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Mon mari me pervertit – Chapitre 1

Mon mari me pervertit - Chapitre 1



Après avoir quitté mon mari, j’ai rencontré Kevin. Un métis originaire d’un petit territoire français du pacifique qui fait pas mal parler de lui ces derniers temps. Il a douze ans de plus que moi mais respire la joie de vivre. Je me sens bien avec lui. Il est très sexuel, vicieux même pour ne pas carrément dire pervers mais ça ne me dérange pas car j’y trouve mon compte.

Il faut dire que mon ex m’a lui aussi fait vivre des situations hors du commun alors je ne suis pas ce qu’on appelle une oie blanche, loin s’en faut.

Avec mon métis, j’ai l’impression qu’il ne cessera jamais de m’étonner au niveau du sexe, trouvant sans cesse des trucs pour aiguiser mes sens et mon appétit sexuel.

Nous avons un ami qui vient de temps en temps manger et passer une soirée tranquille avec nous. Il s’appelle Paul. Il est célibataire, plutôt beau gosse avec pas mal de points communs avec nous et avec moi en particulier. Le courant passe bien et nous ne nous sommes jamais menti à nous-même et encore moins à Kevin. C’est une évidence. Bref, un soir lors d’un repas, de confidences en confidences, nous avons tous les deux admis devant Kevin que si nous avions été célibataires, enfin moi surtout, il se serait certainement passé quelque chose entre nous.

Kevin est plutôt sûr de lui, de l’attachement que nous avons l’un pour l’autre et surtout, il n’est pas d’un naturel jaloux. Il sait qu’il peut avoir confiance en nous même si parfois nous flirtons du genre caresses sur les joues, bises un peu plus appuyées, bras autour de la taille ou lorsque nous ne nous sommes pas vus depuis longtemps des étreintes un peu plus longues que la normale, mais ça reste toujours gentil.

On n’y peut rien, c’est comme çà. On se plaît mais on respecte les limites à ne pas franchir.

Il y a quelques jours de çà, Paul est venu manger à la maison. Je ne sais pas pourquoi mais ce soir-là j’ai bu pas mal d’alcool alors que je n’en ai pas l’habitude. A la fin du repas, j’ai pris une douche et je suis allée me coucher. Je dois bien l’avouer, j’étais saoule. En faisant la bise à Paul, chose curieuse ou prémonitoire à cette histoire, j’ai perdu l’équilibre et au lieu de poser mes lèvres sur sa joue, c’est sur sa bouche que je l’ai embrassée. On a bien sûr éclaté de rire tous les 3 et je me suis rapidement éclipsée, un peu gênée malgré tout de ma maladresse.

Je me suis rapidement endormie. A un moment j’ai été réveillée par les éclats de rire des garçons, je les entends prendre congés. Une porte qui claque, Paul s’en va. J’essaie d’attendre mon homme, mais il tarde un peu trop. Il doit se doucher car j’entends l’eau qui coule dans la pièce d’à côté. Je me rendors rapidement puis, dans mon sommeil, je le sens se frotter contre mon dos. Comme d’habitude je dors nue, à plat ventre. Il se colle à moi, frotte son sexe dressé entre mes fesses. Je sens son désir de me prendre. Il sait que je ne me refuse jamais à lui mais avant, j’ai besoin de caresses. Ses mains courent sur mon dos, dans mon cou, descendent le long de mes flancs pour atteindre mes reins puis mes hanches. Je fonds et malgré les brumes du sommeil, je cambre les reins au maximum pour dégager mes fesses en signe d’accord. Je sais qu’il adore me prendre lorsque je suis à moitié endormie.

Son gland butte sur ma raie, glisse dans le sillon plusieurs fois en ratant sa cible. Je me cambre encore. Je sens qu’il s’aide de sa main, pose son gland dans l’entrée de ma vulve puis, s’enfonce doucement dans mes chairs. Il est gros, me paraît énorme même. Sa bite me fait presque mal mais c’est tellement bon de se sentir remplie aussi fort. Je gémis de bonheur tandis qu’elle progresse dans mon ventre. Je lui murmure :

Oh ouiiiiiiiiii. Encore, tu me remplis, c’est trop bon.

Il me couvre de son corps. Je me sens fondre sous le poids de sa possession. Il me caresse. Ses mains sont partout à la fois, mes reins, mes flancs et enfin elles s’agrippent à mes hanches pour m’attirer vers son pieu qui me pourfends.

Je me donne autant qu’une femme peut le faire, tentant mes fesses au mâle qui me possède. Ses coups de reins, ce sexe qui coulisse dans le mien m’électrise, des bouffées de chaleur parcourent mon corps en long et en large. Je ne suis plus qu’un sexe, tout mon être se concentre dans mon ventre, entre mes jambes. Il grandit, grossit, grossit encore. J’entends ma voix crier mon plaisir. J’ai chaud de partout. Mon ventre, ma chatte tous mes muscles se bandent, je vais jouir, je le sens, c’est tout proche.

Ouiiiiiiiiiii. Continue n’arrêtes pas. Ça vient. Ça vient fort. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

J’explose enfin en hurlant mon plaisir. Je m’écroule les bras en croix sur le lit. Les forces m’abandonnent. Kev me tient fermement par les hanches. Il me cloue sur le lit, en m’assénant de véritables coups de boutoir, me perfore le ventre en faisant claquer ses cuisses contre mes fesses. Je le laisse se servir de ma chatte pour atteindre la jouissance. Je suis heureuse qu’il m’aime aussi fort. Je suis sa chose, je lui appartiens toute entière. Il accélère encore, il va jouir à son tour. Il est énorme en moi. Je ne l’ai jamais senti aussi gros. Son chibre se cabre, mon sexe lui réponds, l’étreint de toutes ses forces pour mieux sentir les spasmes de son éjaculation. Il gicle dans mon ventre, me remplit de son sperme épais et chaud. J’adore cet instant magique où son sexe et le mien ne font plus qu’un, soudés l’un à l’autre le temps d’un orgasme.

Le calme revient. Il se laisse retomber sur mon dos, me fait sentir le poids inerte de son corps après le marathon du plaisir. Il me caresse doucement. Je sens son souffle sur mon dos. Je lui souffle :

Je t’aime.

Il ne me réponds pas, se contentant de me serrer un peu plus fort dans ses bras. J’insiste.

Dis-le moi toi aussi. J’ai besoin de l’entendre.

Un long silence s’installe. Je me retourne cherchant son regard dans le noir.

Il prends mon visage entre ses mains et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue me pénètre, trouve la mienne, la caresse. Je réponds à son baiser mais un doute m’étreint. Il me retourne sur le dos, s’allonge sur moi, m’ouvre les jambes. Je sens contre mon ventre qu’il bande à nouveau.

D’un coup de reins il s’enfonce en moi. Ses lèvres s’emparent de mes seins, les lèche, sucent les mamelons encore raides d’excitation. Le doute s’amplifie, ce n’est pas possible. Mes mains parcourent le corps de l’homme qui me possède. Je panique. Ce n’est pas le mien. Ce n’est pas mon homme qui est en train de me faire l’amour, qui m’a fait jouir à en perdre pieds.

Il accélère ses coups de reins m’arrachant malgré moi des gémissements de plaisir. Ma tête bourdonne, prête à exploser, je ne sais plus quoi faire, pleurer, le repousser, me débattre. J’essaie de me calmer mais l’homme me fait du bien malgré les doutes qui m’assaillent. Il sait divinement se servir de sa queue, preuve en est, les gémissements qui s’échappent de ma gorge à chaque fois qu’il s’enfonce en moi. Pourtant ce n’est pas Kevin, ce n’est pas lui. Je ne peux pas jouir encore une fois avec un homme que je ne connais pas pourtant cette queue qui me laboure le ventre me fait tellement de bien. Non je ne veux pas jouir à nouveau. Je pense à mon homme, où est-il ? Comment, qui. Pas de réponses.

Il sent que je vais craquer, me débattre, le repousser alors, il me serre dans ses bras puis me prend la tête entre ses mains pour me murmurer à l’oreille :

C’est moi. Laisses-moi te faire jouir encore une fois.

Cette voix, je la reconnaitrais entre mille. Ça ne peut qu’être lui, mon 2ème homme, c’est Paul. La pression retombe instantanément, mes muscles se relâchent ce n’est pas un inconnu mais l’orage gronde toujours dans ma tête. J’ai besoin qu’on m’explique. Je me suis donnée sans retenue à quelqu’un qui n’est pas celui que je croyais. Je suis partagée entre pleurs et plaisir.

Kev est à côté. Il savait depuis longtemps que nous en avions envie alors il a tout organisé pour que ça se fasse et que tu te donnes à moi.

Mais… mais…

Les mots s’étranglent dans ma gorge. Paul glisse en moi, son sexe m’ouvre le ventre. A chaque fois qu’il me pénètre, des bouffées de chaleur irradient tout mon corps, se répandent en moi comme des ondes dont l’intensité n’a d’égale que leur nombre de plus en plus rapprochés. C’est moi qui gémit ainsi, c’est ma voix qui résonne à mes oreilles.

Ses paroles repassent dans ma tête à toute vitesse. Il m’a dit que Kev était là. Je l’appelle à mon secours. Il s’approche, me prends la main, m’embrasse à son tour à la commissure des lèvres puis s’approchant de mon oreille il me murmure :

Je t’aime mon amour. Profites de ce cadeau que je te fais.

J’ai peur, j’ai peur de moi. Je lui demande de rester près de moi, de ne pas m’abandonner. Il me serre la main puis me sentant rassurée, la pose sur le dos de l’amant qu’il a choisi pour moi.

Je le sais consentant, il est là, tout près de moi. Mes doutes s’envolent. Je caresse à pleines mains le dos de celui qui me chevauche. Ses lèvres s’approchent une nouvelle fois des miennes. J’ouvre la bouche pour recevoir sa langue contre la mienne. Un long baiser passionné nous unit tandis qu’il me possède de plus en plus fermement. Je gémis comme une bête blessée en sentant son sexe m’éperonner. Il me fait un bien fou. Il m’amène vers les sommets du plaisir. Je le suis, confiante, je m’abandonne, je me livre toute entière en paix, en accord avec l’homme que j’aime. Des images de ma précédente jouissance défilent en « flash » dans ma tête, ce sexe bien plus gros que d’habitude dans mon ventre, cette façon inhabituelle de me prendre, tout est maintenant limpide dans mon esprit. Comment ne m’en suis-je pas rendu compte plus tôt ? Je suis pleine de confusions malgré le plaisir qui m’envahit. Cette queue qui me fouille le ventre déclenche au plus profonds de moi des bouffées de chaleur qui remonte de mon ventre vers mes reins jusqu’à ma tête en ébullition.

Chacun de ses coups de reins m’amène inexorablement vers un nouvel orgasme. Il prend ma bouche à nouveau. Sa langue me possède comme le fait son sexe. Je défaille, c’est trop bon. Une incroyable bouffée d’adrénaline me submerge, j’entends comme dans un rêve des cris de plaisir qui sortent de ma gorge. Il m’a saisit aux hanches, il me possède comme jamais on ne m’a possédé jusqu’ici. Mon ventre et ma bouche sont à lui. J’ai l’impression qu’il va me transpercer à chacun de ses coups de reins. La sensation de plaisir est énorme. Je sens mon orgasme prendre forme dans mon ventre, grandir à chaque fois que son gland frappe ma matrice, il est là, je n’en peux plus, il faut que je jouisse.

Quand il prend mon visage entre ses mains pour me dire :

Jouis ma chérie. Jouiiiiiiiiiiiiis.

J’explose en criant à pleins poumons mon plaisir.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir. C’est trop. C’est trop.

Mon corps m’échappe, je perds tout contrôle. Tous mes muscles s’agitent, mes membres et mes jambes se mettent à trembler comme si l’on me secouait tel un prunier. Ça me fait peur de jouir aussi fort. J’éclate en sanglots. Mes hommes me réconfortent me câlinent. Des bras menlacent, des mains me caressent. Le calme revient doucement. J’ouvre les yeux, ils sont là, près de moi, souriants.

Mais. Comment………Qu’est-ce que vous avez……..

C’est ton homme qui a voulu çà. J’espère que tu n’es pas trop déçu ?

Vous êtes fous tous les deux. Mais tu n’as pas joui ?

Non, j’ai préféré m’occuper de toi quand tu t’es mise à pleurer.

Je me remets sur le dos en l’attirant sur moi. J’écarte les cuisses aussi largement que je peux. Il me sourit.

Viens. Viens jouir dans moi.

Paul est sur moi. Son sexe contre mon ventre.

Tu veux bien me prendre encore ? T’as toujours envie de moi ?

J’ai toujours envie de toi !

Prends-moi.

D’un coup de reins il me perfore. Je le reçois comme un cadeau dans mon ventre. Millimètre par millimètre il progresse, ouvre mes chairs, les écarte. Je suis tellement mouillée que rien ne peut l’arrêter. J’aime cette barre de chair qui prend possession de moi. Inconsciemment mon bassin s’anime pour aller à sa rencontre. Nos mains s’agrippent aux fesses de l’autre pour mieux s’étreindre, mieux s’épouser. Je commence à jouir dès qu’il se met en mouvement. Tant de plaisir me fait peur. Oui, j’ai peur tout à coup de ne plus pouvoir m’en passer. Si c’est la dernière fois, si c’est la seule fois, je veux en garder un souvenir impérissable. Il devance mon envie en posant ses lèvres sur les miennes pour un long baiser, un baiser interminable qui durera tout le long qu’il faudra pour qu’enfin mon amant ne se vide en longues giclées dans mon ventre. Je suis épuisée. Vidée. Je crois bien ne jamais avoir joui aussi fort de ma vie et c’est grâce à mon homme que je l’ai vécu.

Je me rends compte tout à coup qu’il ne doit pas être très loin. Je l’appelle. Il est là. Il s’approche, m’embrasse en posant un baiser délicat sur mes lèvres. Mes yeux se remplissent de larmes en réalisant à quel point j’aime cet homme. Il s’approche de mon oreille pour me chuchoter :

C’était bon mon amour ?

Je le serre de toutes mes forces dans mes bras puis je murmure à mon tour à son oreille :

Tu es fou ! Complètement fou ! Mais c’était incroyablement bon. Merci. Merci mon amour.

J’ai eu peur que tu ne sois fâchée après coup.

Je le suis. Je suis folle de rage. Mais je t’aime car toi seul sait me donner ce que j’attends de toi.

Nous nous caressons un bon moment, oubliant pour quelques instants tout ce qui nous entoure. Quand j’ouvre les yeux. Paul est parti. Il s’en est allé sans faire le moindre bruit, sentant qu’il était temps de nous laisser nous retrouver après ce qui s’était passé.

Les pensées défilent dans ma tête à une vitesse folle. La peur de me retrouver demain ou plus tard face à celui qui m’aura fait jouir d’une manière dont je n’imaginais même pas que cela pouvait exister. Saurait-il rester le même homme attentionné après m’avoir possédée ? Saurait-il résister à l’envie de me faire l’amour dès la première occasion ? Et moi, comment arriverais-je à gérer cet « après » ? Resterions-nous amis ?

Beaucoup de questions assurément sans réponse pour l’instant, m’assaillent. Elles arriveront sans aucun doute avec le temps.

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