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Pute pour l'autre – Chapitre 1

Pute pour l'autre - Chapitre 1



Nous nous sommes aperçues juste un instant. Mon cur a fait un bond: je laimais déjà. Comment résister à une fille de mon âge, grande, châtain clair, avec des yeux vert deau. Sa poitrine pointait vers moi. Je ne pouvais détacher mon regard. Elle me toisait aussi. Mon sourire a du la convaincre que je ne lui voulais pas de mal, au contraire.

Ce vernissage nen finissait pas, jallais partir: je la regardais encore en méloignant. Elle ma suivi heureusement.

— Bonjour, nous ne nous connaissons pas encore.

— Non, jespère que nous ferons amplement connaissance.

— Jespère. Si nous allions dans un salon de thé.

— Avec plaisir.

Elle me plaît et minvite en plus à la suivre: jirai au bout du monde avec elle.

Devant les gâteaux et une tasse de café nous bavardons pour nous connaître. Elle sappelle Albane, a 23 ans, travaille comme secrétaire dans une boite d’import export. Elle a du temps libre: son patron ne la retient jamais quand elle veut sortir. Je dévoile mes activités.

Nous nous apercevons que nous avons les même murs sexuelles. Pour nous lamour est une chose trop sérieuse pour être confiée à nimporte qui, les hommes pas exemple.

Pourtant ni lune ni lautre ne faisons le premier pas alors que pour ma part je meurs denvie delle. Ce nest qu’en sortant du salon quelle minvite enfin à venir chez elle.

Nous navons eu aucun contact, mis à part maintenant quand elle prend mon bras pour le mettre sous le sien. Nos mains sont réunies, nous nous caressons simplement en nous regardant quelques fois.

Personne ne peut imaginer que nous allons certainement nous aimer comme des amantes.

Elle habite assez loin, nous bavardons encore.

— Jétais lamoureuse de ma classe en 1°, jaimais une prof. Qui me le rendait bien: nous faisions lamour souvent, quelques fois dans la classe vide, après les cours. Cest elle qui ma convertie: jusqualors je ne connaissais que les bites de deux ou trois garçons, qui me faisaient assez bien jouir en me branlant ou me baisant, mais jamais comme elle.

— Pour moi, cest une copine de ma mère qui ma appris à faire lamour avec les femmes, jusquau moment où ma mère se doutant de quelque chose de pas net entre nous minterdisait de voir mon initiatrice. Plus tard, jai essayé avec un homme de 40 ans. Il ma faite jouir plusieurs fois. Là cest sa femme qui nous a surpris. Elle ma obligée à faire lamour devant son mari avec elle. Je sais qu’elle a joui, alors que jétais crispée.

Depuis je me contente seule: jai mes godes et surtout ce que je porte aujourdhui: un joli plug.

— Je me contente de boules de geisha. Je les ai dans mon ventre

Cette conversation nest pas pour nous calmer.

Nous sommes à peine entrées qu’elle membrasse. Sa langue est très agile dans ma bouche, je le lui rend bien. Elle fait tomber mon t-shirt pour enlever mon soutien gorge, ses lèvres sont sur mes tétons. Elle me suce formidablement bien, il y a longtemps que je nai pas reçu ce genre de suçons. Jarrive à lui enlever le débardeur facilement, elle na pas de soutien gorge, ses seins tiennent seuls. Je les caresse lentement, elle me demande de lui faire descendre son jean, sa voix est devenue plus grave, sans doute le désir. Je fais descendre et le jean et le slip. Nue elle me plaît encore plus.

Maintenant à son tour elle me déshabille. Elle passe ses mains sur le fesses pour descendre vers lanus. Elle trouve le plug qu’elle enfonce un peu plus. Elle le relâche pour quil reprenne sa position normale et recommence: elle me sodomise sans me mettre quoi que ce soit dautre dans lanus. Elle est sur la bonne voie pour me faire jouir.

Je ne lattends pas, je mets ma main sur sa moule. Elle est bien mouillée. Je passe un doigt pour faire sortir le bouton: je peux la branler normalement. Elle aussi ne se retiens pas pour jouir. Avec les boules dans le vagin et mon doigt cest normal.

Nous allons nous coucher. Elle commence par enlever le plug et sort également ses boules de son vagin. Nous sommes libres de faire jouir lautre comme nous aimons.

Nous ne connaissons pas encore les désirs de lautre. Nous tâtonnons: pour cela nous nous faisons les mêmes caresses, toujours sur les chattes. Nous savons que nous aimons certaines choses, elle le clitoris, moi le cul.

Nous reprenons à zéro. A nouveau le bouton pour elle et pour moi, elle se crispe souvent en jouissant, comme moi. Je suis à moitié sur elle, une cuisse entre ses jambes: je la monte jusquà sa moule: je peux lui caresser toute lentre jambes avec le genou. Elle sy frotte largement. Elle trouve encore mon bouton en passant sous ma jambe.

Nous navons plus que deux désirs: faire jouir lautre et jouir soi même. Lenvie de jouir ensemble au même moment nous mène à un 69 rare. Je me demande si je la suce par gourmandise ou par désir. Javale le plus de cyprine possible. Que son jus est bon. Elle men fait autant: elle me lèche, me fait jouir sans cesse. Je change dendroit: je vais sur son rectum: jen fais le tour dabord, comme jaime quon me fasse.

— Entre ta langue dans mon cul, encules moi.

— Fais moi la même chose.

Nous sommes exaucées. Je sens son plaisir autour de ma langue. Cest bon de savoir quon fait jouir sa compagne.

Un peu fatiguées nous cessons juste un instant quelle met à profit pour sortir ses godemichés. Elle en possède une bonne collection: elle me donne le choix entre un simple, tout bête, un autre vibrant que je refuse (je naime pas les bruits que fait ce genre de substitut.)

Elle possède le fin du fin pour deux filles comme nous: un double pour chacune. Nous sommes toujours embrasées, nous choisissons ce qui nous convient: deux doubles.

Nous sommes folles: nous voulons les mettre ensemble dans nos trous.

Cest elle qui nous installe: couchées sur le dos, les jambes bien ouvertes, elle commence par me mettre dans le cul une extrémité dun gode, me lenfonce, ce qui me donne le plaisir immense de la sodomie, se lenfonce à son tour. Elle me met lautre dans la vagin, lentre le plus profond possible avant de se baiser elle-même avec lautre bout. Nos mouvements suffisent à créer une double pénétration. Nous nous caressons les seins: je gémis sans arrêt, comme elle. Je crie quand je jouis, elle ferme les yeux sans arrêt en parlant: que cest bon, mon Dieu que cest bon.

Le plus terrible est que nous ne savons pas nous arrêter. Les orgasmes succèdent aux orgasmes. Ce nest quau petit matin que nous arrêtons notre baise.

Nous nous endormons pour nous réveiller plus tard, nous recommençons à baiser.

Nous sommes devenues des filles plus que sensuelles: nous sommes des putes pour lautre.

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