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rencontre en festival – Chapitre 1

rencontre en festival - Chapitre 1



J’étais là-bas, dans mon pays d’adoption pour un festival encore une fois, les yeux fermés pour profiter de la musique ! Deux mains agrippent ma taille et m’enlacent, je sais de qui il s’agit, retrouvés quelques heures plus tôt, nous avons enfin osé nous toucher après des années de regards croisés, de mots à peine prononcés. Des années à s’observer sans oser nous approcher, mais cette fois, l’envie était trop forte.

Sa tête sur mon épaule, je sens son souffle dans mon cou, je ne peux résister, je l’embrasse, je me sens fondre, sa main dans le bas de mon dos là où mon haut trop court laisse entrapercevoir ma peau. Je lui attrape la main et l’emmène, la foule si rassurante jusque-là me dérange, je le veux pour moi uniquement. La plage est quasi déserte, je m’allonge, il se met face à moi, pendant de très longues minutes qui m’ont paru trop courtes, nous sommes restés là, les yeux dans les yeux avec un désir plus que visible. La bière fraîche dans sa main humidifie ses doigts, il joue alors à les faire passer sur mon ventre, laissant des traces et me faisant frissonner. Le reste du festival n’est qu’un brouillard de musique, de foule, de mains sur mon corps, de bouche et de lèvres sur les parties visibles de mon corps. Il me rend folle d’envie, pourtant, je sais que rien ne se passera et que je ne le reverrais pas en dehors d’autres festivals… enfin, c’est ce que je pensais !

Quelques jours après, un message arrive sur mon téléphone, c’est lui, il dit ne pas supporter mon absence, qu’il ne pense qu’à moi et ne rêve que d’une chose, me voir encore pour balader ses mains sur tout mon corps. Pendant des mois d’attente, les messages s’envolent et le désir. Chacun de nos mots trahit nos envies, après tant d’années à s’observer, à se rêver, les mots ne sont plus suffisants ! Nous finissons par réussir à trouver un moment, nous n’avons qu’une nuit et une matinée, trop peu pour nos envies, mais nous ne pouvons pas résister à l’appel.

Le vendredi vient, toute la journée, je n’arrivais pas à tenir en place, je n’écoutais rien de ce que mes profs ont pu dire, ils n’étaient pas aussi intéressants que l’idée d’enfin te voir. Sans prendre le temps de passer, je prends le train. J’avais choisi ma tenue avec soins, une robe noire, des sous-vêtements en dentelle rouge et des talons, je le sais, le rouge et le noir sont tes couleurs préférées, elles t’excitent. J’arrive à la gare, tu es là, je me retiens de te sauter dans les bras, mais au moment même où tes lèvres touchent les miennes, tout autour de nous s’efface, il n’y a plus que toi et moi. Tu m’emmènes dîner, nos regards sont pleins de désir et le repas ne nous intéresse vraiment plus, tes mains sur ma jambe remontent de plus en plus haut, jusqu’à jouer avec la dentelle de mon string. C’est décidé, on s’en va, une chambre d’hôtel nous attend.

Dans la rue, nous nous arrêtons tous les 100 m pour nous embrasser comme si notre vie en dépendait, je ne sais même pas comment nous sommes arrivés habillés à l’hôtel. Soudainement, dans l’hôtel, tu ne me touches plus le trajet en ascenseur bien que court me paraît interminable. Mais je remarque ton regard sur moi, tu brûles de désir tout comme moi.

A peine la porte de la chambre fermée, tu me bloques contre celle-ci, tu m’embrasses et tes mains sur moi sont partout, nous n’avons plus le temps d’attendre ! Tu remontes ma robe, décale mon string et passe un doigt sur mon entrejambe qui me fait frémir, un sourire se dessine sur ton magnifique visage lorsque tu constates que je suis trempée, tu baisses à peine ton pantalon et ton caleçon, enfiles un préservatif et tu me pénètres. Dans un soupir de plaisir, je me laisse aller entre ton corps et la porte. Tes va-et-vient me font perdre pied, tu m’allonges par terre, la délicatesse n’est pas de mise, jouir est notre seul but. Tu agrippes mes fesses et tes va-et-vient se font de plus en plus pressants, je jouis plus vite que je ne l’avais jamais fait, et quelques secondes plus tard, tu me suis, t’abandonnant totalement à moi.

On se relève, le lit nous atteint, on s’allonge l’un face à l’autre, notre orgasme n’était pas suffisant, mais cette fois, nous avons tout notre temps, toute la nuit pour cela. Tes mains sur mes jambes comme un magnifique ballet enivrant sur mes jambes, par-dessus ma robe, tu rêves qu’elle ne soit plus là, je le vois… Je me lève, je le sais, tes yeux sont fixés sur moi, je me tourne et retire doucement ma robe, mes épaules sont les premières libérées, puis mes seins bien que tu ne les vois pas, je sens ton souffle se faire plus lourd et au fur et à mesure que tu découvres enfin mon corps. Lorsque mes fesses sont enfin libérées, je me retourne et laisse complètement tomber la robe. J’avance doucement vers toi, habillée de mes sous-vêtements uniquement.

Ton regard sur moi est plein d’envie, je constate ton érection sous ton pantalon, je te le retire ainsi que ton caleçon. Ton pénis est alors droit devant moi, je le lèche tout doucement puis je l’enfonce en bouche, ma salive est de plus en plus présente et rend ton pénis encore plus dur et plus facile à sucer. Tes gémissements me guident et me poussent à continuer, au bord du gouffre, tu me supplies d’arrêter, car tu vas jouir, je fais la sourde oreille, je te suce encore plus fort, encore plus vite, je sens ton pénis se contracter et ta semence se répartir dans ma bouche. J’avale ce divin liquide et remonte vers toi, tu es essoufflé et gémis encore de plaisir au contact de ma main qui caresse doucement ton intimité. La suite de la nuit n’a été que gémissement, langue sur mon intimité, doigts jouant, seins pointant, pénis raide, douche, va-et-vient, ondulations et surtout orgasme… la séparation sur le quai de gare fut dure, mais nous savions déjà que nous allions nous revoir…

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