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Oui, je le veux… TON CUL ! – Chapitre 1

Oui, je le veux... TON CUL ! - Chapitre 1



— Ooooh comme tu es beau mon fils !

Ma mère me déposa sur la joue un baiser mouillé de larmes de joie, elle qui laissait si rarement transparaître ses émotions, jétais surpris !

— Je narrive toujours pas à réaliser que tu es sur le point de te marier, renifla ma mère en ajustant mon nud papillon et balayant de la main une particule sur mon costume noir. Ah ! Toi, mon bébé, mon petit Weston

Je saisis sa main gantée de mauve et la retira sèchement. A vrai dire, cette union de mes deux magaçait au plus haut point.

— Allons, maman, nous savons tous deux que cest vous et vous seule qui avez organisé ce mariage.

En effet, je navais pas choisi dépouser Celestina Hemsworthly, fille du cousin de loncle à la sur du neveu de sa Majesté la reine dAngleterre Elizabeth II. Faire partie de laristocratie anglaise avait ses avantages dont le fric en abondance, vous laurez deviné- mais aussi ses inconvénients. Les mariages arrangés par exemple. Et aujourdhui, cétait à moi de passer sur le grill. Jallais épouser une femme que je nappréciais même pas devant des centaines de personnes pour la plupart hautes placées, dans lun des plus prestigieux hôtels londoniens : le London Hilton sur Park Lane. Le prêtre allait se déplacer spécialement pour nous.

Contrairement à ma chère mère, je naimais pas Celestina. Cette blonde avait beau être sacrément bonne à regarder, niveau mental ce nétait pas folichon. Non, ma future femme était aussi froide et frigide quune bonne grosse tonne de glace.

Nous navions encore jamais baisé, car elle avait fait vu de chasteté jusquau mariage auprès de notre grand Seigneur, mais moi, je navais pas perdu mon temps. Depuis mes quinze ans -soit il y a dix ans- je me tapais tout ce qui correspondait de près ou de loin à mes critères physiques. Cétait un besoin. Je navais pas trop de mal à faire entrer les femmes dans mon lit : bien foutu et bien monté, riche et le regard bleu charmeur, il nen fallait pas plus pour faire tomber en pamoison les petites anglaises. Ma famille, et surtout ma mère, ignorait tout de mes parties de jambes en lair presque quotidiennes avec des inconnues. Pour eux, jétais Weston lenfant sage qui, bien quun peu coureur, touchait avec les yeux, histoire de ne pas dégrader la réputation des Dersterb. Sils savaient à quel point ils se trompaient, ils feraient un infarctus dans la seconde.

Quoi quil en soit, la famille Dersterb avait quelques soucis financiers depuis la mort de mon père il y a deux ans, dans le genre gros trou incomblable au porte-monnaie, et cest pourquoi ma mère avait décidé de marier son fils unique à la fille dune des familles les plus blindées du Royaume-Uni. En fait, pour vous résumer un peu les choses et en y réfléchissant bien, toute ma vie était rythmée par largent. Et le sexe.

— Celestina est une très belle femme, Weston, me réprimanda maman dun ton sévère en ajustant son chapeau lui aussi mauve et plus quextravagant. Tu devrais me remercier davoir réussi à la faire tomber dans tes bras. Elle sest conservée pour toi et tu as fait de même pour elle, comment rêver dune union plus pure que celle-ci ?

Pure, pure Allez dire ça à ma queue déjà bien expérimentée. Dailleurs en parlant de queue, celle-ci me démangeait depuis quelques heures. Avec tous ces stupides préparatifs de mariage, le temps sétait comme accéléré et je navais pas eu loccasion de tremper mon biscuit depuis plusieurs jours. Et cétait dur à supporter pour le libertin que jétais, et que jaurai voulu rester encore longtemps après mes vingt-cinq ans.

Je me détournai et mapprochai du miroir, avant de lever le menton pour ajuster moi-même mon nud papillon. Putain, quest-ce que jétais classe ! Plus que dhabitude en tout cas. Mais cette petite salle dans laquelle devait se préparer le marié devenait soudain trop petite pour ma mère et moi, comme si rien que lidée de me lier pour léternité à Celestina métouffait déjà.

— Je nai pas envie de me marier à cette femme. Il existe dautres moyens pour regagner largent que nous avons perdu, je ne vois vraiment pas lintérêt de

— Weston ! minterrompit ma mère en claquant sévèrement dans ses mains. Nous en avons déjà discuté maintes et maintes fois !

Elle baissa un peu le ton, comme si elle avait peur quon nous entende à travers les murs clairs ornementés de multiples dorures.

— Cette union est lalternative la plus simple pour ta famille, tu le sais ! Je suis lasse de te le répéter, mon cher Robert aurait compris lui

Robert, alias mon père, alias lhomme qui fait shumidifier théâtralement les yeux de ma mère à chaque fois quelle prononce son nom.

Je lâchai un long soupir en écoutant dune seule oreille maman me répéter pour la centième fois pourquoi cétait un devoir pour moi dépouser madame-la-chatte-en-glaçon. Au bout de cinq minutes dun discours que je connaissais déjà sur le bout des doigts, je jetai un coup dil à ma montre Hermès et linterrompis.

— Plus quune petite trentaine de minutes avant la cérémonie, et je tiens à me montrer souriant et détendu pour celle qui partagera le reste de ma vie. Si vous pouviez

Je balayai lair de la main.

— Vous savez, me laisser seul pendant les prochaines minutes. Ce sera certainement la dernière fois que jen aurai loccasion avant ma mort dailleurs.

Ma mère me lança un regard mécontent, visiblement agacée par le sarcasme dont je faisais preuve. Au bout de quelques secondes de fixation intense, elle acquiesça en pinçant les lèvres.

— Très bien, Weston. Mais je te préviens, si tu essayes, ne serait-ce que passer les portes de cet hôtel

— Nayez crainte, maman, jai trop destime de moi pour fuir comme une jeune pucelle flippée.

Là au moins, ma mère me crû sans hésiter. Elle sexécuta et me laissa seul avec mes pensées maussades dans la petite pièce. Jétais déjà habillé et coiffé pour la cérémonie, ne restait plus quà profiter de mes derniers instants en solo.

Je me dirigeai vers un petit guéridon en marbre à trois pieds, et sortis un gros cigare dune boîte qui y était posée, délicate attention du Hilton. Je lallumai et tirai une longue bouffée en fermant les yeux. Putain, ouais !

Je me laissai tomber sur un gros fauteuil style dix-septième siècle, et croisai les jambes en maffalant contre le haut dossier, en continuant de tirer sur mon cigare. Les bruits du couloir me parvenaient : voix, pas précipités, etc On sagitait visiblement dans lhôtel pour mon mariage. Une belle chiasse cette merde.

Bien sûr, javais lattention de tromper Celestina à tour de bras, mais mes rapports sexuels -si importants pour mon bien-être- allaient être encore plus difficiles à cacher quils ne létaient déjà. Et si elle se mettait à vouloir des gosses ? Bordel, langoisse. Je nétais pas prêt, mais surtout je navais aucune envie de fonder une famille. Encore moins sur des bases aussi fragiles quallaient lêtre celles entre Celestina et moi.

Je passai une main nerveuse dans mes cheveux gominés et coiffés en arrière. Jétais jeune, merde ! Trop jeune et gâté par la vie pour menfermer dès maintenant dans un mariage dintérêt ! La preuve, il y avait tellement de chattes prêtes à maccueillir ici dans lhôtel. Je lavais vu dans le regard des femmes que je croisais ce matin en arrivant au Hilton. Jétais désiré par elles, et certaines valaient vraiment le détour. Les demoiselles dhonneur par exemple. Je me mis à les imaginer en train de se déshabiller pour revêtir leurs robes moulantes couleur lila dans les vestiaires quelques étages plus bas, tout près de la salle de cérémonie Les fourreaux étroits quelles enfilaient devaient épouser la moindre de leurs courbes aguicheuses, collant à leurs seins rebondis sans soutien-gorge et à leurs fesses fermes.

Je baissai les yeux vers mon pantalon, pour découvrir sans surprise que je bandais comme un tôlard. Mon sexe en érection formait une énorme bosse entre mes jambes, et je posai la main dessus. Bordel, jétais dur comme du bois à quelques dizaines de minutes de mon mariage, à fantasmer sur les belles salopes qui allaient y assister.

Javais beau être contre cette union, je nallais quand même pas me présenter devant la foule avec une gaule pareille. Aussi, jécrasai mon cigare dans le cendrier dune main tandis que de lautre, je dé-zippais ma braguette et sortais ma bite de mon pantalon devenu trop serré. Elle était déjà décalottée, et si gonflée que je pouvais aisément observer les veines palpiter sous la peau écarlate.

Je la saisi à la base et la secouai un peu en lâchant un soufflement sonore. Putain, elle et mes couilles étaient devenues douloureuses. Je le mis à monter et descendre dessus, en mattardant toujours un peu plus sur le gland ultra-sensible. Jimaginai sur le sol devant moi le corps nu et bien épilé dune petite déesse de demoiselle dhonneur, bien offerte à moi, les jambes écartées de part et dautre de sa chatte dégoulinante de cyprine. Oui, cest exactement ce quil me fallait, un endroit bien agréable comme celui-là à ravager à coups de rein avides.

Tout à coup, je me levai et rentrai mon sexe dans mon pantalon. A quoi bon imaginer ce spectacle de petite chienne nue quand on pouvait lavoir quelques étages plus bas ? Ce nest pas parce que lon ne pouvait plus toucher quon allait se priver de regarder ! Je décidai de rejoindre le vestiaire des demoiselles dhonneur et sortis de la pièce en courant, la bite en feu.

Une fois dans le couloir qui grouillait de monde, je baissai la tête pour quon ne reconnaisse pas le marié qui séchappait, et rasai les murs jusquà la porte débouchant sur les escaliers de service. Prendre lascenseur était trop risqué, même si je ne connaissais pas la plupart des invités dans cet hôtel, eux avait bien vu les multiples photos géantes de Celestina et de moi qui ornaient les murs du bâtiment.

Heureusement, la cage descalier était déserte, et je rejoignis le rez-de-chaussée en moins de temps quil nen faut à une chaudasse pour avaler une queue. Une fois en bas, je passai en vitesse devant les grandes portes de la salle de cérémonie. Elles étaient entrouvertes, et je pus apercevoir la multitude de chaise -encore vides- qui me tournaient le dos, de part et dautre du tapis rouge menant à une gigantesque estrade pour linstant dissimulée derrière un grand rideau blanc.

Je tournai à gauche en prenant toujours soin que lon ne me reconnaisse pas, et me retrouvai pile devant les portes des vestiaires. Le sexe palpitant, je poussai celle des femmes et y entrai le plus discrètement possible avant de refermer la porte. Je me retrouvai dans une sorte dantichambre vide de monde, mais des voix féminines me parvinrent de la pièce dà côté.

Je glissai tant bien que mal mon grand corps derrière un porte-manteau, et observai à travers les vestes. Trois rangées de casiers imposants remplissaient lespace, et entre eux, au moins six femmes saffairaient. Ça nétait en fait pas exclusivement des vestiaires pour demoiselles dhonneur, il y avait aussi des femmes plus âgées. La plupart étaient déjà changées et rangeaient simplement leurs affaires en sapprêtant à quitter la salle, tandis que dautres étaient en train de se déshabiller. Il y avait de petits box pour quelles aient un peu dintimité après tout, il sagissait de femmes importantes !- mais ils étaient pleins et certaines décidaient de se déshabiller devant tout le monde. Sans surprise, cela ne concernait que les jeunes femmes, à mon plus grand plaisir.

Lorsque les femmes se mirent à quitter la pièce, je retins ma respiration en priant pour que lon ne me surprenne pas. Jétais vraiment juste à côté de la sortie. Mais on ne me vit pas et le luxueux vestiaire se vida presque entièrement. Lorsque la voie fut libre, jécartai à nouveau les vestes pour observer. Seules trois femmes demeuraient dans la salle.

Mes yeux sattardèrent sur lune dentre elle. La plus jeune dau moins trente ans, une superbe brune dans la vingtaine qui venait juste de quitter son soutien-gorge en satin rouge, pour révéler à ma vue une grosse poitrine à lapparence délicieusement ferme. Ne pouvant résister à la tentation, je ressortis ma queue et frottai mon gland avide de caresses dans la fourrure dun manteau apparemment hors de prix. Putain, cette saloparde brunette ne rendait encore plus dur, et je dus sortir aussi mes bourses de mon fut pour ne pas crier de douleur à cause la pression qui sétait accumulée.

La brune se pencha pour ramasser ses chaussures pour les ranger, et jeus une vue magnifique sur le string quelle portait et qui lui rentrait quasiment dans la chatte. Javais envie de lui la lécher jusquà ce quelle hurle, de la faire mouiller à noyer ma queue dedans.

Je frottai plus intensément ma bite gonflée à lextrême dans le manteau, et le décrochai même en silence pour lenrouler autour de mon sexe et me branler avec. La femme à qui il appartenait allait avoir une petite surprise en venant le récupérer à la fin de la cérémonie Je reportai de nouveau mon attention sur ma salope. Hum la voilà qui se passait une crème sur le corps avant de revêtir sa robe.

Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle pivota vers moi et je pus la voir en passer langoureusement sur son ventre plat et ses gros seins. Elle les prit en main, les malaxa, les tritura, et je faillis jouir devant ce spectacle. Lair le plus innocent du monde quelle abordait me donna envie de lempaler sur toute ma longueur sur-le-champ en la regardant hurler de plaisir, victorieux.

Lorsque lune des trois femmes restantes quitta la pièce, je décidai de quitter ma cachette pour passer à laction. Je navais pas réellement prévu de baiser à quelques minutes de mon mariage, mais mes instincts prirent le dessus, et je mélançai entre la première et deuxième rangée de casiers. Le fait que la femme plus âgée se trouve de lautre côté et ne puisse pas voir cette partie de la salle, me donna de laudace.

La brune, qui me tournait toujours le dos, ne me vit pas arriver et je me plaquai dans son dos en écrasant une main sur sa bouche pour lempêcher de cri, tandis que lautre venait emprisonner ses bras. Ma queue, raide comme jamais à cause de lexcitation et de ladrénaline, lui rentra dans la raie des fesses et je me délectai de la pression soudaine de ces deux globes rebondis sur mon sexe.

La jeune femme se débattit mais jétais plus grand et fort, alors je la forçai à rester immobile et silencieuse entre mes bras. Attendant quelle se calme un peu ou sépuise, jentrepris de faire coulisser ma queue contre son cul, et lâchai un soupir sonore. Cétait vraiment trop doux, délicieux.

Je me penchai et chuchotai à loreille de la fille qui me faisait bander si fort :

— Vois comme le futur marié à envie de te baiser, petite salope. Sens comme tu appelles ma bite, comme elle vibre pour toi !

Ma main qui enserrait ses bras se déplaça et je saisis un de ses seins lourds dans ma main. Elle était grande, et pourtant je ne parvins pas à faire entrer son nichon dedans en entier. Il débordait de tous les côtés ! Je lui pinçais les tétons, tandis quelle forçait encore pour se libérer, et ceut pour effet de la faire reculer brusquement contre moi. Si elle navait encore ce string ridicule, elle se serait empalée involontairement directement ! Je le lui arrachai sans plus de cérémonie.

Jentendis lautre femme fermer son casier et la vis se diriger vers la sortie. Merde ! La jeune bandante et moi étions juste dans son dos, si elle décidait de se retourner maintenant… Je mis toutes mes forces à empêcher la brune de nous trahir au dernier moment, et la femme sortit finalement sans nous voir. Je me détendis aussitôt que la porte claqua.

Je ne pris plus la peine de chuchoter :

— Laisse-moi texpliquer la situation, ma jolie. Jai vraiment, mais alors vraiment envie dêtre en toi là, de labourer ton intérieur tout chaud, et jaurai vraiment de la peine à supporter la cérémonie si je ne te ramonais pas comme une chienne maintenant. Le truc, cest que jaime que mes partenaires de baise soient consentantes, alors laisse-moi te convaincre que jen vaux la peine !

Je lui mordis le cou et lui tirai les tétons. Ces derniers se dressèrent en moins de temps quil nen faut pour le dire et devinrent durs comme la pierre. Wouha ! Elle était vraiment réceptive, cette salope-là.

Je lâchai sa bouche et plaquai ma main contre son intimité à travers la culotte. Bordel, elle était dans le même état dexcitation au sud, rien que le tissu me collait aux doigts tant sa chatte débordait de jus.

Profitant de ma déconcentration, la brune me donna un coup de coude dans labdomen qui me coupa le souffle, et fit volte-face. Lair furieux et totalement dénué de peur sur son visage me surpris, et mappris par la même occasion quelle était bien plus pute quelle ne semblait lêtre au premier regard.

— Vous êtes le marié ?

Je tentai de reprendre mon souffle, tandis que mes yeux louchaient sur ses lourdes mamelles :

— Pas encore

Je me redressai et elle rougit un peu, je compris que mon physique limpressionnait. Le sien me rendait fou, alors autant rentabiliser la chose. Je me demandai comment tourner mes phrases pour lamadouer et la convaincre de se laisser sauter.

— Désolé de tavoir sauté dessus comme un animal, je commençai.

En fait, je ne létais pas du tout et javais même envie de le refaire tout de suite. A ma grande surprise elle sapprocha sans me laisser le temps de bavasser davantage et me saisis la queue sans que je réagisse. Putain ! Cétait plus facile que je ne lavais pensé. Sa main était petite par rapport à mon sexe, mais incroyablement chaude.

— Je crois que cette situation mexcite vraiment, avoua-t-elle en rougissant encore.

Ses doigts serrèrent ma bite et son autre main se mit à malaxer mes bourses pleines à craquer. Je plantai mes poings sur mes hanches couvertes du smoking en me courbant en arrière pour mempêcher de crier.

— Jai toujours détesté cette connasse de Celestina, chuchota-t-elle comme pour elle-même.

Puis elle planta farouchement ses yeux noisette dans les miens.

— Ne croyez pas que jai lhabitude de toucher ainsi nimporte qui, hein ? Cest juste pour me venger, et vous et votre bite êtes si attirants.

— Ma salope, tant que tu me pompes comme une diablesse, tu peux être nimporte qui et faire nimporte quoi, je men bats les couilles !

Sur ces mots, je lui appuyai sur les épaules pour quelle sagenouille et enfonçai brutalement ma verge rigide dans sa bouche de suceuse jusquà la garde. La brunette toussa et sa gorge se contracta sur ma queue, mais je tins fermement son visage plaqué à mon pubis. Cette chienne voulait se venger de Celestina ? Elle nallait pas le faire sans souffrir.

Sans prévenir, je me mis à lui bourriner la bouche comme un taré, attrapant par poignées ses cheveux, faisant claquer mes testicules contre son menton. Puis je crachai entre nous deux sur ma bite, et la poussai à me manger encore, histoire quelle avale ma salive en plus du liquide qui commençait à séchapper de mon gland douloureux. Jétais vraiment gonflé à bloc, comme jamais.

Quand ma chienne davaleuse leva les yeux vers moi et me lança le regard le plus provoquant quon mait jamais envoyé, je fus pris dune violente envie de la punir. Aussitôt, je le relevai et la plaquai dos aux casiers. Ces derniers tremblèrent sous limpact et la brune grimaça, mais je ne lui laissai pas le temps de souffler et la soulevai pour la caler sur mes hanches. Ses bras entourèrent mon cou instinctivement et elle se retrouvait dans les airs, sa chatte dégoulinante juste au-dessus de ma bite qui ne demandait quà goûter à son vagin.

Dune main, je lâchai la salope et attrapai mon membre raide pour glisser le gland entre ses lèvres moites ultrasensibles. Elle gémit, mais me supplia en haletant danticipation :

— Non, attendez ! Allez-y doucement, je ne peux pas faire entrer tout ça dun coup.

Ah ça non, poupée ! Tout, mais pas attendre. Je nen étais plus capable.

— La ferme ! je lui lançai durement.

Mes mains menfoncèrent dans la chair de ses fesses et, dun coup, je la lâchai. Jappuyai de toutes mes forces sur ses hanches et donnai un puissant coup de rein, menfonçant dune traite dans son sexe. Elle fit remplie si soudainement et brutalement quelle hoqueta, et je ne pus retenir mon sourire, victorieux. Mais putain de bordel de merde, elle était serrée ! Ma bite étouffait à lintérieur, mais ça avait beau être un peu douloureux, cétait juste trop bon.

Elle laissa échapper un long râle en se cambrant et leva les yeux au ciel. Un filet de bave séchappait de sa bouche et avait coulé sur son menton. Dun coup de langue, je la léchai et avalai tout. Puis jenfonçai ma langue entre ses lèvres endolories par la fellation brutale, en me mettant à bouger en elle.

Elle saccrocha à la veste de mon costume tant mes coups de butoir se firent violents. A chaque passage sur les parois de son vagin palpitant follement de plaisir, elle poussait un cri de jouissance, rouge de plaisir. Ses seins sautaient entre nous comme des ressorts flasques. Mes cris se joignaient au sien, plus sauvages, affamés. Je me demandai brièvement si on nous entendait jusque dans la salle de cérémonie Ça aurait été drôle en tout cas.

Ma queue fut comme traversé dun choc électrique et je sentis que jallais éjaculer. Jugeant que ma pute navait pas encore assez crié, même si elle commençait à fatiguer, je me retirai. Ça permis à mon plaisir de redescendre un peu et je pus garder un peu plus mon jus avant de tout lui envoyer.

Sans douceur, je la mis à quatre pattes sur le sol et la pris en levrette. Jaugmentais tellement le rythme que je ne voyais même plus ma queue bouger entre ses fesses. Lorsquelle jouit autour de ma bite, les sensations furent telles que jatteignis moi aussi le summum du plaisir.

Ne lui laissant pas une seconde pour souffler après son orgasme, je me plaçai devant son visage et léclaboussai de mes jets de semence en jurant. Ma pute ouvrit grand la bouche et me pompa à nouveau alors que jétais encore agité de spasmes, et je finis de me déverser dans sa gorge. Elle continua de mastiquer bien docilement, un petit sourire aux lèvres, jusquà ce que ma queue soit devenue trop sensible et que je la force à arrêter.

Je repris mon souffle, vidé, et me souvins tout à coup que jallais me marier. Un coup dil à ma montre mapprit que jaurai déjà dû être devant la mariée depuis trois minutes.

— Merde.

Je me passai les deux mains dans les cheveux, plus par nervosité que pour remettre de lordre dans ma coiffure. Je baissais les yeux vers la brunette qui sétait laissé choir sur le sol, épuisée, sa poitrine divinement grosse se soulevant rapidement. Ses jambes étaient écartées, sa chatte -qui avait dû laisser passer ma queue massive- béant. Ce spectacle de femme offerte à moi, comblée par moi, me donna un aplomb tout nouveau et jeus soudain envie de me rebeller contre les devoirs que mon rang social mimposait. Ma mère voulait que jépouse une connasse frigide ? Elle allait être déçue. Je nallai pas menfuir, jallai faire bien pire.

Je magenouillai sur le sol et écartai avec empressement encore plus les jambes de la brunette. Ignorant ses protestations, je saisis ma bite et la frottai sur et entre ses lèvres de cochonne encore trempée.

— Mais Quest-ce Ah Quest-ce que vous faites ?

— Je ne veux pas quon croit que jen ai une petite.

— Quoi ? Qui « on » ?

Je ne pris pas la peine de répondre et, lorsquon ma verge fut à nouveau dure comme du bois, je me relevai et tirai la brunette par le bras pour lentraîner avec moi. Sans lui laisser le temps de réfléchir, je lentraînai au pas de course dans le couloir, elle complètement nue et moi la queue à lair.

Il était rempli de valets. Lun deux se précipita vers nous, les yeux ronds comme des putains de soucoupes.

— Sir Dersterb, tout le monde est dans la salle de cérémonie.

Exactement ce quil me fallait. Je tirai la brunette à poil vers les lourdes portes fermées.

— Attendez ! nous crièrent les employés. Vous ne pouvez pas

Je les négligeai et poussai les portes, qui souvrirent sur toute lassemblée en grinçant. La mariée sur lestrade, le prêtre, ma mère, et la bonne centaine dinvités prestigieux se tournèrent vers nous dans un seul mouvement, et les cris choqués ou indignés me procurèrent une intense satisfaction. Fier la bite à lair au milieu des hautes personnalités du Royaume-Uni, jeffectuai une courbette théâtrale en désignant du bras la brunette, et gueulai avec toute la maturité dont jétais capable :

— Je suis pas puceau, SURPRISE !

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