…

Elle met sa tête sur mon épaule.

— Merci à toi de prendre soin de moi…

— Ô ! Les amoureux, interjette Pierrot, on n’a pas le droit de faire de messes basses et on n’est pas venu pour enfiler des perles, en nous resservant deux yaourts.

Ils éclatent tous de rire, on s’embrasse tendrement, amoureusement. Je me rassois avec une gaule d’enfer qui n’échappe à personne. Pierrot me taquine et part se rafraîchir dans la piscine. Je le rejoins. On nage tranquillement. Mél, fidèle à son habitude, allume le barbecue et dresse la table avec les trois autres filles. On est comme deux coqs en pâte.

— Vous êtes mignons tous les deux. Aucun de vous n’a fait le premier pas ? Me questionne-t-il.

— Si. Elle…

— Qu’attends-tu couillon. Donne-lui ce qu’elle attend de toi et fais en ta petite amie officielle.

— PFFFTTT, pas si simple. Je n’ai pas envie qu’elle se barre en courant…

— Hé, mon con. T’as des illères ou quoi. Elle t’aime.

Il sort de l’eau comme un commando et se précipite vers Mél. Il la prend par la main et la jette à l’eau après lui avoir dit qu’il s’occupait des merguez.

Mélissa ressort de l’eau à quelques mètres de moi, abasourdie par la vigueur de mon ami.

— Qu’est-ce qui lui a pris ? S’étonne-t-elle.

— Et je ne veux pas vous voir sortir de là sans que vous n’ayez parlé. Lance-t-il. J’en ai marre, mon Jeannot de te voir te morfondre depuis que cette connasse de Murielle (mon ex) t’a largué. T’es mon pote, il faut te reprendre en main. Tu as quinze minutes.

Mélissa s’est approchée de moi est se pend à mon cou. Elle cherche à m’embrasser. Mais avant, je lui dis :

— Mél, je t’aime. Depuis le premier jour où je t’ai vu. Je t’aime, ma puce.

Dans un sourire qui en dit long et me regardant droit dans les yeux, elle pose ses lèvres sur les miennes et de sa main droite, elle me saisit la queue. On s’embrasse comme des fous. Sa petite main fait des allers-retours, de la gauche, elle me caresse les couilles.

— Jean, Je t’aime… Arrive-t-elle à dire entre deux baisers.

— Mélissa, je t’aime…

— Et bien voilà. Allez, sortez de là. C’est presque prêt. Lance Pierrot.

C’est à regret que l’on part se doucher et rejoindre nos amis.

— Où est Cendrine ? Demande Mélissa en s’adressant à Gégé.

— Installée sur ta machine.

Elle part pour aller voir, je la retiens par un bras et lui dis qu’elle aura tout le temps après manger. Elle s’installe entre à mes côtés, Pierrot étant entouré de Li et de sa fille. Je me rends dans ma cave et passe devant Cendrine. Elle est positionnée sur le dos, attachée fermement et la nuque reposant sur l’appui-tête. On entend à peine les moteurs uvrer. Elle a un gode de taille respectable dans chaque orifice et semble apprécier.

Je remonte de la cave avec un excellent rosé. Je sais que Pierrot apprécie. On mange, enfin, on ripaille. Li a disparu sous la table et vu la réaction de Gégé, ce n’est pas pour ramasser sa serviette. On boit très peu, une bouteille de rosé à deux ne nous fait pas peur. Li réapparaît la gueule engluée de cyprine et souriante. Gégé est sur un petit nuage. Mél, quant à elle, elle débarrasse la table. Comme femme d’intérieur jaurai pu tomber plus mal, me dis-je. Elle est toujours souriante.

Li et Gégé s’en vont voir Cendrine. Elles nous appellent. Mél est la première à rentrer, suivit de Pierrot et moi. Le spectacle est effarant. Le nouveau jouet de Pierrot est en transe. Elle coule sur les deux godes qui la pénètrent. Mél, insatiable de sexe en tout genre, lui présente sa chatte gonflée de désir. Cendrine n’hésite pas et plaque sa bouche sur le sexe de ma, désormais, petite et jeune copine. Gégé accélère la machine tandis que Li nous suce. Quel spectacle de débauche. Les cris étouffés de Cendrine, la pipe de Li et le travail du clito de la petite par Gégé ne tardent pas à nous faire jouir tour à tour dans la bouche gourmande de la petite Asiatique. On tombe, Pierrot et moi, sur le grand canapé. Mél aussi a joui, elle quitte la bouche gourmande de Cendrine. Li lui donne sa pitance, à savoir notre jus.

On est sur la terrasse, Mél assise sur mes genoux me branlant doucement. Elle me regarde amoureusement. Nos lèvres se rejoignent, nos langues virevoltent. Pierrot et la petite bande plongent dans l’eau azur de ma piscine. Mél va pour les rejoindre, mais je l’en empêche. Je la prends par la main et l’entraîne dans la chambre des tortures.

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