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Natalie – Chapitre 55

Natalie - Chapitre 55



— Voilà, je voulais proposer que l’on fasse une prestation à quatre dans les deux grands studios qui sont contigus et qui de plus communiquent ensemble. Vous savez que dans ce cas, nous partagerons le cachet de façon équitable, quel que soit le nombre d’amants que chacune de nous subira. Je dirais pour ma part, que je suis aujourd’hui prête à abandonner mon cachet pour que vous le vous partagiez.

— N’exagère pas, Natalie, tu te sens une âme de martyre ? Me demande Ingrid.

— Non, mais…

— Il n’en est pas question, intervient Ute. Et je regrette ce que j’ai dit à l’instant.

— Non, non, je sais que je suis une salope. Je ne me voile pas la face. Et c’est vrai que j’aime être baisée par le plus grand nombre, mais il y a des limites à tout.

— OK ! On partage équitablement les cachets en quatre, mais cela ne résout pas tout, indique Ingrid. Je veux avoir ma part de cachet, mais je veux également avoir ma part de baise ! Si tous se ruent sur tout, cela ne va pas aller. Je ne suis pas là pour tenir la chandelle !

— Ni moi non plus, ajoute Ute.

Après quelques secondes de silence, Conrad intervient.

— J’ai ce qu’il faut ! Je reviens tout de suite.

Je profite de cet intermède pour me rapprocher de Suzie.

— Ne pars pas trop vite après la séance, je dois te dire quelque chose.

— Tu ne peux pas me le dire là ?

— Non ce serait trop long et je préfère que l’on en parle entre nous.

— Ok, rien de grave ?

— Non, non ! Je pense que ce n’est pas grave.

Je n’en suis pas convaincue mais je n’en laisse rien paraître.

Conrad revient avec à la main des masques de latex noir.

— Chacune de vous va enfiler un de ces masques sur la tête.

— Attends, je ne veux pas faire dans le bondage ! Indique Ute.

— Il ne s’agit pas de bondage, il s’agit que l’on ne vous reconnaisse pas, du moins pas immédiatement. C’est à prendre ou à laisser.

— Bon, OK, admet Ute. Après tout cela les excitera peut-être un peu plus.

— Moi, cela ne me dérange pas, ajoute Suzie.

— Moi non plus conclut Ingrid. Et toi Natalie ?

— Je ne vois pas ce que je trouverais à redire. Je me sens quand même un peu responsable de la situation.

Nous enfilons donc nos masques dans lesquels trois orifices sont percés pour les yeux et la bouche. Fort heureusement, Conrad avait omis de placer les pas d’âne destinés à maintenir la bouche ouverte. Ce sera quand même plus confortable !

— Parfaites ! Vous êtes parfaites et je ne saurais plus dire qui est qui !

— Menteur, rétorque Ingrid. Rien qu’à notre poitrine, tu peux nous reconnaître !

— Ah oui, réponds Conrad ? Alors dis moi qui est ta voisine de droite

Ingrid me regarde.

— Ute ?

— Et non, je suis Suzie ! Dis-je en riant !

— Et moi, Margaret Thatcher, ajoute la vraie Suzie !

Nous éclatons tous de rire.

— Nous y allons nues ou nous mettons une guêpière !

— Nues, nues, intégralement nues, répond Conrad. Vous n’êtes que des chiennes aujourd’hui, rappelez-vous !

— Alors, il nous faut un collier, rétorque Ingrid.

— Non, vous êtes des chiennes sauvages, assoiffées de sexe et de sperme ! On y va ?

— Oui !!! Nous écrions toutes avec enthousiasme !

— Alors à quatre pattes derrière moi ! Et n’oubliez pas de japper pendant vos ébats !

Conrad sort alors de la loge pour emprunter le couloir menant aux deux grands studios. Ingrid, Suzie, moi et Ute le suivons dans l’ordre, à quatre pattes comme il se doit. Je me sens toute émoustillée de la situation car je me plais à imaginer que mes trois camarades pourraient bien aimer ce par où je suis passée ces derniers temps. Quel plaisir ce serait de les initier aux plaisirs zoophiles !

Le couloir est encombré de clients en petite tenue, quand ils ont encore une tenue. Les commentaires fusent . Le côté cru de ces apostrophes me fait mouiller de plus en plus. Je ne suis pas la seule, car je vois la vulve de Suzie devant moi s’imprégner peu à peu de sa cyprine.

Conrad est obligé de s’arrêter quelques instants et nous faisons bien évidemment de même. Je sens soudain la langue de Ute venir lécher mon intimité.

Instinctivement, je m’avance un peu pour faire de même en me rapprochant de l’entrecuisse de Suzie. Suzie possède une petite tâche de vin sur l’intérieur de sa cuisse gauche, à proximité immédiate de la vulve. C’est d’ailleurs la particularité anatomique sur laquelle sa sur s’est sans doute basée pour la reconnaître sur les vidéos.

Je sens Suzie s’avancer un peu. Nul doute qu’elle va caresser de sa langue le sexe d’Ingrid qui s’offre à ses yeux. Je m’avance pour reprendre contact avec sa chatte. Je sens bientôt Ute faire de même avec la mienne.

Bien évidemment, les commentaires redoublent devant ces cunnilingi en chaîne. Des mains commencent à nous tâter les fesses, les cuisses et les seins. Personne ne dit mot quant à nos masques de latex.

Mais bientôt nous reprenons notre progression pour entrer dans le premier studio où Ute et moi nous arrêtons. Conrad conduit nos deux collègues dans le studio voisin.

— Où est la chienne ? Demande quelqu’un.

— Aujourd’hui, vous avez quatre chiennes à saillir, répond Conrad. Deux ici et deux là ! Saurez vous les satisfaire ? Voyez, comme elles se branlent, comme elles se lèchent ! Notez comment elles regardent avec ardeur vos virilités triomphantes. Ne les laissez donc pas dans le besoin ! Donnez leur du plaisir, elles vous le rendront au centuple. Noyez-les de vos semences, elles ne doivent pas en réchapper !

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