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Nouveau départ pour une nouvelle vie – Chapitre 6

Nouveau départ pour une nouvelle vie - Chapitre 6



Le réveil est un peu difficile ce dimanche matin pour Tristan et Arnaud. Leurs sexes sont encore tout endoloris, tant ils ont servi la veille. Il faudrait peut-être se calmer un peu, mais Tristan ne peut s’empêcher de sur-compenser ses cinq années de carence sexuelle et son ami ne fait rien pour l’en dissuader, bien au contraire. D’ailleurs, la veille au soir, ils n’ont pu résister. Repensant à ce qu’ils avaient fait tout au long de la journée, ils se sont sucés mutuellement en cours de soirée, et finalement, ils se sont tendrement enculés avant de s’endormir.

Rien de tel qu’une bonne douche pour bien se réveiller. Pendant qu’Arnaud est sous l’eau, Tristan termine de se raser le visage. Il prend machinalement sa verge en main, mais ce n’est plus nécessaire, elle est dorénavant toute lisse, définitivement. Il ne résiste pas à l’envie de se caresser tout en se félicitant d’avoir osé le faire. Il conservera dorénavant la peau douce.

Cette journée s’annonce magnifique : grand soleil et température élevée sont prévus par la météo. Ce sont des conditions idéales pour se rendre, comme prévu, sur l’île d’Oléron. Plus précisément sur la plage des Saumonards, où ils arrivent après une petite heure de route. La plage où ils se sont rencontrés il y a tout juste une semaine. Ils vont pouvoir y bronzer tout nus, mais aussi laisser libre cours à leurs pulsions libidineuses.

Une semaine déjà ! Ou une semaine seulement ? C’est ce que se dit Tristan lorsqu’il revoit le panneau indiquant la proximité de la plage naturiste. Que de choses ont changé dans sa vie en si peu de temps. Cette séparation était réellement nécessaire, cela ne pouvait vraiment pas durer plus longtemps ainsi. Enfin bon, c’est fini, il vaut mieux penser à autre chose, à l’avenir par exemple, d’ailleurs cette journée pourrait être riche en nouvelles sensations.

Après avoir parcouru les quelques centaines de mètres qui séparent le parking de la plage naturiste, ils marchent encore un peu, à la recherche d’un coin tranquille. Ni trop visible, ni trop caché. Ils finissent par trouver l’endroit idéal dans un creux de la dune. L’endroit semble surtout fréquenté par les hommes, d’ailleurs un autre couple est déjà installé non loin d’eux. Intégralement épilés et bronzés, ils sont en train de nonchalamment se caresser mutuellement tout en regardant Arnaud et Tristan se déshabiller. Conscients de cela, les deux garçons n’hésitent pas à retirer langoureusement leurs vêtements. Ne portant pas de sous-vêtements, ils dévoilent sans hésitation leurs corps nus et imberbes tout en se caressant.

Maintenant confortablement installés, Arnaud sort, sans plus attendre, le flacon de lotion solaire, ce qui est fortement recommandé pour se protéger des UV, mais c’est aussi et surtout l’occasion de s’enduire mutuellement de crème. Et en plus il y a des spectateurs qui semblent fortement intéressés par leur exhibition, ils n’hésitent donc pas à se prodiguer lascivement des caresses plus qu’équivoques. Très excités par la situation, leurs verges se tardent pas à se redresser fièrement. L’excitation les gagne et leurs caresses se muent progressivement en masturbations réciproques.

Leurs voisins ont bien compris qu’ils peuvent sans hésiter, se laisser aller à leurs désirs mutuels, et ils reprennent eux aussi leurs caresses langoureuses.

Un nouveau couple d’hommes arrive alors. Peut-être de nouveaux camarades de jeu ? Grands, blonds, les cheveux coupés courts, ils se ressemblent un peu. Serait-ce des frères ? En tout cas, leur tenue vestimentaire, treillis et rangers, n’est pas vraiment adaptée à la plage. S’ils passent par ce chemin un peu à l’écart, ce n’est quand même pas par hasard. D’ailleurs, ils semblent chercher quelque chose, ou quelqu’un. Un plan cul, peut-être ? Pourtant ils n’ont pas vraiment l’air de s’intéresser au spectacle, plutôt excitant, qui leur est offert, d’ailleurs ils préfèrent regarder ailleurs. Mais qu’est-ce qu’ils sont venus faire par ici ?

Finalement, ils finissent par repartir. Heureusement, cette présence incongrue commençait à être pesante.

Un des voisins se met alors à sucer son partenaire. Tristan n’hésite pas bien longtemps, et se met à faire de même, il aime tellement avoir la bite de son copain dans la bouche.

Alors qu’ils sont en pleines fellations, un homme arrive à nouveau, mais cette fois-ci il est nu et il semble visiblement intéressé par la prestation des deux couples, car il s’arrête pour mieux les observer. Un voyeur, cela ne les dérange pas, bien au contraire, d’autant plus qu’il se met à se masturber tout en les regardant. Hésitant, il ne sait guère quel groupe regarder, les deux étant aussi excitants l’un que l’autre.

Ce spectateur intrigue Arnaud, et il le dévisage tout en se faisant sucer. Il réalise soudain qu’il l’a déjà vu auparavant. Il n’a pas à chercher bien longtemps, ce gars a été invité par son ex, il y a quelques mois. Ils s’étaient pompés mutuellement, puis ils avaient baisé son ex en duo, et plus tard dans la soirée ils s’étaient aimablement enculés. Pendant ce temps, Tristan s’est redressé pour échanger les rôles, mais Arnaud ne réagit pas.

Ça ne va pas ?

Je connais ce type.

Après une brève explication, Tristan se rappelle soudain d’une conversion récente.

Tu ne voulais pas te faire prendre par tous les trous à la fois ? C’est l’occasion !

C’est vrai, tu as raison. Je vais lui demander. Ça serait dommage de ne pas en profiter.

Visiblement intéressé, l’homme accepte immédiatement la proposition d’Arnaud. Les deux amis commencent d’abord par sucer leur invité à tour de rôle en signe de bienvenue, une belle bite très appétissante : bien longue et convenablement épilée. Dès qu’elle est bien raide, Arnaud se place à quatre pattes, prêt à se faire prendre par les deux bouts tandis que leur camarade de jeu enfile le préservatif que lui a confié Tristan.

Alors qu’il sent cette grosse bite le pénétrer avec douceur, Tristan se présente de l’autre côté pour le plus grand plaisir d’Arnaud, qui le prend immédiatement en bouche. Il y a si longtemps qu’il attendait ce moment. Fermant les yeux pour mieux apprécier les sensations qu’il éprouve, il semble réellement apprécier la double pénétration dont il est l’objet, laissant échapper des gémissements de plaisir malgré la bite qu’il a dans la bouche.

Tristan, qui est idéalement placé pour profiter du spectacle, ressent, par la bouche de son ami, le rythme des mouvements prodigués par leur camarade de jeu. C’est si bon que le plaisir monte rapidement en lui. Très rapidement, même. Trop rapidement. Jouissant soudain, il déverse allègrement de nombreux jets de sperme dans la bouche et sur le visage de son camarade, qui lui sourit tendrement. Satisfait, il s’agenouille alors face à lui et l’embrasse tendrement, heureux de goûter à son propre sperme.

Leur invité, qui ne tarde pas à être sur le point de jouir à son tour, se retire soudain du cul d’Arnaud et ôte son préservatif. Arnaud se retourne sans plus attendre et s’allonge sur le dos, prêt à tout recevoir sur lui. Le visage encore couvert de sperme, il est souriant, manifestant ainsi sa reconnaissance envers celui qui vient de gentiment l’enculer. C’est à ce moment que son partenaire inattendu éjacule à son tour. De puissants jets de foutre qui viennent s’étaler copieusement sur son ventre et son torse.

Satisfaits, ils se congratulent et se remercient mutuellement avant de se séparer à regret. À côté d’eux, leurs voisins, qui se suçaient mutuellement tout en les regardant, jouissent à leur tour, laissant s’écouler leur sperme sur leurs visages et dans leurs bouches.

Tristan contemple son ami avec tendresse. Toujours allongé, il est maintenant couvert de sperme de la tête à la taille, mais il est le seul à n’avoir pas encore joui. Il prend donc en main la bite de son copain et se met à le masturber tendrement. Encore très excité, Arnaud ne tarde pas à bander. Tristan le prend alors en bouche et se met à le sucer avec application.

Arnaud, qui n’en peut plus, prend en main la tête de son copain, il l’accompagne dans ses allers-retours pour lui enfoncer sa bite au plus profond de sa bouche. Il ne tarde pas à éjaculer abondamment jusqu’au fond de la gorge de son amant, qui se laisse faire de bonne grâce. Tristan se relève, le sperme qui coule le long de ses lèvres retombe sur le corps d’Arnaud tandis qu’il se rapproche de son visage. Les deux garçons s’embrassent alors, se partageant leurs jus intimes tout en continuant de se caresser tendrement, étalant fébrilement le sperme qui les recouvre.

Quel moment intense, de formidables sensations, mais leurs corps sont maintenant tout collants, ils ne peuvent rester ainsi. Le visage et le corps couverts de sperme, leurs verges encore légèrement redressées, ils se lèvent et traversent sans hésiter la plage pour aller se baigner, heureusement il y a encore peu de monde. Cette eau tiède et bienfaisante leur permet de se nettoyer rapidement. Un bain de jouvence purificateur. Heureux, ils restent longtemps dans l’eau, jouant, se caressant et s’embrassant tendrement dans les remous incessants de l’océan.

Le temps passe vite. Lorsqu’ils sortent de l’eau, il est déjà l’heure de manger. Après s’être déplacés à l’ombre, ils prennent tranquillement leur repas tout en observant avec curiosité et intérêt les hommes et les femmes présents sur la plage. Le sexe, la baignade et le repas, c’est épuisant. Le pique-nique terminé, la somnolence les gagne. À quoi bon lutter, ils s’allongent et s’assoupissent rapidement. Une bonne sieste, qui leur fait le plus grand bien.

Une bonne heure s’est écoulée lorsqu’ils se réveillent. De nouvelles personnes sont venues s’installer. Ils reprennent alors leurs serviettes et vont se placer plus près de l’eau, pour mieux profiter du soleil.

L’après-midi est une alternance de bronzette et de baignade. Hésitant à retourner dans la dune pour une nouvelle séance de sexe, Arnaud propose de sortir le jeu de raquettes, qui n’a pas encore servi. La partie est endiablée. Courant et sautant pour rattraper la balle de justesse, leurs bites bougent allègrement au rythme de leurs mouvements.

Ils sont en pleine partie lorsqu’une voix bien connue les interpelle. Cathy est là, sur la plage, un vélo à la main. Elle les observe tout en s’approchant d’eux. Son regard, c’est une évidence, se porte à tour de rôle sur leurs corps nus et leurs belles bites. Une sensation de gêne et d’inquiétude les parcourt tandis qu’ils sont eux aussi en train de la dévisager. Il faut reconnaître qu’elle n’est pas du tout habillée comme d’habitude : elle porte juste une robe blanche, légèrement transparente, on devine un short moulant dessous. Ils peuvent enfin voir ses jambes, qui sont très jolies et légèrement bronzées. Il est facile de deviner à travers le tissu léger de sa robe, que conformément à ses habitudes, elle ne porte pas de soutien-gorge. Et même s’ils ne peuvent voir ses seins, puisqu’elle n’en a pas vraiment, ses aréoles sont, quant à elles, bien apparentes. Pas très grandes, elles sont suffisamment foncées pour être nettement visibles par transparence.

Oubliant rapidement leur nudité, les deux garçons lui font la bise comme si de rien n’était, puis elle leur explique brièvement la raison de sa présence ici.

Mon oncle a un mobile-home sur un petit terrain, pas très loin d’ici, au bout de la plage, mais dans la forêt. J’en profite quand il n’y va pas. Je viens de faire des courses à Boyardville. Mais j’aime bien passer par la plage au retour, c’est plus court, mais c’est plus fatigant.

Tu restes un peu avec nous ? On va aller se baigner.

Je n’ai rien prévu. Je n’ai même pas de serviette.

On peut t’en passer une.

Oui, mais mes courses risquent de se réchauffer. Il faut que j’y aille. Par contre, je vous invite à venir prendre l’apéro. Je vais vous faire un plan. Vous avez un stylo et du papier ?

Non, on n’a pas ça sur nous.

Alors, je vais le dessiner sur le sable. C’est assez facile.

Et en effet, le trajet pour rejoindre son mobile-home est plutôt simple, même en voiture, puisqu’il suffit de prendre toujours à droite pour rejoindre Sauzelle, puis à la sortie de Sauzelle, la route de la Gautrelle sur la droite, et enfin la bonne allée sur la gauche, en n’oubliant pas le numéro du terrain.

Médusés, ils la regardent s’éloigner à vélo dans le sable humide. Arnaud est pensif.

Quelle coïncidence !

La deuxième incroyable coïncidence à une semaine d’intervalle, cela commence à faire beaucoup.

Bon. On reprend la partie ?

Je préférerais retourner m’allonger.

Tu dis ça parce que tu étais en train de perdre.

Même pas.

Bon, arrêtons-la, si tu veux.

Arnaud se rassied sur sa serviette, ce que ne fait pas Tristan.

Et si on retournait plutôt dans la dune ?

Toi, tu as une idée derrière la tête ?

Un peu, oui !

Arnaud, qui s’était plutôt apaisé, sent à nouveau la tension sexuelle monter en lui.

Pourquoi pas … Mais on devrait peut-être se réserver pour Cathy ?

Penses-tu … On n’a joui qu’une seule fois aujourd’hui, on a encore de la réserve.

Vu comme ça…

Les deux amis, qui se réjouissent déjà de ce qu’ils vont faire, remballent rapidement leurs affaires et prennent la direction de la dune. Arrivés là où ils étaient installés ce matin, ils constatent que leurs voisins ne sont plus là, dommage.

A peine allongés, Tristan commence à caresser fébrilement le corps de son ami. Ses mains s’approchent progressivement de son bas-ventre, il effleure le pubis, parcourt sa verge, qui commence déjà à se raidir, et la prend en main. La bite d’Arnaud, réagissant favorablement à cette sollicitation, se redresse soudain pour le plus grand bonheur de Tristan, qui commence à la masturber.

C’est alors que Tristan remarque des silhouettes qui se profilent au-delà des buissons. Deux grands blonds en treillis : encore les deux mecs bizarres de ce matin. Mais qu’est-ce qu’ils font encore ici ? En tout cas, pas question de se gêner pour eux, s’ils ne sont pas heureux, ils n’ont qu’à aller voir ailleurs. Il prend donc la bite de son copain en bouche et se met à le sucer avec avidité tout en observant discrètement des deux voyeurs du coin de l’il. Ils discutent entre eux mais ne bougent pas. Décidé à être provoquant, il s’applique à prodiguer une fellation exemplaire : léchant avec avidité la longue verge de son ami, avalant ses bourses toutes lisses et suçant son gland rougeoyant. Très appliqué, il avale avec gourmandise le pieu de chair raidi par l’excitation.

Les deux gars, qui restent indifférents à cette exhibition, continuent de discuter à voix basse, ils ont même sorti une grosse paire de jumelles qu’ils pointent vers la mer. Si ce sont des voyeurs, ils ne sont vraiment pas discrets. En plus, franchement, pourquoi regarder si loin alors qu’ils ont un spectacle fort alléchant à leurs pieds. C’est limite vexant. S’ils ne sont pas intéressés, ils n’ont qu’à aller voir ailleurs.

Sucé et pompé avec ardeur, Arnaud sent la jouissance le submerger, il jouit soudain et remplit copieusement la bouche de son amant. Après avoir tendrement embrassé son ami pour goûter à son sperme, tout en le masturbant, il se penche et se charge lui aussi de prodiguer une bonne fellation à son camarade de jeu, s’efforçant de lui prodiguer autant que plaisir qu’il vient d’en recevoir. C’est est trop pour les deux voyeurs, qui lèvent le camp sur le champ. Bon débarras, ils doivent vraiment être profondément dérangés pour se comporter ainsi.

Tristan ne tarde pas à atteindre la jouissance, son copain est vraiment un champion de la fellation, sa bite tressaute et expulse soudain de copieuses giclées de sperme dans la gorge et sur le visage souriant de son ami. Une dernière étreinte leur permet de clore ce moment de plaisir, léchant avec gourmandise le sperme qui recouvre leurs visages. Quelle jouissance intense ! Maintenant calmés pour un temps, ils ne résistent pas longtemps à l’assoupissement qui les guette.

Les deux garçons émergent progressivement de la torpeur dans laquelle ils étaient plongés. Ils s’échangent un sourire entendu, car le goût de sperme qu’ils ont encore en bouche leur rappelle malicieusement le bon temps qu’ils viennent de prendre. Arnaud regarde l’heure : déjà dix-huit heures !

Hé ! Il faut qu’on bouge !

Pouquoi ? On n’est pas bien ici ?

Et Cathy, tu l’as oubliée ?

Oh, que non. Allez, on y va !

Comme le temps passe vite quand on s’amuse.

En effet. Mais la journée n’est pas finie.

J’espère bien.

L’itinéraire indiqué par Cathy est vraiment très simple à suivre, la carte n’est même pas nécessaire. Après avoir passé Sauzelle, puis pris à droite, ils arrivent dans un sous-bois. L’endroit est assez curieux : le terrain a été divisé en petites parcelles, il y en a des dizaines. Certaines abritent un cabanon tout simple, d’autres une caravane, voire un mobile-home pour les plus élaborés. C’est un peu comme un lotissement.

Celle indiquée par Cathy est entourée de hautes haies et close par une barrière qui ne permet pas d’en voir l’intérieur. Il est tout au plus possible de deviner le toit d’un mobile-home. Ils actionnent alors la sonnette avec une certaine anxiété, espérant que l’adresse est juste et qu’elle n’a pas changé d’avis entre-temps.

Mais ils sont rassurés lorsque quelques instants plus tard, elle leur ouvre la porte. Leur regard est immédiatement captivé par sa tenue. Elle porte toujours la même robe transparente, mais ils ne voient plus le short qu’elle portait en dessous. L’aurait-elle retiré ? Apparemment oui. Il semblerait qu’elle soit intégralement nue sous sa robe. Elle remarque immédiatement leurs airs abrutis, mais elle se doutait probablement qu’elle produirait un tel effet.

Entrez donc. Ça me fait plaisir que vous soyez venus.

Captivé par ce qu’il voit, Arnaud ne peut qu’articuler une réponse banale.

Et nous donc !

Et Tristan ne parvient guère à faire mieux.

On aurait vraiment eu tort de ne pas venir.

Ne pouvant réprimer un sourire faussement moqueur, elle les invite à pénétrer.

Vous devez avoir soif après être restés sur la plage durant toute la journée. Je vous sers un petit rafraîchissement ?

Avec plaisir.

Volontiers.

Tandis qu’elle se penche pour remplir leurs verres, ils peuvent profiter d’une vue plongeante dans l’encolure de sa robe, ce qui leur permet d’admirer sa poitrine toute plate. Elle s’assied ensuite en prenant soin de croiser ses jambes et entame tout naturellement la conversation.

Alors, comme ça vous faites du naturisme ?

Arnaud, qui a plus d’expérience du sujet, prend l’initiative de lui répondre.

Ben oui. Comme tu vois. Et toi ?

Moi aussi. Mais je préfère quand il n’y a pas trop de monde. Les voyeurs m’énervent.

Question d’habitude. Moi, j’aime bien quand on me regarde.

Pourquoi donc ?

Je prends ça pour un compliment. Si les voyeurs m’observent, c’est que je leur plais. C’est flatteur.

Avec moi, ça ne se passe jamais comme cela. Les voyeurs s’approchent, mais dès qu’ils me voient mieux, ils s’écartent et vont voir plus loin. C’est très vexant, en fait.

C’est curieux. Ça ne m’est jamais arrivé.

Et tu ne devines pas pourquoi ils font ça ?

Ben non.

Je vais te le dire. Vue de loin, ils me prennent pour un mec. Et quand ils voient que ce n’est pas le cas, je ne les intéresse plus.

Tu crois ?

Avec mon physique de garçon manqué, ça ne m’étonne plus. J’ai appris à faire avec, mais c’est pour cela que je préfère y aller quand la plage est peu fréquentée.

Tristan est sur le point de lui répondre, mais elle ne lui en laisse pas le temps.

N’essaye pas de me convaincre du contraire. Je sais très bien que je n’ai pas un physique très féminin.

Mais tu as un physique qui peut plaire à certains garçons.

Ça ne m’est pas encore arrivé.

Tout peut arriver. Il ne faut jamais désespérer.

C’est toi qui le dis.

D’ailleurs, je pense que tu n’as pas complètement perdu espoir. Arnaud a remarqué ton changement de tenue depuis que je suis arrivé.

Cathy lui sourit alors.

J’ai remarqué tes regards douteux dès le premier jour.

Tristan se sent gêné.

Vraiment ? Je croyais pourtant que j’étais discret.

Tant de naïveté ne manque pas de faire sourire Arnaud à son tour.

Ça, je te l’avais dit !

Ce que confirme Cathy.

Les hommes ne savent pas être discrets dès qu’ils sont excités. Tu ne le savais pas ? Alors j’ai adapté ma tenue pour m’assurer que je ne me trompais pas.

Bon. J’avoue. C’est vrai. Je n’ai pas arrêté de te mater. J’adore les petites poitrines.

Tu devrais être comblé avec moi. Je n’en ai pas du tout.

Arnaud s’immisce alors dans la conversation.

Euh… Moi aussi, j’aime bien les petites poitrines.

Cathy semble soudain embarrassée. Elle cherche comment formuler sa phrase avec tact.

En fait, vous savez quoi ? Quand je vous ai vus tout à l’heure, sur la plage, nus, et en plus… euh… intégralement épilés. Eh bien… J’ai cru que vous étiez gays.

Arnaud lui répond du tac ou tac avec un brin d’ironie.

Non ?

Si.

Ben… Après tout ce que tu viens de nous dire sur toi. Je dois t’avouer que… Ce n’est pas tout à fait faux.

Tous les deux ?

Évidemment !

Ensemble ?

Ben, forcément !

Si j’avais su. Finalement, je ne sais plus si j’ai bien fait de venir ici pour le week-end.

Mais si ! On n’est pas que gays !

À mon tour de vous faire une confidence. En fait, mardi, j’ai entendu votre conversation. Alors je suis venue dans l’espoir de vous croiser « par hasard » sur la plage.

Deux incroyables coïncidences en moins d’une semaine, il y en avait bien une de trop. Mais cela ne perturbe nullement Arnaud.

Ce n’est pas grave. Tu as bien fait de venir, sinon nous ne serions pas ici en train de prendre tranquillement l’apéro tout en parlant de nos penchants libidineux réciproques.

Tristan reprend alors la conversation.

Mais dans ce cas. Tu aurais pu rester avec nous sur la plage. Tes courses auraient pu attendre un peu ?

C’était un prétexte pour repartir. En fait, j’aurais pu rester. Mais j’aurais dû me mettre nue et je ne voulais pas le faire à ce moment-là.

Je croyais que tu faisais du naturisme ?

C’est-à-dire que quand je vous ai vus de près. Bien bronzés, tout épilés, alors que c’est un fantasme pour moi. J’ai réalisé que je n’étais pas du tout épilée et j’ai eu peur que ça vous déplaise. Après avoir réussi à vous trouver sur la plage, ça aurait été dommage de tout gâcher.

Tristan a les yeux qui brillent.

Laisse-moi deviner. Tu es rentrée en vitesse et tu t’es rasée en attendant qu’on arrive ?

Tout à fait.

Toi, tu as de la suite dans les idées.

On ne sait jamais.

Une tension sexuelle s’est progressivement installée, ce ne sont pas les dernières révélations de Cathy qui vont la faire retomber, bien au contraire. Tristan n’hésite donc pas à lui répondre directement tout en la dévisageant d’un regard salace.

Du coup, j’ai comme une sensation d’inachevé, maintenant que tu nous dis ceci.

Cathy, qui comprend immédiatement le sous-entendu, et l’espérait follement, leur montre les hautes haies qui cernent la parcelle.

Mon oncle a planté tous ces lauriers pour ne pas être vu. Lui aussi, il pratique le naturisme.

On pourrait faire pareil, alors ?

Bien sûr !

Sans plus attendre, les deux garçons ôtent leurs shorts et leurs t-shirts tout en observant Cathy, qui fait de même de son côté. Ayant retiré sa robe et ne portant rien dessous, elle dévoile enfin son corps nu à ses amis. La jeune femme aux cheveux blonds coupés au carré est aussi plate qu’un garçon mais ses tétons pointent effrontément, trahissant son excitation. Sa vulve, fraîchement rasée, offre une vue parfaite sur sa fente bien serrée. Ce spectacle alléchant provoque immédiatement une hausse de la libido de Tristan et Arnaud. Leurs sexes grossissent significativement, Cathy s’en rend immédiatement compte et cela lui cause une immense joie.

Enfin deux hommes à qui je fais de l’effet ! C’est si rare !

Plutôt que de répondre, ils lui sourient et s’approchent d’elle, chacun d’un côté. Sans un mot, ils commencent par l’embrasser à tour de rôle, puis rapidement, ils se mettent à lui caresser la poitrine, jouant fébrilement avec ses tétons, les faisant rouler entre leurs doigts, ils durcissent et grossissent encore un peu plus. Leurs sexes continuent de se redresser lorsqu’elle les prend en main pour les masturber simultanément. Au bout de quelques minutes, elle les invite à entrer dans le mobile-home, la couchette est déjà prête et des préservatifs sont disponibles sur une tablette à côté, elle a vraiment tout prévu d’avance. Sans dire un mot, Cathy s’accroupit face à eux et se met à les sucer à tour de rôle. Une bite dans chaque main, elle les aspire goulûment, bien à fond, comme si elle n’avait pas pris en bouche un homme depuis des années.

Tristan est le premier à enfiler une capote. Il invite Cathy à s’allonger, vient se placer sur elle et présente sa verge face à ses lèvres intimes déjà luisantes de cyprine. La jeune femme est tellement mouillée que son partenaire n’a aucune difficulté à s’introduire en elle, c’est alors qu’elle laisse s’échapper un petit cri de satisfaction tout en lui souriant. Ils commencent par s’embrasser langoureusement alors qu’il commence lentement ses allers-retours. Progressivement, Cathy se met à gémir de plus en plus fort tandis qu’il accélère le rythme. Après quelques minutes, Tristan cède cordialement sa place à son ami, et il se met à s’occuper fébrilement de ses tétons tandis qu’Arnaud la pistonne à fond. La jeune femme semble visiblement apprécier au plus haut point le traitement qui lui est prodigué par ses amants, ses cris se font encore plus intenses, heureusement que les fenêtres et la porte sont bien fermées.

Nouveau changement de partenaire, Tristan recommence à la pilonner jusqu’à ce qu’il sente la jouissance arriver. Il le lui signale dans le creux de l’oreille tout en l’embrassant, en retour elle lui confie son souhait. Il se retire alors, ôte sa capote et éjacule avec vigueur sur le corps de sa partenaire. Les giclées de sperme vont de son nombril à sa poitrine, et même jusqu’à son cou. Elle invite alors Arnaud à venir se finir à tour. S’introduisant en elle, il ne résiste pas à l’envie de lui sucer les tétons, surtout qu’ils sont couverts du sperme de son ami. Leurs corps se touchent, un contact à la fois glissant et collant. Il a juste le temps de retirer sa capote, et il envoie à son tour de copieuses giclées sur sa collègue de travail, maculant à nouveau le corps déjà gluant de la jeune femme. Les deux garçons, soudain mus par leurs instincts habituels, se mettent à étaler avec frénésie leur sperme, caressant sa poitrine tout plate et jouant avec ses tétons érigés.

Cela plaît fortement à Cathy, et elle à nouveau, juste sous l’effet de ces caresses frénétiques.

Quelques minutes se sont écoulées. Des minutes de pur bonheur pour Cathy, qui est heureuse d’avoir trouvé, non pas un, mais deux partenaires qui la trouvent à leur goût. La tension nerveuse s’est dissipée, ils reviennent progressivement à la réalité et réalisent qu’ils sont tous couverts de sperme. Heureusement, l’oncle de Cathy a eu la bonne idée d’installer une douche d’été à l’extérieur, bien plus pratique que l’exiguë cabine du mobile-home. C’est l’occasion pour le trio de se nettoyer tout en continuant de mutuellement se caresser avec sensualité.

Maintenant quelque peu apaisés, les voilà à nouveau installés dans le salon de jardin, comme tout à l’heure, mais dorénavant nus. Arnaud reprend tout naturellement la discussion tandis que Cathy sert à nouveau à boire.

Quel pied !

Elle lui sourit tout en soupirant.

Tu es bien le premier qui me dit ça.

Tu n’as pas eu beaucoup de mecs ?

Un seul. Et ça n’a pas duré longtemps.

Tu dois leur faire peur. Ton look garçonne doit en inquiéter plus d’un.

Certainement.

Mais moi, j’adore les petites poitrines.

Tristan s’insinue alors.

Moi aussi !

Mais toi, tu aimes aussi les grosses poitrines.

Cathy semble étonnée. Tristan régit sans attendre.

J’aime bien les extrêmes, en fait.

Tandis que moi, je ne m’intéresse qu’aux petites poitrines !

Cathy sent venir une légère tension.

Calmez-vous. Ce n’est pas grave. J’espère bien que vous ne m’aimez pas que pour ma poitrine.

Tristan lui répond sans attendre.

Bien sûr que non. J’aime aussi ton corps, tes cuisses, ton sexe, que je n’ai même pas pris le temps de lécher, soi-dit en passant.

Oui, c’est vrai.

Pourtant, il doit être tout doux.

Oui, je suis juste rasée. Mais la soirée n’est pas encore finie, j’espère. Tu pourras le lécher… Que dis-je ? Vous pourrez le lécher tous les deux tout à l’heure. Je ne veux pas qu’il y ait de jaloux.

Avec plaisir.

En fait, je suis une vraie blonde. J’ai déjà peu de pilosité naturelle, et elle est fine et douce.

Mais c’est quand même mieux sans.

Et vous, vous vous rasez souvent ?

Plus du tout, ce sont des épilations définitives.

Vous les avez faites ensemble ?

Arnaud reprend alors la parole.

Non. Moi, ça fait déjà quelque temps que je suis comme ça. Par contre, Tristan l’a fait hier.

Tristan acquiesce.

Et je ne le regrette absolument pas. La douceur de la peau est incomparable.

Il s’adresse ensuite à Cathy.

J’ai une petite question. Est-ce qu’il t’arrive de mettre un soutien-gorge ?

Non. Jamais. Pour quoi faire ?

Même quand tu étais ado ?

Ben non, puisque j’ai toujours attendu que mes seins commencent à pousser pour me décider à mettre un soutif, mais ce n’est jamais arrivé.

Par contre, tes tétons donnent le change. Je n’en ai jamais vu d’aussi énormes.

Oui, je les aime bien, ils sont très sensibles et me procurent beaucoup de sensations. C’est à cause d’eux que je ne mets jamais de tenues moulantes, sinon on les verrait de trop.

Oh, tu devrais, ça serait super sexy.

En tout cas, pas au boulot.

Cathy observe son verre vide avant de s’adresser aux deux garçons.

Déjà fini. Qu’est-ce qu’on fait ? J’en ressers un autre ou bien on recommence ?

Arnaud répond tout en tâtant son sexe.

Je pense que je suis prêt à recommencer.

Propos immédiatement confirmé par Tristan.

Moi aussi.

Puisque vous avez l’habitude d’avoir des rapports ensemble, ne vous gênez surtout pas pour moi. Je serais curieuse de vous voir faire. Je regarde souvent des vidéos bisex, je trouve ça très stimulant. J’aime voir des hommes se faire éjaculer dans la bouche.

Tu vas être heureuse avec nous. On adore ça.

Cathy se lève alors et retourne dans le mobile-home, suivie de près par les deux garçons. A peine la porte est-elle fermée qu’ils se rapprochent d’elle, déjà impatients de recommencer. Tristan se place face à elle et commence à l’embrasser alors qu’Arnaud, placé derrière elle, lui bécote le cou tout en lui caressant la poitrine. Tristan descend ensuite et lui suce les tétons tout en les mordillant. Il descend encore et se met à lui lécher le pubis tandis qu’Arnaud recommence à jouer avec ses tétons, les faisant tourner entre ses doigts. Cathy met alors un pied sur la couchette pour écarter les cuisses. Tristan s’engouffre immédiatement dans son entrejambe et se met à lui lécher la fente et le clitoris, déclenchant des gémissements intenses de la part de Cathy.

Le désir monte encore d’un cran. Elle s’allonge et, tandis que Tristan continue de lui lécher la chatte, Arnaud se place à côté d’elle pour qu’elle le suce. Au bout de quelques minutes, les garçons, de plus en plus excités, échangent leurs places. Quand Arnaud finit par cesser de la lécher, c’est pour enfiler un nouveau préservatif tout en lui demandant de se placer à quatre pattes. Il la prend alors en levrette tandis que Tristan, placé de l’autre côté, continue à se faire sucer par elle. Quelque temps après, ils changent à nouveau de position. Tristan se place sous Cathy, pour qu’elle vienne s’empaler sur sa bite. Arnaud, avec l’accord de la jeune femme, s’introduit alors par-derrière en elle.

Comblée par les deux trous, et la poitrine malaxée avec vigueur par Tristan, elle se met à gémir et crier de plus en plus fort. Ne pouvant, ni ne voulant se contenir, elle exprime avec force et violence l’intensité du plaisir qu’elle ressent. Cette fois-ci, même fenêtres fermées, les voisins risquent fort d’entendre ses cris de jouissance, mais tant pis, les sensations sont trop fortes. Elle pousse encore plusieurs cris crescendo, tremble de tout son corps, s’immobilise, tétanisée, un dernier cri rauque, et finalement elle s’effondre lourdement sur Tristan en soupirant, visiblement comblée.

Ils restent ainsi enlacés tous les trois, ses deux partenaires encore en elle. Le temps suspend son vol. Que c’est bon de jouir. Que c’est meilleur de jouir à plusieurs. Les respirations se calment. Chacun reprend ses esprits. Cathy rouvre les yeux et sourit à ses amants, son visage est rayonnant de bonheur.

Avec tout cela, ses deux partenaires n’ont pas encore joui, mais Cathy n’est pas du genre jalouse.

Et si vous me montriez ce que vous savez faire ensemble ?

Bien que surpris d’une telle suggestion, ils ne se font pas prier longtemps pour lui offrir une démonstration concrète de leur amitié profonde. Ils commencent donc par retirer leurs capotes, puis se placent en position de 69 pour partager une bonne petite fellation mutuelle. Mais ils sont si excités que le spectacle sera très bref, ils ne tardent pas à jouir presque simultanément, chacun aspergeant copieusement la bouche et le visage de l’autre. Encore assez excitée, Cathy les regarde faire tout en se caressant. Ils terminent en s’embrassant mutuellement pour partager leur sperme sous le regard envieux de la jeune femme, comme dans les vidéos qu’elle regarde.

Alors qu’elle est encore en train de se remettre de ses émotions, elle regarde avec envie les garçons qui achèvent de se nettoyer le visage en léchant leur sperme.

Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps de ne pas pouvoir y goûter, et le sentir en moi aussi.

Arnaud lui répond.

Va donc à l’hôpital dès demain. Ils font des tests rapides. Nous, on a déjà les nôtres.

Ça, c’est une très bonne idée !

Tristan sourit.

Et comme ça, plus de capotes. Ce sera meilleur. Tu prends la pilule ?

Oui, ne t’inquiète pas. Tu pourras te vider à volonté. Et toi aussi, Arnaud.

Celui-ci sourit.

Oh, ça doit être bon, ça, de s’enfoncer dans le sperme d’un autre.

Son ami acquiesce.

Je confirme. C’est super. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai pénétré mon ex en passant derrière un de ses amants, c’est excellent. Et après mon éjaculation, je lui léchais sa chatte pleine de nos spermes mélangés.

Cathy semble envieuse.

Je ne connaissais pas ta vie sexuelle. Il faudra que tu m’en parles plus, ça m’a l’air très intéressant.

Ceci fait sourire Tristan.

Je te confirme que les aventures d’Arnaud avec son ex valent leur pesant de cacahuètes. Je pense qu’il se fera un plaisir de te narrer tout cela en détail.

En effet, je pourrais en parler des heures. Avec le recul, j’ai appris à relativiser.

Cathy se lève la première et ouvre la porte pour faire un peu d’air, l’intérieur du mobile-home semble imprégné d’une persistante odeur de sperme.

Bon. Et si on allait manger ? Tu me raconteras tout ça, si tu veux bien.

Si tu veux. Où va-t-on ?

Je connais un bon restau à Saint-Georges.

Moi aussi, c’est peut-être le même.

Saint-Georges-d’Oléron est situé au centre de l’île. La ville est surtout connue des touristes pour sa lanterne des morts, ainsi que pour son église, dont le belvédère, situé en haut du clocher, offre une magnifique vue panoramique sur la totalité de l’île.

Ils sont là, tous les trois, attablés et devisant comme de vieux amis. Quoi de mieux que le sexe pour rapprocher les gens. Cathy est heureuse, radieuse même, elle est venue tout simplement vêtue, juste sa robe légèrement transparente, rien de plus. Elle n’imaginait même pas qu’elle pouvait aussi facilement attirer les regards des hommes.

On rigole, chacun raconte ses expériences passées. Tristan, relate sa misère sexuelle de ces dernières années, et Arnaud décrit par le menu toutes les expériences avec son ex, bref l’excès inverse. Quant à Cathy, elle parle de sa brève relation avec un homme, mais aussi de ses expériences lesbiennes, ce qui réjouit ses deux amants. Les hommes, même les hétérosexuels, apprécient énormément les femmes bisexuelles, c’est un vieux fantasme. Tristan et Arnaud trouvent cela plutôt égoïste, et ils trouvent tout à fait normal d’être bisexuel si l’on veut que sa partenaire le soit aussi.

La soirée se termine… Déjà… Elle est passée si vite. La nuit commence à tomber. Il est temps de rentrer. Après cette folle journée de débauche, il faudra bien rembaucher demain.

Arrivés sur le parking, le moment est venu de se quitter, à regret. Mais pas pour très longtemps, Cathy l’espère.

Alors, est-ce que je peux me joindre à vous de temps en temps ? Je ne voudrais pas faire de jaloux.

Ils lui répondent en cur et sans hésitation.

Avec plaisir. Passe quand tu veux, et autant que tu veux.

Tristan ajoutant en complément.

De toute façon, on n’allait quand même pas rester exclusivement homosexuels. C’est trop limité.

Arnaud acquiesce.

C’est vrai. Il faut goûter à tout. C’est meilleur de varier les plaisirs.

C’est vrai, je confirme, puisque j’ai moi aussi goûté à tout. Néanmoins, rien ne vaut un bon coup de bite bien profond.

Et deux coups de bite ?

C’est encore meilleur ! Vivement demain !

Et c’est sur ces derniers mots empreints d’humour et d’amour que se termine cette journée mémorable.

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