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mon premier couple – Chapitre 1

mon premier couple - Chapitre 1



Je venais d’avoir 18 ans quand j’ai débuté dans le libertinage

    C’était avec un homme de 10 ans mon aîné et qui vivait déjà du sexe en tant que travesti.

    Après notre première rencontre, où c’est lui qui m’avait dragué, je revenais le voir régulièrement, et je m’organisais pour passer une deux ou trois nuits avec lui.

  Il me fit connaître d’autres libertins, mes goûts allant surtout dans le rôle du passif soumis il me présentait aussi bien des hommes ou des couples ou encore des groupes .

C’est la première de ces soirées organisées dont je me souviens en ce moment.

    Nous étions tous les deux dans un bar style club privé, mon mentor toujours travesti allait me présenter à un couple qui cherchait un jeune pour passer la nuit. Un couple nous rejoignis, je fus présenté et le couple me questionna de suite pour évaluer ma soumission. En accord avec leur projet et sans autre condition je partis avec eux après un bisou de mon mentor.

    Maintenant je pense qu’ils devaient avoir 45 à 50 ans , très classe même un peu bourgeois coincés , ils ne firent rien pour me mettre à l’aise, ils l’ignoraient peut être mais c’était ma première soirée sur commande, une première passe en quelque sorte.

    La nuit se passa chez eux , dans un appartement cossu sur les boulevards. La dame que je trouvai vieille à l’époque m’avait conduit dans sa salle de bain, elle m’ordonna de me déshabiller et me fit une toillette de propreté intime le tout sans aucune fantaisie.

    Nu avec une belle érection, elle me conduisit dans un salon où nous attendait son mari qui entre temps avait changé ses vêtements contre un peignoir, je remarquais en arrivant une cravache posée sur une table.

    Sans plus se présenter, ils commentèrent mon érection et l’homme me dit d’entreprendre sa femme. C’était la première fois que j’allais m’occuper d’une femme de cet âge et j’étais impressionné . Elle ne me facilita pas la tâche. Je la déshabillai sans qu’elle bouge et elle m’apparut en porte jarretelle et en bas, sans culotte. Sa grosse poitrine mimpressionnât moi qui n’avait connu jusque là que les seins de mes petites copines enfin celles qui acceptaient de se faire peloter.

    Trés digne elle semblait subir. Devant elle, son mari souriait de voir sa femme à poil alors qu’elle avait encore ses cheveux bien tirés et ses bijoux avec le rouge de ses lèvres impeccable.

    Il se servit un cognac et puis s’installa dans un fauteuil, comme au spectacle.

    Pourtant quand j’introduisis ma main dans son sexe il était dégoulinant , en fait elle était très excitée , je lui écartai les jambes jusqu’au point de la mettre dans une position humiliante et impudique.

    Je promenai ma main d’avant en arrière , là elle ne put retenir son excitation et son plaisir ; haletante elle se jeta sur moi et cruement elle me dit de la baiser et de la défoncer.

Elle prit l’initiative et m’allongea sur le tapis m’apporta son sexe sur ma bouche et demandait de lui bouffer la chatte.

    Surpris je n’avais jamais imaginé qu’une femme de cet âge pouvait être excitée à ce point avec un langage aussi vulgaire dans la bouche de cette dame si distinguée .

    Ensuite elle alla sempaler sur mon sexe

    Assis dans son fauteuil son mari marquait son contentement , il avait pris la cravache et la faisait claquer dans sa main, tout aussi cruement elle criait à son mari le plaisir de se faire défoncer.

    Moi j’étais accroché à ses gros seins et suçait les tétons qu’elle m’encourageait à mordre et malmener.

    C’est alors que son mari fit claquer la cravache sur les fesses de sa femme , elle poussa un petit cri se cambra et se raidit sur mon sexe.

    Elle reprit son empalement, un second coup claqua, elle se cambra de nouveau se raidit bloquant mon sexe dans son vagin et je vis son visage se transformer avec un rictus de jouissance d’exquise douleur. Le souffle s’arrêta et sa lêvre supérieure se souleva , un râle sortit de sa gorge.

    Comme elle voyait que j’allais jouir elle se souleva et descendit engloutir ma bite dans sa bouche, j’éjaculais et pour la première fois je vis une femme avaler mon sperme.

    Elle s’allongea sur moi et alors qu’elle m’embrassait un troisième coup de cravache la fit se raidir et elle se leva pour aller embrasser son mari.

    Cette scène n’avait pas duré 15 mn, ensuite elle me ramena dans sa salle d’eau et me refit une petite toilette mais cette fois elle utilisa aussi une poire à lavement et pour moi et pour elle. Comme la première fois elle opérait sans fantaisie, je la laissai faire , elle renouvela deux autres fois l’opération.

    Avant de revenir dans le salon en regardant les trois zébrures qu’elle avait sur les fesses je lui demandait si les coups de cravache lui faisait mal, elle sourit mais ne me répondit pas .

    « Mon mari nous attend. »

    Me tenant par la main, elle me fit mettre à genoux devant son mari , assis dans son fauteuil son verre de cognac à la main, sans plus de mot elle ouvrit la robe de chambre et me dit duvrer sur le sexe tendu du mari.

    Déjà habitué à cette pratique je lui montrai tout mon savoir faire et tout ce que mon mentor m’avait appris .

    Ils me regardaient tous les deux lui caressant l’entre jambe de sa femme elle debout hautaine me fixait sans rien dire, puis elle vint me tripoter les couilles puis me doigta et dit à son mari que j’étais prêt.

    Moi toujours à genoux en appui sur le fauteuil, l’homme vint se placer derrière moi, je sentis la femme écarter mes fesses et l’homme s’enfonça dans mes reins.

Comme je n’avais pas geint à la pénétration, ni eu de mouvement de retrait, ils se congratulèrent sur leur choix et celui de mon mentor. La tête dans le fauteuil je les entendais parler, elle disait apprécier ma peau et ma jeunesse, tandis que lui disait apprécier l’étroitesse de mon anus et qu’il faisait là une belle saillie.

  Il se retira après avoir joui sobrement , elle me passa une serviette en me recommandant de ne pas tâcher le tapis .

  Alors que le mari partait en direction de la salle d’eau, la femme aussi cruement que tout à l’heure me dit qu’il lui en fallait davantage et que j’aurai à l’enculer au retour se son mari.

    En attendant, assise dans le fauteuil, elle prit la cravache la fit glisser gentiment sur ma cuisse en me regardant avec un sourire. Elle me fit me mettre debout .

Elle me demanda de mettre mes mains derrière mon cou, de fermer le yeux et de tourner sur moi même, la cravache se promenait sur mon corps avec des petits claquement de temps en temps.

Elle vit que ce jeu commençait à m’exciter .

« Dis moi quand je devrai arrêter. »

Mais cette femelle avec ses gros seins mavait subjugué et je me laissais aller debout les yeux fermés les mains croisés derrière la tête je la laissais faire .

Un premier coup me fit crier et de surprise et de douleur mais aussi de plaisir, la douleur s’atténuait à peine que j’avais envie de la ressentir à nouveau.

Vif et brûlant , un second coup me cingla et le plaisir plus intense aussi, je ne bougeais plus. J’attendais les yeux fermés. Un troisième coup cette fois franchement douloureux me fit crier , j’ouvrai les yeux et le mari tenait la cravache c’est lui qui venait de m’assener ce coup .

«  Alors on s ’amuse sans moi. »

    Sa femme alla chercher des glaçons pour refroidir la morsure de la cravache et elle reprochait à son mari d’avoir frappé si fort, gentiment et maternellement elle s’occupait de mes fesses meurtries.

Le mari avait repris son fauteuil et sirotait un nouveau cognac précisant qu’il attendait la suite.

    Après quelques préliminaires , je mis la dame en position de levrette devant son mari qui ravi me dit de la prendre du premier coup et sans ménagement .

Je lubrifiais la rosette de la dame , déjà entrouverte, mon doigt m’indiqua que le muscle était détendu.

Bien cambrée je la ramenai encore vers moi et bien à la hauteur de mon sexe, du premier coup je la défonçais. Sans me soucier de sa réaction ou de sa douleur, en fait elle avait apprécié ce droit au but, je la ramonais pendant plusieurs minutes retardant mon éjaculation. Elle soulevait sa tête vers son mari pour le regarder et crier de plaisir.

Pour moi c’était la première femme que j’enculais.

    Le mari exultait et appréciait . Je lui demandais, si j’avais bien honoré son épouse, il me félicita et pour finir il me tendit un gode « à planter ou tu veux et astique là bien elle est habituée » .

Il alla s’allonger sur un divan avec la bouteille de cognac alors que la dame m’a emmené dans sa chambre.

    La nuit a été tumultueuse et la femme m’expliqua leur recherche de plaisir et leur goût pour la cravache. Je lui avouai mes craintes du début mais ma curiosité avait pris le dessus. Ils connaissaient bien mon mentor à qui ils demandaient des partenaires ou lui leur proposait des soirées spéciales.

Après un peu de repos, dans la matinée, elle avait repris son style hautain , elle mappela un taxi, me remercia et me raccompagna à l’entrée.

De retour chez mon mentor je lui montrais mes fesses, là il me félicita. Quand je lui eu raconté par le détail ma nuit et il me promit d’autres rencontres et d’autres fantaisies.

  Et j’en ai eu beaucoup.

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