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Pulsion scopique – Chapitre 2

Pulsion scopique - Chapitre 2



Le gérant du lieu ne fut pas surpris lorsqu’il les aperçut sortir ainsi hors de la salle. L’homme se dirigea vers un petit escalier de service dans lequel il la jeta à quatre pattes.

Maintenant, monte à quatre pattes. Je veux voir ton cul et ton con dégoulinant sous mes yeux. Je veux voir tes seins pendre comme les deux grosses mamelles de la chienne que tu es. Et tu as tout intérêt à te presser, sinon, je te défonce tes petites miches à coups de ceinture.

Elle s’exécuta et prit grand soin de faire rouler son cul à chaque marche montée. Elle s’arrêta à mi-chemin et attendit. Elle savait qu’il n’avait pas de ceinture et elle était curieuse de voir quel châtiment allait lui être réservé. D’un air de défi, elle se retourna à demi, juste assez pour planter son regard dans le sien. Alors, il se rapprocha à toute vitesse et, sans dire un mot, écarta ses fesses rondes en tirant assez fort dessus pour lui faire mal. Il cracha sur son anus serré et enfonça son pouce à l’intérieur.

Hé ben ma salope. C’est pas ta première fois par ce trou-là à ce que je vois. Tu aimes te prendre des gourdins dans le cul ? Tu vas être servie, j’adore ça. Continue de monter, chienne.

Elle se remit en marche, bien trop curieuse de découvrir la cabine de projection. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque celle-ci s’ouvrit sur des appareils pour 16 et 35mm ! Elle était persuadée que le complexe n’était équipé qu’en numérique. Il lui prit alors l’envie de voir du porno sur pellicule, de sentir la matière, de s’enrouler dans les bobines, de se faire étrangler avec …

Je sais à quoi tu penses chienne. Oublie tout de suite. Tu n’y toucheras pas, tu ne les abîmeras pas avec tes sales mains souillées par le sol et ma queue. Mais … je vais te montrer deux trois choses de mon cru si et seulement si tu obéis à mes ordres.

À genoux face à lui, elle acquiesça avec détermination, animée par l’envie de découvrir ses ordres et de voir la projection qu’il lui réservait.

Bien, bien salope, tu es sage c’est bien. Tu vois la table là-bas ? Te tourne pas pour regarder, chienne, je ne te l’ai pas ordonné. Hé bien, cette table tu vas grimper dessus, y asseoir ton joli petit village, et tu vas écarter ta chatte devant moi. Et attention, tu te branles pas, tu ne fais rien, tu écartes, c’est tout.

Elle se redressa et alla à l’endroit indiqué. Le meuble était froid et désagréable. Une fois assise, elle posa ses pieds de part et d’autre de la table et révéla une vulve rouge, gonflée et humide, surmonter d’une toison sombre et bouclée. Elle plaça ses doigts sur ses petites lèvres et tira les chairs qui s’écartèrent en un petit bruit mouillé. Elle était offerte, béante sous le regard inquisiteur de son bourreau. Elle était presque nue tandis qu’il était encore habillé. Elle mouillait de cette domination et était à la fois frustrée et ravie par cette position dont elle avait honte et qui l’humiliait au plus haut point. Pendant ce temps, il avait déboutonné son jean et ressortit son membre turgescent. Il se branlait en la regardant avec avidité, se demandant comment à son âge, cette petite traînée pouvait être aussi dévergondée.

La scène dura ainsi pendant quelques minutes qui parurent durer une éternité. Le souffle court, il se rapprocha d’elle. Elle était tétanisée à l’idée qu’il la touche entre ses cuisses. Tétanisée à l’idée qu’il s’y prenne mal. Elle rêvait de doigts experts. Heureusement pour elle, ce petit jeu était son préféré. Il commença à branler doucement son clitoris en prenant bien garde à le laisser sous son capuchon, et il observait avec attention le visage de sa victime. Elle léchait et mordait ses lèvres pulpeuses en fermant les yeux. Son regard à lui l’intimidait bien trop pour qu’elle se permette de s’y perdre. Elle commença à se caresser les seins, à les palper et les presser dans la paume de ses mains. Elle voulait jouir de chaque zone érogène de son propre corps. Lui, de son côté, faisait aller et venir ses doigts le long de sa petite chatte immergée. Il voulait qu’elle baigne dans son jus, que ses fesses en soient recouvertes.

Puis, il se mit à genoux, approchant son visage vers l’objet de ses caresses.

Maintenant, tu ouvres les yeux. Je ne veux pas que ton regard quitte le mien. Tu vas me regarder te bouffer la chatte. Et tu vas me regarder du début à la fin. Je te jure que si ton regard quitte le mien, je te mords jusqu’à ce que tu saignes et je te déchire ton con. C’est compris ?

Elle ouvrit alors les yeux et plongea en lui. Elle ne le quittait plus. Elle s’était ancrée profondément pour ne pas perdre pied. Il avait d’ores et déjà commencé le travail. Sa langue fouillait les moindres recoins de son anatomie. Tantôt sur sa fente et tantôt glissant le bout à l’intérieur, il faisait en sorte qu’elle hurle de plaisir, il voulait la voir s’abandonner, il voulait qu’elle s’offre entièrement à lui. Sans barrière, sans pudeur. Mais la salope résistait. Elle savait ce qu’il voulait, elle ne connaissait que trop bien ces manigances typiques des dominants invétérés. Mais elle se refusait à lui donner. Elle voulait le pousser à bout pour que sa soumission n’en devienne que plus grande. Elle le voulait extrême, fou, et ravagé. Alors, elle ne gémissait que par à-coups, feignant un certain désintérêt pour la chose alors qu’au fond d’elle, elle savait pertinemment qu’en s’obstinant, il parviendrait à ses fins.

Il se redressa alors tout en continuant de la fixer, et plongea ses doigts dans son trou déjà élargi par l’excitation. Et il la branla comme elle ne l’avait jamais était. Ses va-et-vient ne cessaient pas, il la baisait littéralement avec ses doigts tout en l’insultant copieusement.

Je sais que tu aimes ça chienne, qu’on t’insulte comme la petite pute que tu es. Espèce de sale traînée, t’aimes ça hein ? Attends d’avoir ma queue au fond de ta p’tite chatte de nympho et là, tu vas hurler, là, tu vas me supplier d’arrêter. Hé ! Hé ! Qu’est-ce que tu fous ?! Je te parle bordel, regarde-moi !

Les yeux révulsés, elle avait finalement cédé. Ne pouvant plus se retenir, elle expulsa en un cri de plaisir une cyprine fluide et transparente qui sortait en jets saccadés de son corps. Tout son corps tremblait, et déjà, elle n’en pouvait plus alors que le jeu ne faisait que commencer. Elle sentait son sexe s’ouvrir et se fermer sur les doigts de celui qui dorénavant serait son maître.

Oh putain ! Hé bah ça, ma coquine, je ne m’en serais pas douté. Alors comme ça, on est fontaine ? Mais t’as pas honte d’en foutre de partout comme ça ? Bien sûr que non, t’as pas honte espèce de cochonne … Bon. T’as bien mérité une petite récompense. Tu vas voir, ce n’est pas de la pelloche, juste un petit montage de mon cru. Et t’inquiète pas que je vais te ramoner salement pendant que tu regarderas ces horreurs.

À moitié sonnée, sa bouche se mit en quête de la sienne pour trouver un peu de tendresse après la jouissance. Elle ne désirait à ce moment-là rien de plus qu’aspirer cette lèvre inférieure charnue qui donnait à l’homme un air bourru et boudeur. Mais il s’y refusa.

Hé oui, tu fous quoi là ? T’as cru que j’étais ton mec ? La tendresse, ça sera pour la fin. Et encore, faudra bien me faire jouir des litres pour ça. Maintenant, tu te lèves, tu te mets face au retour-écran juste là, et tu vas voir, on va bien s’amuser tous les deux.

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