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Mon masochisme – Chapitre 3

Mon masochisme - Chapitre 3



Nous sommes après allés dîner. Un dîner normal entre amants normaux, charmant. Il m’a fait comprendre qu’en dehors des jeux érotiques, nous ne serions pas en mode sm. Mais j’avais une envie folle de me faire prendre, car seulement ma bouche avait accueilli sa queue épaisse pour le moment et j’avais envié la sentir dans mon vagin, dans mon cul. Je me permis alors de lui dire.

Tu veux de la bite ma jolie ?

Oui la vôtre.

Et d’autres, plein de queues pour te remplir.

Oui Monsieur.

Nous en étions au dessert et oui, j’avais envie de sa queue. Il prit alors son téléphone et passa un appel.

Salut, c’est Pierre. Tu peux me trouver quelques hommes pour un gang bang ce soir.

Gang bang ? Je suis sciée. Je vais être prise en gang bang ce soir ? Alors que je n’avais pas envisagé la chose, Pierre, toujours en discussion, me regarde.

Cinq six. Dans une heure ? OK.

Il raccroche. Je lui demande ce que cela veut dire « cinq-six ». Il me répond calmement « le nombre d’amants que tu vas devoir satisfaire dans une heure. Je mouille instantanément. Dans une heure, je vais être prise en gang bang par cinq six hommes. Je suis en train de devenir en exprès une vraie salope et cela m’excite. Comme je suis perchée sur mes talons, nous repassons chez lui prendre sa voiture, mais aussi pour remettre mon collier et les pinces à mes seins et ma vulve. Ma jolie robe par dessus et nous voilà partis. Nous arrivons à Bagnolet, dans un quartier un peu glauque. Un café fermé. Pierre cogne au rideau de fer qui s’ouvre et un grand type le salue, me regarde.

Putain, la cam que tu ramènes ce soir !

Elle est belle n’est-ce pas.

De la bombe atomique, entrez.

Le rideau de fer retombe derrière nous. Ce bruit métallique résonne en moi comme un roulement de tambour. Dans le bar, au comptoir, des types de mon âge, racaille de banlieue. Ils sont six. Avec Pierre et le patron, cela fait donc huit hommes. Pierre les salue, se place derrière moi.

Messieurs, voici une petite pute en chaleur qui a follement envie de vider vos couilles dans tous ses trous, mais particulièrement dans son trou de cul, car elle adore se faire enculer. C’est cela ma jolie ?

Oui Monsieur.

Et bien, dis-le.

Je suis une petite pute, une chienne en chaleur qui adore se faire enculer.

Enlève ta robe.

J’entreprends un déboutonnage lascif de ma robe qui tombe à mes pieds. Les hommes voient les chaînes reliant mon téton droit à ma lèvre droite, le téton gauche à la lèvre gauche. L’un d’eux s’exclame « putain, c’est une maso ! Vas-y Mo, sort le fouet ! » Le Mon en question jette un il à Pierre qui approuve d’un signe de la tête. Le patron du bar sort alors un martinet qu’il pose sur le comptoir. Mon Maître saisit les deux chaînes qui relient ma vulve et mes seins et me tire vers le comptoir. Je dois masseoir sur un haut tabouret, cuisse bien ouverte, les mains posées à plat sur le bar et évidemment cambrée au maximum. La vue sur ma chatte et mon anus doit être impeccable. L’un des hommes s’approche de moi, prend le martinet, regarde les traces laissées par les 25 coups que j’ai déjà reçus auparavant.

T’aimes le fouet, salope, ça t’excite ?

Oui.

Un coup tombe sur mon cul offert.

Oui qui ?

Je regarde Pierre. Dois-je dire aussi oui Monsieur à ce type ? Il me répond.

Tu as perdu le sens de ta soumission ? C’est oui Monsieur. Allez, 20 coups pour le lui rappeler.

Le type se place derrière moi et entame sa série. Les autres comptent à haute voix, l’encourage « Vas-y, plus fort ». Je frotte mon clitoris sur le tabouret, le patron est en face de moi avec Pierre qui est passé de l’autre côté du bar pour regarder mon visage sous les coups. Je pousse des petits soupirs de plaisir, bien chienne, pour l’exciter, la bouche ouverte, comme une chienne qui prend son pied. De toute façon, je prends mon pied. La brûlure du martinet, mon clito sur le tabouret rembourré, tous ces hommes qui me regardent ainsi offerte, sortent leur queue dure, se branlant en me regardant me faire fouetter, je prends intégralement mon pied. A la fin des vingt coups, j’ai déjà eu un orgasme violent. Pierre lève la main, le temps se suspend.

Tu te souviens du safeword ?

oui Monsieur.

Alors ?

Bleu Monsieur.

Continuez, cette chienne en veut beaucoup plus.

Le type qui vient de me donner vingt coups violents de martinet pose l’instrument sur le bar, sort sa queue dure et l’enfonce dans mon sexe humide. Il me prend sans ménagement, à grand coup de reins. C’est parfait, enfin une bite !

C’est bon salope, tu aimes ?

Oui Monsieur.

Alors, dis-le salope !

C’est bon Monsieur que vous me fouettiez, que vous me baisiez comme une chienne. J’aime vous servir de pute, de vide-couille, défoncez-moi !

Il a posé ses mains sur mes hanches, les tiens fermement et me donne de grands coups de reins. Là, je suis défoncée, totalement. A chaque coup de bite, mes seins ballottent, mais ils sont aussi retenus par les pinces. C’est autant de décharges électriques dans mes tétons. Je jouis encore alors qu’il me tapisse le vagin de son sperme chaud. Un autre homme prend sa place. Il prend du cocktail de mouille et de sperme qui coule de mon sexe pour enduire mon anus puis entre dans mon petit trou. Comme l’autre, je l’encourage avec des « plus fort » « oui, baisez-moi comme une chienne, Monsieur » qui l’incite à prendre un rythme puissant. Toute sa grosse verge est dans mon anus maintenant et il va et vient. Un autre homme monte sur le bar et descend sa queue à hauteur de ma bouche pour que je le suce. Lui aussi décide que je suis une pute donc que je suce en gorge profonde. J’ai une paire de couilles qui tapent ma vulve et une autre mon menton.

Je suis baisée, vraiment baisée, comme dans ces films pornos hardcores.

Le type dans mon cul gicle à son tour, immédiatement remplacé par un autre, au même rythme, fort, puissant. Sa queue est plus large, mais moins longue. Elle ouvre mon anus encore plus; celui que suce finit par gicler ; jen ai plein la bouche, sur les lèvres, le menton. Pierre prend une petite cuillère et délicatement, recueille le sperme pour me le remettre dans la bouche: « avale ». Javale et je montre ma bouche maintenant libre de tout sperme. La grosse qui est dans mon cul est certes large, mais le type gicle vite. J’en suis donc à quatre, il m’en reste autant à honorer. Mo, le patron du bar a pris le martinet en main et mêlé montre.

Tu en veux encore pétasse ?

oui Monsieur.

Il fait signe à un type de s’assoir sur le tabouret à côté. Puis il m’intime l’ordre d’aller m’empaler sur sa grosse verge, face à lui. Il me veut ainsi pour « voir mes petites mamelles quand je me fais enculer ». Le type est nu, avec une queue de 6 centimètres de large. Je lui tourne le dos, cale mes talons dans le cercle bas du tabouret, ce qui me permet d’être au-dessus de sa queue que j’introduis dans mon anus. Je descends dessus, Mo me regarde et alors que je vais remonter il me dit de rester ainsi.

Pierre, tu pourrais me passer les deux poids qui servent à bloquer la porte de la cuisine ?

Pierre lui passe ses deux poids de 1 kilo munis d’un anneau. Mo détache les pinces de mes seins. Une douleur fulgurante traverse mes tétons, mon anus se contracte et je jouis. Il laisse les pinces à ma vulve et fixe à l’aube de l’extrémité les poids. J’ai 1 kilo par lèvre. Pour le moment, je ne sens presque rien, mais quand je vais remonter, les poids ne toucheront plus terre. Pierre apprécie le stratagème.

vas-y la pute, fais jouir ton client.

Je commence mon va-et-vient. Ma vulve est étirée à chaque fois que je remonte, les poids ne touchent pas le sol quand je suis au tiers inférieur de la queue du type. Un coup de martinet tombe sur mes seins.

Plus vite salope.

J’accélère le rythme, un nouveau coup de fouet, une nouvelle injonction:

plus vite chienne.

Je prends un rythme frénétique, mais lui commence à fouetter méthodiquement mes seins

Je te fouette jusqu’à ce que tu aies fait jouir ton client petite pute ! Accélère ! Plus haut ! Je veux de grands mouvements !

Les coups pleuvent sur me seins.

Putain, elle m’épuise cette conne. Vas-y Pierre, prend le relais.

Pierre est aussi méthodique que Mo pour fouetter mes seins. Il s’arrête pour jeter le martinet et saisir mes tétons avec ses doigts, les tirer vers le haut. J’ai les mains posées sur le comptoir derrière moi, je m’appuie pour pouvoir me soulever et redescendre sur la queue énorme qui me remplit le cul. Pierre me donne le rythme en tirant sur mes seins.

Comme ça salope, plus vite, plus haut, plus fort.

Le type gicle enfin en moi, un foutre épais que je sens dans mon cul couler. Nous jouissons ensemble. Il me reste quatre hommes à honorer… Mo décide que trois mecs en même temps, c’est une bonne idée. Je me retrouve sans pince sur une table, un type sous moi qui s’enfonce dans ma cahute, un autre qui me prend dans le cul alors que Mo se garde ma bouche. Je suis en nage, je transpire à grosse goutte. Je dois avoir une odeur de chienne hallucinante. Mais je ne suis pas encore à bout de mes orgasmes. Ils viennent maintenant en flot continu. Jamais je n’ai connu autant de plaisir ; un long orgasme entrecoupé de pause puis à nouveau, le plaisir. Mo se vide les deux types aussi. Il ne me reste que mon Maître. Oui, je veux l’appeler Maître, car je suis son esclave. Je suis encore sur la table, en état second. Les types rhabillent, Mo les fait sortir.

A vous Maître maintenant.

Il te reste un client avant moi, mets-toi à quatre pattes au sol… Mo, va cherchez Rex.

Mo revient avec un Rothweiler ; le chien me voit bander instantanément. Je panique, totalement. Je crie.

ROUGE ! ROUGE ! ROUGE !

Mon Maître fait un signe. Mo rembarque le chien puissant qui avait été amené pour me couvrir, me saillir. Je sanglote, je suis nulle, je n’ai pas été au bout. Mon Maître caresse ma peau délicatement, mes seins, ma vulve. Il est d’une douceur exceptionnelle. Chaque caresse est un délice, une onde qui parcourt mon corps.

Pardon Maître.

Pardon ? Mais tu n’as pas à demander pardon. C’est toujours toi qui décides. Ne l’oublie jamais. Tu dois aimer ce que tu fais ou subis. En avoir envie, le désirer, le souhaiter et lorsque tu le vis, l’aimer en jouir. Il m’embrasse. Me repasse ma robe.

Mais vous Maître.

Viens, chez moi, à la maison.

Arrivé chez lui, il me douche, me lave avec douceur, m’embrasse. Sa queue est tendue. Nous rejoignons son lit et là, contre toute attente, nous faisons l’amour « vanille »; oui « vanille », mais amoureux l’un de l’autre, en symbiose parfaite et dans un même élan, nous jouissons, ensemble.

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