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Quelle famille – Chapitre 2

Quelle famille - Chapitre 2



Alors là j’espère que vous serez autant surpris que moi, parce que ce qui m’est arrivé est dingue. Pour résumer ma situation jusqu’à il y a quelques jours auprès de ceux qui débarquent, j’ai depuis quelques temps déjà des rapports très proches avec mon père et mon frère. Quand j’ai écris le chapitre précédent, j’avais l’intention de vous raconter comment j’avais pu en arriver là, mais c’était sans compter ce qu’ils m’ont réservé hier et qui est mille fois plus intéressant. Mais pour que vous puissiez comprendre mon étonnement, il faut quand même que j’en dise un minimum sur le passé de ces relations très étroites avec ma famille masculine. En effet, on en est pas arrivé là banalement. Pour faire court, j’avais comme n’importe quel jeune de mon âge fais mon coming-out à ma famille en toute simplicité et on en était resté là sans trop en parler. Leurs réactions étaient plus ou moins celles que j’attendais, indifférentes mais sans être ravis d’avoir un gay dans la famille. La suite a nécessité un brin de chance et beaucoup d’audace de ma part. Je suis conscient que ça peut paraître bizarre, mais mon père me faisait déjà beaucoup fantasmer à l’époque. Pompier, il est vraiment bien bâti et franchement la nature l’a gâté de tous les côtés. Et il s’avère qu’un jour, en l’absence de ma mère, je l’ai surpris en train de se branler sous la douche, je n’avais encore jamais vu sa bite en érection et ça m’avait excité au plus haut point. Je ne pouvais l’observer qu’à travers un reflet de vitre, lui par conséquent ne pouvait pas me voir. Dans ma tête je me torturais pour savoir si je devais oser quelque chose, j’avais une peur terrible mais comme je vous l’ai expliqué quand ma libido fait des siennes le désir passe avant tout. Malgré tout, ma peur me faisait raisonner, et j’en suis arrivé à la conclusion que je ne voulais pas laisser passer ça, mais que je devais faire en sorte de débarquer lorsqu’il était bien excité, limite prêt à jouir, pour mettre toutes les chances de mon côté. Je sentais que ça allait venir, mais j’étais un peu terrifié, la boule au ventre. Mais je ne pouvais décidément pas laisser passer cette occasion. Je fis alors mine de rentrer par hasard dans la salle de bain (qui n’est jamais fermée à clé chez nous) et s’ensuit un échange de regards avec mon père, lui de surprise et de gêne, moi d’envie. Cette envie je n’arrivais plus à la dissimuler. Sans dire un mot et au risque de me prendre une baffe monumentale, je me jetais sur sa bite et la mis en bouche. Malheureusement sur le coup c’est ce qu’il s’est produit, je m’en suis pris une comme jamais.

-"Oh qu’est-ce qui te prend ça va pas ?!!!"

Je restais sans réponse et il ajoutait :

-"Tu nous a dis que t’étais gay c’est pas une raison pour faire n’importe quoi, je suis ton père et j’aime pas tes délires !!"

Mais je sentais un très léger manque de conviction dans sa voix. N’ayant plus rien à perdre, j’ai dis tout bas et en baissant la tête :

-"J’suis désolé papa mais tu m’excites, je voulais juste te le montrer et que tu me comprennes.."

"T’es complètement cinglé mon fils, où t’as vu que les choses se passaient de cette façon ?"; il m’a répondu.

Malgré tout je voyais qu’il ne débandait pas, je savais que j’étais arrivé au meilleur moment et que si je n’avais pas fait ça rien ne se serait jamais produit ensuite. Parce que lorsqu’on atteint le stade proche de l’éjaculation, on reste un moment excité tant qu’on se finit pas. Et je sentais que c’était le cas puisqu’il manquait de la conviction et de la violence dans ses propos qu’il aurait eu en temps normal. Je savais que je ne devais pas trop attendre. Dans une dernière tentative, je me souviens très bien lui avoir dis :

-"Laisse moi te prouver l’amour et le désir qu’il peut y avoir entre deux hommes."

Sur ces paroles j’ai retenté mon coup et cette fois ci il ne m’a pas retenu. Ce jour là je n’ai fais que le sucer mais vous avez vu précédemment qu’on ne s’est ensuite pas arrêté là. Mais cela venait toujours de moi. La pointe de chance que j’ai eu dans tout ça, c’est qu’à ce moment là mon frère a débarqué et nous a surpris mon père et moi. Je vous passe les détails mais j’ai réussi à le faire se joindre à nous. Chez lui, contrairement à mon père qui faisait ça sans grande envie à chaque fois, j’avais créé un réel nouveau désir, et souvent il me réclamait une petite sauterie. Bref, ma surprise récente est née de là, du fait que jusqu’à présent mon père n’a jamais été vraiment emballé dans ces rapports sexuels avec moi, que c’est moi qui faisait toujours ma chienne et qui finissait par le faire céder.

Mais hier, soit quelques jours après l’histoire que je vous ai raconté dans le premier chapitre, j’ai vécu quelque chose d’incroyable. Tout à commencé lorsque mon père a invité à la maison un de ces meilleurs amis, Jérôme. Ces deux là se connaissent depuis très longtemps, alors qu’ils étaient encore pompiers de Paris. Ils partageaient également la même passion pour le cyclisme. C’était d’ailleurs une habitude que Jérôme vienne à la maison pour aller faire un tour avec mon père. Arrivé vers 10h, ils étaient rentrés vers 15h ce jour là, il avait fait bien chaud et ils étaient rentrés bien en sueur pour se rafraîchir. D’ailleurs petite parenthèse mais je dois vous dire que les mecs en sueur je trouve ça excitant à mort, mais bref héhé. Je faisais mon fils attentionné en leur servant leur commande, deux bières sorties du frigo, et ça commençait à parler de la journée, de la famille, etc.. Mais je sentais un truc vraiment bizarre, un genre de regard pesant qui me gênait, étant de nature timide. Je ne comprenais pas, mais des silences s’installaient, duraient, et les regards de mon père et de Jérôme étaient focalisés sur moi. N’aimant pas ça, je fis mine de débarrasser les bouteilles vides. Et là mon père s’est levé, m’a fait mettre à genoux, a baissé sa tenue de vélo, et m’a juste dis :

-"Vas-y"

Là je vous jure je suis resté con, c’était pas la première fois, loin de là, mais jamais ô grand jamais devant quelqu’un, la règle d’or de mon père c’était même de ne jamais en parler. Je suis resté bouche bée, mais genre vraiment pendant au moins 10 secondes. Et c’est là que mon père a tout balancé :

-"C’est bon remet toi je l’ai fais venir pour toi"

Autant vous dire que ça n’a fais que me rendre choqué davantage. Impatient, mon père a donc attaqué mon job en enlevant son caleçon. J’avais donc sa bite au garde à vous devant les yeux, et machinalement je l’ai mise dans ma bouche mais mes pensées étaient complètement ailleurs, toujours abasourdi qu’on soit accompagnés de son pote Jérôme. Le plus étonnant c’est que mis à par le fait qu’il soit très sympa, je n’ai appris qu’une seule chose de son pote Jérôme par mon père, c’est qu’il a un braquemart gigantesque. Sans rire ça va peut-être vous paraître cliché ou je ne sais quoi, mais sa bite atteint sans peine les 30 centimètres. Mon père l’ayant vu dans les douches à l’époque où ils étaient pompiers de Paris, il m’avait raconté que Jérôme lui avait dit que c’était pas facile, gênant, et que sa femme se plaignait de toujours avoir mal. Et du coup lorsque cette pensée m’est revenue, j’ai fais dans ma tête un rapide topo de la situation, avant de me rendre compte que j’étais impatient de voir ce sexe. Pour tout dire je n’en avait jamais vu de cette taille. C’est moi qui suis allé le déshabiller et je confirme que j’ai été choqué. Il ne bandait pas encore, car les grosses bites mettent plus longtemps à bander. Malgré ça, elle était déjà plus longue que la mienne et celle de mon père.

Aucune autre parole n’est venue ponctuer mes actes, je passais de bite en bite, m’attardant un peu plus sur celle de Jérôme qui prenait une taille et une épaisseur surréaliste. Les deux hommes, debout, me laissaient faire, c’est tout juste s’ils me poussaient la tête pour me baiser la bouche mais rien de plus. Lorsque je levais les yeux, je ne voyais aucun échange entre eux. C’est certain, mon père et son pote ne sont décidément pas gay. Ils ne voient en moi qu’un vide-couilles et c’est sans aucun doute comme ça que mon père a pu attirer son pote. Malgré tout, je ne pouvais pas m’empêcher de me dire que mon père avait fait ça pour moi, pour me combler, pour me rassasier. Après cette bonne pipe qui a duré au moins 10 minutes, mon père a pris les choses en main comme on en a l’habitude. Il m’a craché sur l’anus avant de commencer à me pénétrer. J’étais à quatre pattes, en face je continuais à pomper la bite de Jérôme, enfin ce que je pouvais, c’est-à-dire à peine plus loin que son gland. Il gémissait de plaisir. Moi aussi. Mon père me filait des coups de butoirs à me faire hurler, mais sachant ce qui viendrait ensuite je savais qu’il fallait que je subisse ça, que mon anus se dilate. Peu à peu j’ai pris mon pied. C’est alors que j’ai regardé Jérôme, qui enfin était bien bandé, et lui ait dit comme si nous étions intimes depuis longtemps :

-"Viens en moi, je veux ta bite !"

Il m’a regardé avec les yeux ronds avant de se placer derrière moi. Mon père a laissé la place et Jérôme l’a remplacé. Et là c’était dur, rien que le gland ne passait pas. Je ne vous mentais pas quand je vous disais que je n’avais jamais vu ça. On a bien bataillé pendant 5 bonnes minutes pour que mon anus se dilate suffisamment pour accueillir son gland, et 5 autres pour qu’il fasse de vrais vas-et-vient. Soyons honnêtes, j’ai souffert, et d’un coup je me suis dis que je comprenais sa femme. Mais après un certain temps qui m’a paru une éternité, j’ai commencé à ressentir un plaisir décuplé. Le plaisir de me faire défoncer par une des plus grosses bites qui doit exister (je sais que c’est dur à croire mais je blague pas) ajouté au fait qu’elle appartient à un pote que mon père m’a offert sur un plateau. Bref mon niveau d’excitation à ce moment là était absolument indescriptible. Je me faisais défoncer la bouche par mon père et le cul par la bite énorme de son pote. On a continué pendant de longues minutes, je vivais l’extase. Mais l’extase a une fin et c’est mon père qui a joui le premier, la totalité de son sperme a fini dans ma bouche et j’ai tout avalé, quasiment en m’étouffant. Jérôme continuait à me pilonner le cul, vraiment fort désormais. Il était très long à venir mais je ne me lassais pas. J’avais joui plusieurs fois sans me toucher. Le sol était couvert de mon sperme. Finalement Jérôme a fini par se retirer pour m’éjaculer en plein visage. Ses couilles étaient aussi pleines que sa bite est grosse. Il m’a littéralement inondé de sperme. Encore une fois vous allez dire que j’exagère mais sérieusement mon visage en était quasiment intégralement recouvert. A ce moment là mon père dit à son pote :

-"T’as vu que je t’avais pas menti"

Tous les deux sourirent et s’en allèrent. Moi j’étais étalé sur le sol, couvert de sperme, épuisé et le cul ouvert comme jamais.

Le lendemain a été difficile, j’ai une petite déchirure (preuve que je ne vous ai pas menti), mais c’est vite passé et comparé au plaisir fou que j’ai pris c’est vraiment rien. Voilà comment mon père a réussit à me choquer. Et malgré le fait qu’ils ne m’aient vu que comme leur vide-couille, leur chienne, leur pute, j’aime mon père plus que jamais pour ce qu’il a fait.

PS : J’ai écris ce texte pour ne jamais oublier tous ces détails, et rien que de l’avoir écris m’a donné une gaule d’enfer, du coup je suis allé sucer mon frère 5 minutes après avoir fini d’écrire ce texte, et j’ai kiffé ;)

Petit like si ma vie vous plait, j’espère que j’aurai droit à d’autres surprises croustillantes que je m’empresserai de vous raconter. Je vous embrasse, je vous suce, et plus encore ;)

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