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Patron (version masculine) – Chapitre 1

Patron (version masculine) - Chapitre 1



Jai engagé une nouvelle employée. Mes consignes pour lentrevue sont simples. Je lui ai demandé de me sucer en arrivant, comme ça sans préliminaire. Et ensuite, je lui mettrai une fessée pour avoir été si ingrate. Jespère quelle respectera lentente. Je suis un Maître. Jaime dominer. Il me faut donc une soumise, une vraie chienne. Je lattends pour 10h précise. Jespère pour elle quelle est ponctuelle et pour moi que non. Jaurai une raison de plus pour la punir si elle ne lest pas. Jaimerais beaucoup pouvoir la baiser sans aucun respect. La baiser comme un animal. 9h50, on cogne à la porte. Cela doit être elle. Je suis quelque peu déçu quelle soit ponctuelle. Jouvre la porte sans dire mot. Elle est sublime. Habillée comme convenu, un décolleté plongeant qui met en valeur sa poitrine ferme. Elle porte aussi une jupe, assez courte, qui laisse deviner des cuisses puissantes et un fessier rebondi. Jai hâte de voir ce qui se cache là-dessous. Mes réflexions ne sont même pas terminé quelle entreprend de défaire ma braguette pour entreprendre sa première tâche. Je bande instantanément, cest un chienne, une vraie. Elle na pas hésité une seconde avant de commencer. Elle prend son temps et titille mon gland du bout de sa langue, elle descend le long de ma verge et elle poursuit son chemin jusqu’à mes testicules. Elle refait le chemin en sens inverse et décide de terminer sa tâche, elle enfonce mon membre au plus profond de sa gorge pour me faire une fellation. Je perds le fil. Cest si bon. Il est rare quune femme prenne autant de plaisir à sucer une bite. Elle sait comment donner du plaisir à un homme. Elle continue ainsi un moment. Une vraie professionnelle, ce nest clairement pas la première queue quelle met dans sa bouche cette salope. Cest si bon, mais je dois me concentrer. Je ne peux pas venir tout de suite, je dois la punir pour ce quelle vient de faire. Je la tire donc par les cheveux pour la forcer à se relever. Elle gémit de plaisir, subtilement. Elle se laisse prendre au jeu. Elle ne doit pas laisser paraître quelle apprécie le moment. Je vais marranger pour la faire craquer. Je la retourne vivement, le tronc couché sur la table. Une main bien en place dans le creux de son dos. Je relève brusquement sa jupe et tasse sa petite culotte pour vérifier mes dires. Je glisse un doigt sur sa fente. Oh oui, elle aime ça. Javais raison. Elle mouille. Une vraie salope. Sans plus de préambules, je lui inflige la fessée quelle mérite sur la fesse gauche, alors quavec mon autre main jentreprends de la doigter avec mon majeur et mon index. Au moment où jintroduis mes doigts elle échappe un cri. De douleur ? De plaisir ? De surprise ? Je ne saurais le dire. Peu mimporte au fond. Je continue de la doigter violemment. Elle te de se relever un peu, mais je maintiens la pression sur le bas de son dos. Elle ne peut pas bouger. Elle mest soumise, totalement. Subitement, jenlève ma main de son dos. Elle se relève. Je lui arrache sa jupe et sa petite culotte et lui intime lordre de lever les bras. Je lui enlève son chandail et son soutien-gorge. La voilà nu. Nue et soumise. Je me dirige vers la chambre à coucher, et toujours sans prononcer mot, je lui fais signe de me suivre. Je la prends par la taille, la soulève et la projette sur le lit. Le jeu se poursuit. Encore. Elle attend, les jambes écartées. Elle a hâte la chienne, ça paraît. Je prends mon temps pour me déshabiller. Question de la faire languir encore plus. Je la regarde en même temps. Dieu quelle est bandante ! Javance doucement tout en me masturbant, malgré que ce soit plutôt facile de garder son érection avec une vision pareille dans son lit. Je mallonge sur elle et commence à la mordiller. Le cou, les oreilles. Elle halète, elle aime ça. Jagrippe ses poignets question de la soumettre encore un peu plus. Je les place doucement au- dessus de sa tête. Mes mains sont assez grandes pour les retenir dune seule main de toute façon. De lautre main je continue mes caresses. Je descends le long de ses bras, de son épaule, je poursuis sur mon flanc vers ses mamelons durcis. Je la sens frissonner. Elle se tortille sous moi, elle me veut. Maintenant. Moi aussi jai envie delle, mais le jeu est rendu trop loin. Je ne peux pas céder maintenant. Je prends le risque denlever ma main de sur ses poignets. Cest une soumise jusque dans les tréfonds de son âme. Elle a compris le jeu, elle ne bougera pas. Je peux enfin goûter à ce corps. Je refais le même chemin avec ma langue. Elle goûte bon, un peu sucré. Je poursuis mon exploration jusquà sa fente. Jentreprends de lui faire le meilleur cunnilingus de sa vie. Je fais partie des hommes qui aiment le pratiquer. Je me sens fort. Je la domine. Elle mest soumise. Soumise à son plaisir et au mien. Elle magrippe les cheveux avec ses deux mains, elle se tortille de tous les sens. Mais je ne relâche pas mon emprise pour autant. Elle mappartient et elle va jouir aussi longtemps que je laurai décidé. Question de rendre la chose plus amusante, je recommence à la doigter en même temps. Sa respiration saccélère encore un peu, elle se retient je le sens. Mais jai décidé quelle devait jouir. Maintenant. Cest moi le Maître. Je glisse un doigt dans son anus. Immédiatement elle se cambre et lâche un cri de jouissance. Puissant. Je narrête pas. Je continue. Sa jouissance est longue et épuisante. Elle retombe, molle, satisfaite et vidée de toute énergie. Ma bouche remonte le long de son ventre, ses seins, son cou. Le temps de lui laisser reprendre ses esprits. Je sens que son cur a repris un rythme normal. Dun mouvement sec je la retourne sur le ventre et lui fait comprendre de sinstaller sur ses coudes. Cest le moment où je vais la traiter comme une chienne, sans respect. Je la pénètre brusquement. Elle ne crie pas, mais je men fou. Elle pourrait hurler que cela ne me ferait rien. Je mactive de plus en plus vite. Je remarque à peine quelle recommence à haleter. Haleter comme un animal. Elle se soulève un peu plus sur ses avant-bras et glisse une main vers son entre-jambe. Je sens londe de plaisir monter en moi. La voir si salope augmente mon plaisir. Je ne pense plus à rien dautre, jaccélère encore et je viens. Longuement. En elle. Au même moment, elle se cambre de nouveau. Nous jouissons à lunisson. Maintenant vidés de toute énergie.

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