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Mon neveu, cet Homme – Chapitre 6

Mon neveu, cet Homme - Chapitre 6



La semaine s’était passée assez vite. Le dimanche était arrivé avec son lot de soucis. Je devais tout annoncer à Sophie, ma fille, sa cousine. La fille qui a deux ans de moins que lui, qui a grandi avec lui. Comment annoncer un truc comme ça? J’aurais préféré avoir à dire que je me tapais le voisin. Un vieux libidineux d’une soixantaine d’années plutôt que mon propre neveu. J’avais honte de ce que je faisais. Ça ne changera jamais et je ne le saurai pas tant que je le verrai comme ça.

Alors que Benjamin était encore dans le lit complètement nu, je prenais ma douche. Je réfléchissais toujours à comment l’annoncer à Sophie.

« Bonne nouvelle : je me tape ton cousin Benjamin. Tu te souviens, ton cousin Benji? Il me baise. Non. Ça ne va pas. Qu’est-ce qui déconne. Ça ne devrait pas être aussi compliqué. Après tout, je l’aime. Oui, je l’aime alors pourquoi ai-je envie de vomir?»

J’étais stressée comme jamais. J’avais juste envie de me cacher dans un trou de souris. Je ne savais pas comment Sophie réagirait. Ni comment elle utiliserait cette information. Me ferait-elle chanter? J’avais peur mais je ne voulais pas perdre Benjamin. Non, je ne voulais pas le perdre quelles quen soient les conséquences à court terme.

Lorsque Sophie arriva, elle déballa ses affaires de chez son père. J’entrai en frappant doucement.

Je peux te parler?

Oui, maman? C’est par rapport à Benjamin ? Tu veux lui filer ma chambre ?

Pas exactement.

Tu veux donner ma chambre à Lorine? J’arrive pas à le croire ! Pourquoi c’est elle qui devrait avoir la plus grande chambre?

Tu te souviens de Jack Tyller? Ton père a dû t’en parler. Je le connais.

Oui, il m’a demandé ce que je savais sur lui. Je n’ai rien dit, ne t’en fais pas. Secret de filles : t’iras jamais parler à papa de mes copains. Je ne vois pas pourquoi je le ferais.

Jack n’existe pas.

Attends ! Et le mec dans ta chambre l’autre jour qui est parti en quatrième vitesse ?

C’était …

Qui? Le voisin? Une fille?

Beh …

Quoi?! Non, attends ! Tu me racontes une blague, c’est ça ?

Non, on est plus ou moins ensemble depuis trois semaines.

T’es conne ou quoi ? Tu penses à Lorine? À lui? À toi? Bordel, pense plus maman !

Non ! Je sais ce que je fais. Il est ce dont j’ai besoin pour l’instant ! Quelqu’un qui me fait sentir belle, désirable, et, surtout, lui, il n’ira pas me tromper avec une pétasse de son boulot !»

Sophie resta quelque secondes bouche béante devant moi, les yeux dans les yeux, le regard noir comme jamais. Elle voulait m’arracher la jugulaire, je le sentais.

Ok. C’est ton corps, c’est ta vie. Fais ce que tu veux, maman. Mais il va partir un jour ou l’autre et, là, tu sera brisée car le seul socle qui te restait, celui sur lequel tu avais tout mis n’était pas stable. Il va flancher un jour. Il sortira de ta vie, se trouvera une fille de son âge et vivra sa vie et toi, tu resteras là à gâcher ta dernière chance de trouver quelqu’un. Mais je ne dirai rien à papa, ni à ses parents.»

Ma fille m’avait toujours considérée comme lâche de pas avoir bagarré plus que ça au divorce. J’avais vraiment voulu laisser ce mariage derrière moi. Je ne voulais pas ressasser des choses douloureuses. Alors, ne pas la voir me soutenir et respecter une de mes décisions… On aurait dit que c’était elle la mère. Je l’embrassai puis quittai la chambre pour rejoindre la mienne où Benjamin était encore endormi. Il était onze heure et demi. Je le réveille doucement.

C’est bon; je lui ai tout dit.

Super, tatie. Je suppose qu’elle l’a mal pris.

Oui, mais ça aurait pu être pire.

Je file à la douche et on va manger ? J’ai envie de chinois. Mais, là, tout de suite, j’ai surtout envie de toi.

Arrête. »

Il commença à me toucher les seins au-dessus du T-shirt que je portais avec une main pendant que l’autre me caressait la jambe. Je m’enlevai le T-shirt et commençai à l’embrasser. Il continua de frotter sa main sur ma jambe tandis que l’autre me prenait désormais au niveau des reins pour me rapprocher de lui. Je voyais par la bosse sous le drap que lui aussi commençait à sexciter.

Je me levai, fermai la porte à clé, enlevai mon pantalon et rentrai dans le lit. Je le pris dans mes bras et recommençai à l’embrasser. Je lui sautai dessus pour atterrir sur son torse. Mon bassin contre le sien, je retirai mes sous-vêtements alors que ses mains massaient mes fesses. Puis la pénétration vint naturellement. Les va-et-vient que je fis effectuer à sa bite en bougeant mon bassin étaient juste excellents. Il y mettait également du sien . Puis, je me redressai pour être assise sur son pelvis, les jambes en appui aux côtés de ses hanches. Je sautai littéralement pour me faire empaler et le sentir en moi. Sentir sa bite en moi, la sentir, juste la sentir, juste cela. Les va, les vient. J’étais sur un nuage de forme phallique dirigé par un hypothalamus géant.

Au bout d’un moment, il me fit comprendre qu’il allait jouir. Je me retirai pour le finir à la main. Je l’aimais mais pas non plus au point de tomber enceinte de lui. Bref, je le branlai et finis par tout prendre sur le visage.

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