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Natalie – Chapitre 40

Natalie - Chapitre 40



Progressivement, le souvenir de la douleur disparaît face au plaisir que me procure la langue du chien. Chaque coup de langue est un frisson électrique qui me remonte le long de mon échine.

— Alors, Grande-Louve, comment te sens-tu maintenant ?

— Mieux, beaucoup mieux. Mais il était vraiment trop gros pour mon pauvre cul !

— C’est vrai que ton anus est encore béant ! Mais nous allons bientôt arranger cela ! En attendant, peux tu tirer une boule pour fournir un autre amant à Petite-Louve. Le dernier vient de se défaire et lui nettoie consciencieusement sa zone d’amour, avec l’aide de Valéria bien sûr.

Je plonge la main dans le sac pour tirer la boule du prochain élu.

— Valéria, dès que toi et le chien aurez fini de la nettoyer, tu lui amèneras le numéro vingt-et-un !

Wilma revient vers moi.

— Je suis déçue, Grande-Louve, tu n’as toujours pas rempli le contrat de satisfaire mes deux gardiens de chenil. Regarde, comme tu les as excités !

Je regarde les deux colosses noirs qui arborent fièrement leurs chibres dressés et gonflés.

— Je vais les satisfaire, Wilma, je te le promets.

— J’y compte bien, mais nous allons corser un peu la situation. Nous allons te ficeler un peu ! Oui, un peu de bondage ne te fera pas de mal ! Rassure-toi, ils savent y faire. Tu sera complètement immobilisée et à leur merci. Allez-y, vous autres !

Les gardiens s’approchent de moi et me soulèvent comme une plume. Ma posture verticale entraîne la libération du contenu de mes intestins par terre. Je suis livide de ma situation lorsque je vois le flot de sperme mêlé à quelques étrons qui s’est écoulé à mes pieds.

— Il est dommage que Petite-Louve rate ce spectacle ! Commente Wilma.

L’un des gardiens immobilise mes deux avants bras dans le dos, tandis que le deuxième apporte un sac rempli de grosses cordes de jute. Mes deux bras sont solidarisés entre eux par une corde entourant mes avants bras. Puis ils sont plaqués contre mon thorax par un lien qui vient m’entourer la poitrine en effectuant des croisements entre mes seins.

La corde m’encercle maintenant les seins que je voie se congestionner progressivement sous la pression qui leur est désormais appliquée. Mon cur bat à tout rompe dans l’attente de la suite que j’attends avec une certaine crainte, mais également une certaine impatience

Ma jambe droite est soulevée et ramenée contre l’arrière de ma cuisse de façon à y être entravée contre elle. En équilibre sur un pied, je glisse soudain, rattrapée dans ma chute par les bras puissants des deux gardiens.

Ils me laissent finalement à plat-ventre dans la fange sortie de mon ventre pour s’occuper de ma deuxième jambe et la solidariser également contre l’arrière de ma cuisse.

Je suis maintenant soulevée par les deux gardiens qui viennent se placer, l’un devant moi, l’autre derrière. Ma langue passe avec gourmandise sur mes lèvres.

La pénétration dans mon anus a été si rapide que je dois crier. Le pieu ressort aussi vite qu’il est rentré. Je sens que celui qui est devant va me pénétrer le vagin aussi violemment que son confrère.

Çà y est. Il prend son élan mais délaisse mon vagin pour prendre sa place dans mon anus encore béant.

— S’il vous plaît, dis-je en haletant, prenez ma chatte. Elle a envie de vous.

Un rictus déforme le visage en face de moi. Il se retire brusquement de mes reins mais est aussitôt remplacé par celui placé dans mon dos. Et le jeu recommence d’allers et retours brutaux dans mon cul pendant que j’implore que l’on s’occupe de ma vulve.

Je perds la notion du temps à ce jeu où à plusieurs reprises je pars dans un orgasme délirant.

— Pitié, je crie, prenez-moi la chatte !

Wilma intervient enfin au bout de plusieurs minutes.

— Donnez lui ce que cette chienne désire, mais arrangez-vous pour qu’elle soit pénétrée par vos deux sexes ensemble.

Les deux hommes me repositionnent le bassin et je sens déjà un gland énorme qui vient ouvrir les lèvres affamées de mon sexe. Je hurle de plaisir !

Le gardien de derrière étant désormais positionné en moi, il me prend à bras le corps pour me maintenir afin que son collègue puisse se placer à son tour et tenter de forcer mon entrée une deuxième fois. Je suis hors d’haleine tellement je suis excitée.

Je voudrais tirer de mes mains sur mes lèvres intimes afin de faciliter le passage, mais je suis bien sûr complètement immobilisée.

Je sens maintenant le deuxième sexe qui se fraye un passage dans mon tunnel d’amour déjà bien encombré. Cette sensation de distension de ma muqueuse intime est vraiment la source de plaisir la plus extraordinaire que je connaisse !

Mon corps est maintenant descendu sur les deux pals qui envahissent mon ventre. Je les sens maintenant venir buter contre ma matrice. Que c’est bon ! Je râle de plaisir.

Ils me soulèvent maintenant doucement pour se retirer un peu avant de me laisser brusquement retomber. Le choc au fond de mon ventre m’arrache un cri de bonheur et de douleur mélangés.

Ils me soulèvent à nouveau mais malheureusement un peu trop, car un des chibres vient de quitter mon doux nid. C’est celui de derrière qui est sorti et tente de se repositionner en moi désormais.

La tâche ne doit pas lui être facile, car mon anus encore béant est la porte d’entrée la plus évidente pour son sexe dressé. Après quelques tentatives, les deux hommes décident de recommencer au début.

Le gardien de devant se retire donc à son tour afin de laisser son collègue me pénétrer en premier. Je suis aux anges ! Puis il retourne ensuite enfoncer son pieu en moi. Je sens que je suis proche de la folie !

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