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Patricia – Chapitre 4

Patricia - Chapitre 4



Après l’épisode du bistro, je suis allé faire quelques courses dans un sex shop où je suis bien connu. Au cours de mes emplettes, j’ai rencontré Fernand huissier de justice exécré par la population de la ville, une connaissance qui essaie depuis un moment d’entrer dans notre cercle libertin. Petit homme rond, même plus que ça, avec son mètre soixante, son quintal et son teint olivâtre. Il était divorcé depuis que sa femme, lasse de sa perversité, avait pris la poudre d’escampette avec son jeune clerc ! Il avait un mal fou à trouver des partenaires consentantes, il faut dire que sa quasi impuissance exigeait des émotions fortes pour que son sexe, de petite taille parait-il puisse avoir une érection. Aussi s’approvisionnait il largement en revues, films et sex toys ….et draguait dans les quartiers chauds de pauvres filles dans le besoin qu’il adorait assouvir pour une soirée ! Il faisait d’ailleurs la même chose avec ses malheureuses clientes !

Quand il a vu mes achats, boules de geisha, et vibro télécommandé, il m’a dit être jaloux de moi et de la femme qui allait profiter de mes joujoux !

— Bonsoir, Laurent, alors, une nouvelle que tu vas combler ?

— Oui mec, une chaude, même une sacrée chienne !

— Ton groupe d’amis a pris sa décision pour ma participation à votre prochaine séance ?

Un peu gêné, mes amis s’opposant vertement à la participation de ce gros pervers, je ne savais que répondre.

— Euh tu sais on n’a pas eu l’occasion de vraiment en parler…

— Pff je vois….

— ……

— Dis moi Laurent, la nouvelle ne serait pas cette salope de Mme X ta nouvelle vendeuse ?

— Euh….. Décontenançais je …

— Alors là mon pote, il faut que nous fassions affaire ! Un jour, au marché, je l’ai ? frôlée ? d’un peu près. Elle m’a fait un scandale. J’ai même eu droit à aller retour ! C’est elle ?

— Euh…..

— Je vois que oui !!! Tu dois m’aider ! Je te revaudrais ça ! J’ai juré de me venger et c’est une bonne occasion !

— Tu veux la sauter ?

— Oui et si je peux en plus l’humilier, lui faire payer pour l’autre fois !

— Et qu’est ce que j’y gagne moi ?

— Si tu as des ennuis ou de l’argent à récupérer, tu ne le regretteras pas !

— Bon je vais réfléchir passe demain en fin de matinée, je vais voir ce que je peux faire.

— Merci, je t’appelle avant !

Je rentre chez moi avec mes trésors et j’avoue que si au départ la rencontre m’a déplu, voir jusqu’où Patricia est capable d’aller dans la soumission commençait à m’intéresser, même à m’exciter….

Ce matin, Patricia arrive un peu tôt, en me disant qu’elle voulait me parler. Pressentant des réticences, j’ai pris les devants.

— T’as une sale tête, mal dormi ?

— Euh oui, j’ai réfléchi à ce qui s’était passé hier…

— Et ?

— Je voudrais qu’on arrête !

— Et puis quoi encore tu n’as pas fini d’apprendre !

— Mais…

— Tu as fait ce que j’ai dit,

— …..

— Alors ?

— Ecoutez patron, je veux bien être gentille avec vous, mais les autres….. et mes enfants, je ne veux pas qu’ils travaillent ici !

— On verra, je pensais prendre ton fils et que ta fille aille dans la parfumerie de mon père, il se fait vieux et un peu d’aide devrait lui plaire…. ?a devrait la satisfaire ta petite c’est pas trop dur comme boulot. Et ton fils fera la manutention.

— Comme ça….

— Je vois que tu avais peur pour le cul de ta gamine.

— Un peu….Vous savez votre amis, je n’avais jamais fait ça avec un euhhhh….noir !

— Pourtant tu as aimé !

— Euh oui mais je ne voudrais plus…..

— Tu feras ce que je te dirais ! au fait soulèves ta robe pour savoir si tu as fait ce que je voulais !

Elle soulève doucement son ample robe et me dévoile son sexe glabre, non seulement elle n’a pas mis de sous vêtement, mais sa petite chatte est rasée de frais et toute rosée de l’agression toute récente du rasoir. Quand je pense qu’il y a 2 mn elle me disais qu’elle voulait arrêter…quand je dis petite chatte, je mens, elle a de grosses lèvres bien charnues qui me font penser à une pèche gorgée de jus !

Je la fais asseoir sur l’établi et écarter les cuisses. Elle le fait de bon gré en me regardant par-dessous ses lunettes. Quand elle écarte les lèvres celles-ci me dévoilent les entrailles de son fruit d’amour. A ma grande surprise, j’ai l’impression que son intimité est déjà humide ! Je m’approche, pose ma main sur sa chatte et glisse deux doigts en elle.

— Mais tu es trempée !

— ….

— Tu me fais tout un cinéma et je vois que tu es trempée comme une serpillière !

— J’ai honte

— Tu peux ! dis moi ce que tu es réellement !

— Euh.. Je suis à vous….

— Et ?

— Euh…Oui, monsieur, votre chienne rougit elle

— Oui…..

— Votre salope, oui je serais votre salope… Vous me ferez encore jouir, j’y ai pensé toute la nuit…

— Bien sûr, attends, j’ai des cadeaux pour toi.

Je lui ai sorti mes jouets. Elle s’est figée, interrogative elle se demandait visiblement où je voulais en venir.

— écarte bien, tu as fais des efforts, je vais te bouffer le minou pour te récompenser !

— mais ces choses….

— Tu verras tout à l’heure !

Docile elle est descendue de son établi, s’est confortablement installée dans le fauteuil de la caisse. J’ai approché mes lèvres de son sexe j’ai soufflé sur son bouton qui cherchait à sortir du capuchon, elle a poussé son ventre contre ma bouche… Taquin, je me suis retiré…

— Tu aimes être mangée ?

— Oui….. s’il vous plait, mon mari ne me le fait jamais !

— Peut être à cause de tous ces poils ! il a vu ta nouvelle coupe ?

— Non monsieur, c’est pour vous…

— C’est bien petite salope, tu verras, j’ai plein de surprises et de projets pour toi !

Sans attendre de réponse, je me suis à nouveau intéresse à sa chatte baveuse. J’avais décidé de la faire languir. Je souffle sur son clito, sur ses lèvres et elle cherche ma bouche en gémissant je me recule et effleure enfin son bouton du bout de la langue. Elle est comme parcourue par une décharge électrique et me geint un ? oui viens ? que je punis d’une petite tape sur sa chatte. ? Venez ? corrige t’elle. Je léche l’intérieur de ses cuisses, là où la chair est si douce, si fine si veloutées, je me régale de sa peau si tendre… je lèche tout le tour de son sexe, elle a tiré très haut sa robe et je peux aller jusqu’à son nombril que je pénètre en avec la langue en faisant des va et vient comme dans une mini chatte ! Elle soupire des ? mon Dieu ? je lui masse l’oeillet en même temps, son jus coule sur mes doigts alors que je ne l’ai même pas vraiment touchée. Je force son anus et la pistonne avec mon pouce, je n’ai aucun mal à la pénétrer, quel progrès, elle à l’air d’aimer ça et remue en cadence. Sans prévenir, je soude ma bouche à son sexe béant, j’y introduit ma langue et aspire son jus ! Elle m’arrache les cheveux, on dirait qu’elle veut que j’entre en elle et a un orgasme dévastateur ! Je tête sa liqueur, me gorge de sa cyprine, elle jouit sans s’arrêter et quand je lâche son trou pour m’attaquer à son bouton, elle hurle son plaisir, je joue avec sa tige, lape goulûment ses lèvres, son sexe est gonflé à exploser, le clito turgescent, on dirait une petite bite, à laquelle je fais une petite pipe au grand bonheur de tous les deux ! Je vais rechercher sun jus et continue de lui pistonner le cul, mais avec trois doigts ! Pendant les 20 mn qui suivent elle a orgasme sur orgasme !

Je la retourne et l’encule sauvagement, elle m’accueille avec un ? oui ? pâmé et je la besogne comme un soudard, cette pute, il faut que je lui viole le cul ! Elle hurle sa douleur et son plaisir ! Je la préviens que je vais décharger, elle se jette sur ma bite comme une affamée et avale mon foutre en couinant son plaisir, elle me nettoie comme si c’était sa raison de vivre !

— Vas te nettoyer, il faut ouvrir, les rayons ne sont même pas pleins !

— Mais monsieur…

— Tu vois bien salope que ton fils ne sera pas de trop ! Dépêches toi…

Elle trottine aux toilettes se refaire une fraîcheur. Je me reboutonne et attends son retour, elle a le regard dégoulinant de foutre et de reconnaissance.

— On dirait que ça t’a plu !

— Oh oui merci….

— Pas de quoi, je te l’avais promis. Si tu es gentille je te ferais ça souvent ! tu seras obéissante ?

— Oui monsieur !

— Bien lève ta robe et écarte !

— Mais…

— Fais ce que je te dis. Appuies toi sur le bureau comme pour une levrette…

En bonne salope soumise elle s’exécute et prend position. Je m’approche et introduit délicatement les 3 boules dans sa chatte.

— tu sais à quoi ça sert ?

— non

Je tire d’un coup sec et elle gémit un grand coup…

— Tu vois maintenant ?

— Oui monsieur

— C’est dans ton cul que je vais les mettre, pour ta chatte j’ai autre chose, et si par malheur tu enlèves quelque chose, je te punirais en te donnant à baiser à mon chien ! c’est compris ?

— Oui oui monsieur.

J’enfonce les 3 boules dans son cul et le vibreur dans sa chatte. Elle rabaisse sa robe et je l’envoie bosser avec une petite tape sur le cul ! Quand elle me demande à quoi ça sert, je lui rétorque qu’elle verra bien. Elle part en tortillant du cul, peu habituée à ces intrus.

Je la laisse s’installer, mal à l’aise et laisse passer quelques clients. J’attends qu’elle s’habitue, elle commence même à rouler un peu du cul, ça à l’air de lui plaire. Quand elle ne s’y attend pas, je mets le vibreur à fond ! Elle me regarde affolée, j’ai un petit geste apaisant, et je joue quelques minutes avec la puissance.elle remue de plus en plus appréciant des caresses anales et vaginales.je remets la puissance à fond, elle se soulève un instant et s’effondre sur sa caisse ! Je me précipite en disant aux clients médusés que ce n’est rien et qu’il n’y paraîtra plus dans quelques instants. Je l’aide à aller dans le bureau et vais servir les clients.son siège est inondé. Je ferme le magasin et vais aux nouvelles. Elle est vautrée cherchant à reprendre ses esprits je m’agenouille et sors les boules d’un coup sec. Je prends le temps de laper sa chatte dégoulinante en enlevant le vibreur.

— Vous allez me tuer

— Mais non….

— Si, je crois, je n’ai pas eu autant d’émotions en 20 ans de mariage.

— Et ce n’est pas fini !

— ….

— Bon amènes ton fils lundi, c’est un peu trop le bordel !

— Oui monsieur.

— Allez va rouvrir, j’ai bien la trique, mais il ne faut pas abuser…

— Oui monsieur dommage….

Un peu plus tard le téléphone me sort de mes rêveries. C’est Fernand que j’avais oublié…

— Salut à quelle heure je viens ?

— Viens vers 13h30 avant l’ouverture…

— Ok je vais venir te réclamer 10 000? que tu dois à un fournisseur !

— Ca devrait marcher !

— A + je dois aller chez un couple, je sais qu’ils ne pourront pas me payer ! Je les obligerais à baiser devant moi, ça va m’exciter, la femme m’a déjà sucé la dernière fois, les intérêts de la dette ! Là ils me doivent 2 mois…..

— Beau métier à plus tard !

J’ai laissé passer la matinée, il y avait du monde, j’ai même dû l’aider ! Je l’ai bien un peu pelotée mais ça n’est pas allé plus loin !

A midi, je lui ai dit de revenir pour 13h20 en lui faisant un clin d’oeil et lui ai présenté les boules qu’elle s’est mise sans rechigner dans le vagin.

Apres un déjeuner frugal, je me suis occupé de mes affaires, j’ai un tournoi de foot assez important pour le club dont je suis président et Patrick mon queutard de pote l’entraîneur !

A l’heure dite, Pat était là, sautillant d’un pied sur l’autre s’attendant visiblement à une séance de baise.

— Patricia, demain je ne serais pas là, il y a le tournoi. je te laisse la camionnette en cas de livraison, tu viendras me chercher après la fermeture.

— Euh d’accord monsieur.

— Alors ces boules c’est comment ?

Un coup de sonnette rageur nous interrompt. Je m’étonne et lui demande d’aller ouvrir.

Fernand plus verdâtre que jamais la bouscule et se rue vers moi avec du papier bleu plein les mains.Patricia se fait toute petite, elle a raison, si elle savait !

Avec un talent d’acteur Fernand éructe :

— Alors, vous payez ?

— Je pourrais le mois prochain !

— Pas question, il me faut quelque chose !

— Les affaires sont au ralenti, c’est les vacances

— Je m’en tape, alors on fait quoi ?

— Je ne sais pas proposez ?

— Pour 10 000? j’ai bien une petite idée dit il en lorgnant Patricia….

— Vous n’y pensez pas, c’est immonde je ne peux lui demander ça !

— Ecoutez, vous me prêtez cette salope 30 minutes et j’attends le mois prochain ! en plus j’ai un vieux compte à régler avec elle !

— Monsieur ne faites pas ça je ne suis pas une pute !

— S’il te plais Pat je suis coincé.

— Non…. Non ….. noonnnn jamais !

Je vais la voir et passe délicatement la main sur sa joue, elle me repousse violemment. Je lui attrape le bras, le tord.

— Tu dois faire tout ce que je dis.

— Mais monsieur il me donne envie de vomir

Fernand a déjà sorti sa bite, et c’est vrai que ce n’est pas appétissant ! ? Viens me sucer ? lui ordonne t’il ! Je l’oblige à s’agenouiller, il lui présente sa nouille molle elle refuse d’ouvrir la bouche. Fernand lui passe plusieurs fois sa bite sur les lèvres et devant son refus lui tire violemment les cheveux. La douleur lui fait ouvrir les lèvres et il s’y engouffre avec un râle de satisfaction !

— Enfin putain, je t’avais dit que je t’aurais. Suce maintenant ! tu sens le goût, c’est la merde d’une de mes clientes.

— Oh, beurk hoquette Patricia, il est dégueulasse, il pue, c’est un porc…..

— Allez pompe moi, Laurent déshabille là !

— Ok dis je en la dévêtant péniblement, vu sa position !

— Mais elle ne met pas de sous vêtements dit Fernand, quelle salope.dis moi, sac à foutre, c’est quoi ça, demande t’il en la relevant et en tirant sur la ficelle.

Les 3 boules provoquent un petit râle involontaire de la malheureuse

— Mais tu mouilles, ça te plait donc…

— Sûrement pas fumier !

Il fouille sans douceur la chatte de la malheureuse et triomphe quand elle gémit malgré elle !

— Tu vas me sucer et me goder en même temps lui dit il en sortant un petit gode de son sac.

— Pervers, porc…

— Suce, enfonce toi le gode dans la chatte pour le lubrifier, puisque je te fais mouiller ! voilà pistonnes toi un peu salope, tu es bien obéissante maintenant……enfonce moi le gode ouiiiii c’est bon ça y est je bande pompe maintenant.

Il lui saisi la tête et se sert de sa bouche comme d’un sexe. Docilement elle le gode. Comme cette femme a changé en quelques jours.Fernand souffle comme un phoque et décharge dans sa bouche, il lui maintient la tête pour la forcer à avaler. Il l’oblige à continuer de le sucer. Il se contracte et je vois Patricia affolée qui essaye de se dégager, mais l’autre la tient en riant plaquée contre lui ! Je vois un liquide s’échapper de sa bouche. Ce pourri est en train de lui pisser dans la bouche ! Je me précipite sur lui.

— Arrête fumier !

— Laisse moi l’humilier !

— Dégage et ne remets plus les pieds ici lui dis je en le frappant et en le virant.

— Pardon Patricia, pardon, je ne savais pas !

— …..

Je la relève, la serre dans mes bras. Je la conduis sous la douche, j’y entre tout habillé, j’ouvre l’eau, l’aide à vomir et vais lui chercher une brosse à dents ! Pendant qu’elle se brosse vigoureusement, je la savonne longuement et rince ses cheveux souillés d’urine.

— Pardon encore, ce type ne te touchera plus jamais.

— Oui s’il vous plait, c’était horrible, je veux bien faire tout ce que vous voulez. J’ai aimé tout ce que vous m’avez fait, même si vous m’offrez à vos amis, je le ferais, avec plaisir, mais plus jamais cette pourriture !

— Promis

— Continuez comme ça, c’est si bon quand vous êtes gentil, vous voulez bien me faire l’amour, tendrement, ici….

— Bien sur ma chérie !

Je continue à la savonner, lui caresse longuement les seins, les pétrissant tendrement, nous échangeons un baiser passionné, un baiser d’amour, le premier… je fouille son sexe et elle me demande de la prendre.je me débarrasse de mes vêtements trempés la soulève et la laisse s’empaler sur ma bite. Elle soupire d’aise et me prend en étau avec ses cuisses. Je la besogne doucement en soulevant ses fesses avec mes mains.elle me susurre des mots d’amour, je la laisse me tutoyer elle conjugue les mots amour, plaisir, encore….je profite de ma position pour lui glisser deux doigts dans la rosette, elle couine d’aise, toute écartelée sur mon sexe. Pat me demande d’accélérer ce que je fais avec plaisir, sentant ma semence venir, quand elle jouit sur ma bite en poussant un grand ? viens ?, je me repends en elle, fou de plaisir et de désir pour cette femme qui vient d’entrer dans ma vie.

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