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notre voyage de noces – Chapitre 2

notre voyage de noces - Chapitre 2



Béa vient de partir et j’ai un peu la boule au ventre car je me doute de ce qui va se passer ; difficile de rester calme et je me branle en l’attendant et en pensant à ce qui se passe dans l’autre cabine à quelques mètres de moi.

Soudain je sursaute car je m’étais endormi ; je regarde ma montre et je suis surpris de découvrir qu’il est plus de minuit ; cela fait plus de deux heures qu’elle est partie ; énervé, je m’apprête à la rejoindre quand la porte s’ouvre et je découvre une Béa, défigurée par la fatigue, les yeux cernés. Près à rugir, elle me met le doigt sur les lèvres et me dit « tais-toi, écoute-moi jusqu’au bout sans rien dire, ensuite tu feras ce que tu veux » stupéfié, je me cale dans le lit, prêt à écouter, avec une certaine appréhension son récit.

« Quand je t’ai quitté, j’ai vérifié que le couloir était libre avant de rejoindre sa cabine ; ne voyant personne, je me suis dirigée vers chez lui, mais alors que j’y arrivais, une porte s’est ouverte et deux jeunes en sont sortis ; face à face, je n’ai eu que le réflexe de porter mes mains sur mes seins, à peine voilés. Pour eux aussi c’est une surprise, et même une belle surprise car ils peuvent découvrir ma quasi-nudité. J’essaie de m’échapper, mais l’un des jeunes me rattrape et me bloque sur la paroi

« Que fait une belle fille, à moitié nue à cette heure dans le couloir ? Devant mon silence, il me secoue un peu et m’écartant les bras, il découvre mes seins, les pointes tendues

« Waouh, réponds où vas-tu » et stupidement, je lui réponds que je vais rejoindre un homme dans sa cabine ; « ton mari ? » « non » ; ils sont compris, d’autant plus que me prenant la main, il me montre mon alliance « c’est vilain de tromper son mari, s’il l’apprend, il ne va pas être content, il va falloir être gentille avec nous, car sinon !!!!!! » et je connais une deuxième erreur « il est au courant ».

D’abord surpris, ils réagissent très vite ; comprenant que je suis à leur merci, ils commencent à me peloter, puis l’un deux m’attire et essaie de m’embrasser, alors que le deuxième porte sa main sur mon pubis, s’infiltrant entre mes petites lèvres puis en ressortant ses doigts il s’écrie « putain, elle est toute mouillée ». Rapidement leur porte s’ouvre et je me retrouve dans leur cabine, à leur merci et très vite ils en profitent ; ma nuisette est arrachée, ma chatte est fouillée, mes pointes de seins sont triturées. A ce régime, je ne tarde pas à gémir tant le plaisir monte.

Ils ont compris qu’ils vont pouvoir profiter de moi, et en effet, l’un deux me jette sur le lit et alors que l’autre m’embrasse fougueusement, il se déshabille et plante son dard à l’entrée de ma grotte ; une poussée et il est au fond de moi, sa tige est grosse et longue et quand il commence à me pistonner, son gland vient buter au fond de ma matrice ; il me remplit, distant mes parois et provoquant bientôt ma cyprine ; ardent, il me besogne un long moment, alors que l’autre me présente sa queue à sucer ; j’aime la sucette, tu le sais mais là sous les coups de butoir, j’ai du mal, et il sait s’y prendre.

Sous les assauts répétés, j’éclate brutalement, ma jouissance déferle, bruyante et l’autre doit m’enfoncer sa queue profondément dans la gorge pour étouffer mes cris ; ma cyprine déferle facilitant la pénétration et quand il se retire après m’avoir fécondée, j’ai la chatte béante ; si j’ai pris beaucoup de plaisir, j’essaie cependant de me dégager en pure perte, bien au contraire, car me plaquant sur le lit, la tige dressée, l’autre me tire à lui et sa queue, épaisse, bandée se frotte sur mon ventre quand il la présente à l’entrée de ma vulve, je ne résiste pas et c’est moi qui m’empale sur son vit. Accroché à mes épaules, il me pourfend, alors que de mon côté j’essaie de le prendre au plus profond de moi ; une deuxième vague de plaisir me submerge.

Soudain je sens un gland se frotter sur mon sillon ; j’ai peur qu’il me sodomise et je me cabre, ce qui finalement fait un peu plus ressortir mon fessier, mais ce n’est pas ma corolle qu’il percute, mais en double, c’est ma chatte qui encaisse le chibre. Ecartelée ma grotte encaisse les deux zobs et à tour de rôle, ils mènent la saillie ; je ne suis plus que plaisir, encaissant les deux membres qui me comblent autant physiquement que mentalement. Plusieurs fois, ils vont me faire jouir, se retirant parfois, pour mieux me percuter ensuite ; avec tantôt une queue, tantôt deux pour me défoncer, ils ont joué avec mon corps, me triturant les tétons, me ramonant le conduit dilaté par ses deux sexes.

Pour eux, je n’étais qu’un jouet, jouet dont ils ont profité sans vergogne, me traitant parfois de « petite salope », me rappelant aussi que je te faisais cocu. Je n’ai pas vu le temps passé, tout au plaisir qu’ils me procuraient ; j’étais tout à eux, et ils le savaient et ils en ont profité. Par deux fois, ils m’ont fécondé, emplissant ma chatte de leur jute, déclenchant pour moi, le plaisir d’appartenir à ces deux mâles très puissants. J’avoue qu’entre leurs bras, possédée, baisée, soumise à leurs envies, je n’ai pas beaucoup pensé à toi.

Ce n’est que quand, après une nouvelle fois mavoir prise, ils se sont avachis sur le lit, me délaissant, fourbue, pleine de sperme, que j’ai enfin réalisé que tu m’attendais depuis un long moment. Récupérant les débris de ma nuisette, j’ai voulu menfuir. M’emprisonnant encore une fois, ils m’ont fougueusement embrassée, mencourageant à les rejoindre plus tard. En courant, je t’ai rejoint, complètement nue, au risque de rencontrer à nouveau quelqu’un. »

Elle se tait, des larmes coulent sur ses joues, avant de me demander pardon de s’être ainsi offerte sans réserve à ses deux hommes, de m’avoir fait cocu. Il me faut beaucoup de patience avant de lui faire accepter que ce n’est pas le cas, que c’est moi qui lui ai proposé et que son récit m’a beaucoup excité. Pour la calmer, je la caresse doucement, descendant jusqu’à son ventre, avant de la pénétrer avec deux doigts ; sa chatte est engluée par les sécrétions de ses deux amants d’un soir.

« Prends-moi, fais-moi l’amour, j’ai trop envie de toi » sans hésiter, je la possède, tendrement, même si mon envie de la défoncer me tenaille ; entre jalousie et plaisir sexuel, je ne tarde pas à jouir, mélanger mon sperme à celui des deux jeunes. Sa réaction me surprend ; dans un long feulement, elle traduit son plaisir, avant de sombrer dans un profond sommeil.

A suivre

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