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Radegonde et Cunégonde – Chapitre 11

Radegonde et Cunégonde - Chapitre 11



— Oh mon Dieu, si ! Mais il est tellement beau quand il se tient droit !

— Parlez-vous de son membre ? Demande Cunégonde qui vient pincer un des tétons de Dame Anaïs

— Oh mon Dieu, oui ! Il est fort et vigoureux et son il sombre est si captivant !

— Vous l’aviez donc déjà vu avant de le sortir ! Ajoute Radegonde qui promène maintenant un doigt entre les lèvres intimes de la nourrice.

— Mon Dieu, oui ! Plus d’une fois, je dois l’avouer.

— Dame Anaïs, nous vous croyions plus sage ! Vous nous faites l’effet d’être une grande pécheresse ! Vous rappelez-vous que la luxure est un pêché capital ? Demande Cunégonde qui tire maintenant sur le téton dressé.

— C’est vrai, je suis une misérable mais j’aime tellement faire plaisir.

— Alors continuez-donc votre histoire avec le soldat ! L’avez-vous goûté ? Questionne Radegonde dont le doigt titille maintenant le bouton de rose de Dame Anaïs.

— Je dois avouer que oui, mes Demoiselles. Mais un gland comme celui qu’il me présentait avec sa tendre peau violacée et son il qui commençait à suinter devant moi, comme vouliez que je résiste au plaisir de le prendre en bouche ?

Cunégonde qui maintenant suce avec délice le téton de la nourrice a désormais la main libre pour rejoindre celle de sa sur entre les cuisses fermes et maintenant largement écartées de la nourrice. Cette dernière a renversé sa tête en arrière car désormais elle savoure les sensations que lui prodiguent les doigts agiles qui cherchent à pénétrer en elle.

— Continuez, Dame Anaïs, confessez-vous à nous !

— Ma langue est alors venue parcourir les reliefs de son gland, s’attardant sur le bourrelet qui l’entoure. Oh mon Dieu, Continuez ainsi, mes Demoiselles ! Ma main s’est alors acquittée d’une caresse vigoureuse et répétée sur le manche. Vous l’auriez entendu gémir que vous en auriez été émue aux larmes. Oh oui, comme cela, entrez en moi !

Dame Anaïs s’est maintenant levée du banc pour se cambrer et faciliter l’accès de son ventre aux deux mains qui viennent la fouiller. Combien de doigts sont désormais en elle ? Elle ne sait pas ! Elle tente de continuer son histoire, malgré les vagues de plaisir qui déferlent dans son esprit.

— J’ai… Ah ! J’ai ensuite… Ah ! Accéléré le mouvement… Ah !

Les deux mains des jumelles sont maintenant proches d’être englouties par le sexe gourmand de la nourrice, Les mouvements sont plus lents mais plus profonds. Radegonde vient de passer son poignet au travers de l’ouverture du ventre de Dame Anaïs.

— Oh oui ! Encore ! Soupire la nourrice !

— Racontez ! Racontez ! Ne nous faites pas languir, réclame Cunégonde avant de reprendre l’assaut du sein de la nourrice avec sa bouche.

— Lorsque…, j’ai senti qu’il était proche du but, j’ai retiré ma bouche pour… Oh, oui ! Pour pouvoir recevoir sa semence sur ma poitrine… Il m’a…

La main de Cunégonde vient de rejoindre celle de sa sur au fond du ventre de la nourrice.

— Il m’a tout donné ! S’exclame cette dernière en atteignant le sommet de son plaisir.

Les deux surs sentent les chairs se contracter autour de leurs poignets. Leurs doigts s’agitent, essayent de gratter, d’écarter les chairs délicates pendant que la nourrice connaît plusieurs grandes convulsions. Les deux surs retirent alors prestement leurs mains de la prison de chair avant que Dame Anaïs épuisée ne s’abatte lourdement assise sur le banc.

Les deux surs se regardent avec un sourire complice. Chacune présente à la bouche de l’autre sa main recouverte des humeurs intimes de la nourrice. Chacune lèche la main qui lui est présentée.

Dame Anaïs commence à reprendre ses esprits.

— Oh, mon Dieu ! Quel bonheur ! Quelle joie vous m’avez donnée mes Demoiselles ! Comment vous remerciez ?

— C’est très simple Dame Anaïs, commence Cunégonde !

— Partagez votre joie avec nous en nous procurant du plaisir, continue Radegonde.

Sur ce, les deux surs se lèvent du banc. L’eau de la cuve leur arrive à mi-cuisse.

— Vous allez nous nettoyez maintenant !

— Toutes deux ensembles !

— Là où nous sommes le plus sale !

— Entre les cuisses !

— Avec votre langue !

Dame Anaïs voit les deux surs se faire face et venir coller leurs corps, ventre contre ventre, seins contre seins, joue contre joue. Elles s’enlacent. Elles écartent leurs cuisses pour offrir leur intimité.

— À vous Dame Anaïs !

— Venez passer votre langue sur l’ouverture de nos petits conils.

La nourrice sassoit alors au fond de la cuve. Son cou est immergé mais sa tête dépasse de la surface de l’eau. Elle vient se placer entre les cuisses des deux surs et renverse sa tête en arrière.

Les deux toisons blondes des deux surs se mêlent au dessus de ses yeux mais laissent distinguer de part et d’autres les lèvres fines qui délimitent les entrées de leurs ventres respectifs. Sortant sa langue fine et habile, Dame Anaïs vient toucher les chairs délicates de l’une puis de l’autre. La chair sensible frémit sous cette caresse charnue et le miel commence à se former pour rendre plus appétissants et odorants encore les appâts charmants des deux jumelles.

La pointe de la langue tente de se frayer un passage chez l’une, puis chez l’autre et les deux Demoiselles sentent monter en elles l’excitation que produit l’experte nourrice. Leurs jambes tremblent. Elles se mordillent mutuellement l’épaule. Elles se griffent mutuellement le dos pendant que leurs lèvres intimes sont maintenant délicatement mordillées par Dame Anaïs.

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