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mon prof, ma professeur – Chapitre 1

mon prof, ma professeur - Chapitre 1



Quand une lycéenne tombe amoureuse de son prof, rien de plus normal. Que ce dernier fasse découvrir des domaines inconnus, des territoires en friches, fait partie de l’expérience. Mais que derrière l’homme, le prof brillant, se profile une nouvelle silhouette, voilà qui est moins banale. Surtout si cette silhouette est féminine

Je venais d’entrer en terminale et le professeur de littérature était gouailleur, Caustique, volontiers railleur et cynique, une mèche de cheveux qui retombait perpétuellement sur ses yeux, de petites lunettes rondes et un air malicieux pour regarder par-dessus, des mains longues aux doigts fins et nerveux : il n’en fallait pas plus que je tombe amoureuse.

Il me troublait avec ses paradoxes. « La liberté, c’est l’acceptation de la nécessité » ou « la valeur morale réside dans l’épanouissement du groupe ». Contradictions apparentes qu’il détaillait avec rigueur, tel un professeur de philosophie. C’était la première fois que quelqu’un bousculait mes idées toutes faites, sapait mes certitudes et m’obligeait à penser par moi-même.

Au bout de deux mois, j’étais séduite, au bout de trois, conquise. En moi-même, je l’appelais par son prénom. Victor, et je m’imaginais comme sa plus brillante discipline. En réalité, il faisait à peine attention à moi. C’est pourquoi, son attaque m’a prise entièrement au dépourvu. Je me suis retrouvée dans son lit, un samedi après-midi et j’étais sa maîtresse.

Je reprenais mon souffle, allongée à côté de lui, et j’observais du coin de l’il cet homme qui venait de me faire jouir sans me laisser beaucoup d’initiatives. De toute façon, je n’aurais pas osé en prendre. Tout s’était passé trop vite. La rencontre, les sourires moqueurs, la proposition. Ses mains qui m’avaient déshabillée sans hâte alors que je me sentais fiévreuse.

Des caresses et puis son sexe en moi. J’avais déjà fait l’amour avec des garçons de mon âge mais, c’était la première fois avec un homme. Victor avait la quarantaine d’années. Il était en outre le prof de littérature dont j’étais amoureuse depuis deux mois. Ça m’intimidait un peu. Il avait eu la patience et l’habilité de m’aider à surmonter ma réserve.

Ensuite, la gourmandise sensuelle de mon corps avait gommé ma retenue. Elle avait exigé son dû et j’avais remué les reins et le bassin, serré entre mes cuisses les hanches de l’homme qui me chevauchait, tendu la pointe de mes seins vers sa bouche, enfoncé mes ongles dans les muscles de ses reins. J’avais réclamé et obtenu le spasme qui m’avait fait gémir de contentement animal.

Maintenant, Victor fumait une cigarette en m’observant en coin. Au fond de son regard brillait une lueur amusée qui me mettait mal à l’aise. J’avais envie de me montrer tendre et câline avec lui mais quelque chose me retenait. J’avais l’impression qu’il m’évaluait et j’aurais donné cher pour savoir ce qu’il pensait de moi et ce qu’il voulait au fond.

Il n’a rien dit et je n’avais osé demander. Notre liaison s’était poursuivie pendant deux mois. Il me recevait deux fois par semaine dans son studio et nous faisions l’amour. C’était agréable, délicieux même. Mais il me semblait que Victor me cachait quelque chose. Le plus drôle, c’est que j’étais incapable de dire ce qui clochait.

C’était comme un manque dont j’avais le pressentiment, sans parvenir, à le formuler. Victor continuait à développer, devant moi, ses paradoxes et ses provocations. Il y en avait deux qu’il citait fréquemment et qui me révoltaient. Il disait « Si on juge de l’amour par la plupart de ses efforts, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié. » Il disait aussi : « Plus on aime une maîtresse et plus on est près de la haïr. » Il pouvait disserter pendant des heures.

Au début, je l’écoutais sans lui répliquer. Mais peu à peu, je me suis enhardie et un jour, je me suis mise en colère en lui disant qu’il n’était qu’un beau parleur, un intello qui se gargarisait de mots mais était incapable d’agir. Nous venions de faire l’amour et nous étions tous les deux nus sur le lit. Il s’est jeté sur moi en serrant ses deux mains autour de mon cou.

J’ai cru à un nouveau jeu érotique et je l’ai mis au défi de me faire du mal s’il était si près que ça de me haïr comme il le répétait souvent. Il m’a demandé de lui tendre mes poignets et il les a attachés avec la ceinture de son peignoir. Je croyais toujours à un jeu et je l’ai laissé me fixer mon lien après le montant du lit. Il me tenait à sa merci et ça m’émoustillait.

D’autant plus qu’il a entrepris de me lécher. Il le faisait très bien et j’étais folle de sa bouche et des orgasmes à répétition qu’elle tirait de moi. D’être ainsi entravée, incapable de lui rendre ses caresses ou même simplement de le toucher ajoutait encore du piquant à cette nouvelle façon de procéder. Sa langue s’agitait divinement entre les lèvres de ma chatte.

Déjà, les premiers signes avant-coureurs de la jouissance me faisait torde les hanches et creuser mon ventre quand il s’est arrêté brusquement. Il a allumé une cigarette et il a parcouru mon corps avec le bout de ses doigts. De la pointe de mes tétons jusqu’au sommet de mon pubis. J’avais envie qu’il continue de me lécher et qu’il me mène jusqu’au plaisir mais je n’ai rien dit.

Quand mon excitation a été un peu retombée, il a de nouveau passé sa langue sur ma vulve. Un plaisir encore plus aigu et plus intense qu’il a stoppé à nouveau. Je n’ai pas pu retenir une plainte de déception. Il n’en a pas tenu compte. Quelques minutes plus tard, sa langue sur ma fente était si brûlante et si douce que je lui ai demandé de poursuivre.

Mais il a continué son manège sans tenir compte de ce que je disais. J’étais si excitée que j’en devenais incroyablement fébrile et chaque fois que sa langue me touchait, ne serait-ce qu’une seconde, il me semblait que j’allais jouis délicieusement. Victor s’arrêtait toujours juste avant que je n’atteigne l’orgasme. Cette à la fois merveilleux et éprouvant.

À la fin, je l’ai carrément supplié de me faire jouir. J’étais en sueur, plus chaude que si j’avais de la fièvre et je sentais trembler mes bras et mes cuisses. Victor est sorti de la chambre et j’ai cru que j’allais devenir folle s’il me laissait comme ça. Surexcitée et frustrée à un point que je n’avais jamais atteint. Je frottais mes cuisses l’une contre l’autre mais, c’était insuffisant.

Quand il est revenu, ma tension était un peu tombée ou, plus exactement, elle s’était répandue dans tout mon corps. Comme si j’étais devenue une pile électrique. Sans que je m’y oppose, il a attaché chacune de mes chevilles après les montants du lit, mes cuisses largement écartées.

Il tenait, à la main, un objet curieux. Un cylindre métallique semblable à un étui à cigare terminé par une ficelle. Il a ouvert mes cuisses pour l’introduire dans mon vagin. Une incroyable sensation de douceur et de plénitude m’a submergée. L’objet bougeait tout doucement à l’intérieur de moi et rallumait toute mon envie de jouir. C’était les mouvements de mon corps qui agitaient et j’ai très vite compris qu’il me fallait jouir si j’arrivais à lui imprimer une oscillation suffisante. Malheureusement, Victor m’avait attachée si étroitement que je pouvais à peine bouger. C’était une torture encore plus savoureuse et plus énervante que la précédente. Comme si je tenais en permanence sur le fil de l’orgasme sans pouvoir y basculer.

Alors Victor a sorti une cravache d’un tiroir et il en a cinglé mes cuisses. J’étais stupéfaite que j’ai violemment sursauté. Le bond a remué le cylindre dans mon vagin et m’a portée aux limites de la jouissance. Le second sur mes seins m’a procuré une douleur fulgurante et une secousse si vive que j’ai cru que l’orgasme allait exploser. C’est moi-même qui ai supplié Victor de me cravacher à nouveau.

Le premier coup sur mon ventre m’a cambrée de souffrance, soulevée en arc de cercle et plongée en même temps dans une extase voluptueuse si intense que j’ai hurlé en en réclamant plus encore. J’étais au-delà de tout ce que j’avais pu ressentir. Pendue dans un bonheur charnel tellement puissant que j’ai cru m’évanouir.

Je suis restée quinze jours sans retrouver Victor. Je l’ai vu près de la cathédrale, sur la place du marché aux chevaux, en compagnie d’une belle femme brune. Le soir-même, j’ai frappé à la porte du studio. Sans un mot, il m’a prise dans l’entrée, debout contre la porte. Nous étions déshabillés ni l’un, ni l’autre et l’élastique de mon slip me mordait les cuisses pendant que sa verges me faisait jouir très vite et très bien.

Au moment de partit, il m’a demandé si je reviendrai pour la cravache. J’ai fait signe que oui. Ma gorge était trop nouée pour que je puisse dire un mot. La fois suivante, Victor avait disposé sur le lit, un corset blanc bordé de dentelles qui laissait à découvert le haut de mes seins, le pubis et mes fesses. Il m’a aidé à le lacer dans le dos et j’ai fixé moi-même les bas blancs après les longues jarretelles.

Les balconnets du corset soutenaient mes seins par-dessous mais, ne cachaient même pas mes tétons qui semblaient reposer sur la bordure de dentelle. Victor a emprisonné mes poignets dans des menottes garnies de velours qu’il a accroché au pied du lit. L’attache était symbolique et elle m’obligeait surtout à me tenir un peu penchée vers l’avant.

Victor m’a demandé si je voulais la cravache. J’y pensais depuis quinze jours. C’était ce qui m’avait tenue si longtemps éloignée de lui. J’étais obligée de reconnaitre que la douleur que j’ai ressentie, si intimement liée à la jouissance, avait exercé sur moi une profonde attirance. Une sorte de fascination physique que je ne pouvais nier.

Et plus encore, un envoûtement psychologique que me faisait peu à peu. L’idée d’être livrée à un homme qui pourrait exiger de moi ce qu’il voudrait. La répulsion instinctive que j’éprouvais à cette et la séduction dangereuse qui s’insinuait dans mon esprit. Cette abdication de ma volonté dans la volonté d’une autre dégageait un charme trouble qui me perturbait.

Victor a cravaché ma croupe jusqu’à ce que j’éclate en sanglots et l’implore d’arrêter. La souffrance physique était intense mais j’avais retrouvé dès le premier coup de cravache toutes ces sensations qui m’avaient tenue si inquiète depuis deux semaines. Une excitation indéniable qui irradiait sa chaleur à l’intérieur de mon ventre.

La correction avait été dure que je m’étais laissée tomber sur les genoux. Je savais qu’il suffirait que Victor introduise sa verge dans moi pour provoquer un orgasme délicieux. J’attendais et je m’en voulais de l’attendre. J’avais honte de me soumettre et cette honte me procurait une sombre et lourde satisfaction intérieure.

Victor m’a demandé si je voulais quelque chose et j’ai répondu « baise-moi s’il te plait, baise-moi » À cet instant, la porte du studio s’est ouverte et une femme est entrée. J’ai voulu me relever, mais un coup de cravache m’a rejetée à genoux. La femme était la brune que j’avais vue avec Victor sur la place du marché aux chevaux.

— Tu crois que je peux la prendre en main mon petit Vicki ?

— Oui Maîtresse, je crois qu’elle a des dispositions

— Est-ce que tu l’as possédée par le cul ?

— Oh non, Maîtresse, je savais que tu la réservais pour toi

— C’est bien mon Vicki, laisse-moi maintenant

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