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Prévoir n'est pas pouvoir – Chapitre 1

Prévoir n'est pas pouvoir - Chapitre 1



J’avais une copine dont j’étais fou amoureux, vous savez, ces amours de jeunesse qu’on pense être éternels lorsqu’on a 17 ans. Elle était belle, drôle, intelligente… Nos longs mois de relations avaient attisés le désir et nous étions proches de passer le pas, de consommer le péché de la chair dirait on…

C’est ainsi qu’un soir elle m’invita chez elle, enfin, chez sa mère avec qui elle vivait seule dans un petit appartement depuis le divorce de ses parents.

Claudia, c’est son nom, m’accueillit chaleureusement et je fus surpris de la trouver très différente de sa fille : Brune et non blonde, plus grande aussi et aux formes plus généreuses.

Je fis bonne impression et le repas se passait à merveille : nous discutions de tout et de rien tandis que ma chérie (que sa mère appelait mon bébé ce qui me faisait bien rire) me caressait discrètement sous la nappe me laissant présager une nuit des plus agréables… En réalité, rien mais alors rien ne sest passé comme prévu et pourtant dieu sait que javais pu imaginer la scène sous toutes ses coutures

A la fin de la soirée, Claudia m’annonça qu’il était exclu que je dorme avec sa fille, du moins « pas pour une première invitation », j’allai donc devoir partager sa chambre… Elle souhaita bonne nuit à son enfant en l’embrassant sur la bouche puis ma chérie se jeta dans mes bras avant de filer se coucher. Autant vous dire que je me suis senti abandonné, et profondément déçu de voir ainsi filer lobjet de mon désir et mon amour …

"Une douche?" me proposa-t-elle soudain.

J’acceptai, trop heureux de pouvoir me retrouver seul un instant.

J’allumai le jet d’eau chaude et me détendit, après tout je pouvais tout à fait comprendre sa réaction, ma propre mère n’acceptais pas de filles sous son toit et… Un bruit de porte, Claudia entra :

"Tu as un pyjama" me demanda-t-elle sans complexes quand a son intrusion.

-"euh, non" répondis-je gêné, bien que totalement caché par le rideau de douche. La vérité est que je pensais dormir en caleçon voir même nu (dans le meilleur des cas) auprès de ma copine.

-"je vais ten donner un ancien de mon mari"

Un autre bruit de porte, je me lavai rapidement et sortis : mes habits avaient disparus remplacés par un pantalon de coton blanc que j’enfilai avec mille précautions. Le miroir me renvoya mon reflet : grand, brun, musclé, mais serré dans un pyjama ridiculement trop petit qui moulait et mes cuisses et mes fesses et, plus problématique, mon sexe. Grand moment de panique, je me sentais réellement exhibé.

Le couloir. La chambre. Jentrai après une petite hésitation. Elle me dévisageait en souriant en voyant mon teint virer au rouge dans ma gêne dêtre ainsi observé par la mère de ma petite amie

Elle se leva, se changeant devant sa penderie Jen profitai pour observer la chambre, petite mais coquette et chaude. Elle dégageait une ambiance très intimiste dans ses tons sombres et ses coussins disposés ça et là.

"Viens m’aider, dégrafe mon soutien-gorge s’il te plaît"

Je sortis de ma torpeur contemplative.

Elle renchérit, "S’il te plaît, tu devras bien le faire à ma fille un jour ou l’autre alors aide moi"

Je m’exécutai les doigts tremblants, elle me demanda alors de me retourner pour enfiler une robe de chambre noire cintrée qui laissait son décollette apparent ainsi que ses jambes galbées. Et là, croyez-moi, je me suis maudit car je sentais mon sexe durcir sous la fine étoffe.

"Tu aimes ma fille?" m’interrogea-t-elle a brûle- pourpoint… "Jai besoin de savoir si tu es l’homme qui lui faut"

-"j’espère lêtre."

-"oh mais tu vas me le montrer, je ne laisserai pas la chair de ma chair avec le premier venu. Je veux que tu sois doux et patient, ce soir tu fais ce que je te dis et demain, peut être que tu pourras faire l’amour à ma fille. Cela te convient-il?"

[…]

"Bien alors, évitons les trop long discours. Masse-moi ! »

Tout se passa trop vite pour que jeus le temps de régir ou même de comprendre ce qui se passait alorsElle me donna un flacon dhuile, se défit de son peignoir et sallongea devant moi, sa pudeur a peine voilée par un léger string de dentelle noir je me mis à califourchon sur elle et commençai à la caresser doucement mais fermement Pour le coup je suis plutôt un bon masseur et elle lâchait de petits soupirs de soulagement. Je passai sur son dos, ses reins, ses fesses et ses longues jambes, elle commençait presque a sassoupir et jen venais a espérer que la bosse dans mon pyjama puisse bientôt disparaître, mépargnant une honte certaine mais mon téléphone en décida autrement en vibrant, bien bruyamment, juste ce quil fallait pour la sortir de sa torpeur.

Je me relevai et elle sassit face à moi.

Lhuile avait rendu transparent mon maigre pantalon qui laissait tout à fait transparaître mon sexe bandé dexcitation coupable à la voir ainsi dénudée, ses seins durcis ainsi dévoilés. Elle me regarda satisfaite et passa doucement ses mains sur mon torse.

« Ma fille a plutôt bon goût on dirait Comment me trouves-tu ? »

-« Vous êtesmagnifiqueJe » Bafouillai-je inintelligiblement

-« Tu es gentil Allez met toi à genoux sil te plaît »

-« que je quoi ?… »

-« Ne discute pas ! Tu as lair dun bon garçon mais nen rajoute pas »

Elle me caressa les cheveux puis, debout devant moi se débarrassa de son string Elle me tint fermement la tête et mamena contre son sexe humide

« Lèche-moi comme tu lécherais ma fille! » chuchota-t-elle

Ma langue simmisça alors sans son intimité, entre ses lèvres pour trouver son clitoris bombé. Elle me maintenait plaqué contre elle, gémissant au rythme de ma langue. Elle saffala, la cyprine inonda ma bouche mais sur le moment tout me semblait tellement clair : obéir a cette femme, la mère de ma petite amie, la lécher, la sucer, la faire jouir dans un glapissement et me relever pour la regarder consommer son orgasme couchée sur le lit. Attendre debout, obéissant, quelle se redresse et me jette à nouveau un regard et quel regard

« Petit salop », lâcha-t-elle le souffle court »

Elle descendit le désormais inutile pyjama dévoilant mon sexe tendu à lextrême

« Prend moi »

Elle me tira sur elle, les doigts crispés sur mes fesses et je la pénétrai doucement avant de commencer de sévère va et vient entre ses jambes au son de ses gémissements, ses gros seins tremblant à chaque mouvement. Écrasée sous mon poids, elle soubliait totalement

Je me retirai pour quelle se retourne. Elle se cambra suppliante, attendant mon sexe pour la prendre en levrette et elle était presque soumise alors que je rentrai à nouveau en elle. Mon bas ventre claquait contre ses fesses, Jondulais tenant tantôt ses hanches, tantôt ses seins ballottant sous elle…

Je la sentis venirJe sentis lexplosion en elle alors quelle étouffait son cri en mordant dans loreillerJe continuai un lent mouvement pour accompagner ses spasmes de plaisir et Je pensai à ma copine, sagement endormie alors que jétais lobjet sexuel de sa mère, trempée et essoufflée de plaisir, les cheveux lâchés, la sueur perlant sur son échine

Je me retirai au bord de la jouissance. Claudia fit volte-face et attrapa mon sexe quelle avala avidementJe vins presque instantanément au fond de sa gorge, déchargeant de longues giclées de sperme dans un râle.

Somptueux tableau. A genou devant moi elle nettoyait parfaitement ma verge, me léchant, me suçant avec délice avant de membrasser goulûment pour que je puisse sentir les effluves de ma propre semence

Je revins peu à peu à la réalité, réalisant que cette soirée était totalement partie en freestyle et que je ne parviendrai jamais à soutenir le regard de ma copine le lendemain matin (lidée quelle ait put nous entendre simposa à moi comme une évidence.)

Satisfaite, ma maîtresse sallongea comblée.

-« Demain, demain tu feras lamour à ma fille. Tu mas convaincu »

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