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Mon premier homme – Chapitre 3

Mon premier homme - Chapitre 3



Il vint ouvrir et fut tout étonné de me trouver là. J’entrais sans un mot et me plantais au milieu de la cuisine. Il me proposa un café que j’acceptais. Maintenant que j’étais là je ne savais plus quoi dire ou faire. A la fin de mon café il me dit qu’il me fallait rentrer maintenant. Je me mis alors à lui parler très vite. Lui avouant mes désirs, mes envies de lui. Puis je tentais de l’embrasser. Il ne se laissa pas faire mais j’insistais. Nous en étions presque à lutter. Puis brutalement il me colla contre sa cuisinière et m’embrassa. Mais pas avec la douceur de l’après midi. C’était presque violent, comme si au lieu de m’embrasser il me punissait. Ses mains prirent alors possession de moi. Elles étaient partout sur mon corps. Brutalement il se rejeta en arrière et me tenant à bout de bras il dit:

"Alors t’es sûr que c’est ce que tu veux?"

"Oui!"

Il revint alors vers moi et me ré-embrassa avec un peu plus de douceur cette fois. Ses caresses me faisait gémir, son poids sur moi m’excitait, de même que son odeur de légère transpiration. il sentait l’homme et je voulais être son homme femelle. Il me déshabilla puis disparut dans une pièce d’où il m’appela au bout de quelques secondes. Quand j’entrais dans ce qui révéla sa chambre, je le vis assis nu sur son lit. Il me fit stopper et me dit:

"Toujours envie de moi"

Plus que jamais je le voulais! Je hochais la tête. Il me demanda alors de m’approcher doucement pour pouvoir me regarder. Quand j’atteins le lit je voulus m’y asseoir mais il me repoussa doucement et m’appuya sur les épaules. Je me retrouvais vite à genoux devant lui, entre ses jambes courtaudes et poilues. Là à quelques centimètres de moi son sexe se dressaient. Assez gros et un peu tordu. Il émergeait d’une forêt drue de poils noirs. La plus belle chose du monde. J’avançais mes mains et le saisit doucement. Un frisson merveilleux m’a alors traversé. J’ai embrassé, léché et sucé chaque centimètre carré de la peau de son ventre, de ses cuisses de son sexe et de ses couilles. Je ne pouvais pas arrêter. Il me tira alors sur le lit et s’installa en 69 au dessus de moi. Nous restâmes ainsi très longtemps. Je voulais le sucer sans plus jamais arrêter, je voulais l’avaler! Il fit mine de se retirer en disant:

"attention je vais venir"

J’enserrais alors ses hanches de mes bras pour le souder à moi. Après un instant d’hésitation je le sentis se mettre à bouger. Il me prenait la bouche, me pistonnait le palais! Et un flot de sperme enfin a jailli dans ma bouche. Il semblait pouvoir éjaculer sans arrêt, pendant des heures. Le trop plein s’écoula des commissures de mes lèvres. Mon bonheur était parfait, total. Et j’éjaculais aussi.

Nous nous embrassâmes ensuite, mêlant nos spermes. J’aurais voulu qu’il me couvre et me remplisse du sien. Ce qu’il aurait d’ailleurs l’occasion de faire plus tard.

Je me vautrais dans ses bras, subissant ses baisers agressifs, le touchant de partout. Son sexe gluant dégageait une forte odeur qui me chavirait. Je l’engloutis à nouveau. Ses mains me parcouraient, me pétrissaient, me faisant presque mal. Il triturait mes seins et de petits chocs électriques en fusaient. Puis ses mains prirent possession de mes fesses. Pendant ce temps je glissais ma langue vers sa raie, vers son anus que je voulais lécher aussi! Comment décrire ce besoin de lécher, de manger l’autre?

Il se dégagea alors et me fit m’allonger sur le dos. Sa bouche vient embrasser mon cou, mon torse, mes seins mon ventre, puis, évitant soigneusement mon sexe à nouveau tendu, Il lécha l’intérieur de mes cuisses, la zone entre mes couilles et mon anus. Sa langue glissait, me procurant mille sensations électrique. Puis il s’empara de mon petit trou. Totale extase. Je sentis vite ses doigts me masser le trou puis l’un deux tenter de s’infiltrer. Ce qu’il parvint à faire mais ça ne "glissait pas". Il partît et revint avec une bouteille d’huile… Il m’en enduisit l’anus et reprit ses massages et ses tentatives d’insertion. Hummmm ça allait beaucoup mieux. Il fit pénétrer un, deux puis trois doigts. Il me branla l’anus ainsi longtemps, surveillant sur mon visage l’expression de ces sensations nouvelles. Mon anus semblait palpiter tout seul! Je le voulais lui, son gros sexe en moi. je voulais être défoncé, mal traité, baisé puis souillé de son sperme.

Je m’entendis gémir:

"Saute moi!!!"…

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